24 research outputs found

    New genetic loci link adipose and insulin biology to body fat distribution.

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    Body fat distribution is a heritable trait and a well-established predictor of adverse metabolic outcomes, independent of overall adiposity. To increase our understanding of the genetic basis of body fat distribution and its molecular links to cardiometabolic traits, here we conduct genome-wide association meta-analyses of traits related to waist and hip circumferences in up to 224,459 individuals. We identify 49 loci (33 new) associated with waist-to-hip ratio adjusted for body mass index (BMI), and an additional 19 loci newly associated with related waist and hip circumference measures (P < 5 × 10(-8)). In total, 20 of the 49 waist-to-hip ratio adjusted for BMI loci show significant sexual dimorphism, 19 of which display a stronger effect in women. The identified loci were enriched for genes expressed in adipose tissue and for putative regulatory elements in adipocytes. Pathway analyses implicated adipogenesis, angiogenesis, transcriptional regulation and insulin resistance as processes affecting fat distribution, providing insight into potential pathophysiological mechanisms

    Use-generative goods : a theory of goods as design spaces

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    De nouveaux produits et services jouissent aujourd'hui d'un succès surprenant, alors qu'ils ne s'intègrent pas dans les canons traditionnels de l'innovation. Sans proposer de ruptures technologiques ni d'usages clairement identifiés, ces biens suscitent toutefois une large exploration d'usages nouveaux et inconnus, à l'image du service web Twitter ou du téléphone iPhone qui viennent bouleverser les pratiques quotidiennes de leurs usagers dans de nombreux domaines, y compris professionnels.La littérature apporte des réponses partielles aux enjeux soulevés par cette classe de biens, mais semble limitée par une vision des biens comme systèmes de découplages de la conception d'usages : celle-ci aurait lieu au sein de la firme par des approches de type analyse d'usage ou bien auprès d'usagers-concepteurs très compétents.Nous proposons ici une théorie qui veut intégrer ces différents apports tout en soulevant les hypothèses que nous jugeons trop restrictives sur les usagers, les biens et leurs rapports à la conception d'usage. Ce projet nous amène à rediscuter la notion de biens pour les considérer comme des espaces de conception d'usages, à destination d'acteurs à la fois usagers et concepteurs.Ce nouveau paradigme suppose en revanche de réinterroger le rôle de la firme dans l'organisation de cette action collective de conception d'usages. La confrontation de notre modèle théorique à trois études de cas révèle que les succès que l'on connait aujourd'hui reposent sur une organisation sophistiquée des relations entre la firme et ses usagers concepteurs, ainsi qu'une ingénierie spécifique de dispositifs de conception, de formation et de coordination.De nouveaux produits et services jouissent aujourd'hui d'un succès surprenant, alors qu'ils ne s'intègrent pas dans les canons traditionnels de l'innovation. Sans proposer de ruptures technologiques ni d'usages clairement identifiés, ces biens suscitent toutefois une large exploration d'usages nouveaux et inconnus, à l'image du service web Twitter ou du téléphone iPhone qui viennent bouleverser les pratiques quotidiennes de leurs usagers dans de nombreux domaines, y compris professionnels.La littérature apporte des réponses partielles aux enjeux soulevés par cette classe de biens, mais semble limitée par une vision des biens comme systèmes de découplages de la conception d'usages : celle-ci aurait lieu au sein de la firme par des approches de type analyse d'usage ou bien auprès d'usagers-concepteurs très compétents.Nous proposons ici une théorie qui veut intégrer ces différents apports tout en soulevant les hypothèses que nous jugeons trop restrictives sur les usagers, les biens et leurs rapports à la conception d'usage. Ce projet nous amène à rediscuter de la notion de biens pour les considérer comme des espaces de conception d'usages, à destination d'acteurs à la fois usagers et concepteurs.Ce nouveau paradigme suppose en revanche de réinterroger le rôle de la firme dans l'organisation de cette action collective de conception d'usages. La confrontation de notre modèle théorique à trois études de cas révèle que les succès que l'on connait aujourd'hui reposent sur une organisation sophistiquée des relations entre la firme et ses usagers concepteurs, ainsi qu'une ingénierie spécifique de dispositifs de conception, de formation et de coordination

