100 research outputs found

    Research response to coronavirus disease 2019 needed better coordination and collaboration: a living mapping of registered trials

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    Objectives: Researchers worldwide are actively engaging in research activities to search for preventive and therapeutic interventions against coronavirus disease 2019 (COVID-19). Our aim was to describe the planning of randomized controlled trials (RCTs) in terms of timing related to the course of the COVID-19 epidemic and research question evaluated. Study Design and Setting: We performed a living mapping of RCTs registered in the WHO International Clinical Trials Registry Platform. We systematically search the platform every week for all RCTs evaluating preventive interventions and treatments for COVID-19 and created a publicly available interactive mapping tool at https://covid-nma.com to visualize all trials registered. Results: By August 12, 2020, 1,568 trials for COVID-19 were registered worldwide. Overall, the median ([Q1–Q3]; range) delay between the first case recorded in each country and the first RCT registered was 47 days ([33–67]; 15–163). For the 9 countries with the highest number of trials registered, most trials were registered after the peak of the epidemic (from 100% trials in Italy to 38% in the United States). Most trials evaluated treatments (1,333 trials; 85%); only 223 (14%) evaluated preventive strategies and 12 postacute period intervention. A total of 254 trials were planned to assess different regimens of hydroxychloroquine with an expected sample size of 110,883 patients. Conclusion: This living mapping analysis showed that COVID-19 trials have relatively small sample size with certain redundancy in research questions. Most trials were registered when the first peak of the pandemic has passed

    VIANDE BOVINE ET SECURITE SANITAIRE

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    CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocLYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    La santé environnementale en France…

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    International audienc

    La gestion du risque environnemental : un challenge pour le xxi e siècle !

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    International audienceEnvironnement et santé, deux mots de plus en plus souvent associés et présents dans notre quotidien... Un concept nou-veau ? Non. Il y a plus de vingt-cinq siècles, Hippocrate de Cos appuyait sa pratique médicale sur les éléments de la nature dans son traité « Des eaux, des airs, des lieux ». Le temps s'est écoulé… Il n'en reste pas moins qu'aujourd'hui, environnement et santé doivent toujours être considérés avec attention par les soignants, les sociétés savantes et les déci-deurs en politique de santé. Ainsi, en 2015, la Fédération Internationale de Gynécolo-gie Obstétrique (FIGO) a interpellé les professionnels de la santé périnatale sur les risques sanitaires liés à l'exposition aux substances chimiques, aussi bien pour les femmes que pour les hommes [1]. En effet, les expositions pré-conceptionnelles ou prénatales à des xénobiotiques peuvent avoir des conséquences, aussi bien pour le foetus que pour l'enfant à naître ou l'adulte en devenir. Le risque sanitaire existe, même pour une exposition à faible dose, si elle sur-vient lors d'une fenêtre critique du développement. Toute interférence avec le système hormonal régulant la reproduction et le développement est particulièrement préoccupante. À ce jour, il est admis que de nombreux xénobiotiques (organiques et inorganiques), regroupés sous l'appellation de « perturbateurs endocriniens », peuvent altérer le fonc-tionnement habituel de l'organisme en interagissant avec la synthèse, la dégradation, le transport ou le mode d'action des hormones. Leur mécanisme d'action passe par un effet toxique indirect via les modifications physiologiques indui-tes. De nombreuses définitions existent pour décrire ce que sont les perturbateurs endocriniens. La plus consensuelle est celle de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) qui décrit un perturbateur endocrinien comme « une substance exogène ou un mélange (de substances) qui altère les fonc-tions du système endocrinien et, par voie de conséquence, cause un effet délétère sur la santé d'un individu, sa descen-dance ou des sous-populations » [2]. Les perturbateurs endocriniens peuvent être présents dans des produits manufacturés ou des aliments d'origine végé-tale ou animale. Cependant, ils sont pour la plupart issus de l'industrie de synthèse (chimique, agro-alimentaire, phytosa-nitaire, pharmaceutique, etc.). Nombreux sont rémanents dans l'environnement et peuvent être transférés d'un milieu à un autre (sols, eau, air, etc.) longtemps après leur production. Bien que les perturbateurs endocriniens fassent la une des medias et des revues grand public, ils ont commencé à attirer l'attention des chercheurs dès les années 1950. Cependant, il a fallu attendre les années 1970, avec le scandale du Distil-bène ® (diéthylstilbestrol) pour que ce sujet soit porté sur le devant de la scène scientifique et médiatique. En effet, ce médicament commercialisé dans les années 1950 pour lutter contre les fausses couches va brutalement passer, après plu-sieurs décennies de prescription, du statut de « pilule miracle » à celui de « médicament catastrophe ». Il a permis de démontrer qu'une exposition prénatale à une substance chi-mique exogène, dotée d'activité hormonale, peut induire des effets sur les générations suivantes. Bien que cet exemple historique ait marqué les esprits, un rappel des faits peut nous permettre de prendre conscience de l’effet-temps dansla reconnaissance d’un problème sanitaire

    Vers l’intégration de la santé environnementale dans les pratiques quotidiennes de soins

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    International audienc

    Le dispositif médical en France et au Japon (états des lieux et réglementations)

