58 research outputs found

    Endothelial dysfunction and vascular disease

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    The endothelium can evoke relaxations (dilatations) of the underlying vascular smooth muscle, by releasing vasodilator substances. The best characterized endothelium-derived relaxing factor (EDRF) is nitric oxide (NO). The endothelial cells also evoke hyperpolarization of the cell membrane of vascular smooth muscle (endothelium-dependent hyperpolarizations, EDHF-mediated responses). Endothelium-dependent relaxations involve both pertussis toxin-sensitive G i (e.g. responses to serotonin and thrombin) and pertussis toxin-insensitive G q (e.g. adenosine diphosphate and bradykinin) coupling proteins. The release of NO by the endothelial cell can be up-regulated (e.g. by oestrogens, exercise and dietary factors) and down-regulated (e.g. oxidative stress, smoking and oxidized low-density lipoproteins). It is reduced in the course of vascular disease (e.g. diabetes and hypertension). Arteries covered with regenerated endothelium (e.g. following angioplasty) selectively loose the pertussis toxin-sensitive pathway for NO release which favours vasospasm, thrombosis, penetration of macrophages, cellular growth and the inflammatory reaction leading to atherosclerosis. In addition to the release of NO (and causing endothelium-dependent hyperpolarizations), endothelial cells also can evoke contraction (constriction) of the underlying vascular smooth muscle cells by releasing endothelium-derived contracting factor (EDCF). Most endothelium-dependent acute increases in contractile force are due to the formation of vasoconstrictor prostanoids (endoperoxides and prostacyclin) which activate TP receptors of the vascular smooth muscle cells. EDCF-mediated responses are exacerbated when the production of NO is impaired (e.g. by oxidative stress, ageing, spontaneous hypertension and diabetes). They contribute to the blunting of endothelium-dependent vasodilatations in aged subjects and essential hypertensive patients. © 2008 Scandinavian Physiological Society.postprin

    An den Grenzen der Kontrolle

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    Zunächst unterstreichen die Autoren die motivationsförderliche Funktion der Selbstwirksamkeit im Bildungsbereich und weisen auf mögliche negative Folgen von subjektiver Unkontrollierbarkeit hin (z. B. Resignation, Hilflosigkeit, Depression). Ihre kritische Perspektive gegenüber Kontrollkonzepten, wie z. B. Selbstwirksamkeit, gründet auf der Tatsache, dass es in wesentlichen Bereichen des Lebens immer wieder und zwangsläufig Begrenzungen für subjektive und auch objektive Kontrollierbarkeit gibt. Für den Umgang mit persönlichen Kontrollgrenzen sehen die Autoren zwei Wege: indirekte Kontrolle (z. B. Inanspruchnahme von Dienstleistungen) und sekundäre Kontrolle (z. B. Veränderung der Ansprüche derart, dass sie dann auch befriedigt werden können). Weitere Probleme des Konzeptes persönlicher Kontrolle sehen sie in Unter- und Überschätzungen eigener Kompetenzen und der Tatsache, dass Kontrolle auch negative Konsequenzen haben kann ... . Schließlich halten sie die Konzeptualisierung des Kontrollkonstrukts für nicht ausgereift, da wichtige Bereiche bis heute unerforscht sind.... Abschließend reflektieren die Autoren das mit Kontrollkonzepten verbundene Menschenbild ... . (DIPF/Orig.

    Befragung von Kindern und Jugendlichen über Alltag und Schule, erste Welle, Köniz, Solothurn, Sion und Sierre (Schweiz), Bergen (Norwegen) - 1994