    Entre firme et usagers : des biens génératifs d’usages.Théorie des biens comme espaces de conception

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    De nouveaux produits et services jouissent aujourd'hui d'un succès surprenant, alors qu'ils ne s'intègrent pas dans les canons traditionnels de l'innovation. Sans proposer de ruptures technologiques ni d'usages clairement identifiés, ces biens suscitent toutefois une large exploration d'usages nouveaux et inconnus, à l'image du service web Twitter ou du téléphone iPhone qui viennent bouleverser les pratiques quotidiennes de leurs usagers dans de nombreux domaines, y compris professionnels.La littérature apporte des réponses partielles aux enjeux soulevés par cette classe de biens, mais semble limitée par une vision des biens comme systèmes de découplages de la conception d'usages : celle-ci aurait lieu au sein de la firme par des approches de type analyse d'usage ou bien auprès d'usagers-concepteurs très compétents.Nous proposons ici une théorie qui veut intégrer ces différents apports tout en soulevant les hypothèses que nous jugeons trop restrictives sur les usagers, les biens et leurs rapports à la conception d'usage. Ce projet nous amène à rediscuter de la notion de biens pour les considérer comme des espaces de conception d'usages, à destination d'acteurs à la fois usagers et concepteurs.Ce nouveau paradigme suppose en revanche de réinterroger le rôle de la firme dans l'organisation de cette action collective de conception d'usages. La confrontation de notre modèle théorique à trois études de cas révèle que les succès que l'on connait aujourd'hui reposent sur une organisation sophistiquée des relations entre la firme et ses usagers concepteurs, ainsi qu'une ingénierie spécifique de dispositifs de conception, de formation et de coordination.De nouveaux produits et services jouissent aujourd'hui d'un succès surprenant, alors qu'ils ne s'intègrent pas dans les canons traditionnels de l'innovation. Sans proposer de ruptures technologiques ni d'usages clairement identifiés, ces biens suscitent toutefois une large exploration d'usages nouveaux et inconnus, à l'image du service web Twitter ou du téléphone iPhone qui viennent bouleverser les pratiques quotidiennes de leurs usagers dans de nombreux domaines, y compris professionnels.La littérature apporte des réponses partielles aux enjeux soulevés par cette classe de biens, mais semble limitée par une vision des biens comme systèmes de découplages de la conception d'usages : celle-ci aurait lieu au sein de la firme par des approches de type analyse d'usage ou bien auprès d'usagers-concepteurs très compétents.Nous proposons ici une théorie qui veut intégrer ces différents apports tout en soulevant les hypothèses que nous jugeons trop restrictives sur les usagers, les biens et leurs rapports à la conception d'usage. Ce projet nous amène à rediscuter la notion de biens pour les considérer comme des espaces de conception d'usages, à destination d'acteurs à la fois usagers et concepteurs.Ce nouveau paradigme suppose en revanche de réinterroger le rôle de la firme dans l'organisation de cette action collective de conception d'usages. La confrontation de notre modèle théorique à trois études de cas révèle que les succès que l'on connait aujourd'hui reposent sur une organisation sophistiquée des relations entre la firme et ses usagers concepteurs, ainsi qu'une ingénierie spécifique de dispositifs de conception, de formation et de coordination

    Collaborative disruptive innovation success : The critical role of domain-challenging common meaning

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    International audienceThe innovation literature has discussed the construction of a common meaning in workgroups, with the influence of established shared understanding through feedback process that shape the construction of a new common meaning. On the other side, success of disruptive innovations have been linked to the capacity of individuals and organizations to radically shift the attributes of their established businesses. However there has been no study on the process of common meaning construction in the case of disruptive innovation. This paper investigates the role of common meaning on the success of disruptive innovations, in the case of an inter-organizational collaboration. Based on a case study with a consortium of 4 collaborating companies and using the theoretical framework of organizational learning, we distinguish two very different models: a domain-based common meaning and a domain- challenging common meaning. We discuss the managerial effects and conditions of each model, and show how the careful construction of a domain-challenging common meaning can enable a workgroup to produce disruptive outcomes

    Enabling and controlling third-party developers: a study of Apple's iPhone app design environment

