40 research outputs found
DMTs and Covid-19 severity in MS: a pooled analysis from Italy and France
We evaluated the effect of DMTs on Covid-19 severity in patients with MS, with a pooled-analysis of two large cohorts from Italy and France. The association of baseline characteristics and DMTs with Covid-19 severity was assessed by multivariate ordinal-logistic models and pooled by a fixed-effect meta-analysis. 1066 patients with MS from Italy and 721 from France were included. In the multivariate model, anti-CD20 therapies were significantly associated (OR = 2.05, 95%CI = 1.39â3.02, p < 0.001) with Covid-19 severity, whereas interferon indicated a decreased risk (OR = 0.42, 95%CI = 0.18â0.99, p = 0.047). This pooled-analysis confirms an increased risk of severe Covid-19 in patients on anti-CD20 therapies and supports the protective role of interferon
Large expert-curated database for benchmarking document similarity detection in biomedical literature search
Document recommendation systems for locating relevant literature have mostly relied on methods developed a decade ago. This is largely due to the lack of a large offline gold-standard benchmark of relevant documents that cover a variety of research fields such that newly developed literature search techniques can be compared, improved and translated into practice. To overcome this bottleneck, we have established the RElevant LIterature SearcH consortium consisting of more than 1500 scientists from 84 countries, who have collectively annotated the relevance of over 180 000 PubMed-listed articles with regard to their respective seed (input) article/s. The majority of annotations were contributed by highly experienced, original authors of the seed articles. The collected data cover 76% of all unique PubMed Medical Subject Headings descriptors. No systematic biases were observed across different experience levels, research fields or time spent on annotations. More importantly, annotations of the same document pairs contributed by different scientists were highly concordant. We further show that the three representative baseline methods used to generate recommended articles for evaluation (Okapi Best Matching 25, Term Frequency-Inverse Document Frequency and PubMed Related Articles) had similar overall performances. Additionally, we found that these methods each tend to produce distinct collections of recommended articles, suggesting that a hybrid method may be required to completely capture all relevant articles. The established database server located at https://relishdb.ict.griffith.edu.au is freely available for the downloading of annotation data and the blind testing of new methods. We expect that this benchmark will be useful for stimulating the development of new powerful techniques for title and title/abstract-based search engines for relevant articles in biomedical research.Peer reviewe
A História da Alimentação: balizas historiogråficas
Os M. pretenderam traçar um quadro da HistĂłria da Alimentação, nĂŁo como um novo ramo epistemolĂłgico da disciplina, mas como um campo em desenvolvimento de prĂĄticas e atividades especializadas, incluindo pesquisa, formação, publicaçÔes, associaçÔes, encontros acadĂȘmicos, etc. Um breve relato das condiçÔes em que tal campo se assentou faz-se preceder de um panorama dos estudos de alimentação e temas correia tos, em geral, segundo cinco abardagens Ia biolĂłgica, a econĂŽmica, a social, a cultural e a filosĂłfica!, assim como da identificação das contribuiçÔes mais relevantes da Antropologia, Arqueologia, Sociologia e Geografia. A fim de comentar a multiforme e volumosa bibliografia histĂłrica, foi ela organizada segundo critĂ©rios morfolĂłgicos. A seguir, alguns tĂłpicos importantes mereceram tratamento Ă parte: a fome, o alimento e o domĂnio religioso, as descobertas europĂ©ias e a difusĂŁo mundial de alimentos, gosto e gastronomia. O artigo se encerra com um rĂĄpido balanço crĂtico da historiografia brasileira sobre o tema
