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Évaluation de l'effet de la constipation dyssynergique sur les déchirures du troisième et du quatrième degré lors d'un premier accouchement vaginal
L'objectif de la présente étude vise à déterminer si la présence de constipation dyssynergique durant la grossesse est un facteur de risque des déchirures du troisième et du quatrième degré lors d'un premier accouchement vaginal. Un dispositif de recherche cas-témoin rétrospectif a été utilisé. La population était constituée de femmes primipares recrutées à l'aide du registre de la salle des naissances selon leur degré de déchirure périnéale. Les participantes ont ensuite été classées en deux groupes. Le premier groupe, les cas, était constitué de femmes ayant eu une déchirure du troisième ou du quatrième degré. Le deuxième groupe, les témoins, était composé de femmes présentant un périnée intact ou une déchirure du premier ou du deuxième degré. La variable dépendante, soit le degré de déchirure périnéale, a été identifiée à l'aide du dossier obstétrical. La variable indépendante principale, soit la présence de constipation dyssynergique, a été documentée à l'aide du questionnaire Knowles-Eccersley-Scott-Symptom (KESS) envoyé par la poste aux femmes primipares. Les autres facteurs de risque des déchirures périnéales ont été documentés à l'aide du dossier obstétrical et d'un questionnaire maison postal. Un modèle de régression logistique, avec le rapport de cote comme mesure d'association et un intervalle de confiance de 95%, a été utilisé afin de déterminer les facteurs influençant les déchirures du troisième et du quatrième degré. Au total, 549 femmes primipares ont participé à l'étude ; 140 étaient dans le groupe des cas et 409 dans le groupe témoin. Dix-sept pourcent des femmes du groupe des cas et 7,6% des femmes du groupe témoin souffraient de constipation dyssynergique (p=0,001). Une régression logistique multiple a démontré que la présence de constipation dyssynergique est associée à 2,94 fois (95%Cl : 1,47 - 5,88) plus de risque de déchirure du troisième et du quatrième degré. En conclusion, cette étude a démontré que la présence de constipation dyssynergique durant la grossesse augmente le risque de subir une déchirure du troisième et du quatrième degré. Une étude prospective devra cependant être conduite afin d'établir la relation de cause à effet entre la présence de l'incoordination des muscles du plancher pelvien rencontrée dans la constipation dyssynergique et les déchirures du troisième et du quatrième degré."--Résumé abrégé par UMI
The Role of Expectations in Treatment Outcome and Symptom Development in Anxiety Disorders
For more than 60 years, researchers have been interested in determining the impact of expectations on treatment outcome. Earlier studies mostly focused on two types of expectations: prognostic and process expectations. Aims: To review how four different types of expectations (prognostic, process, anxiety expectancy and anxiety sensitivity) contribute to psychotherapy outcome, and to the development of clinical disorders, especially anxiety. Conclusions: First, the role of process and prognostic expectancies in clinical disorders and psychotherapy outcome should be clarified by addressing the methodological flaws of the earlier expectancy studies. Second, studies, especially those on anxiety disorders, may benefit from evaluating the four different types of expectations to determine their relative impact on outcome, and on the development and maintenance of these disorders. Third, possible links with other clinical disorders should be further explored. Finally, expectancies should be assessed prior to treatment and after several sessions to determine the extent to which the treatment\u27s failure in modifying initial low expectancies contribute to a poor outcome
: Rapport de fouille programmée 2008-2010