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    International audienceIn this paper we present our research that focuses on transferring design activities to third-party actors through the introduction of a design platform. While this situation is quite common and has been undertaken many times - in particular in the software industry - we study an unusual case of an innovative and successful third-party design platform: Apple's iPhone App design platform. We build upon two main streams of the recent literature on innovation: lead user innovation and toolkits for user innovation. From these main streams we deduct a model that seems to emerge from research on design and innovation that advocates for maximizing innovation openness, further supported by the more recent open innovation paradigm. We then confront our case study (Apple's iPhone App development toolkit) to the literature in order to better understand the specificity of this unusual platform. We finally propose a model based on the expertise of each actor: the firm and the third-party that is being transferred by a toolkit or a methodology. This new model enables us to better understand the differences between the two literatures and our case study, and details the concept of openness in the lead-user and the toolkits for user innovation literature. Finally we detail how Apple's toolkit transfers design capabilities and present a new model for toolkits that we call "structured empowerment"

    Introduction à la conception innovante: Éléments théoriques et pratiques de la théorie C-K

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    National audienceSi l'innovation a toujours été le nerf de la guerre économique, les formes qu'elle prend aujourd'hui peuvent paraître déconcertantes. Ces nouveaux régimes de conception nécessitent d'entreprendre et de soutenir collectivement des raisonnements créatifs déstabilisant fortement les représentations traditionnelles des objets et des organisations. La théorie C-K est née au Centre de Gestion Scientifique d'un effort de modélisation et de formalisation de ces raisonnements, dans la perspective d'une meilleure compréhension de leurs spécificités. Si elle s'est aujourd'hui établie dans de nombreux univers académiques, et concrétisée dans une variété d'applications industrielles, elle n'avait toutefois pas encore fait l'objet d'un précis à destination d'un public plus large. Cet ouvrage présente succinctement quelques éléments de théorie, illustrés par des exemples ainsi que des outils et méthodes qui ont été développés conjointement par les chercheurs et leurs partenaires industriels. Préface de A. Hatchuel et B. Weil Postface de C. Trémoureu

    An introduction to innovative design - Elements and applications of C-K theory

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    International audienceWhile innovation has always been the lifeblood of any economic system, the forms this notion takes today may seem confusing. These new design regimes require to collectively support creative reasoning which strongly destabilize the traditional representations we have of known objects and organizations. C-K theory was born in Management Science Lab of Mines ParisTech in a modeling effort the activities undertaken in innovative design processes. The prospect of a better understanding of the characteristics of design led to the development of formal and practical aspects of C-K theory. If the theory is now established in the academic world and applied in a variety of industrial contexts, it had not yet been presented to a wider audience. This book presents briefly some elements of theory illustrated by examples as well as tools and methods that have been developed jointly by researchers and their industrial partners

    How digital/physical toolkits integrated in consumer products empower users to self-design their uses: A theoretical framework for use generation

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    International audienceMaking use of the modern design theories like C-K theory, we propose, in this paper to develop a theoretical framework that permit to understand thoroughly the design activities presently carried by digital/physical toolkits. Then, we apply it on two sets of design tools embedded in the ADIDAS One running shoes and the EMOTIO software. Relying on the findings, we consider managerial implications for firms attempting to integrate digital/physical toolkits into their products at low risk

    Impact of Emotional Context Congruency on Decision Making Under Ambiguity

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    International audienceIn this study, we tested the somatic marker hypothesis (SMH) by using an adaptation of the Iowa Gambling Task (IGT) in which the emotional context associated with primary inducers was systemati- cally manipulated. In this modified version of the IGT, a picture of either a happy face or a fearful face was presented after each feedback. Critically, the expression of the face was either congruent or incongruent with the feedback delivered. Analyses of participants' choices revealed that the congruency of the emotional context with the feedback affects performance on the IGT: The ability to choose advantageously increases when the emotional context is congruent with feedback (i.e., happy faces after rewards and fearful ones after punishments), whereas this ability is impaired with an incongruent emotional context (i.e., fearful faces after rewards and happy faces after punishments). These findings provide evidence that decision making under ambiguity is driven by emotion-related signals, as postu- lated by the SMH
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