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    "Aber vielleicht wird erst der wahrhaft Leidende ganz frei." Freya Hobohm - Werner Krauss: Eine unbekannte Freundschaft. Unveröffentlichte Briefquellen unter Berücksichtigung ihrer literaturgeschichtlichen Implikationen

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    Literaturwissenschaft, Exil und Widerstand dargestellt am Beispiel von Erich Auerbach, Walter Benjamin und Werner Krauss

    Traducción de hápax legómena griegos y neologismos latinos en la traducción latina interlineal del Libro de Job de la Biblia Políglota Complutense

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    The Complutensian Polyglot Bible (1514-1517), sponsored by the Cardinal Francisco Jiménez de Cisneros (1436-1517), reckons on interline translations for the Septuaginta column. Conceived as a Bible for research, the young man magister artium Juan de Vergara (1492-1557) accomplished the Latin interline interpretatio of the Book of Job, which has not been republished since the 16th Century and of which we make known in this article the translation procedures used with the Greek “hápax legómena” and the Latin neologisms minted by Vergara are released, as singular expressions of fidelity to the interline literalism and the interpretative realization of the Bible text.La Biblia Políglota Complutense (1514-1517), auspiciada por el Cardenal Francisco Jiménez de Cisneros (1436-1517), cuenta con traducciones interlineales para la columna de Septuaginta. Concebida como Biblia de estudio, el joven magister artium Juan de Vergara (1492-1557) realizó la interpretatio latina interlineal del libro de Job, que no se ha vuelto a publicar desde el s. XVI y de la que damos a conocer en este artículo los procedimientos de traducción usados con los hápax legómena griegos y los neologismos latinos acuñados por Juan de Vergara, como expresiones singulares de fidelidad al literalismo interlineal y de concreción interpretativa del texto bíblico

    Contrasting styles of (U)HP rock exhumation along the Cenozoic Adria-Europe plate boundary (Western Alps, Calabria, Corsica)

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    Since the first discovery of ultrahigh pressure (UHP) rocks 30 years ago in the Western Alps, the mechanisms for exhumation of (U)HP terranes worldwide are still debated. In the western Mediterranean, the presently accepted model of synconvergent exhumation (e.g., the channel-flow model) is in conflict with parts of the geologic record. We synthesize regional geologic data and present alternative exhumation mechanisms that consider the role of divergence within subduction zones. These mechanisms, i.e., (i) the motion of the upper plate away from the trench and (ii) the rollback of the lower plate, are discussed in detail with particular reference to the Cenozoic Adria-Europe plate boundary, and along three different transects (Western Alps, Calabria-Sardinia, and Corsica-Northern Apennines). In the Western Alps, (U)HP rocks were exhumed from the greatest depth at the rear of the accretionary wedge during motion of the upper plate away from the trench. Exhumation was extremely fast, and associated with very low geothermal gradients. In Calabria, HP rocks were exhumed from shallower depths and at lower rates during rollback of the Adriatic plate, with repeated exhumation pulses progressively younging toward the foreland. Both mechanisms were active to create boundary divergence along the Corsica-Northern Apennines transect, where European southeastward subduction was progressively replaced along strike by Adriatic northwestward subduction. The tectonic scenario depicted for the Western Alps trench during Eocene exhumation of (U)HP rocks correlates well with present-day eastern Papua New Guinea, which is presented as a modern analog of the Paleogene Adria-Europe plate boundary

    Fünf Souvenirs aus dem Schatzkästlein der Marburger Romanistin Freya Hobohm: Ottilie und Werner Krauss, Leo Spitzer und Erich Auerbach

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    Fünf ausgewählte Dokumente (1 Postkarte und 4 Briefe) aus dem Nachlass der Romanistin Freya Hobohm werden vorgestellt und schließen an die von Frank-Rutger Hausmann begründete  Methodik der synthetischen Fachgeschichtsschreibung der Romanistik an. Kommentierende Einführungen zu den Episteln gestatten detailreiche Einblicke in fachgeschichtliche Konstellationen, lebensgeschichtliche Zusammenhänge, eigene Widerstandshandlungen gegen die nationalsozialistische Diktatur, Erfahrungen des türkischen Exils, den Neubeginn in den USA und beziehen sich auch auf sprach- und literatursoziologische Konzepte, die von Leo Spitzer, Erich Auerbach und Werner Krauss vor 1933 und nach 1945 etabliert wurden