La fouille du comptoir littoral protohistorique de Pech Maho, reprise en 2004, a fait l'objet de entre 2008 et 2010 d'un second programme triannuel. Les travaux entrepris durant cette période ont principalement porté sur les phases récentes du site, plus précisément sur les phases III (v. 325-225/200 av. n. ère) et IV (v. 200 av. n. ère), cette dernière ayant été définie à l'occasion du programme en cours. En effet, il est apparu que la destruction brutale du site intervenant dans le dernier quart du IIIe s. av. n. ère ne signifiait pas l'abandon du gisement, mais que lui succédait immédiatement une phase caractérisée par une série de manifestations à caractère rituel, qui culminent avec l'érection d'un bûcher funéraire (fouillé anciennement) ayant reçu simultanément les corps d'une quinzaine d'individus. Le triannuel 2008-2010 a été l'occasion de préciser les observations préliminaires réalisées entre 2005 et 2007, en confirmant définitivement le séquençage venant d'être évoqué. Ce dernier autorise une très large relecture des données de fouille anciennes, où bon nombre de documents naguère dépeints comme étant caractéristiques d'une " couche de guerre " (restes d'équidés, pièces d'armement...) doivent en réalité être replacés dans ce contexte rituel où se conjuguent sacrifices d'équidés, dépôt d'armes, de pièces de harnachement ou d'autres objets porteurs de sens, sans compter d'autres manifestations jusque là peu documentées. La présence de restes humains, dont certains semblent avoir reçu un traitement particulier, participe également de cette phase ; ici encore, une relecture des données de fouille anciennes est dorénavant possible, révélant le caractère tout à fait exceptionnel de cette phase. La fouille 2008-2010 a ainsi porté sur trois zones distinctes. La première (zone 77) a porté sur une portion de l'îlot I, accolé au rempart méridional, portion qui n'avait été que partiellement concernée par les recherches menées par J. Campardou puis Y. Solier dans les années 1960 et 1970. La fouille a révélé l'existence d'un vaste " dépotoir " à ciel ouvert d'au moins une centaine de mètres carrés au sol, mis en place postérieurement à la destruction du site. Aménagé au milieu des ruines ou des bâtiments désaffectés et délimité par endroits par des murs nouvellement construits, cet ensemble se matérialise par une imposante couche de cendres de plusieurs dizaines de centimètres d'épaisseur, renfermant un abondant mobilier (céramiques brisées, restes de faune, coquillages...), interprété comme étant les restes de repas collectifs. La présence d'un chenet en terre cuite ou encore d'une broche à rôtir est à mettre en rapport avec la préparation de ces repas (banquet ?), la quantité importante de cendres témoignant quant à elle de feux particulièrement nourris, peut-être étalés dans le temps. Ce qui prend la forme d'un véritable " autel de cendres " fait suite à des dépôts de restes d'équidés réalisés sur la portion de rue située en façade, et précède la mise en place du bûcher collectif évoqué en préambule. L'ensemble paraît s'inscrire dans une démarche cohérente, dont la signification précise nous échappe, mais qu'il serait vain de vouloir déconnecter de l'épisode violent qui intervient à Pech Maho durant les dernières années du IIIe s. av. n. ère. Une nouvelle zone de fouille (zone 78) a été ouverte en 2008 dans la partie nord-occidentale du plateau de Pech Maho. De ce côté, un nouvel îlot a été fouillé pour ainsi dire intégralement, révélant tout d'abord que l'état visible (IIIe s.) constituait non seulement la reprise d'un bâtiment antérieur de plan manifestement méditerranéen (type " maison à pastas "), mais se superposait également à un édifice monumental dont la chronologie remonte au moins au milieu du Ve s. av. n. ère, édifice indiqué par une série de quatre bases monolithiques ayant reçu des piliers en bois, implantées en bordure occidentale de la rue 7. Dans son état de la fin du IIIe s., ce bâtiment dont l'originalité réside en partie dans l'emploi quasi exclusif de la terre massive, comprend en réalité deux parties. La première semble moins correspondre à une simple maison qu'à une entité à vocation économique (en l'occurrence commerciale), associant un entrepôt (incendié au moment de la destruction des années 225-200), une pièce de vie et un espace plus difficile à caractériser (cour ?), accessible par un couloir ouvert au sud sur la rue 6. Accolé à l'ouest, décalé sur le plan topographique, deux pièces en enfilade accessibles au sud via un escalier " monumental " se caractérisent par la présence de foyers, dallages et bases maçonnées interprétées avec vraisemblance comme des supports de stèles. La présence de crânes humains exposés est en outre attestée, de même que le démantèlement systématique des éléments porteurs de sens, vraisemblablement intervenu au moment du pillage concomitant de l'acte violent marquant la fin de l'habitat stricto sensu. La phase post destruction est ici particulièrement bien attestée, notamment par la présence d'un important dépôt