63 research outputs found

    Rapport d'activité 2008-2010 : Culture Scientifique et Technique

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    C'est à cet objectif que tente de répondre l'Université de Rennes 1 en organisant des activités regroupées sous le terme générique de " culture scientifique et technique ". Notre université compte de nombreux laboratoires mixtes réunissant à la fois universitaires (enseignants-chercheurs et personnels BIATOSS), chercheurs et ITA des grands organismes de recherche qui ont tous cette mission ou cette passion de diffusion des connaissances et d'éducation à la culture scientifique. Ceux-ci n'hésitent pas à "mettre la main à la pâte" pour faire partager leurs passions, leurs savoirs et leurs doutes. L'université dispose aussi de plusieurs structures muséales et de conservation de collections : - sur le campus de Beaulieu, un musée de géologie, un ensemble de collections scientifiques de zoologie et de botanique, des collections d'instruments scientifiques parfois très anciens pour lesquels un inventaire précis est établi, des collections de botanique dans les serres et un circuit de visites - sur les autres campus : des collections d'Herbiers (collection "des Abbayes" en pharmacie), d'instruments, de livres anciens... - à Penmarc'h (29), un musée regroupe des collections d'archéologie et d'archéosciences. Ces collections s'enrichissent de jour en jour grâce d'une part aux acquisitions et d'autre part à un programme de sauvegarde, conservation et valorisation du matériel contemporain, mené en collaboration avec le Musée des Arts et Métiers pour lequel nous assurons un pilotage régional. Grâce aux nombreuses actions réalisées en direction de tous les publics, les richesses patrimoniales et les laboratoires de Rennes 1 sont accessibles à tous, reconnus au niveau international et constituent un véritable " centre de ressources " pour la Bretagne et le Grand Ouest. L'action de notre université ne se limite cependant pas aux domaines de la conservation du patrimoine scientifique. La multiplicité des échanges entre laboratoires/chercheurs et publics - notamment scolaires - se traduit par un foisonnement d'initiatives : expositions, conférences, visites de laboratoires, intervention dans les classes... Elle s'inscrit aussi dans la dynamique de la politique culturelle de l'établissement dont le Diapason est un emblème. Enfin, c'est une politique générale de notre université qui se traduit à travers la prise en compte de cette dimension dans les programmes et contrats pluri-annuels (Contrat quadriennal, Contrat de Projet État-Région...) et situe ainsi Rennes 1 dans les universités d'excellence au niveau national en matière de culture scientifique et technique. C'est tout un réseau de relations qui s'articule autour de l'université pour faire vivre et dynamiser la culture scientifique : les établissements scolaires, le Rectorat mais aussi les associations de culture scientifique avec lesquelles nous cherchons à renforcer les liens de coopération (Espace des Sciences, Abret, Petits Débrouillards...). Elle bénéficie largement de la forte dynamique régionale et des compétences impulsées par ce réseau mais aussi de l'appui des collectivités locales. Ce rapport d'activité de notre université constitue un bilan d'étape, pour présenter la richesse des diverses interventions. Par sa nature même, la culture scientifique est très décentralisée et le fruit d'une démarche de "passion des sciences". Elle est très foisonnante. Impossible donc de citer dans le détail toutes les actions menées. C'est pourquoi ce rapport met l'accent plutôt sur les grandes opérations et sur les actions originales ou exemplaires. Merci donc aux nombreux personnels de l'université de Rennes 1 qui y ont participé la plupart du temps "bénévolement", le soir ou le week-end. Merci aussi à nos partenaires dont les noms se retrouveront cités à de nombreuses reprises dans ce document. Merci enfin et tout particulièrement à Dominique Bernard qui a été l'animateur inlassable de ces actions et de leur mise en réseau. Nul doute que les années à venir permettront encore d'amplifier ces actions. C'est notre volonté et celle des personnels de notre université de plus en plus impliqués et motivés pour faire partager notre "passion sciences" et notre rôle de diffusion de la culture

    Rapport d'activité 2006-2007 : Culture Scientifique et Technique

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    RapportNotre université compte de nombreux laboratoires mixtes réunissant universitaires, enseignants-chercheurs et chercheurs des grands organismes de recherche dont une des missions est la diffusion des connaissances et l'éducation à la culture scientifique (ces acteurs n'hésitent pas à "mettre la main à la pâte" pour faire partager leurs passions, leurs savoirs et leurs doutes). L'université de Rennes 1 dispose de plusieurs structures muséales et de conservation de collections : - sur le campus de Beaulieu, un musée de géologie, un ensemble de collections scientifiques de zoologie et de botanique, des collections d'instruments scientifiques parfois très anciens dont nous faisons un inventaire précis, des collections de botanique dans les serres ; - sur les autres campus : des collections d'herbiers (collection "des Abbayes" en pharmacie), d'instruments, de livres anciens... ; - à Penmarc'h (29), un musée regroupe des collections d'archéologie et d'archéosciences. Ces collections s'enrichissent de jour en jour grâce aux acquisitions et à notre programme de sauvegarde, conservation et valorisation du matériel contemporain, mené en collaboration avec le Musée des Arts et Métiers et pour lequel nous sommes pilote régional. Grâce aux nombreuses actions en direction des publics, ses richesses patrimoniales et ses laboratoires sont accessibles à tous. Notre action ne se limite cependant pas aux domaines du patrimoine. La multiplicité des échanges entre laboratoires/chercheurs et publics notamment scolaires se traduit par un foisonnement d'initiatives : expositions, conférences, visites de laboratoires, intervention dans les classes... Elle s'inscrit aussi dans la dynamique politique culturelle de l'établissement piloté par le service culturel avec son bel équipement, Le Diapason et dans la politique générale de notre université à travers les programmes et contrats pluri-annuels (Contrat quadriennal, Contrat de Projet Etat-Région...). Première actrice de la culture scientifique, l'université a pour partenaires les établissements scolaires, le rectorat et les associations de culture scientifique avec lesquels elle cherche à renforcer les liens de coopération (Espace des Sciences, Abret, Petits débrouillards...). Avec aussi les collectivités locales et régionales et les grands organismes de recherche (CNRS, INRA, INSERM, INRIA...), nous avons la volonté de développer encore plus échanges et projets... Il nous est apparu nécessaire de réaliser un document, bilan d'étape, pour présenter la richesse des diverses interventions. Par sa nature même, la culture scientifique est très décentralisée et le fruit d'une démarche de "passion des sciences". Elle est donc très foisonnante. Impossible de citer dans le détail toutes les actions menées, cela risquerait de devenir ennuyeux ! Nous avons donc pris le parti de présenter plutôt les grandes opérations et les actions originales ou exemplaires