    Objet et démarche de la tectonophysique

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    Sous le contrôle de l'observation du terrain, la tectonophysique utilise les méthodes, les techniques ou règles de la physique, de la mécanique, de la chimie... pour tenter de reconstituer des lois du comportement des roches valables dans des conditions géologiques. Ces mécanismes, bien compris, devraient permettre de prévoir le comportement de structures naturelles sous de nouvelles sollicitations introduites par l'homme et à d'autres échelles d'espace et de temps.Cette note montre avec quelques exemples, quelle est la démarche qui permet de conduire des caractères structuraux essentiels d'un massif à des lois de valeur générale expliquant les mécanismes de déformation géologique. Le rôle majeur de la dissolution des roches et du transfert puis de la précipitation des solutions, est souligné. Ces mécanismes associés expliquent souvent le fluage lent, mais néanmoins significatif à l'échelle des temps géologiques, qui se produit dans les dix premiers kilomètres de la croûte terrestre. Ils permettent aussi de comprendre des structures dont la coexistence et la contemporanéité paraissent paradoxales voire incongrues selon les règles des classiques comportements utilisés par l'ingénieur

    Etude géologique du massif cristallin Dora-Maira : Alpes cottiennes internes : Italie

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    Travaux du Laboratoire de géologie de la Faculté des Sciences de Grenoble - Mémoires n° 4L'ensemble qu'il est convenu de nommer "Dora Maira" se développe entièrement dans ce cadre de transition. Ainsi est-il loin d'avoir le droit de figurer dans les guides touristiques qui ne le décriront jamais sous la dénomination flatteuse de "Massif". En fait Dora Maira ne doit son individualité qu'aux géologues. Depuis longtemps, ceux-ci ont en effet remarqué, dans une région comprise entre la vallée de la Dora Riparia au Nord et celle de la Maira au Sud, les roches gneissiques grossières qui s'opposent foncièrement aux schistes plus fins mêlés de roches vertes des alentours. C'est à cet ensemble lithologique particulier, d'environ 1500 km2 , allongé en une grossière ellipse, longue du Nord au Sud d'environ 75 km et large d'une vingtaine de kilomètres en moyenne que l'on a coutume de donner le nom de "Massif Dora Maira". Cette entité ainsi définie, appartient aux contreforts orientaux, entièrement piémontais, de l'immense unité géographique franco-italienne des Alpes Cottiennes dont le Viso est le sommet le plus représentatif, mais en fait il est très artificiel de la séparer d'un ensemble comme si elle en était vraiment indépendante. Le Massif Dora Maira apparait ainsi comme un édifice complexe où sur un socle hercynien ou plus ancien se sont déposées, après une érosion considérable, des séries détritiques intermédiaires avant l'envahissement par les sédiments du géosynclinal alpin. Avant d'aborder l'histoire de l'évolution structurale et métamorphique du massif, compte tenu des observations résumées ci -dessus et des diverses théories, au sujet des nappes de recouvrement, il faut d'abord faire le point des données essentielles: - Le Massif Dora Maira est dans la zone de courbure maximale des Alpes occidentales, - Dans ce massif, la structure qui prédomine est celle en écailles ou plis déversés vers le Nord Est dans sa partie méridionale, vers l'Est dans sa partie médio-occidentale, vers le Sud Est ou le Sud, dans sa partie septentrionale. - Métamorphisme et structure y sont indissolublement liés, Les cristallogenèses sont dirigées et induites par les plis, à tel titre que la foliation régionale est plan axial de plis isoclinaux, grossièrement transversaux à l'allongement du massif, homologues des grandes structures . Ce fait est général dans toutes lesroches, y compris dans les calcschistes de l'enveloppe occidentale et aussi dans les pincées mésozolques qui jalonnent la base des cisaillements principaux. Il faut souligner enfin que le "climat" permettant la cristallogenèse sévissait encore lors des écaillages subméridiens des parties occidentales du massif, mais que ceux-ci évoluent en même temps que disparaissent les conditions favorables aux recristallisations. On doit considérer le Massif Dora Maira, y compris les formations siliceuses du Trias de la base des calcschistes, comme la partie sommitale d'un socle relatif, comportant une superstructure métamorphique (les Schistes lustrés) peut être elle-même recouverte d'une" super-superstructure" non métamorphique (le Flysch à Helmintholdes). Ce socle porte uniquement des traces de "rétroécaillages" alors que les superstructures se sont d'abord écoulées en nappes vers l'Ouest puis à leur tour, sur leurs arrières se sont également rétro écaillées vers l'Est. On peut donc imaginer, que le moteur de cette architecture est un affaissement en bascule d'un coin de socle ouvert vers l'Est et dont la pointe se situerait dans l'axe du cours inférieur du Pellice. Les failles bordières de ce coin de socle fonctionnant en failles inverses, seraient ou verticales ou pentées respectivement vers le Sud Ouest et vers le Nord Ouest. L'affaissement initial doit débuter par l'Ouest et être plus important à la pointe du coin, que vers l'Est. Il en résulterait nécessairement, si l'on admet le principe de l'écoulement par gravité, un glissement des superstructures vers l 'Ouest, Dans leurs parties profondes, ces superstructures en marche vers l'ouest, se heurtent aux marges externes restées plus stables, du coin de socle, Il en résulte, aux mêmes temps, dans cette partie profonde, une sorte de reflux, formant des écaillages inverses, qui étant donnée la forme du coin vont avoir tendance à se refermer sur eux -mêmes vers la partie orientale, en éléments se chevauchant les uns les autres, Il s'ensuit un serrage avec formation d'écailles et plis d'accumulation couchés, axés à peu près selon les bords du coin de socle (Nord Ouest - Sud Est et Ouest Sud Ouest - Est Nord Est) et déversés vers le Nord Est au Sud et vers le Sud Est au Nord, Pendant ce plissement isoclinal couché, se produit le métamorphisme qui peut affecter aussi une partie de la superstructure toujours en marche vers l' avant -pays, Ces événements peuvent se clore par un affaissement général du coin de socle, en particulier vers l'Est (effondrement padan) ce qui entrafne une exagération des écaillages les plus orientaux, la naissance des failles bordières de la plaine et une remontée relative des bords externes du coin. L'arrêt de l'écoulement des nappes suit, avec rétrocharriage ultime de toute leur masse par une sorte de bourrage de leurs parties arrières, s'effectuant encore dans un climat permettant les cristallisations minérales ultimes et renversant un peu plus les failles initiales du socle vers l'Est, pendant que leurs parties frontales, parties loin en avant peuvent être coupées de leurs origInes. Un réajustement isostatique, corrélatif à l'effondrement padan peut être envisagé comme une surrection ultime mineure du massif en un bombement qui accuse la symétrie de ses terminaisons septentrionales et méridionales, et les failles bordières orientales. L'érosion va immédiatement s'installer sur ce bâti, en se calquant d'ailleurs sur les structures qui viennent d'être construites. Dans un tel schéma, on ne peut que souligner l'échec du cylindrisme tectonique de type argandien et il est même possible de conclure que l'image proposée rend vaine toute recherche de synthèse à l'échelle de la chaîne alpine, du moins si l'on tient compte des détails. Quant à la zonéographie du métamorphisme d'âge alpin, on est bien obligé d'admettre la complexité de son évolution. Elle apparaft en effet soumise au développement successif de multiples serrages et écaillages qui remettent constamment en question l'équilibre des paragenèses minérales qui vient tout juste de s'établir. Ces phases successives d'un même cycle métamorphique peuvent même aller jusqu'à simuler un polymétamorphisme Ce serait retomber dans un autre "cylindrisme" que de vouloir imposer une limitation trop rigide aux zones de ce métamorphisme syntectonique,pas de résum

