16 research outputs found

    Photography-based taxonomy is inadequate, unnecessary, and potentially harmful for biological sciences

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    The question whether taxonomic descriptions naming new animal species without type specimen(s) deposited in collections should be accepted for publication by scientific journals and allowed by the Code has already been discussed in Zootaxa (Dubois & NemĂ©sio 2007; Donegan 2008, 2009; NemĂ©sio 2009a–b; Dubois 2009; Gentile & Snell 2009; Minelli 2009; Cianferoni & Bartolozzi 2016; Amorim et al. 2016). This question was again raised in a letter supported by 35 signatories published in the journal Nature (Pape et al. 2016) on 15 September 2016. On 25 September 2016, the following rebuttal (strictly limited to 300 words as per the editorial rules of Nature) was submitted to Nature, which on 18 October 2016 refused to publish it. As we think this problem is a very important one for zoological taxonomy, this text is published here exactly as submitted to Nature, followed by the list of the 493 taxonomists and collection-based researchers who signed it in the short time span from 20 September to 6 October 2016

    Going back to rovuma: the frog fauna of a coastal Dry forest, and a checklist of the amphibians of Mozambique

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    Field work was conducted in 2008 and 2009 in Nhica do Rovuma, Cabo Delgado province of Mozambique, in order to assess anuran faunal composition of East African coastal dry forest. A total of 31 species were observed and/or collected; 24 of these are new for the province. Discussions on nomenclatural and taxonomic aspects are given for Leptopelis broadleyi, Hyperolius parkeri, Ptychadena anchietae, Ptychadena oxyrhynchus, and Ptychadena taenioscelis. Available names for the Hyperolius nasutus complex frogs are discussed and Hyperolius microps is used as valid name for Hyperolius acuticeps. The following new synonyms: Hyperolius translucens Power, 1935 syn. nov. is a junior subjective synonym of Crumenifera pusilla Cope, 1862 with the valid name Hyperolius pusillus (Cope, 1862); Hyperolius usaramoae Loveridge, 1932 syn. nov. and Hyperolius acuticeps Ahl, 1931 syn. nov. are junior subjective synonyms of Hyperolius microps GĂŒnther, 1864. Xenopus petersi was confirmed from Mozambique based on a historical specimen. A literature e view of the distribution of amphibians of Mozambique resulted in a national checklist of 82 species or subspecies. A dendrogram of occurrence data investigating faunal relationships between provinces illustrates Cabo Delgado is closest to Nampula in the number of shared species, reflecting the distribution of East African coastal dry forest frog fauna.Keywords: Amphibia, faunistic study, taxonomy, live colouration, species lis

    The authorships and dates of the specific nomina Megophrys shuichengensis and Pseudohynobius shuichengensis (Amphibia)

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    Ohler, Annemarie, Frétey, Thierry, Dubois, Alain (2015): The authorships and dates of the specific nomina Megophrys shuichengensis and Pseudohynobius shuichengensis (Amphibia). Zootaxa 3963 (4): 595-597, DOI: 10.11646/zootaxa.3963.4.

    Date de publication, onomatophore and onymotope of Emoia cyanura (Squamata: Scincidae)

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    International audienceThe publication date, availability and onymotope of the nomen Scincus cyanurus are assessed. The nomen was validly published by Lesson in 1830 and is based on a holophoront, probably from the island of Tahiti. Elements allowing the identification of the nomina cited in the synonymy of Scincus cyanurus are given. Eumeces lessonii DumĂ©ril & Bibron, 1839 is a replacement name of this nomen (alloneonym) and Emoia pheonura Ineich, 1987 is a subjective synonym (doxisonym) whereas the nomina Tiliqua lessonii Cocteau and Tiliqua kienerii Cocteau are unavailable as the part of the work of Cocteau proposing these nomina has not been published. The nomen“Scincus celestinus” is a gymnonym (nomen nudum) to be listed in the synonymy of Mocoa caeruleocauda De Vis, 1892 as confirmed by the identity of the specimens from the MNHN collections on which the nomen is based.La date de publication, la disponibilitĂ© et l’onymotope du nomen Scincus cyanurus sont analysĂ©s. Le nomen a Ă©tĂ© validement publiĂ© par Lesson en 1830 et il est basĂ© sur un holophoronte, probablement de l’üle de Tahiti. Des Ă©lĂ©ments permettant la reconnaissance de l’identitĂ© des nomina dans la synonymy de Scincus cyanurus basĂ©s sur des spĂ©cimens du MNHN sont donnĂ©s. Ainsi Eumeces lessonii DumĂ©ril & Bibron, 1839 est un nom de remplacement de ce nomen (allonĂ©onyme) et Emoia pheonura Ineich, 1987 est un synonyme subjectif (doxisonyme). En revanche, les nomina Tiliqua lessonii Cocteau et Tiliqua kienerii Cocteau ne sont pas disponibles car cette livraison du travail de Cocteau n’a pas Ă©tĂ© publiĂ©e. Le nomen“Scincus celestinus” est un gymnonyme (nomen nudum) qu’il faut inclure dans la synonymie de Mocoa caeruleocauda De Vis, 1892, confirmĂ© par l’identitĂ© des spĂ©cimens de la collection du MNHN sur lesquels le nomen est basĂ©