DĂ©pistage de la souffrance psychique au travail en mĂ©decine gĂ©nĂ©rale (intĂ©rĂȘt de l'utilisation de l'outil de Karasek)
Contexte : La souffrance psychique au travail est une entitĂ© frĂ©quemment rencontrĂ©e en pratique clinique. Le gĂ©nĂ©raliste, mĂ©decin de premiers recours, ne dispose pas jusqu'ici en pratique courante de moyen pour la dĂ©pister. A l'Ă©chelon local des Pays de la Loire, l'association Agir ensemble pour Promouvoir la SantĂ© (APS) a proposĂ© des outils pour aider les praticiens : une Ă©chelle numĂ©rique associĂ©e Ă la question et le travail comment ça va ? , et un outil issu du modĂšle de Karasek, validĂ© scientifiquement en mĂ©decine du travail. Nous nous sommes intĂ©ressĂ©s, Ă travers un regard sur les pratiques, Ă la place accordĂ©e par les gĂ©nĂ©ralistes Ă ces outils, un an aprĂšs cette initiative. MĂ©thode : 30 mĂ©decins gĂ©nĂ©ralistes ont Ă©tĂ© tirĂ©s au sort parmi les mĂ©decins ayant participĂ© un an auparavant Ă cette campagne de l'APS. Ils ont Ă©tĂ© interrogĂ©s par entretiens semi-directifs sur l'utilisation et l'apport des outils proposĂ©s, et les Ă©ventuelles modifications de pratiques engendrĂ©es. RĂ©sultats : Dans 83% des cas, la question et le travail comment ça va ? est rĂ©utilisĂ©e de façon frĂ©quente par les mĂ©decins, mais sans l'Ă©chelle numĂ©rique. Elle est utilisĂ©e soit devant des symptĂŽmes Ă©vocateurs, soit de façon systĂ©matique lors de certificats par exemple. L'outil de Karasek est rĂ©utilisĂ© par 77% des mĂ©decins avec des frĂ©quences variables. Son utilisation n'est pas standardisĂ©e. Ses caractĂ©ristiques techniques, pĂ©dagogiques et son rĂŽle de support Ă la relation mĂ©decin-malade en font un outil adaptĂ© Ă une consultation de mĂ©decine gĂ©nĂ©rale. Des modifications de pratiques sont observĂ©es : 67 % des mĂ©decins abordent plus facilement cette souffrance et 57% dĂ©clarent avoir modifiĂ© leur prise en charge. Les mĂ©decins sont cependant demandeurs de formation et d'amĂ©lioration des liens entre professionnels de santĂ©. Conclusion : La simplicitĂ© d'emploi de l'outil de Karasek et l'ouverture qu'il permet lors de la consultation en mĂ©decine gĂ©nĂ©rale en font un outil intĂ©ressant Ă promouvoir. NĂ©anmoins des Ă©tudes comparatives et des Ă©tudes intĂ©grant la perception de l'outil par les patients devraient ĂȘtre envisagĂ©es.NANTES-BU MĂ©decine pharmacie (441092101) / SudocSudocFranceF
Prévention en médecine générale (évolution à deux ans d'une pratique de dépistage du risque de chute chez les personnes de plus de 70 ans)
La chute chez la personne ĂągĂ©e reprĂ©sente un problĂšme de santĂ© publique pour lequel des outils validĂ©s de dĂ©pistage du risque existent. L'association Agir pour la Promotion de la SantĂ© a organisĂ© une campagne de dĂ©pistage du risque de chute chez les personnes de plus de 70 ans proposant trois outils (la question avez-vous chutĂ© dans l annĂ©e Ă©coulĂ©e ? , le get up and go chronomĂ©trĂ© et l appui monopodal). Une enquĂȘte a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e deux ans aprĂšs afin d'Ă©valuer la pĂ©rennitĂ© de l'utilisation de ces outils par les mĂ©decins participants. 87% des mĂ©decins utilisent encore au moins un des outils rĂ©guliĂšrement ou de temps en temps avec des disparitĂ©s importantes selon les outils et le degrĂ© de sensibilisation prĂ©alable. 76% des praticiens estiment que cette campagne a influencĂ© leur pratique. Cependant, si ce type de formation semble avoir un impact, de nombreux freins Ă la pratique de la prĂ©vention en mĂ©decine gĂ©nĂ©rale demeurent.NANTES-BU MĂ©decine pharmacie (441092101) / SudocSudocFranceF
Ăducation thĂ©rapeutique et malade chronique en mĂ©decine gĂ©nĂ©rale (Ă©tat des lieux en France et en Angleterre)
