Literary studies and the academy

In 1885 the University of Oxford invited applications for the newly created Merton Professorship of English Language and Literature. The holder of the chair was, according to the statutes, to ‘lecture and give instruction on the broad history and criticism of English Language and Literature, and on the works of approved English authors’. This was not in itself a particularly innovatory move, as the study of English vernacular literature had played some part in higher education in Britain for over a century. Oxford University had put English as a subject into its pass degree in 1873, had been participating since 1878 in extension teaching, of which literary study formed a significant part, and had since 1881 been setting special examinations in the subject for its non-graduating women students. What was new was the fact that this ancient university appeared to be on the verge of granting the solid academic legitimacy of an established chair to an institutionally marginal and often contentious intellectual pursuit, acknowledging the study of literary texts in English to be a fit subject not just for women and the educationally disadvantaged but also for university men

Faits et effets misogynes dans la vie et l'œuvre de Jorys-Karl Huysmans

Is Huysmans' misogyny identical by nature to Michelet 's, Laforgue's or even Baudelaire's misogynies ? Can J.K. Huysmans be related to an old Christian misogynistic tradition ? Or is his misogyny, as well as his antisemitism, the matter of a more personal conflict and a sort of protection against the agressions of the outside world ? In other words should not we consider Huysmans' misogyny as the product of an inability to live, of a body and soul disorder, as one of the rites of preservation helping him to reach the Infinite. Is not this mystical quest a way to soothe Huysmans' conflictual nature in which, devout Catholicism, Marian cult, stupendous conversion along with dénégation of women, Jews, Free-masonry and Americanism are nothing but "recettes de l'absolu".Vircondelet Alain. Faits et effets misogynes dans la vie et l'œuvre de Jorys-Karl Huysmans. In: Les Cahiers du GRIF, n°47, 1993. Misogynies. pp. 37-49

Chapitre X. Huysmans et l’expérience de la douleur

L’histoire de la douleur dans la vie et l’œuvre de Huysmans est à lire comme un long pèlerinage dont les différentes stations l’ont conduit à la fusion mystique. Les nombreuses locutions adverbiales qu’il utilise en guise de titres rappellent ce cheminement : Huysmans est un écrivain qui marche, qui va vers, qui veut rejoindre. La route n’est pas simple, elle est au contraire semée d’embûches, de chausse-trappe et de tentations rapportées sans pudeur. C’est déjà bien en amont des œuvres de la..

Le petit frère de la nuit : roman / Alain Vircondelet

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Pour Duras / Alain Vircondelet

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J.-K. Huysmans

A principio erat verbum. La position spirituelle et la situation littéraire d’un écrivain engoncé entre une fin de siècle matérialiste et un avant-siècle se prosternant devant l’idéologie du Progrès le condamne parfois à errer en une sorte d’interrègne, qui masque la modernité de son interrogation religieuse. Chez Huysmans, ce réseau de signes apparemment contraires désigne le lieu d’une interrogation essentielle. Celle-ci ne trouvera sa réponse qu’à partir du cycle de Durtal, tandis que son foyer demeurera sans cesse ardent jusqu’à la conversion de l’écrivain, en 1892, et au-delà. Loin d’être frappés de désuétude, le long cheminement spirituel et son point d’orgue, la déclaration de foi, rendent Huysmans plus proche de nous. Ses hésitations et ses atermoiements confèrent une sincérité douloureuse à son besoin d’absolu. Tout un pluriel d’interrogations trouvent une manière de réponse dans le cycle catholique (En route, La Cathédrale, L’Oblat), mais déjà, les états d’âme de des Esseintes laissent assez tôt entrevoir les états de l’âme, celle qui s’ouvre à l’éveil de la foi. Ce livre, tiré des travaux du colloque Joris-Karl Huysmans organisé à l’Institut catholique de Rennes le 15 décembre 2007, à l’occasion du centenaire de la mort de l’écrivain, exprime au sujet de Huysmans certaine nouveauté, relative à la seconde partie de la vie de l’écrivain. Soit qu’il s’agisse de projeter une lumière inédite sur quelques aspects choisis de la figure de l’homme et de l’œuvre dite catholique ; soit qu’il s’agisse de mettre au jour des aspects eux-mêmes moins connus, qui convergent vers l’image d’un Huysmans, homme de la synthèse