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    L'étude présentée ici - réalisée dans le cadre du Programme national de recherche 33 "Efficacité de nos systèmes de formation" - avait pour objectif de récolter des informations sur la charge effective de travail des élèves des degrés 4 à 9, sur les effets de cette charge sur les perceptions et le "fonctionnement" des jeunes, sur les interactions entre cette charge de travail et leurs ressources personnelles et sociales, ce en prenant aussi en considération les phases critiques du cursus de vie (par exemple, la puberté ou la sélection pour des écoles à exigences élargies, etc.). L'échantillon, sur lequel cette étude longitudinale a été effectuée (passation au printemps et en automne 1994 ainsi qu'au printemps et en automne 1995), comprenait plus de 3500 élèves, 1600 environ de Suisse alémanique, 600 de Suisse romande et 1300 de Norvège. Le questionnaire utilisé existe en langues allemande, anglaise, française et norvégienne. Des informations supplémentaires ont été recueillies auprès des enseignant-e-s de ces élèves. D'une manière générale, les résultats montrent que les jeunes Suisses (et Norvégiens) n'abhorrent pas trop l'école; les filles y vont plus volontiers que les garçons, les élèves plus jeunes plus volontiers que ceux des degrés supérieurs, les Alémaniques plus volontiers que les Romands (les Norvégiens atteignent des valeurs semblables aux élèves romands). Lors d'une journée scolaire normale, le 25% du temps total de 24 heures est consacré à l'école, 7% à des travaux scolaires à domicile et 35% au sommeil. Les deux tiers du temps étant donc déjà utilisés, il reste donc 8 heures pour les loisirs. Le temps dit libre des jeunes est bien rempli par de nombreuses activités, et ceci à un degré plus élevé que les adultes ne semblent le croire. Ces activités ne sont cependant pas perçues comme une charge additionnelle; les enfants actifs dans le domaine sportif ou musical en particulier déclarent se sentir mieux que ceux qui, ne s'adonnant que peu ou pas à des activités de loisirs, ont davantage de temps libre à leur disposition. Le 7% de temps consacré aux travaux à domicile représente bien sûr une valeur moyenne; celle-ci résulte de valeurs sujettes à de fortes variations suivant les individus. S'il existe des élèves qui ne doivent guère travailler pour l'école en dehors des heures passées à l'école, d'autres consacrent quotidiennement jusqu'à 4 heures à leurs devoirs scolaires. Or, ce sont surtout les élèves faibles qui sont concernés par les travaux à domicile; en d'autres mots, les élèves dont la motivation scolaire est déjà relativement basse, risquent d'être encore plus démotivés par du travail additionnel mal-aimé. Ainsi, la première des recommandations faites en guise de conclusion au rapport concerne l'organisation des travaux à domicile; d'autres ont trait aux l'ormes d'évaluation du travail des élèves ou à la capacité des élèves de venir à bout de situations problématiques et à d'éventuels moyens de l'augmenter. La dernière s'adresse aux enseignants et est basée sur l'opinion d'un nombre considérable d'élèves selon laquelle les enseignant-e-s ne s'intéresseraient pas vraiment aux problèmes personnels de leurs élèves; les auteurs proposent de sensibiliser les enseignants, au cours de leur formation initiale ou continue, à la détection de symptômes de stress chez leurs élèves, mais également de mieux informer les enseignant-e-s sur les offres de soutien disponibles dans de pareils cas (services médico-pédagogiques, centres de consultation pour familles, etc.).Welchen Belastungen sind Schülerinnen und Schüler der Schuljahre 4-9 ausgesetzt? Welche Bezüge zwischen persönlichkeitspsychologischen Faktoren und institutionellen Rahmenbedingungen der Schulwirklichkeit sind feststellbar? Kinder und Jugendliche sind heute möglicherweise mehr denn je zwischen Schule und Freizeit hin- und hergerissen. Die Ansprüche der Schule an die Schülerinnen und Schüler sind vielfältig und komplex, und das kaum zu überschauende Freizeitangebot steht oftmals in Konkurrenz zur Schule. Dies kann dazu führen, dass auch die Freizeit der Schülerinnen und Schüler durchorganisiert und verplant ist. Um die Zeit der Kinder und Jugendlichen werben Eltern, Schule, Freunde, Sportclubs, Fernsehen, Musiklehrer, Tanzlehrer, Discos, die Freizeit-Konsumindustrie, überhaupt die ganze Gesellschaft. Die Vorstellung, dass der Schüleralltag aus Lernen in der Schule und Erholung ausserhalb der Schule besteht, ist heute zu einfach. Die Untersuchung prüft, wer zusätzlich zur Schule Ansprüche an die Schülerinnen und Schüler stellt und wieviel Zeit respektive Energie die Schülerinnen und Schüler wofür aufwenden. Eine zentrale Frage ist, inwieweit ein hoher Anspruch an die Zeit von Kindern und Jugendlichen auch zu Stresssymptomen und zu einer Beeinträchtigung des physischen und psychischen Funktionierens führen kann.What are the burdens faced by pupils in years 4-9? Which relationships between personality-psychological factors and institutional context of school reality are identifiable? Today, children and adolescents may be torn between school and leisure time more than ever before. The demands of school on the students are varied and complex, and the broad offer of extra-scholar activities is often in competition with school. This can lead to the student's free time being overly organized and planned. Parents, schools, friends, sports clubs, television, music teachers, dance teachers, discos, the leisure consumer industry, and even the whole of society are disputing the children and adolescents' free time. The idea that school life consists of learning at school and recreation outside of school is too simple today. The study examines who makes demands to the students in addition to the school and how much time and energy the students spend on it. A central question is to what extent a high demand on the time of children and adolescents can also lead to stress symptoms and to an impairment of physical and mental functioning