    Les peuplements néo-calédoniens de vertébrés : invasions, disparitions

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    RĂ©sumĂ©Sous rĂ©serve d’accepter les dĂ©finitions d’invasion biologique et d’espĂšce envahissante Ă©noncĂ©es en introduction, les donnĂ©es disponibles, souvent incomplĂštes, permettent de conclure qu’entre 2000 ans avant J.-C. et aujourd’hui, et pour l’ensemble des Ăźles de la Nouvelle-CalĂ©donie, 279 espĂšces de vertĂ©brĂ©s terrestres ou d’eau douce et saumĂątre y ont constituĂ© ou constituent actuellement des populations reproductrices et pĂ©rennes.Parmi ces espĂšces, dix-huit ont disparu du territoire au cours des quatre derniers millĂ©naires et seize d’entre elles, endĂ©miques de Nouvelle-CalĂ©donie, sont actuellement Ă©teintes. Quatorze de ces disparitions sont intervenues pendant la pĂ©riode mĂ©lanĂ©sienne, ce qui reprĂ©sente un taux de 0,4 disparition par siĂšcle, et quatre pendant la pĂ©riode historique, soit 1,6 disparition par siĂšcle.Pendant ce mĂȘme laps de temps, quarante-deux espĂšces de vertĂ©brĂ©s ont envahi la Nouvelle-CalĂ©donie : quatre d’entre elles spontanĂ©ment et trente-huit qui ont Ă©tĂ© introduites, dĂ©libĂ©rĂ©ment ou non, par l’homme. Une seule a Ă©tĂ© introduite de façon certaine pendant l’époque mĂ©lanĂ©sienne, soit 0,03 introduction par siĂšcle, et trente-sept pendant l’époque historique, soit 14,8 introductions par siĂšcle.Ces deux rĂ©sultats soulignent le rĂŽle majeur jouĂ© par l’homme dans l’évolution rĂ©cente de la composition de la faune de vertĂ©brĂ©s du territoire.Au nombre des trente-huit espĂšces introduites par l’homme figurent 12 espĂšces de la liste IUCN des 100 espĂšces qui, introduites, engendrent les dysfonctionnements les plus importants aux Ă©cosystĂšmes d’accueil. Par ailleurs, l’impact de la quasi-totalitĂ© des espĂšces allochtones sur leurs Ă©cosystĂšmes d’accueil nĂ©o-calĂ©doniens est non documentĂ©. Enfin, aucune de ces espĂšces ne fait actuellement l’objet de mesure de gestion globale Ă  but affichĂ© environnemental.La Grande Terre qui hĂ©berge la totalitĂ© des espĂšces allochtones prĂ©sentes sur le territoire, constitue une importante source d’espĂšces allochtones pour l’ensemble des autres Ăźles de la Nouvelle-CalĂ©donie. Ce risque est d’autant plus important que les espĂšces en question ont fait la preuve de leur capacitĂ© Ă  parvenir en Nouvelle-CalĂ©donie et Ă  coloniser plusieurs de ses Ă©cosystĂšmes. Ce risque est Ă©galement important en raison de la proximitĂ© gĂ©ographique et des relations privilĂ©giĂ©es qu’entretient la Grande Terre avec ces Ăźles en terme de volume de trafic de marchandises et de passagers. Ce risque est enfin important parce que les motivations Ă  l’origine de certaines introductions sur la Grande Terre (cynĂ©gĂ©tique, pĂȘche, colombophilie, aquariophilie, nouvelles espĂšces d’animaux de compagnie, etc.) sont tout Ă  fait susceptibles de voir le jour sur les Ăźles habitĂ©es ou non qui sont actuellement dĂ©pourvues de ces espĂšces allochtones.Par ailleurs, deux espĂšces endĂ©miques de la Grande Terre ont Ă©tĂ© introduites sur les Ăźles LoyautĂ©. De telles introductions peuvent apparaĂźtre lĂ©gitimes, voire salvatrices dans certains cas. C’est oublier que toute introduction a des consĂ©quences et que de telles introductions sont Ă  proscrire en l’absence de solides travaux d’écologie permettant d’en apprĂ©cier de façon fondĂ©e les risques au regard des avantages.En consĂ©quence, les mesures qui doivent ĂȘtre prises pour limiter les introductions d’espĂšces allochtones depuis l’extĂ©rieur du territoire doivent Ă©galement ĂȘtre mises en application au sein du territoire. Notons que la promulgation de ces mesures et leur application ne relĂšveraient que des autoritĂ©s territoriales et ne se heurteraient pas aux difficultĂ©s que peuvent soulever des rĂšgles conduisant Ă  limiter les Ă©changes commerciaux internationaux

    Liste taxinomique de l'herpétofaune dans l'outre-mer français : VII. Les Amphibiens de la Guyane française

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    International audienceThe taxonomic checklist is established for the amphibians of French Guiana, a French overseasterritorial collectivity in South America. It considers the most recent publications on the herpetofauna ofthe region. In addition to international zoological scientific names, a French scientific name is attributed toeach taxon.La liste taxinomique de rĂ©fĂ©rence est Ă©tablie pour les Amphibiens de Guyane française, collectivitĂ© territoriale d' outre-mer en AmĂ©rique du Sud. Elle tient compte des publications les plus rĂ©centes sur l'herpĂ©tofaune de la rĂ©gion. À cĂŽtĂ© du nom scientifique zoologique international, un nom scientifique français est attribuĂ© Ă  chaque taxon

    Liste taxinomique de l'herpétofaune dans l'outre-mer français : V. Département de la Guadeloupe

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    The taxonomic checklist is updated for the Amphibians and “Reptiles” of the French department of Guadeloupe, in the Lesser Antilles. It takes into account most recent publications. In addition to international zoological scientific names, we attributed a French scientific name to each taxon.La liste taxinomique est actualisĂ©e pour les Amphibiens et les « Reptiles » de la Guadeloupe, dĂ©partement et rĂ©gion d' outre-mer dans les Petites Antilles. Elle tient compte des publications les plus rĂ©centes. À cĂŽtĂ© du nom scientifique zoologique international, nous attribuons un nom scientifique français Ă  chaque taxon
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