Fundamental Phenomena and Applications of Swift Heavy Ion Irradiations

Peer reviewe

Contribution à la mise en oeuvre d'une méthode d'analyse des protéines sériques par électrophorèse en gel d'agarose à l'ENVA

L'électrophorèse des protéines sériques est un examen complémentaire intéressant pour explorer les dysprotéinémies. Elle permet de diagnostiquer des gammapathies ou de suivre des processus inflammatoires. Notre travail avait pour but de mettre en place un protocole d'analyse des protéines sériques par électrophorèse sur gel d'agarose à l'ENVA et de définir des valeurs usuelles. Les espèces concernées sont les principales espèces (canine, féline, équine, bovine et ovine) présentant un intérêt vétérinaire. Un autre objectif était de paramétrer le logiciel d'intégration des gels et de proposer une feuille de résultat destinée au clinicien. Les résultats obtenus avec le protocole proposé sont en conformité avec les données de la littérature tant au niveau des tracés électrophorétiques obtenus qu'au niveau des valeurs usuelles calculées. Cependant la petite taille des échantillons impose de compléter ce travail avec de nouveaux échantillons afin de confirmer et préciser les valeurs usuelles obtenues.MAISONS-ALFORT-Ecole Vétérin (940462302) / SudocSudocFranceF

Encapsulation Effects on Ge‐Rich GeSbTe Phase‐Change Materials at High Temperature

published by Wiley-VCH GmbHPhys. Status Solidi RRL2024, 2300448https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.1002/pssr.202300448International audienceGe‐rich GeSbTe chalcogenide alloys have gained significant attention in the field of phase‐change materials due to their remarkable thermal stability and thus their suitability for integration in nonvolatile memories targeting embedded automotive applications. Herein, the effects of different encapsulating materials on the evolution and on the crystallization kinetic of N‐doped Ge‐rich GeSbTe films are focused on. These films are annealed with temperatures compatible with the back‐end‐of‐line of the complementary metal‐oxide‐semiconductor (CMOS) fabrication. First, it shows how the encapsulation layer thickness should be tuned in order to protect the layer from oxidation and at the same time to avoid delamination phenomena. TaN, C, TiN, SiC, and SiN used as encapsulating layers are compared. The segregation and crystallization of Ge‐rich GeSbTe alloys appear more homogeneous in the case of C, TiN, and SiC. On the contrary, the effects of an interfacial heterogeneous nucleation in the case of TaN and SiN are observed. It results in a different final morphology of the chalcogenide layer after annealing depending on the encapsulation, with different grain sizes and kinetic of phase separation

L'âge du Bronze en Normandie : les premiers métallurgistes (2300 à 800 avant notre ère)

National audienceL'âge du Bronze, entre 2300 et 800 avant notre ère, est une période charnière qui nous permet de rentrer de plain-pied dans l'histoire. À cette époque, des bateaux chargés de marchandises voguent sur la Manche, participant à une florissante économie transmanche avec l'Angleterre. Le territoire national, et plus particulièrement la Normandie, est un espace largement cultivé, traversé de chemins, découpé en parcelles et utilisé par de nombreuses fermes n'ayant rien à envier aux constructions qui occupaient encore nos campagnes avant-guerre. Les fouilles de ces dernières années, en particulier celles issues de l'archéologie préventive, réalisées au préalable de l'implantation d'une route, d'une carrière ou d'un lotissement, offrent une vision renouvelée de l'âge du Bronze normand

L'âge du Bronze en Normandie : les premiers métallurgistes (2300 à 800 avant notre ère)

National audienceL'âge du Bronze, entre 2300 et 800 avant notre ère, est une période charnière qui nous permet de rentrer de plain-pied dans l'histoire. À cette époque, des bateaux chargés de marchandises voguent sur la Manche, participant à une florissante économie transmanche avec l'Angleterre. Le territoire national, et plus particulièrement la Normandie, est un espace largement cultivé, traversé de chemins, découpé en parcelles et utilisé par de nombreuses fermes n'ayant rien à envier aux constructions qui occupaient encore nos campagnes avant-guerre. Les fouilles de ces dernières années, en particulier celles issues de l'archéologie préventive, réalisées au préalable de l'implantation d'une route, d'une carrière ou d'un lotissement, offrent une vision renouvelée de l'âge du Bronze normand

High Risk of Anal and Rectal Cancer in Patients With Anal and/or Perianal Crohn’s Disease

International audienceBackground & AimsLittle is known about the magnitude of the risk of anal and rectal cancer in patients with anal and/or perineal Crohn’s disease. We aimed to assess the risk of anal and rectal cancer in patients with Crohn’s perianal disease followed up in the Cancers Et Surrisque Associé aux Maladies Inflammatoires Intestinales En France (CESAME) cohort.MethodsWe collected data from 19,486 patients with inflammatory bowel disease (IBD) enrolled in the observational CESAME study in France, from May 2004 through June 2005; 14.9% of participants had past or current anal and/or perianal Crohn’s disease. Subjects were followed up for a median time of 35 months (interquartile range, 29–40 mo). To identify risk factors for anal cancer in the total CESAME population, we performed a case-control study in which participants were matched for age and sex.ResultsAmong the total IBD population, 8 patients developed anal cancer and 14 patients developed rectal cancer. In the subgroup of 2911 patients with past or current anal and/or perianal Crohn’s lesions at cohort entry, 2 developed anal squamous-cell carcinoma, 3 developed perianal fistula–related adenocarcinoma, and 6 developed rectal cancer. The corresponding incidence rates were 0.26 per 1000 patient-years for anal squamous-cell carcinoma, 0.38 per 1000 patient-years for perianal fistula–related adenocarcinoma, and 0.77 per 1000 patient-years for rectal cancer. Among the 16,575 patients with ulcerative colitis or Crohn’s disease without anal or perianal lesions, the incidence rate of anal cancer was 0.08 per 1000 patient-years and of rectal cancer was 0.21 per 1000 patient-years. Among factors tested by univariate conditional regression (IBD subtype, disease duration, exposure to immune-suppressive therapy, presence of past or current anal and/or perianal lesions), the presence of past or current anal and/or perianal lesions at cohort entry was the only factor significantly associated with development of anal cancer (odds ratio, 11.2; 95% CI, 1.18-551.51; P = .03).ConclusionsIn an analysis of data from the CESAME cohort in France, patients with anal and/or perianal Crohn’s disease have a high risk of anal cancer, including perianal fistula–related cancer, and a high risk of rectal cancer