5 research outputs found
Primary sequence of the glucanase gene from Oerskovia xanthineolytica. Expression and purification of the enzyme from Escherichia coli.
A 2.7-kilobase fragment of DNA from Oerskovia xanthineolytica containing the gene for a beta-1,3-glucanase has been isolated and its complete nucleotide sequence determined. The sequence was found to contain two large open reading frames. Purification of the mature native enzyme and subsequent amino-terminal sequencing defined the glucanase gene in one reading frame which potentially encodes a protein of 548 amino acids. We have expressed this glucanase gene in Escherichia coli under control of the lacUV5 promoter and found the product to be secreted into the periplasm as a mature enzyme of about the same molecular weight as that of the native protein. The recombinant enzyme was purified to near homogeneity by a single step of high performance liquid chromatography. The ability of the recombinant enzyme to digest beta-glucan substrates and to lyse viable yeast cells was found to be indistinguishable from that of the native protein. Deletion of the cysteine-rich carboxyl-terminal 117 amino acids of the enzyme, which also contain two duplicated segments, abolished the lytic activity but did not significantly affect the glucanase function of the protein. The possible involvement of this domain in interaction with the yeast cell wall is discussed
A multi-country test of brief reappraisal interventions on emotions during the COVID-19 pandemic.
The COVID-19 pandemic has increased negative emotions and decreased positive emotions globally. Left unchecked, these emotional changes might have a wide array of adverse impacts. To reduce negative emotions and increase positive emotions, we tested the effectiveness of reappraisal, an emotion-regulation strategy that modifies how one thinks about a situation. Participants from 87 countries and regions (n = 21,644) were randomly assigned to one of two brief reappraisal interventions (reconstrual or repurposing) or one of two control conditions (active or passive). Results revealed that both reappraisal interventions (vesus both control conditions) consistently reduced negative emotions and increased positive emotions across different measures. Reconstrual and repurposing interventions had similar effects. Importantly, planned exploratory analyses indicated that reappraisal interventions did not reduce intentions to practice preventive health behaviours. The findings demonstrate the viability of creating scalable, low-cost interventions for use around the world
Caractérisation de la famille MT, ADN modérément répétitif récemment identifié chez la souris
La molécule hybride RmI est un produit d'excision de l'ADN de cellules de souris transformées par le mutant ts-P155 du virus du polyome. Cette molécule est constituée d'un génome viral complet et d'une insertion de 1628 pb d'origine cellulaire (Ins). Ins est composé d'ADN modérément répétitif encadré de séquences uniques, et parmi les dix fragments obtenus par clivage de Ins avec MboI, ce sont les fragments MboI-3, 9, 10, 6 et 8 qui renferment l'ADN répétitif. Il a été démontré que le fragment MboI-3 contenait une homologie de séquence avec l'élément B2 de la souris (Sylla et al., 1984b), alors que la séquence répétitive des autres fragments MboI ne pouvait être rattachée à aucune des familles d'ADN répétitif identifiées à ce moment-là chez la souris. Nous avons sélectionné, d'une banque génomique de souris, des recombinants lambda qui présentaient une homologie de séquence avec les fragments MboI-9+10, MboI-6 et MboI-8 de Ins. De ces recombinants, nous avons isolé trois fragments distincts renfermant chacun l'homologie avec Ins et les avons insérés, séparément, dans les vecteurs plasmidiques pUC13 et pAT153. Les recombinants pAT ont servi à former des molécules hétéroduplex qui nous ont permis de déterminer la longueur approximative de la séquence répétitive en question. De ce fait, il a été possible de sous-cloner dans pUC13, des fragments plus courts contenant l'ADN répétitif homologue à celui de Ins, pour en déterminer la séquence nucléotidique. Cette analyse nous a permis de définir la séquence consensus complète d'une famille répétitive nouvellement identifiée chez la souris, la famille MT. Nos résultats démontrent que la famille MT regroupe des "short interspersed repeated elements" présentant les caractéristiques associées aux rétroposons, c'est-à-dire une extrémité 3' riche en résidus A et une courte répétition directe flanquant l'élément répétitif, ce qui suggère un mode de dispersion par rétrotransposition
Caractérisation de la famille MT, ADN modérément répétitif récemment identifié chez la souris
La molécule hybride RmI est un produit d'excision de l'ADN de cellules de souris transformées par le mutant ts-P155 du virus du polyome. Cette molécule est constituée d'un génome viral complet et d'une insertion de 1628 pb d'origine cellulaire (Ins). Ins est composé d'ADN modérément répétitif encadré de séquences uniques, et parmi les dix fragments obtenus par clivage de Ins avec MboI, ce sont les fragments MboI-3, 9, 10, 6 et 8 qui renferment l'ADN répétitif. Il a été démontré que le fragment MboI-3 contenait une homologie de séquence avec l'élément B2 de la souris (Sylla et al., 1984b), alors que la séquence répétitive des autres fragments MboI ne pouvait être rattachée à aucune des familles d'ADN répétitif identifiées à ce moment-là chez la souris. Nous avons sélectionné, d'une banque génomique de souris, des recombinants lambda qui présentaient une homologie de séquence avec les fragments MboI-9+10, MboI-6 et MboI-8 de Ins. De ces recombinants, nous avons isolé trois fragments distincts renfermant chacun l'homologie avec Ins et les avons insérés, séparément, dans les vecteurs plasmidiques pUC13 et pAT153. Les recombinants pAT ont servi à former des molécules hétéroduplex qui nous ont permis de déterminer la longueur approximative de la séquence répétitive en question. De ce fait, il a été possible de sous-cloner dans pUC13, des fragments plus courts contenant l'ADN répétitif homologue à celui de Ins, pour en déterminer la séquence nucléotidique. Cette analyse nous a permis de définir la séquence consensus complète d'une famille répétitive nouvellement identifiée chez la souris, la famille MT. Nos résultats démontrent que la famille MT regroupe des "short interspersed repeated elements" présentant les caractéristiques associées aux rétroposons, c'est-à-dire une extrémité 3' riche en résidus A et une courte répétition directe flanquant l'élément répétitif, ce qui suggère un mode de dispersion par rétrotransposition