    Panel-Befragung von Kindern und Jugendlichen über Alltag und Schule, Bergen, Norwegen - 1994 - 1995

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    L'étude présentée ici - réalisée dans le cadre du Programme national de recherche 33 "Efficacité de nos systèmes de formation" - avait pour objectif de récolter des informations sur la charge effective de travail des élèves des degrés 4 à 9, sur les effets de cette charge sur les perceptions et le "fonctionnement" des jeunes, sur les interactions entre cette charge de travail et leurs ressources personnelles et sociales, ce en prenant aussi en considération les phases critiques du cursus de vie (par exemple, la puberté ou la sélection pour des écoles à exigences élargies, etc.). L'échantillon, sur lequel cette étude longitudinale a été effectuée (passation au printemps et en automne 1994 ainsi qu'au printemps et en automne 1995), comprenait plus de 3500 élèves, 1600 environ de Suisse alémanique, 600 de Suisse romande et 1300 de Norvège. Le questionnaire utilisé existe en langues allemande, anglaise, française et norvégienne. Des informations supplémentaires ont été recueillies auprès des enseignant-e-s de ces élèves. D'une manière générale, les résultats montrent que les jeunes Suisses (et Norvégiens) n'abhorrent pas trop l'école; les filles y vont plus volontiers que les garçons, les élèves plus jeunes plus volontiers que ceux des degrés supérieurs, les Alémaniques plus volontiers que les Romands (les Norvégiens atteignent des valeurs semblables aux élèves romands). Lors d'une journée scolaire normale, le 25% du temps total de 24 heures est consacré à l'école, 7% à des travaux scolaires à domicile et 35% au sommeil. Les deux tiers du temps étant donc déjà utilisés, il reste donc 8 heures pour les loisirs. Le temps dit libre des jeunes est bien rempli par de nombreuses activités, et ceci à un degré plus élevé que les adultes ne semblent le croire. Ces activités ne sont cependant pas perçues comme une charge additionnelle; les enfants actifs dans le domaine sportif ou musical en particulier déclarent se sentir mieux que ceux qui, ne s'adonnant que peu ou pas à des activités de loisirs, ont davantage de temps libre à leur disposition. Le 7% de temps consacré aux travaux à domicile représente bien sûr une valeur moyenne; celle-ci résulte de valeurs sujettes à de fortes variations suivant les individus. S'il existe des élèves qui ne doivent guère travailler pour l'école en dehors des heures passées à l'école, d'autres consacrent quotidiennement jusqu'à 4 heures à leurs devoirs scolaires. Or, ce sont surtout les élèves faibles qui sont concernés par les travaux à domicile; en d'autres mots, les élèves dont la motivation scolaire est déjà relativement basse, risquent d'être encore plus démotivés par du travail additionnel mal-aimé. Ainsi, la première des recommandations faites en guise de conclusion au rapport concerne l'organisation des travaux à domicile; d'autres ont trait aux l'ormes d'évaluation du travail des élèves ou à la capacité des élèves de venir à bout de situations problématiques et à d'éventuels moyens de l'augmenter. La dernière s'adresse aux enseignants et est basée sur l'opinion d'un nombre considérable d'élèves selon laquelle les enseignant-e-s ne s'intéresseraient pas vraiment aux problèmes personnels de leurs élèves; les auteurs proposent de sensibiliser les enseignants, au cours de leur formation initiale ou continue, à la détection de symptômes de stress chez leurs élèves, mais également de mieux informer les enseignant-e-s sur les offres de soutien disponibles dans de pareils cas (services médico-pédagogiques, centres de consultation pour familles, etc.).Welchen Belastungen sind Schülerinnen und Schüler der Schuljahre 4-9 ausgesetzt? Welche Bezüge zwischen persönlichkeitspsychologischen Faktoren und institutionellen Rahmenbedingungen der Schulwirklichkeit sind feststellbar? Kinder und Jugendliche sind heute möglicherweise mehr denn je zwischen Schule und Freizeit hin- und hergerissen. Die Ansprüche der Schule an die Schülerinnen und Schüler sind vielfältig und komplex, und das kaum zu überschauende Freizeitangebot steht oftmals in Konkurrenz zur Schule. Dies kann dazu führen, dass auch die Freizeit der Schülerinnen und Schüler durchorganisiert und verplant ist. Um die Zeit der Kinder und Jugendlichen werben Eltern, Schule, Freunde, Sportclubs, Fernsehen, Musiklehrer, Tanzlehrer, Discos, die Freizeit-Konsumindustrie, überhaupt die ganze Gesellschaft. Die Vorstellung, dass der Schüleralltag aus Lernen in der Schule und Erholung ausserhalb der Schule besteht, ist heute zu einfach. Die Untersuchung prüft, wer zusätzlich zur Schule Ansprüche an die Schülerinnen und Schüler stellt und wieviel Zeit respektive Energie die Schülerinnen und Schüler wofür aufwenden. Eine zentrale Frage ist, inwieweit ein hoher Anspruch an die Zeit von Kindern und Jugendlichen auch zu Stresssymptomen und zu einer Beeinträchtigung des physischen und psychischen Funktionierens führen kann.What are the burdens faced by pupils in years 4-9? Which relationships between personality-psychological factors and institutional context of school reality are identifiable? Today, children and adolescents may be torn between school and leisure time more than ever before. The demands of school on the students are varied and complex, and the broad offer of extra-scholar activities is often in competition with school. This can lead to the student's free time being overly organized and planned. Parents, schools, friends, sports clubs, television, music teachers, dance teachers, discos, the leisure consumer industry, and even the whole of society are disputing the children and adolescents' free time. The idea that school life consists of learning at school and recreation outside of school is too simple today. The study examines who makes demands to the students in addition to the school and how much time and energy the students spend on it. A central question is to what extent a high demand on the time of children and adolescents can also lead to stress symptoms and to an impairment of physical and mental functioning