    Les mécanismes de mise en place des nappes de chevauchement superficielles. Application des modèles analytiques au Jura

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    T wo mathematical models of thin skinned thrusting are used to study the tectonics of the Jura. The structural geometry of a cross section through the Jura and values of mechanical parameters are introduced in a program based on the model of Elliott (1976) and Chapple (1978). The distribution of the observed structures in the internal Jura and molassic basin agree with the results of an horizontal push model, but the décollement of the external Jura cover is not realized in such a model. The superposition of several mechanisms must be considered in the Jura formation. The internal Jura folding arises from the molassic basin motion on a passive basement. The Jura overthrust on to the Bresse basin could agree with a gravitational mechanism.Deux modèles analytiques d'étude des mécanismes de mise en place des chevauchements sont utilisés pour étudier la formation du Jura. La géométrie des structures d'une coupe du Jura et les valeurs des paramètres mécaniques sont introduits dans un programme basé sur les modèles d'Elliott (1976) et Chapple (1978). La répartition des structures observées dans le Jura interne et le bassin molassique correspondent avec les résultats d'un modèle de mise en place par poussée horizontale. Mais le décollement du Jura externe n'est pas réalisé dans un tel modèle. La superposition de plusieurs mécanismes de mise en place doit être envisagée. Le Jura interne serait induit par le déplacement vers le NW du bassin molassique, glissé sur un socle non nécessairement raccourci, alors que le chevauchement du Jura sur la Bresse pourrait correspondre à un mécanisme gravitaire qui n'est pas nécessairement lié au précédent.Mugnier Jean-Louis, Vialon Pierre. Les mécanismes de mise en place des nappes de chevauchement superficielles. Application des modèles analytiques au Jura. In: Sciences Géologiques. Bulletin, tome 37, n°1, 1984. Tectonique et métamorphisme. pp. 77-87
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