d'ossements d'équidés au niveau du couloir précédemment cité. Preuve supplémentaire qu'une partie du bâti était alors en élévation, ce dépôt tout à fait singulier qui comporte plusieurs séquences a également livré une amphore vinaire, de l'armement ainsi que des mors de chevaux ; enfin, il témoigne indirectement du caractère particulier que revêtait auparavant cet îlot, la concordance topographique entre ce type de vestige et des édifices particuliers (bâtiments ou espaces publics, fortification...) étant dorénavant confirmée à l'échelle du site. La dernière zone (zone 71) correspond à la fortification, et plus précisément aux abords de la porte principale. Après avoir procédé à une relecture fine des différents états du rempart, de la porte en elle-même et de la tour en quart de cercle qui la flanque côté Ouest, la fouille s'est concentrée sur les abords extérieurs de cette porte, au niveau des " défenses avancées " en partie dégagées par Y. Solier dans les années 1970. Il apparaît désormais que ces aménagements participent d'une réorganisation globale du système d'accès, intervenant à la charnière des IVe-IIIe s. av. n. ère, soit les débuts de la phase III. De puissants terrassements sont destinés à aménager une rampe d'accès E-O menant à la porte charretière, tandis qu'une passerelle correspond au sud à un accès piéton enjambant le nouveau fossé creusé à ce moment. L'ensemble participe d'une réorganisation complexe du système de défenses, et notamment des abords de la porte principale où sont manifestement mis en œuvre des principes poliorcétiques empruntés au registre hellénistique. La fouille a également permis de retrouver l'extrémité occidentale du système de fossé archaïque, jusque-là fort mal documenté. Or, bien qu'amputé par les réaménagements du IIIe s., ce système s'avère plus complexe que prévu. En effet, l'idée d'un fossé unique daté de la phase Ib (v. 540-510) doit dorénavant être abandonnée : deux ouvrages fossoyés se succèdent, en se recoupant partiellement, le premier étant contemporain du tout premier état de la fortification (phase Ia, v. 560-540). Un des apports les plus novateurs de la zone 71 est la mise en évidence, au niveau du fossé correspondant à l'état IIIe s. de la fortification, de dépôt
Cannabinoid CB2 Receptor Potentiates Obesity-Associated Inflammation, Insulin Resistance and Hepatic Steatosis
BACKGROUND: Obesity-associated inflammation is of critical importance in the development of insulin resistance and non-alcoholic fatty liver disease. Since the cannabinoid receptor CB2 regulates innate immunity, the aim of the present study was to investigate its role in obesity-induced inflammation, insulin resistance and fatty liver.
METHODOLOGY: Murine obesity models included genetically leptin-deficient ob/ob mice and wild type (WT) mice fed a high fat diet (HFD), that were compared to their lean counterparts. Animals were treated with pharmacological modulators of CB2 receptors. Experiments were also performed in mice knock-out for CB2 receptors (Cnr2 -/-).
PRINCIPAL FINDINGS: In both HFD-fed WT mice and ob/ob mice, Cnr2 expression underwent a marked induction in the stromal vascular fraction of epididymal adipose tissue that correlated with increased fat inflammation. Treatment with the CB2 agonist JWH-133 potentiated adipose tissue inflammation in HFD-fed WT mice. Moreover, cultured fat pads isolated from ob/ob mice displayed increased Tnf and Ccl2 expression upon exposure to JWH-133. In keeping, genetic or pharmacological inactivation of CB2 receptors decreased adipose tissue macrophage infiltration associated with obesity, and reduced inductions of Tnf and Ccl2 expressions. In the liver of obese mice, Cnr2 mRNA was only weakly induced, and CB2 receptors moderately contributed to liver inflammation. HFD-induced insulin resistance increased in response to JWH-133 and reduced in Cnr2 -/- mice. Finally, HFD-induced hepatic steatosis was enhanced in WT mice treated with JWH-133 and blunted in Cnr2 -/- mice.
CONCLUSION/SIGNIFICANCE: These data unravel a previously unrecognized contribution of CB2 receptors to obesity-associated inflammation, insulin resistance and non-alcoholic fatty liver disease, and suggest that CB2 receptor antagonists may open a new therapeutic approach for the management of obesity-associated metabolic disorder
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Evidence that breast cancer risk at the 2q35 locus is mediated through IGFBP5 regulation.