    Panel-Befragung von Kindern und Jugendlichen über Alltag und Schule, Köniz und Solothurn - 1994 - 1995

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    L'étude présentée ici - réalisée dans le cadre du Programme national de recherche 33 "Efficacité de nos systèmes de formation" - avait pour objectif de récolter des informations sur la charge effective de travail des élèves des degrés 4 à 9, sur les effets de cette charge sur les perceptions et le "fonctionnement" des jeunes, sur les interactions entre cette charge de travail et leurs ressources personnelles et sociales, ce en prenant aussi en considération les phases critiques du cursus de vie (par exemple, la puberté ou la sélection pour des écoles à exigences élargies, etc.). L'échantillon, sur lequel cette étude longitudinale a été effectuée (passation au printemps et en automne 1994 ainsi qu'au printemps et en automne 1995), comprenait plus de 3500 élèves, 1600 environ de Suisse alémanique, 600 de Suisse romande et 1300 de Norvège. Le questionnaire utilisé existe en langues allemande, anglaise, française et norvégienne. Des informations supplémentaires ont été recueillies auprès des enseignant-e-s de ces élèves. D'une manière générale, les résultats montrent que les jeunes Suisses (et Norvégiens) n'abhorrent pas trop l'école; les filles y vont plus volontiers que les garçons, les élèves plus jeunes plus volontiers que ceux des degrés supérieurs, les Alémaniques plus volontiers que les Romands (les Norvégiens atteignent des valeurs semblables aux élèves romands). Lors d'une journée scolaire normale, le 25% du temps total de 24 heures est consacré à l'école, 7% à des travaux scolaires à domicile et 35% au sommeil. Les deux tiers du temps étant donc déjà utilisés, il reste donc 8 heures pour les loisirs. Le temps dit libre des jeunes est bien rempli par de nombreuses activités, et ceci à un degré plus élevé que les adultes ne semblent le croire. Ces activités ne sont cependant pas perçues comme une charge additionnelle; les enfants actifs dans le domaine sportif ou musical en particulier déclarent se sentir mieux que ceux qui, ne s'adonnant que peu ou pas à des activités de loisirs, ont davantage de temps libre à leur disposition. Le 7% de temps consacré aux travaux à domicile représente bien sûr une valeur moyenne; celle-ci résulte de valeurs sujettes à de fortes variations suivant les individus. S'il existe des élèves qui ne doivent guère travailler pour l'école en dehors des heures passées à l'école, d'autres consacrent quotidiennement jusqu'à 4 heures à leurs devoirs scolaires. Or, ce sont surtout les élèves faibles qui sont concernés par les travaux à domicile; en d'autres mots, les élèves dont la motivation scolaire est déjà relativement basse, risquent d'être encore plus démotivés par du travail additionnel mal-aimé. Ainsi, la première des recommandations faites en guise de conclusion au rapport concerne l'organisation des travaux à domicile; d'autres ont trait aux l'ormes d'évaluation du travail des élèves ou à la capacité des élèves de venir à bout de situations problématiques et à d'éventuels moyens de l'augmenter. La dernière s'adresse aux enseignants