25 research outputs found

    Ion beam analysis techniques: a powerful set ge tools for identification and sourcing of ancient gems

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    Gemstones are defined as rare minerals having a high clarity, a high hardness and showing a bright colour and a nice shining. The most important gems are diamond, sapphire and emerald. These gems are callad precious stones. Gems have fascinated man since the earliest times. They have always been sought out by man for their aesthetic and symbolic valué. Due to their scarceness and high '^alue, gems were appreciated by the mighty ones as a sign of their power (emperors ^nd kings, dignitaries of religions ...). Their high hardness and henee strong resismnce to deterioration symbolised the everlastingness of their reign. This last property is interesting from an archaeological point of view: gemstones travel through time without noticeable alteration, even buried in aggressive environment. On the other hand, gems oiay be used several times on different jewels, possibly cut and polished again. Like spices and other precious and sought-after items, gems were brought back from long distance. Accordingly, they are good tracers for ancient trading routes and influence of civilisations. Each civilisation had its own favourite gemstones: lapis lazuli in Egypt; amber and emerald in the Román Empire; gamet in early Middle Ages westem civil isations; jade, ruby and sapphire in Far-East cultures. Moreover, the provenance of some ancient gems such as emeralds or gamets is still debated. For all these reasons, the study of gems kept in museum collections is a promising research fíeld

    Measurement of the Bottom-Strange Meson Mixing Phase in the Full CDF Data Set

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    We report a measurement of the bottom-strange meson mixing phase \beta_s using the time evolution of B0_s -> J/\psi (->\mu+\mu-) \phi (-> K+ K-) decays in which the quark-flavor content of the bottom-strange meson is identified at production. This measurement uses the full data set of proton-antiproton collisions at sqrt(s)= 1.96 TeV collected by the Collider Detector experiment at the Fermilab Tevatron, corresponding to 9.6 fb-1 of integrated luminosity. We report confidence regions in the two-dimensional space of \beta_s and the B0_s decay-width difference \Delta\Gamma_s, and measure \beta_s in [-\pi/2, -1.51] U [-0.06, 0.30] U [1.26, \pi/2] at the 68% confidence level, in agreement with the standard model expectation. Assuming the standard model value of \beta_s, we also determine \Delta\Gamma_s = 0.068 +- 0.026 (stat) +- 0.009 (syst) ps-1 and the mean B0_s lifetime, \tau_s = 1.528 +- 0.019 (stat) +- 0.009 (syst) ps, which are consistent and competitive with determinations by other experiments.Comment: 8 pages, 2 figures, Phys. Rev. Lett 109, 171802 (2012

    Dielectric signature of charge order in lanthanum nickelates

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    Three charge-ordering lanthanum nickelates La2-xAxNiO4, substituted with specific amounts of A = Sr, Ca, and Ba to achieve commensurate charge order, are investigated using broadband dielectric spectroscopy up to GHz frequencies. The transition temperatures of the samples are characterized by additional specific heat and magnetic susceptibility measurements. We find colossal magnitudes of the dielectric constant for all three compounds and strong relaxation features, which partly are of Maxwell-Wagner type arising from electrode polarization. Quite unexpectedly, the temperature-dependent colossal dielectric constants of these materials exhibit distinct anomalies at the charge-order transitions.Comment: 7 pages, 6 figure

    Removal of arsenic and COD from industrial wastewaters by electrocoagulation

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    The paper deals with the treatment of arsenic-containing industrial wastewaters by electrocoagulation. The waste issued from a paper mill industry downstream of the biological treatment by activated sludge was enriched with arsenic salts for the purpose of investigation of the treatment of mixed pollution. First, the treatment of single polluted waters, i.e. containing either the regular organic charge from the industrial waste or arsenic salts only, was studied. In the case of arsenic-containing waters, a broad selection of experimental data available in the literature was compiled and interpreted using an adsorption model developed previously. The same technique was used in the case of industrial waste. Arsenic-enriched paper mill wastewaters with various amounts of As salts were then treated by electrocoagulation with Fe electrodes. The set of data obtained were interpreted by a model developed on the basis of the separate models. The agreement between predicted and experimental variations of the As concentrations ranging from 0.3 µg/L to 730 µg/L showed that both the organic matter and As salt can be removed from the liquid independently from each other

