36 research outputs found

    Rapport d'activité 2008-2010 : Culture Scientifique et Technique

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    C'est Ă  cet objectif que tente de rĂ©pondre l'UniversitĂ© de Rennes 1 en organisant des activitĂ©s regroupĂ©es sous le terme gĂ©nĂ©rique de " culture scientifique et technique ". Notre universitĂ© compte de nombreux laboratoires mixtes rĂ©unissant Ă  la fois universitaires (enseignants-chercheurs et personnels BIATOSS), chercheurs et ITA des grands organismes de recherche qui ont tous cette mission ou cette passion de diffusion des connaissances et d'Ă©ducation Ă  la culture scientifique. Ceux-ci n'hĂ©sitent pas Ă  "mettre la main Ă  la pĂąte" pour faire partager leurs passions, leurs savoirs et leurs doutes. L'universitĂ© dispose aussi de plusieurs structures musĂ©ales et de conservation de collections : - sur le campus de Beaulieu, un musĂ©e de gĂ©ologie, un ensemble de collections scientifiques de zoologie et de botanique, des collections d'instruments scientifiques parfois trĂšs anciens pour lesquels un inventaire prĂ©cis est Ă©tabli, des collections de botanique dans les serres et un circuit de visites - sur les autres campus : des collections d'Herbiers (collection "des Abbayes" en pharmacie), d'instruments, de livres anciens... - Ă  Penmarc'h (29), un musĂ©e regroupe des collections d'archĂ©ologie et d'archĂ©osciences. Ces collections s'enrichissent de jour en jour grĂące d'une part aux acquisitions et d'autre part Ă  un programme de sauvegarde, conservation et valorisation du matĂ©riel contemporain, menĂ© en collaboration avec le MusĂ©e des Arts et MĂ©tiers pour lequel nous assurons un pilotage rĂ©gional. GrĂące aux nombreuses actions rĂ©alisĂ©es en direction de tous les publics, les richesses patrimoniales et les laboratoires de Rennes 1 sont accessibles Ă  tous, reconnus au niveau international et constituent un vĂ©ritable " centre de ressources " pour la Bretagne et le Grand Ouest. L'action de notre universitĂ© ne se limite cependant pas aux domaines de la conservation du patrimoine scientifique. La multiplicitĂ© des Ă©changes entre laboratoires/chercheurs et publics - notamment scolaires - se traduit par un foisonnement d'initiatives : expositions, confĂ©rences, visites de laboratoires, intervention dans les classes... Elle s'inscrit aussi dans la dynamique de la politique culturelle de l'Ă©tablissement dont le Diapason est un emblĂšme. Enfin, c'est une politique gĂ©nĂ©rale de notre universitĂ© qui se traduit Ă  travers la prise en compte de cette dimension dans les programmes et contrats pluri-annuels (Contrat quadriennal, Contrat de Projet État-RĂ©gion...) et situe ainsi Rennes 1 dans les universitĂ©s d'excellence au niveau national en matiĂšre de culture scientifique et technique. C'est tout un rĂ©seau de relations qui s'articule autour de l'universitĂ© pour faire vivre et dynamiser la culture scientifique : les Ă©tablissements scolaires, le Rectorat mais aussi les associations de culture scientifique avec lesquelles nous cherchons Ă  renforcer les liens de coopĂ©ration (Espace des Sciences, Abret, Petits DĂ©brouillards...). Elle bĂ©nĂ©ficie largement de la forte dynamique rĂ©gionale et des compĂ©tences impulsĂ©es par ce rĂ©seau mais aussi de l'appui des collectivitĂ©s locales. Ce rapport d'activitĂ© de notre universitĂ© constitue un bilan d'Ă©tape, pour prĂ©senter la richesse des diverses interventions. Par sa nature mĂȘme, la culture scientifique est trĂšs dĂ©centralisĂ©e et le fruit d'une dĂ©marche de "passion des sciences". Elle est trĂšs foisonnante. Impossible donc de citer dans le dĂ©tail toutes les actions menĂ©es. C'est pourquoi ce rapport met l'accent plutĂŽt sur les grandes opĂ©rations et sur les actions originales ou exemplaires. Merci donc aux nombreux personnels de l'universitĂ© de Rennes 1 qui y ont participĂ© la plupart du temps "bĂ©nĂ©volement", le soir ou le week-end. Merci aussi Ă  nos partenaires dont les noms se retrouveront citĂ©s Ă  de nombreuses reprises dans ce document. Merci enfin et tout particuliĂšrement Ă  Dominique Bernard qui a Ă©tĂ© l'animateur inlassable de ces actions et de leur mise en rĂ©seau. Nul doute que les annĂ©es Ă  venir permettront encore d'amplifier ces actions. C'est notre volontĂ© et celle des personnels de notre universitĂ© de plus en plus impliquĂ©s et motivĂ©s pour faire partager notre "passion sciences" et notre rĂŽle de diffusion de la culture

    Importance des collections de Sciences naturelles pour la connaissance de la biodiversité