et est basée sur l'opinion d'un nombre considérable d'élèves selon laquelle les enseignant-e-s ne s'intéresseraient pas vraiment aux problèmes personnels de leurs élèves; les auteurs proposent de sensibiliser les enseignants, au cours de leur formation initiale ou continue, à la détection de symptômes de stress chez leurs élèves, mais également de mieux informer les enseignant-e-s sur les offres de soutien disponibles dans de pareils cas (services médico-pédagogiques, centres de consultation pour familles, etc.).Welchen Belastungen sind Schülerinnen und Schüler der Schuljahre 4-9 ausgesetzt? Welche Bezüge zwischen persönlichkeitspsychologischen Faktoren und institutionellen Rahmenbedingungen der Schulwirklichkeit sind feststellbar? Kinder und Jugendliche sind heute möglicherweise mehr denn je zwischen Schule und Freizeit hin- und hergerissen. Die Ansprüche der Schule an die Schülerinnen und Schüler sind vielfältig und komplex, und das kaum zu überschauende Freizeitangebot steht oftmals in Konkurrenz zur Schule. Dies kann dazu führen, dass auch die Freizeit der Schülerinnen und Schüler durchorganisiert und verplant ist. Um die Zeit der Kinder und Jugendlichen werben Eltern, Schule, Freunde, Sportclubs, Fernsehen, Musiklehrer, Tanzlehrer, Discos, die Freizeit-Konsumindustrie, überhaupt die ganze Gesellschaft. Die Vorstellung, dass der Schüleralltag aus Lernen in der Schule und Erholung ausserhalb der Schule besteht, ist heute zu einfach. Die Untersuchung prüft, wer zusätzlich zur Schule Ansprüche an die Schülerinnen und Schüler stellt und wieviel Zeit respektive Energie die Schülerinnen und Schüler wofür aufwenden. Eine zentrale Frage ist, inwieweit ein hoher Anspruch an die Zeit von Kindern und Jugendlichen auch zu Stresssymptomen und zu einer Beeinträchtigung des physischen und psychischen Funktionierens führen kann.What are the burdens faced by pupils in years 4-9? Which relationships between personality-psychological factors and institutional context of school reality are identifiable? Today, children and adolescents may be torn between school and leisure time more than ever before. The demands of school on the students are varied and complex, and the broad offer of extra-scholar activities is often in competition with school. This can lead to the student's free time being overly organized and planned. Parents, schools, friends, sports clubs, television, music teachers, dance teachers, discos, the leisure consumer industry, and even the whole of society are disputing the children and adolescents' free time. The idea that school life consists of learning at school and recreation outside of school is too simple today. The study examines who makes demands to the students in addition to the school and how much time and energy the students spend on it. A central question is to what extent a high demand on the time of children and adolescents can also lead to stress symptoms and to an impairment of physical and mental functioning

    Macrosocial context and adoloescents' perceived control

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    Adolescents in school

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