GWAS have identified a breast cancer susceptibility locus on 2q35. Here we report the fine mapping of this locus using data from 101,943 subjects from 50 case-control studies. We genotype 276 SNPs using the 'iCOGS' genotyping array and impute genotypes for a further 1,284 using 1000 Genomes Project data. All but two, strongly correlated SNPs (rs4442975 G/T and rs6721996 G/A) are excluded as candidate causal variants at odds against >100:1. The best functional candidate, rs4442975, is associated with oestrogen receptor positive (ER+) disease with an odds ratio (OR) in Europeans of 0.85 (95% confidence interval=0.84-0.87; P=1.7 × 10(-43)) per t-allele. This SNP flanks a transcriptional enhancer that physically interacts with the promoter of IGFBP5 (encoding insulin-like growth factor-binding protein 5) and displays allele-specific gene expression, FOXA1 binding and chromatin looping. Evidence suggests that the g-allele confers increased breast cancer susceptibility through relative downregulation of IGFBP5, a gene with known roles in breast cell biology
Consequences of cathepsin C inactivation for membrane exposure of proteinase 3, the target antigen in autoimmune vasculitis
Membrane-bound proteinase 3 (PR3(m)) is the main target antigen of anti-neutrophil cytoplasmic autoantibodies (ANCA) in granulomatosis with polyangiitis, a systemic small-vessel vasculitis. Binding of ANCA to PR3(m) triggers neutrophil activation with the secretion of enzymatically active PR3 and related neutrophil serine proteases, thereby contributing to vascular damage. PR3 and related proteases are activated from pro-forms by the lysosomal cysteine protease cathepsin C (CatC) during neutrophil maturation. We hypothesized that pharmacological inhibition of CatC provides an effective measure to reduce PR3(m) and therefore has implications as a novel therapeutic approach in granulomatosis with polyangiitis. We first studied neutrophilic PR3 from 24 patients with Papillon-Lefevre syndrome (PLS), a genetic form of CatC deficiency. PLS neutrophil lysates showed a largely reduced but still detectable (0.5-4%) PR3 activity when compared with healthy control cells. Despite extremely low levels of cellular PR3, the amount of constitutive PR3(m) expressed on the surface of quiescent neutrophils and the typical bimodal membrane distribution pattern were similar to what was observed in healthy neutrophils. However, following cell activation, there was no significant increase in the total amount of PR3(m) on PLS neutrophils, whereas the total amount of PR3(m) on healthy neutrophils was significantly increased. We then explored the effect of pharmacological CatC inhibition on PR3 stability in normal neutrophils using a potent cell-permeable CatC inhibitor and a CD34(+) hematopoietic stem cell model. Human CD34(+) hematopoietic stem cells were treated with the inhibitor during neutrophil differentiation over 10 days. We observed strong reductions in PR3(m), cellular PR3 protein, and proteolytic PR3 activity, whereas neutrophil differentiation was not compromised
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A network analysis to identify mediators of germline-driven differences in breast cancer prognosis.
Identifying the underlying genetic drivers of the heritability of breast cancer prognosis remains elusive. We adapt a network-based approach to handle underpowered complex datasets to provide new insights into the potential function of germline variants in breast cancer prognosis. This network-based analysis studies ~7.3 million variants in 84,457 breast cancer patients in relation to breast cancer survival and confirms the results on 12,381 independent patients. Aggregating the prognostic effects of genetic variants across multiple genes, we identify four gene modules associated with survival in estrogen receptor (ER)-negative and one in ER-positive disease. The modules show biological enrichment for cancer-related processes such as G-alpha signaling, circadian clock, angiogenesis, and Rho-GTPases in apoptosis
Genetic predisposition to ductal carcinoma in situ of the breast.
BACKGROUND: Ductal carcinoma in situ (DCIS) is a non-invasive form of breast cancer. It is often associated with invasive ductal carcinoma (IDC), and is considered to be a non-obligate precursor of IDC. It is not clear to what extent these two forms of cancer share low-risk susceptibility loci, or whether there are differences in the strength of association for shared loci. METHODS: To identify genetic polymorphisms that predispose to DCIS, we pooled data from 38 studies comprising 5,067 cases of DCIS, 24,584 cases of IDC and 37,467 controls, all genotyped using the iCOGS chip. RESULTS: Most (67 %) of the 76 known breast cancer predisposition loci showed an association with DCIS in the same direction as previously reported for invasive breast cancer. Case-only analysis showed no evidence for differences between associations for IDC and DCIS after considering multiple testing. Analysis by estrogen receptor (ER) status confirmed that loci associated with ER positive IDC were also associated with ER positive DCIS. Analysis of DCIS by grade suggested that two independent SNPs at 11q13.3 near CCND1 were specific to low/intermediate grade DCIS (rs75915166, rs554219). These associations with grade remained after adjusting for ER status and were also found in IDC. We found no novel DCIS-specific loci at a genome wide significance level of P < 5.0x10(-8). CONCLUSION: In conclusion, this study provides the strongest evidence to date of a shared genetic susceptibility for IDC and DCIS. Studies with larger numbers of DCIS are needed to determine if IDC or DCIS specific loci exist
Genetic predisposition to ductal carcinoma in situ of the breast
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