8 research outputs found

    Integrated immunovirological profiling validates plasma SARS-CoV-2 RNA as an early predictor of COVID-19 mortality.

    Full text link
    peer reviewedDespite advances in COVID-19 management, identifying patients evolving toward death remains challenging. To identify early predictors of mortality within 60 days of symptom onset (DSO), we performed immunovirological assessments on plasma from 279 individuals. On samples collected at DSO11 in a discovery cohort, high severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 (SARS-CoV-2) viral RNA (vRNA), low receptor binding domain–specific immunoglobulin G and antibody-dependent cellular cytotoxicity, and elevated cytokines and tissue injury markers were strongly associated with mortality, including in patients on mechanical ventilation. A three-variable model of vRNA, with predefined adjustment by age and sex, robustly identified patients with fatal outcome (adjusted hazard ratio for log-transformed vRNA = 3.5). This model remained robust in independent validation and confirmation cohorts. Since plasma vRNA’s predictive accuracy was maintained at earlier time points, its quantitation can help us understand disease heterogeneity and identify patients who may benefit from new therapies

    Presentare e comunicare le statistiche: principi, componenti e valutazione della loro qualitĂ 

    No full text
    Inhibition of excessive Toll-like receptor 4 (TLR4) signaling is a therapeutic approach pursued for many inflammatory diseases. We report that Mannoside Glycolipid Conjugates (MGCs) selectively blocked TLR4-mediated activation of human monocytes and monocyte-derived dendritic cells (DCs) by lipopolysaccharide (LPS). They potently suppressed pro-inflammatory cytokine secretion and maturation of DCs exposed to LPS, leading to impaired T cell stimulation. MGCs did not interfere with LPS and could act in a delayed manner, hours after LPS stimulation. Their inhibitory action required both the sugar heads and the lipid chain, although the nature of the sugar and the structure of the lipid tail could be modified. They blocked early signaling events at the cell membrane, enhanced internalization of CD14 receptors, and prevented colocalization of CD14 and TLR4, thereby abolishing NF-ÎșB nuclear translocation. When the best lead conjugate was tested in a mouse model of LPS-induced acute lung inflammation, it displayed an anti-inflammatory action by suppressing the recruitment of neutrophils. Thus, MGCs could serve as promising leads for the development of selective TLR4 antagonistic agents for inflammatory diseases

    Sustained IFN signaling is associated with delayed development of SARS-CoV-2-specific immunity

    No full text
    Abstract Plasma RNAemia, delayed antibody responses and inflammation predict COVID-19 outcomes, but the mechanisms underlying these immunovirological patterns are poorly understood. We profile 782 longitudinal plasma samples from 318 hospitalized patients with COVID-19. Integrated analysis using k-means reveals four patient clusters in a discovery cohort: mechanically ventilated critically-ill cases are subdivided into good prognosis and high-fatality clusters (reproduced in a validation cohort), while non-critical survivors segregate into high and low early antibody responders. Only the high-fatality cluster is enriched for transcriptomic signatures associated with COVID-19 severity, and each cluster has distinct RBD-specific antibody elicitation kinetics. Both critical and non-critical clusters with delayed antibody responses exhibit sustained IFN signatures, which negatively correlate with contemporaneous RBD-specific IgG levels and absolute SARS-CoV-2-specific B and CD4+ T cell frequencies. These data suggest that the “Interferon paradox” previously described in murine LCMV models is operative in COVID-19, with excessive IFN signaling delaying development of adaptive virus-specific immunity

    Impacts des produits phytopharmaceutiques sur la biodiversitĂ© et les services Ă©cosystĂ©miques. Rapport de l’expertise scientifique collective