Contexte : Les maladies chroniques constituent, de façon croissante, une part importante de l'activitĂ© de mĂ©decine gĂ©nĂ©rale. L'Ă©ducation thĂ©rapeutique a un rĂŽle clĂ© dans leur prise en charge, qui est un enjeu de santĂ© publique. En Angleterre, cette Ă©ducation thĂ©rapeutique est largement pratiquĂ©e sous forme de chronic disease management, au sein des soins primaires, dans les cabinets de mĂ©decine gĂ©nĂ©rale oĂč sont intĂ©grĂ©es des Ă©quipes paramĂ©dicales (structures nommĂ©es medical centres). En France, l'Ă©ducation thĂ©rapeutique du patient (ETP) est essentiellement mise en place dans le secteur hospitalier ou les rĂ©seaux (comme les rĂ©seaux diabĂšte ou asthme par exemple). En mĂ©decine gĂ©nĂ©rale, l'offre de l'ETP est faible, crĂ©ant un manque d'accessibilitĂ© Ă celle-ci. Question : A partir de l'observation d'un exemple anglais et un exemple français, quelle rĂ©flexion peut-on amener sur les axes de la mise en place pouvant favoriser l'accessibilitĂ© et l'intĂ©gration de l'Ă©ducation thĂ©rapeutique en mĂ©decine gĂ©nĂ©rale ? Quelles perspectives pour la France ? MĂ©thodes : Observation de sĂ©ances de chronic disease management dans un medical centre anglais et d'un programme d'ETP dans une maison de santĂ© pluridisciplinaire française. Analyse de la littĂ©rature : fonctionnement des systĂšmes de santĂ© français et anglais, Ă©tat des lieux de l'Ă©ducation thĂ©rapeutique en mĂ©decine gĂ©nĂ©rale (chronic disease management en Angleterre et ETP en France), et choix de quelques axes de mise en place de cette activitĂ©. Analyse : Les deux systĂšmes de santĂ© connaissent de nombreuses diffĂ©rences dans leur organisation, ce qui implique des axes de mise en place de l'Ă©ducation thĂ©rapeutique concrĂštement distincts de part et d'autre de la Manche. Parmi ces axes, la coopĂ©ration entre professionnels de santĂ©, les modes de rĂ©munĂ©ration de ces professionnels, ainsi que le financement de l'Ă©ducation thĂ©rapeutique sont des facteurs d'intĂ©gration de l'Ă©ducation thĂ©rapeutique aux soins primaires (et donc en mĂ©decine gĂ©nĂ©rale). La formation des professionnels de santĂ© est Ă©galement un facteur essentiel. Les deux systĂšmes ne sont pas vĂ©ritablement comparables mais les diffĂ©rences observĂ©es peuvent ĂȘtre expliquĂ©es. Conclusion : L'ETP en mĂ©decine gĂ©nĂ©rale française mĂ©rite d'ĂȘtre Ă©tendue, pour dĂ©velopper une offre de proximitĂ©. Si on ne peut reproduire directement le systĂšme de santĂ© anglais, il peut ĂȘtre envisagĂ© de s'inspirer de certaines mesures anglaises, en les adaptant Ă notre contexte français. Les rĂ©formes rĂ©centes (en particulier avec la loi HPST de 2009) vont nettement dans le sens d'une rĂ©organisation de notre systĂšme de santĂ© donnant prioritĂ© Ă l'activitĂ© d'ETP, elles doivent ĂȘtre poursuivies et Ă©valuĂ©es.NANTES-BU MĂ©decine pharmacie (441092101) / SudocSudocFranceF
Le recours aux urgences des enfants asthmatiques (identification des déterminants et propositions d'actions)
Contexte : L'asthme, maladie chronique la plus frĂ©quente de l'enfant, est devenu une prioritĂ© de santĂ© publique. Les passages pour asthme dans les services d'urgence sont considĂ©rĂ©s comme en grande partie Ă©vitables. Objectif : Identifier les dĂ©terminants du recours aux urgences des enfants asthmatiques. Proposer des actions Ă mener pour amĂ©liorer leur prise en charge afin de rĂ©duire leur recours aux urgences et d'amĂ©liorer leur qualitĂ© de vie, ainsi que celle de leur famille. MĂ©thode : Entretiens semi-directifs auprĂšs de 12 familles d'enfant asthmatique de Loire-Atlantique et analyse qualitative des discours recueillis. RĂ©sultats : Les dĂ©terminants du recours aux urgences des enfants asthmatiques se manifestaient en deux temps. PremiĂšrement, il s'agissait, au quotidien, des facteurs d'exacerbation, d'instabilitĂ© et de non-contrĂŽle de l'asthme : infection, contact allergĂ©nique, facteurs environnementaux dont le tabagisme