    La Tombe d'Arégonde. Nouvelles analyses en laboratoire du mobilier métallique et des restes organiques de la défunte du sarcophage 49 de la basilique de Saint-Denis

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    Ayant repris en 1957 les fouilles d'Edouard Salin dans le sous-sol de la basilique de Saint-Denis, Michel Fleury mit au jour en 1959 un sarcophage (N° 49) contenant une inhumation féminine exceptionnelle par la qualité de son mobilier funéraire et la conservation des restes organiques correspondant à ses vêtements. Grâce à une bague en or portant le nom ARNEGVNDIS et un monogramme central lu comme REGINE, la défunte fut identifiée à la reine Arégonde, mentionnée par Grégoire de Tours comme l'une des épouses de Clotaire Ier (511-561) et la mère de Chilpéric Ier. Compte tenu de la date de naissance de ce dernier, placée en 539 (en réalité en 534), et d'une estimation anthropologique vers 45 ans de l'âge de décès de la défunte, sa mort fut fixée vers 565/570. Cette datation ne s'accordant pas à celle du mobilier funéraire, sensiblement plus récent, plusieurs chercheurs doutèrent que la défunte ait bien été le personnage historique cité par Grégoire de Tours. La redécouverte récente du squelette de la défunte de la tombe 49 ainsi que des restes organiques végétaux et animaux qui l'accompagnaient, disparus depuis une trentaine d'années, a permis de rouvrir ce dossier. Ainsi, il est désormais acquis que la défunte, âgée de 61 ans (plus ou moins trois ans) est morte vers 580, ce qui correspond mieux à la datation archéologique du mobilier funéraire et donc à l'identification historique de la défunte. Pour sa part, le réexamen des restes organiques met largement en cause la reconstitution du costume d'Arégonde par Michel Fleury et Albert France-Lanord. Enfin, les analyses menées au Centre de Recherche et de Restauration des Musées de France (C2RMF) sur les objets métalliques en or et en argent de la tombe d'Arégonde, ainsi que sur les grenats pouvant les orner, ont considérablement modifié les acquis antérieurs, qu'il s'agisse des alliages utilisés ou de la provenance des grenats

    La Tombe d'Arégonde. Nouvelles analyses en laboratoire du mobilier métallique et des restes organiques de la défunte du sarcophage 49 de la basilique de Saint-Denis

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    Ayant repris en 1957 les fouilles d'Edouard Salin dans le sous-sol de la basilique de Saint-Denis, Michel Fleury mit au jour en 1959 un sarcophage (N° 49) contenant une inhumation féminine exceptionnelle par la qualité de son mobilier funéraire et la conservation des restes organiques correspondant à ses vêtements. Grâce à une bague en or portant le nom ARNEGVNDIS et un monogramme central lu comme REGINE, la défunte fut identifiée à la reine Arégonde, mentionnée par Grégoire de Tours comme l'une des épouses de Clotaire Ier (511-561) et la mère de Chilpéric Ier. Compte tenu de la date de naissance de ce dernier, placée en 539 (en réalité en 534), et d'une estimation anthropologique vers 45 ans de l'âge de décès de la défunte, sa mort fut fixée vers 565/570. Cette datation ne s'accordant pas à celle du mobilier funéraire, sensiblement plus récent, plusieurs chercheurs doutèrent que la défunte ait bien été le personnage historique cité par Grégoire de Tours. La redécouverte récente du squelette de la défunte de la tombe 49 ainsi que des restes organiques végétaux et animaux qui l'accompagnaient, disparus depuis une trentaine d'années, a permis de rouvrir ce dossier. Ainsi, il est désormais acquis que la défunte, âgée de 61 ans (plus ou moins trois ans) est morte vers 580, ce qui correspond mieux à la datation archéologique du mobilier funéraire et donc à l'identification historique de la défunte. Pour sa part, le réexamen des restes organiques met largement en cause la reconstitution du costume d'Arégonde par Michel Fleury et Albert France-Lanord. Enfin, les analyses menées au Centre de Recherche et de Restauration des Musées de France (C2RMF) sur les objets métalliques en or et en argent de la tombe d'Arégonde, ainsi que sur les grenats pouvant les orner, ont considérablement modifié les acquis antérieurs, qu'il s'agisse des alliages utilisés ou de la provenance des grenats
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