7 research outputs found

    ENTRE PLÁTANOS [Material gráfico]

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    Copia digital. Madrid : Ministerio de Educación, Cultura y Deporte. Subdirección General de Coordinación Bibliotecaria, 201

    Non-occlusive Mesenteric Ischemia as a Fatal Complication in Acute Pancreatitis: A Case Series.

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    Vascular complications of severe acute pancreatitis are well known and largely described unlike non-occlusive mesenteric ischemia, which is a rare and potentially fatal complication. Non-occlusive mesenteric ischemia is an acute mesenteric ischemia without thrombotic occlusion of blood vessels, poorly described as a complication of acute pancreatitis.info:eu-repo/semantics/publishe

    Prise en charge du cancer du canal anal en 2018

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    Section : Mise au point / UpdateNational audienceAnal canal cancer is a rare disease accounting for 3% of digestive tract tumours. However, its annual incidence has increased during the two last decades reaching 0.5/100,000 in men and 1.3/100,000 in women in 2012. Squamous carcinoma is the most common histological type, and accounts for more than 80% of anal canal malignancy. The main risk factor is human papillomavirus (HPV), in particular 16 and 18 subtypes. This virus is associated with 50% to 100% of anal canal cancers through the action of E6 and E7 oncoproteins. The decrease of natural clearance of HPV due to the multiplicity of sexual partners and human immunodeficiency virus (HIV) epidemic could partly explain the observed increase of anal cancer incidence. Since eighties and Nigro’s trials management has significantly changed: a multidisciplinary strategy combining radiotherapy and concurrent chemotherapy had replaced the radical surgery. Chemoradiation offered better results considering local control and also allowed a better functional prognosis by sphincter-preservation. Overall 5-year survival varies from 70 to 80% but recurrences, which are mainly loco-regional, benefit from salvage surgery in only 30% of cases. Thus, a close clinical surveillance is justified to diagnose early recurrence. The two newest and most promising therapies are anti-EGFR and anti-PD1. Yet, more randomized trials are required to confirm their efficiency, especially in metastatic disease which is still associated with poor prognosis.Le cancer du canal anal est une tumeur rare représentant 3 % des cancers digestifs dont l’incidence a néanmoins doublé ces 20 dernières années pour atteindre 0,5/100 000 chez l’homme et 1,3/100 000 chez la femme en 2012. Les carcinomes épidermoïdes sont le type histologique le plus fréquent, soit plus de 80 % des cancers du canal anal. Le principal facteur de risque est l’infection à human papillomavirus (HPV), notamment les HPV 16 et 18 dits « à haut risque ». Par l’action des oncoprotéines E6 et E7, ce virus est responsable de 50 à 100 % des cancers du canal anal. La diminution de la clairance naturelle de HPV, en lien avec la multiplicité des partenaires sexuels et l’épidémie de virus de l’immunodéficience humaine, pourra expliquer en grande partie l’augmentation d’incidence du cancer du canal anal. La prise en charge, initialement chirurgicale, a été remplacée par une stratégie multidisciplinaire associant la radiothérapie à une chimiothérapie concomitante à base de mitomycine C et de 5-fluoro-uracile depuis les essais de Nigro et al. dans les années 1980. La radiochimiothérapie (RCT) a non seulement permis un meilleur contrôle locorégional, mais également un meilleur pronostic fonctionnel grâce à la préservation sphinctérienne. La chirurgie garde toutefois des indications en cas de réponse incomplète ou de récidive après RCT. La survie globale est de 70 à 80%à cinq ans. Les récidives, en majorité locales, ne bénéficient d’une chirurgie de sauvetage que dans 30 % des cas, ce qui justifie une surveillance clinique étroite afin de dépister précocement les rechutes. De nouvelles thérapies montrent des résultats intéressants. Parmi celles-ci, les anti-EGFR et les anti-PD1 sont les plus prometteuses et nécessitent des essais cliniques pour confirmer leur efficacité, notamment dans les formes métastatiques au pronostic encore très sombre

    Potential Mechanisms Underlying Centralized Pain and Emerging Therapeutic Interventions

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