passif, exercice physique, facteurs psychologiques, allergie alimentaire, existence d'une rhinite, surpoids, inadaptation du traitement, mauvaise utilisation des dispositifs d'inhalation et inobservance. DeuxiĂšmement, il s'agissait des dĂ©terminants immĂ©diats du recours aux urgences relevant de la gestion de la crise (non-reconnaissance des signes d'asthme, non-distinction des critĂšres de gravitĂ©, attitude attentiste, mĂ©dicaments et posologies inadaptĂ©s, indisponibilitĂ© des mĂ©dicaments, mauvaise technique d'administration des mĂ©dicaments, absence de prĂ©sence parentale et mĂ©connaissance du systĂšme de soins), des trajectoires (avis mĂ©dical prĂ©alable ou initiative personnelle) et des motivations des familles (sentiment d'urgence ou de gravitĂ©, inefficacitĂ© des traitements entrepris, mĂ©decin non disponible, besoin de soins techniques, insatisfaction concernant la prise en charge ambulatoire, besoin de rĂ©assurance psychologique). Conclusion : Les dĂ©terminants du recours aux urgences relĂšvent d'une prise en charge globale de l'enfant et de sa famille. Le mĂ©decin gĂ©nĂ©raliste doit en ĂȘtre le pilier. Les actions proposĂ©es rentrent dans le cadre de l'Ă©ducation thĂ©rapeutique et visent Ă amĂ©liorer cinq Ă©lĂ©ments : le contrĂŽle de la maladie, l'observance, la gestion de l'asthme, le parcours de soins et la coordination des soins.NANTES-BU MĂ©decine pharmacie (441092101) / SudocSudocFranceF
DĂ©pistage du mal-ĂȘtre des adolescents en mĂ©decine gĂ©nĂ©rale (intĂ©rĂȘt d'utilisation du TSTS-CAFARD)
Contexte de l'Ă©tude : La prĂ©vention du suicide des adolescents, problĂšme majeur de santĂ© publique, passe par le dĂ©pistage d'un mal-ĂȘtre. Le TSTS-CAFARD est un outil conçu pour aider le gĂ©nĂ©raliste qui tient un rĂŽle clĂ© dans ce domaine. Une association locale, Agir en Promotion de la SantĂ© , a organisĂ© une campagne sur le dĂ©pistage du mal-ĂȘtre chez les adolescents. Objectifs : Evaluer, six mois aprĂšs cette campagne, l utilisation du TSTS-CAFARD par les gĂ©nĂ©ralistes participants. ConnaĂźtre le ressenti des patients. MĂ©thode : Entretiens semi-directifs avec les gĂ©nĂ©ralistes, entretiens tĂ©lĂ©phoniques avec certains adolescents. RĂ©sultats : 69% des mĂ©decins ont employĂ© le TSTS-CAFARD au moins une fois et 63% pensent l utiliser rĂ©guliĂšrement. Le test permet d ouvrir la consultation et facilite l abord des idĂ©es suicidaires. L accueil du test par les adolescents est positif. Conclusion : Sa simplicitĂ© d emploi pour le mĂ©decin et sa bonne acceptation par le patient en font un outil de choix.NANTES-BU MĂ©decine pharmacie (441092101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
L'installation du jeune médecin généraliste (les choix immobiliers et leurs modes de réalisation)
Lors de l'installation du jeune mĂ©decin gĂ©nĂ©raliste, un certain nombre de dĂ©marches administratives sont indispensables avant de pouvoir se lancer dans la pratique libĂ©rale. Ce choix immobilier demeure crucial. Soit on choisit de ne pas s'associer d'oĂč la possibilitĂ© de louer ou d'acheter son local. Soit on fait le choix d'une association, dans ce cas la crĂ©ation d'une sociĂ©tĂ© civile immobiliĂšre permet l'acquisition du local. Ces diffĂ©rents choix sont motivĂ©s par le type d'acquisition du cabinet mĂ©dical que le mĂ©decin choisit. En effet selon que l'on acquiĂšre son cabinet par la crĂ©ation, la reprise ou l'association la question de l'immobilier n'est alors pas abordĂ©e sous le mĂȘme angle. Ce travail permet de voir les diffĂ©rentes solutions se prĂ©sentant au mĂ©decin suivant ses dĂ©sirs professionnels et privĂ©s. L'accĂšs Ă ce bien immobilier reprĂ©sente un coĂ»t important d'oĂč la nĂ©cessitĂ© d' aborder les diffĂ©rents moyens de financement, l'autofinancement ou le crĂ©dit avec ses diffĂ©rentes facettes.NANTES-BU MĂ©decine pharmacie (441092101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF