111 research outputs found

    The structure of mercantile communities in the Roman world : how open were Roman trade networks?

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    The Relationships Between South Korea and Southeast Asian Countries. Which Strategy for a Middle Size Power ?

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    Au cours de cette étude, nous avons cherché  à déterminer le niveau et les moyens de la puissance sud-coréenne. Nous nous sommes demandés si la Corée du Sud ne pourrait pas se présenter comme un État pivot capable de faire le lien entre des états ou des partenaires antagonistes, aussi bien en Asie du Nord-Est qu’en Asie du Sud-Est. Aussi après avoir examiné les moyens de la puissance sud-coréenne nous avons conclu que le pays était une puissance moyenne traditionnelle n’ayant pas encore acquis le statut de puissance régionale et qu’en ce sens elle constituait une puissance atypique. Confrontée aux trois grandes puissances que sont la Chine, les Etats-Unis et le Japon, la Corée du Sud ne dispose que d’une marge de manœuvre très étroite pour affirmer sa présence internationale. Le développement de sa présence en Asie du Sud-Est est donc devenu en l’espace de quelques années un impératif de sa politique étrangère du pays. A l’instar du Japon d’après-guerre, le Sud-Est asiatique constitue une aire d’apprentissage privilégiée pour la diplomatie sud-coréenne et pour son action extérieure.In this study, we tried to determine the exact level and means of the South Korean power. We wondered if South Korea could present itself as a pivotal state that is able to bridge antagonistic partners, both in Northeast and Southeast Asia. After considering the aspects of the South Korean power we concluded that the country is a traditional middle size power that has not yet acquired the status of regional power. In that sense the country is an untypical power. Facing three major powers such as China, the United States and Japan, South Korea has only a very narrow latitude to establish its international presence. Therefore developing its presence in Southeast Asia has become in just a few years an priority of its foreign Policy. For South Korea Southeast Asia is a privileged place where to learn and to develop its own external action, like it was for the post war Japan. Eventually, a unified Korea with the North Korean nuclear arsenal could weigh as much as demographically declining Japan. However as long as the anachronism of the separation will remain, South Korea will continue to grow alone regionally and in the international stage and will seek for external alliances

    Le nouvel asiatisme coréen

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    Juillet 2011 Pour la Banque mondiale et le Fonds monétaire international (FMI), la Corée du Sud était en 2010 la quinzième économie mondiale et devrait atteindre le treizième rang en 2011. Bénéficiant d’un effet de rattrapage et grâce à son dynamisme, la diplomatie économique et culturelle sud-coréenne engrange depuis quelques années de nombreux succès. Certains se sont fait au détriment de la France, comme à Abou Dhabi en 2009 où un consortium dirigé par Kepco a emporté un contrat de plus de..

    Introduction

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    En Asie du Sud-Est, c’est en Thaïlande que l’influence de la diaspora chinoise est la plus forte. Avec seulement 8 à 16 % de la population, elle contrôlerait les quatre cinquièmes des capitaux sur le marché, soit autant que les Chinois à Singapour qui représentent pourtant les trois quarts des habitants de l’île-Etat. Dans le Royaume, leur assimilation est telle qu’on ne parle d’ailleurs plus de communauté d’origine chinoise, mais de Sino-Thaïs. Si leur rôle économique est central depuis déjà..

    Chapitre 6. Un confucianisme excluant et un bouddhisme intégrateur

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    Le Viêt Nam et la Thaïlande ont adopté, à certaines époques de leur histoire (au XIXe siècle notamment), une politique favorable à leur communauté chinoise avant de se retourner brusquement contre elles durant plusieurs décennies du XXe siècle. Cependant, même au plus fort du mouvement nationaliste thaïlandais, les Chinois n’ont jamais vraiment pris le chemin de l’exil. A l’inverse, la violente politique antichinoise mise en place par le gouvernement vietnamien a poussé des centaines de milli..

    Chapitre 4. Viêt Nam : une influence chinoise ancienne et permanente

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    4.1. DE 111 AVANT J.-C. A 939 APRES J.-C. : UNE INTEGRATION FORCEE A L’EMPIRE CHINOIS C’est sans doute au Viêt Nam que la présence chinoise est la plus ancienne. Une frontière terrestre commune de 1 306 kilomètres, certes montagneuse, mais non dénuée de passages, des conditions d’accès maritime favorables et le delta du fleuve Rouge qui constitue la plaine la plus fertile au sud du Yang-Tsê kiang, sont autant d’éléments d’interaction possible. Le Viêt Nam a d’ailleurs longtemps fait partie in..

    Corée du Sud-États-Unis. Une relation sous influence

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    L’essor du tigre

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    Bien souvent au cours de son histoire, la péninsule coréenne a semblé vouloir vivre repliée sur elle-même. La colonisation japonaise dans la première partie du XXe siècle, la guerre de Corée dans les années 1950, la fin de la guerre froide et l’accélération de la mondialisation qui s’en suivit dans les années 1990 ont largement contribué à modifier cette tradition de fermeture au monde extérieur. Si le Nord de la péninsule reste encore en marge du concert des nations, la Corée du Sud, quant à..

    Chapitre 1. Quels Chinois ?

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    1.1. DES MERIDIONAUX Environ 90 % des communautés chinoises installées au Viêt Nam et en Thaïlande sont originaires de seulement trois provinces méridionales et littorales du continent chinois : le Fujian, le Guangdong et l’île de Hainan (province depuis 1988). Au recensement de 1990, ces trois provinces ne représentaient qu’environ 10 % de l’ensemble de la population de la Chine populaire, soit environ cent millions de personnes. Elles constituent pourtant la région d’origine de près de ving..
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