    Expression qualitative de politiques d'adaptation pour Fractal

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    National audienceLes plates-formes d'exécution récentes telles que Fractal ou Open- COM offrent de nombreuses facilités pour assurer la prise en compte de propriétés extra-fonctionnelles (introspection, sondes, chargement dynamique, etc). Cependant, l'intégration de politiques d'adaptation reste délicate car elle nécessite de corréler la configuration du système avec l'évolution de son environnement. Le travail présenté dans cet article propose une description qualitative des évolutions de l'environnement et une interprétation possible basée sur de la logique floue. L'article présente également une extension de la plate-formeFractal implémentant les mécanismes nécessaires à l'exécution de ces politiques d'adaptation de haut niveau. L'approche est illustrée à l'aide d'un serveur HTTP qui modifie sa configuration (architecturale et locale) en fonction de plusieurs paramètres extra-fonctionnels tels que la charge du serveur et la dispersion des requêtes

    Antibody Responses to NY-ESO-1 in Primary Breast Cancer Identify a Subtype Target for Immunotherapy

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    The highly immunogenic human tumor antigen NY-ESO-1 (ESO) is a target of choice for anti-cancer immune therapy. In this study, we assessed spontaneous antibody (Ab) responses to ESO in a large cohort of patients with primary breast cancer (BC) and addressed the correlation between the presence of anti-ESO Ab, the expression of ESO in the tumors and their characteristics. We found detectable Ab responses to ESO in 1% of the patients. Tumors from patients with circulating Ab to ESO exhibited common characteristics, being mainly hormone receptor (HR)− invasive ductal carcinomas of high grade, including both HER2− and HER2+ tumors. In line with these results, we detected ESO expression in 20% of primary HR− BC, including both ESO Ab+ and Ab− patients, but not in HR+ BC. Interestingly, whereas expression levels in ESO+ BC were not significantly different between ESO Ab+ and Ab− patients, the former had, in average, significantly higher numbers of tumor-infiltrated lymph nodes, indicating that lymph node invasion may be required for the development of spontaneous anti-tumor immune responses. Thus, the presence of ESO Ab identifies a tumor subtype of HR− (HER2− or HER2+) primary BC with frequent ESO expression and, together with the assessment of antigen expression in the tumor, may be instrumental for the selection of patients for whom ESO-based immunotherapy may complement standard therapy

    Search for dark matter produced in association with bottom or top quarks in √s = 13 TeV pp collisions with the ATLAS detector

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    A search for weakly interacting massive particle dark matter produced in association with bottom or top quarks is presented. Final states containing third-generation quarks and miss- ing transverse momentum are considered. The analysis uses 36.1 fb−1 of proton–proton collision data recorded by the ATLAS experiment at √s = 13 TeV in 2015 and 2016. No significant excess of events above the estimated backgrounds is observed. The results are in- terpreted in the framework of simplified models of spin-0 dark-matter mediators. For colour- neutral spin-0 mediators produced in association with top quarks and decaying into a pair of dark-matter particles, mediator masses below 50 GeV are excluded assuming a dark-matter candidate mass of 1 GeV and unitary couplings. For scalar and pseudoscalar mediators produced in association with bottom quarks, the search sets limits on the production cross- section of 300 times the predicted rate for mediators with masses between 10 and 50 GeV and assuming a dark-matter mass of 1 GeV and unitary coupling. Constraints on colour- charged scalar simplified models are also presented. Assuming a dark-matter particle mass of 35 GeV, mediator particles with mass below 1.1 TeV are excluded for couplings yielding a dark-matter relic density consistent with measurements

    Search for single production of vector-like quarks decaying into Wb in pp collisions at s=8\sqrt{s} = 8 TeV with the ATLAS detector

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    Measurements of top-quark pair differential cross-sections in the eμe\mu channel in pppp collisions at s=13\sqrt{s} = 13 TeV using the ATLAS detector

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    Charged-particle distributions at low transverse momentum in s=13\sqrt{s} = 13 TeV pppp interactions measured with the ATLAS detector at the LHC

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    Measurement of the charge asymmetry in top-quark pair production in the lepton-plus-jets final state in pp collision data at s=8TeV\sqrt{s}=8\,\mathrm TeV{} with the ATLAS detector

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    Measurement of the W boson polarisation in ttˉt\bar{t} events from pp collisions at s\sqrt{s} = 8 TeV in the lepton + jets channel with ATLAS

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