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    Les collections de Sciences naturelles ont Ă©tĂ© considĂ©rĂ©es comme indispensables au cours des derniers siĂšcles mais depuis une cinquantaine d’annĂ©es, elles Ă©taient nĂ©gligĂ©es, d’une part car l’on pensait que les espĂšces Ă©taient bien connues et d’autre part car l’on n’envisageait pas la disparition de la biodiversitĂ©. Les techniques nouvelles d’identification nous font reconsidĂ©rer le nombre des espĂšces dont les descriptions, rĂ©alisĂ©es souvent Ă  partir de spĂ©cimens en collection, sont en augmentation trĂšs rapide. La faible connaissance sur la distribution du plus grand nombre des espĂšces redonne une valeur fondamentale aux spĂ©cimens mis en collection.Treated well and then put to one side, specimen collections now constitute an indispensable resource for studies on biodiversity and its evolution: the example of Rennes University 1 shows that collections should regain their status in relation to their interest; but that a problem still needs to be solved, that of the drop in numbers of researchers working in the systematic field

    Photography-based taxonomy is inadequate, unnecessary, and potentially harmful for biological sciences

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    The question whether taxonomic descriptions naming new animal species without type specimen(s) deposited in collections should be accepted for publication by scientific journals and allowed by the Code has already been discussed in Zootaxa (Dubois & NemĂ©sio 2007; Donegan 2008, 2009; NemĂ©sio 2009a–b; Dubois 2009; Gentile & Snell 2009; Minelli 2009; Cianferoni & Bartolozzi 2016; Amorim et al. 2016). This question was again raised in a letter supported by 35 signatories published in the journal Nature (Pape et al. 2016) on 15 September 2016. On 25 September 2016, the following rebuttal (strictly limited to 300 words as per the editorial rules of Nature) was submitted to Nature, which on 18 October 2016 refused to publish it. As we think this problem is a very important one for zoological taxonomy, this text is published here exactly as submitted to Nature, followed by the list of the 493 taxonomists and collection-based researchers who signed it in the short time span from 20 September to 6 October 2016

    Combining Antivirals and Immunomodulators to Fight COVID-19

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    International audienc

    Contribution de la mission La PlanÚte Revisitée à la connaissance des araignées : 33 espÚces nouvelles pour la Corse, dont deux nouvelles pour la faune de France (Arachnida, Araneae)

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    International audienceAs part of Our Planet Reviewed in Corsica 2019-2021 project, 364 spider taxa were inventoried. This mission made it possible to update the list of species recorded on the island: 33 species of spiders are added to the Corsican araneofauna, which goes from 687 to 721 taxa; two species are also new to the fauna of France, Orchestina longipes Dalmas, 1922 (Oonopidae) and Pseudeuophrys perdifumo van Helsdingen, 2015 (Salticidae). A comparison of sampling techniques is proposed, and for some new taxa comments on ecology or taxonomy are added. Finally, the main groups of species by type of habitat studied and a zoom on the “heritage” species are presented, in view of the recently published National Red List.Dans le cadre du projet La PlanĂšte RevisitĂ©e en Corse 2019-2021, 364 taxons d’araignĂ©es ont Ă©tĂ© inventoriĂ©s. Cette mission a permis de mettre Ă  jour la liste des espĂšces rĂ©pertoriĂ©es sur l’üle. En effet, 33 espĂšces d’araignĂ©es sont ajoutĂ©es Ă  l’aranĂ©ofaune corse, qui passe ainsi de 687 Ă  721 taxons. Deux espĂšces sont aussi nouvelles pour la faune de France, Orchestina longipes Dalmas, 1922 (Oonopidae) et Pseudeuophrys perdifumo van Helsdingen, 2015 (Salticidae). Une comparaison des techniques d’échantillonnage est proposĂ©e, et pour certains nouveaux taxons des commentaires sur l’écologie ou la taxonomie sont ajoutĂ©s. Enfin, nous prĂ©sentons les principaux cortĂšges d’espĂšces par type d’habitat Ă©tudiĂ© et un zoom sur les espĂšces “patrimoniales”, au vu de la Liste rouge nationale parue rĂ©cemment

    Integrating multiple scales in rarity assessments of invertebrate taxa

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    International audienceAim To provide a procedure for measuring the rarity of both invertebrate species and assemblages of species from multiple scales without the need for fineresolution datasets over broad areas. Location The western Palearctic (WP) and western France.Methods On the basis of different datasets from different geographical extents, we applied a multiscale rarity weight to species occurrence from multiple scales. Multiscale rarity weights were then averaged at an assemblage level in a multiscale index of relative rarity (I RR). These rarity weights were calculated using a flexible, scale-dependent method that ensures equitable contributions of each scale to the final index. We provided a simple two-scale example of the application, on spiders of western France, for which we obtained occurrence information from a regional-extent dataset (regional scale) and a western Palearctic-extent dataset (WP scale). Thus, we showed the necessity of a two-scale approach by successively analysing species occurrence, multiscale rarity weights of species and multiscale indices of species assemblage. Finally, we presented a case study within a nature reserve.Results Species occurrences are not predictable from one scale to another, and rarity indices of assemblages are poorly congruent among scales, which supports the necessity of a two-scale approach. Multiscale rarity weights accurately showed information on species rarity from both scales. Multiscale indices of assemblages were congruent but with additional information over each onescale index.Main conclusions The novelty of the multiscale method developed here is to accurately combine different datasets of varying extents and resolutions to provide multiscale rarity weights for species and indices for assemblages. Given the increasing availability of datasets for invertebrate taxa, this method represents a significant improvement for rarity and conservation studies on invertebrates
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