    Get PDF
    Chaque annĂ©e, entre 55 000 et 70 000 tonnes de substances actives phytopharmaceutiques, incluant celles utilisables en agriculture biologique et de biocontrĂŽle, sont vendues sur le territoire français mĂ©tropolitain et d’outre-mer et sont utilisĂ©es pour la protection des cultures ou l’entretien des jardins, espaces vĂ©gĂ©talisĂ©s et infrastructures (JEVI). Dans le mĂȘme temps, le rapport sur l’évaluation mondiale de la biodiversitĂ© et des services Ă©cosystĂ©miques Ă©tabli en 2019 par la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversitĂ© et les services Ă©cosystĂ©miques (IPBES) dresse le bilan alarmant d’une Ă©rosion sans prĂ©cĂ©dent de la biodiversitĂ©. La pollution chimique gĂ©nĂ©rĂ©e par les activitĂ©s humaines, incluant les produits phytopharmaceutiques (PPP), est identifiĂ©e parmi les causes de cette Ă©rosion. Cette pollution s’ajoute Ă  d’autres pressions, comme les destructions d’habitats causĂ©es par l’urbanisation, l’intensification des pratiques agricoles et sylvicoles, et les consĂ©quences du changement climatique. Face Ă  ce constat, la rĂ©glementation europĂ©enne en matiĂšre de mise sur le marchĂ© des PPP vise un degrĂ© Ă©levĂ© de protection, avec en particulier pour principe d’éviter tout effet inacceptable sur l’environnement. Toutefois, elle ne parvient pas complĂštement Ă  atteindre cet objectif, en raison notamment d’une prise en compte insuffisante de la diversitĂ© des interactions telles qu’elles se produisent dans l’environnement (entre substances, entre organismes, avec une variĂ©tĂ© de facteurs physico-chimiques, etc.).C’est dans ce contexte que les ministres chargĂ©s de l’Environnement, de l’Agriculture et de la Recherche ont sollicitĂ© INRAE et l’Ifremer pour rĂ©aliser un Ă©tat des lieux des connaissances scientifiques relatives aux impacts des PPP sur la biodiversitĂ© et les services Ă©cosystĂ©miques. La prĂ©cĂ©dente expertise scientifique collective (ESCo) portant sur Pesticides, agriculture et environnement avait Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en 2005. LeprĂ©sent exercice consiste Ă  en actualiser les rĂ©sultats, en les Ă©largissant Ă  l’ensemble du continuum terre-mer et en incluant les usages de PPP relevant des zones non agricoles (JEVI). A la diffĂ©rence de celle de 2005, cette ESCo est positionnĂ©e en aval de l’utilisation des PPP, pour traiter du devenir et des impacts de ces substances une fois introduites dans l’environnement. Elle ne traite pas des pratiques ou systĂšmes agricoles permettant de rĂ©duire les utilisations de PPP, ni des stratĂ©gies prĂ©ventives de rĂ©gulation des bioagresseurs. Ces thĂ©matiques font l’objet d’autres travaux en cours, notamment une autre ESCo conduite par INRAE sur la gestion des couverts vĂ©gĂ©taux pour la rĂ©gulation naturelle des bioagresseurs dont les rĂ©sultats sont attendus Ă  l’automne 2022. Ces deux exercices s’inscrivent dans le cadre du Plan Ecophyto II+, en complĂ©ment de l’expertise Pesticides et santĂ© humaine publiĂ©e par l’Inserm en 2021.Le pĂ©rimĂštre de la prĂ©sente ESCo couvre les diffĂ©rents milieux (terrestre, atmosphĂ©rique, aquatiques continental et marin, Ă  l’exception des eaux souterraines) dans leur continuitĂ©, du lieu d’application jusqu’à l’ocĂ©an, en France mĂ©tropolitaine et d’outre-mer, Ă  partir de connaissances produites ou transposables dans ce type de contexte (climat, PPP utilisĂ©s, biodiversitĂ© prĂ©sente, etc.). Il intĂšgre tous les produits destinĂ©s Ă  la protection des cultures ou Ă  l’entretien des JEVI, qu’il s’agisse de PPP conventionnels ou de produits ou agents de biocontrĂŽle, dĂšs lors qu’ils sont susceptibles de se retrouver dans l’environnement du fait d’une utilisation actuelle ou plus ancienne. Le cadre d’analyse mis en place considĂšre la biodiversitĂ© dans ses dimensions structurelle et fonctionnelle, et il intĂšgre la question des services Ă©cosystĂ©miques. L’attention est ainsi plus particuliĂšrement portĂ©e sur des travaux qui documentent la mise en Ă©vidence des risques et des effets dans des conditions environnementales rĂ©alistes, et Ă  des niveaux d’organisation biologique (ex. individu, population, communautĂ©, Ă©cosystĂšme) susceptibles de faciliter le lien Ă  Ă©tablir avec la biodiversitĂ© ainsi qu’avec les fonctions et services Ă©cosystĂ©miques

    Impacts des produits phytopharmaceutiques sur la biodiversitĂ© et les services Ă©cosystĂ©miques. Rapport de l’expertise scientifique collective

    Get PDF
    Chaque annĂ©e, entre 55 000 et 70 000 tonnes de substances actives phytopharmaceutiques, incluant celles utilisables en agriculture biologique et de biocontrĂŽle, sont vendues sur le territoire français mĂ©tropolitain et d’outre-mer et sont utilisĂ©es pour la protection des cultures ou l’entretien des jardins, espaces vĂ©gĂ©talisĂ©s et infrastructures (JEVI). Dans le mĂȘme temps, le rapport sur l’évaluation mondiale de la biodiversitĂ© et des services Ă©cosystĂ©miques Ă©tabli en 2019 par la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversitĂ© et les services Ă©cosystĂ©miques (IPBES) dresse le bilan alarmant d’une Ă©rosion sans prĂ©cĂ©dent de la biodiversitĂ©. La pollution chimique gĂ©nĂ©rĂ©e par les activitĂ©s humaines, incluant les produits phytopharmaceutiques (PPP), est identifiĂ©e parmi les causes de cette Ă©rosion. Cette pollution s’ajoute Ă  d’autres pressions, comme les destructions d’habitats causĂ©es par l’urbanisation, l’intensification des pratiques agricoles et sylvicoles, et les consĂ©quences du changement climatique. Face Ă  ce constat, la rĂ©glementation europĂ©enne en matiĂšre de mise sur le marchĂ© des PPP vise un degrĂ© Ă©levĂ© de protection, avec en particulier pour principe d’éviter tout effet inacceptable sur l’environnement. Toutefois, elle ne parvient pas complĂštement Ă  atteindre cet objectif, en raison notamment d’une prise en compte insuffisante de la diversitĂ© des interactions telles qu’elles se produisent dans l’environnement (entre substances, entre organismes, avec une variĂ©tĂ© de facteurs physico-chimiques, etc.).C’est dans ce contexte que les ministres chargĂ©s de l’Environnement, de l’Agriculture et de la Recherche ont sollicitĂ© INRAE et l’Ifremer pour rĂ©aliser un Ă©tat des lieux des connaissances scientifiques relatives aux impacts des PPP sur la biodiversitĂ© et les services Ă©cosystĂ©miques. La prĂ©cĂ©dente expertise scientifique collective (ESCo) portant sur Pesticides, agriculture et environnement avait Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en 2005. LeprĂ©sent exercice consiste Ă  en actualiser les rĂ©sultats, en les Ă©largissant Ă  l’ensemble du continuum terre-mer et en incluant les usages de PPP relevant des zones non agricoles (JEVI). A la diffĂ©rence de celle de 2005, cette ESCo est positionnĂ©e en aval de l’utilisation des PPP, pour traiter du devenir et des impacts de ces substances une fois introduites dans l’environnement. Elle ne traite pas des pratiques ou systĂšmes agricoles permettant de rĂ©duire les utilisations de PPP, ni des stratĂ©gies prĂ©ventives de rĂ©gulation des bioagresseurs. Ces thĂ©matiques font l’objet d’autres travaux en cours, notamment une autre ESCo conduite par INRAE sur la gestion des couverts vĂ©gĂ©taux pour la rĂ©gulation naturelle des bioagresseurs dont les rĂ©sultats sont attendus Ă  l’automne 2022. Ces deux exercices s’inscrivent dans le cadre du Plan Ecophyto II+, en complĂ©ment de l’expertise Pesticides et santĂ© humaine publiĂ©e par l’Inserm en 2021.Le pĂ©rimĂštre de la prĂ©sente ESCo couvre les diffĂ©rents milieux (terrestre, atmosphĂ©rique, aquatiques continental et marin, Ă  l’exception des eaux souterraines) dans leur continuitĂ©, du lieu d’application jusqu’à l’ocĂ©an, en France mĂ©tropolitaine et d’outre-mer, Ă  partir de connaissances produites ou transposables dans ce type de contexte (climat, PPP utilisĂ©s, biodiversitĂ© prĂ©sente, etc.). Il intĂšgre tous les produits destinĂ©s Ă  la protection des cultures ou Ă  l’entretien des JEVI, qu’il s’agisse de PPP conventionnels ou de produits ou agents de biocontrĂŽle, dĂšs lors qu’ils sont susceptibles de se retrouver dans l’environnement du fait d’une utilisation actuelle ou plus ancienne. Le cadre d’analyse mis en place considĂšre la biodiversitĂ© dans ses dimensions structurelle et fonctionnelle, et il intĂšgre la question des services Ă©cosystĂ©miques. L’attention est ainsi plus particuliĂšrement portĂ©e sur des travaux qui documentent la mise en Ă©vidence des risques et des effets dans des conditions environnementales rĂ©alistes, et Ă  des niveaux d’organisation biologique (ex. individu, population, communautĂ©, Ă©cosystĂšme) susceptibles de faciliter le lien Ă  Ă©tablir avec la biodiversitĂ© ainsi qu’avec les fonctions et services Ă©cosystĂ©miques
    corecore