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    Les Etats-Unis, l'Union Européenne et le Japon sont les 3 plus gros marchés mondiaux de Dispositifs Médicaux. Ils représentent environ 90% de la production et de la consommation mondiale de dispositifs médicaux. Alors que les entreprises européennes produisent une grande variété de dispositifs médicaux, allant des fournitures hospitalières aux produits de haute technologie, les entreprises japonaises sont plus axées sur les appareils d'imagerie médicale et de fourniture de base pour les hôpitaux. Cette thèse examine les conditions réglementaires et les échanges liés aux dispositifs médicaux en France et au Japon. En France, la mise sur le marché des dispositifs médicaux s'effectue selon un cadre réglementaire Européen, constitué de 3 directives et sur la base du marquage CE. Le marquage CE est obtenu auprès d'un organisme notifié ; il garantit que le dispositif médical répond aux exigences essentielles de santé et de sécurité. Au Japon, les dispositifs médicaux sont réglementés par la "Pharmaceutical Affairs Law" ou loi relative aux affaires pharmaceutiques. L'analyse des données disponibles suggère que la moyenne des délais totaux d'approbation pour les dispositifs médicaux est plus élevée au Japon que dans les autres principaux marchés mondiaux. Malgré une volonté du Japon de réduire ces délais depuis 2005 avec les réformes de la loi japonaise relative aux affaires pharmaceutiques, d'importants défis subsistent. Dans le domaine de l'innovation, les dispositifs médicaux de technologie de pointe sont les plus touchés par le processus réglementaire japonais, de part les délais nécessaires pour l'instruction des dossiers (en moyenne 18 à 36 mois). Or, l'industrie française et européenne des dispositifs médicaux évolue vite, puisque le délai moyen avant de remplacer un dispositif médical par un autre plus performant est de 18 mois. Cette discordance temporelle pénalise les industries françaises et européennes pour la commercialisation de dispositifs médicaux au Japon.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocLYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    Soif et risque de déshydratation (état des connaissances et apports hydriques dans une population adulte)

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    L'eau est indispensable à tout organisme vivant. Elle représente la seule boisson recommandée sur le plan nutritionnel. Sa consommation est très étroitement liée à la sensation de soif, qui s'altère avec l'âge et peut induire un risque de déshydratation. Dans une 1ère partie bibliographique, sont présentées la répartition et la régulation de l'eau dans l'organisme, ainsi que la physiologie de la soif et les facteurs influant sur la prise d'eau. Les causes et conséquences d'une déshydratation sont aussi évoquées. La 2ème partie présente les résultats d'une enquête transversale, réalisée sur 161 sujets, dans une officine (à Châtillon-sur-Chalaronne (01)), et ayant pour objectifs de préciser la perception de la sooif et l'état des connaissances sur les besoins hydriques de l'organisme. Il ressort de ce travail que l'état des connaissances sur les besoins en eau du corps, la soif et le risque de déshydratation sont dans l'ensemble mal connus des sujets interrogés. Le pharmacien a donc un rôle très important à jouer dans le domaine de la prévention et de l'information sur les besoins et les apports hydriques à respecter ; certaines situations de déshydratations nécessitant en effet une prise en charge thérapeutique immédiate.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocLYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    Mise en place d'un outil de gestion du risque qualité dans une entreprise pharmaceutique

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    La gestion du risque qualité est aujourd'hui une exigence règlementaire pour l'industrie pharmaceutique. Après en avoir décrit la démarche globale, les différents outils proposés pour sa mise en oeuvre ont pu être confrontés. Le choix de l'un de ces outils, et sa mise en place dans une entreprise pharmaceutique chargée de conditionnement de médicaments et de produits cosmétiques, permettent d'illustrer la démarche à adopter et les difficultés souvent rencontrées pour adapter de tels outils à une situation concrète, puis de démontrer les bénéfices et les limites d'un tel outil. Mais ce travail nous a surtout permis de démontrer que, bien qu'étant souvent vécue comme une contrainte règlementaire nécessitant un gros investissement humain, la gestion du risque qualité s'inscrit comme partie prenante de l'amélioration continue, et est gage d'un niveau de qualité croissant pour les industries pharmaceutiques.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocLYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    Rôle du pharmacien d'officine dans le dépistage organisé des cancers

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    La thématique du cancer fait partie des grands problèmes de santé publique. La prévention et le dépistage de ces cancers constituent donc un enjeu majeur pour la société. Dans ce contexte, la France a développé deux programmes nationaux de dépistage organisé du cancer du sein et du cancer colorectal. Après quelques généralités sur la prévention et le dépistage, la 1ère partie de ce mémoire de thèse présente les programmes français de dépistage organisé, ainsi que leurs caractéristiques respectives. Face à des taux de participation toujours croissants, mais insuffisants pour garantir l'efficacité de ces programmes, l'implication de nouveaux acteurs de prévention tels que les pharmaciens d'officine dans ce domaine est souhaitée. La deuxième partie est consacrée à la présentation d'un projet d'implication des pharmaciens à la sensibilisation à la participation aux dépistages organisés dans des cantons ruraux du Roannais caractérisés par de faibles taux de participation. Après une présentation globale du projet FORMADOC (Formation au Dépistage Organisé des Cancers), il est présenté l'étude de terrain réalisée dans une zone pilote du Roannais (42), ainsi que la mise en place de form'actions (formations suivies d'actions au sein des officines concernées) qui en ont découlées. Cette enquête préalable a eu pour but de faire un état des lieux des connaissances des habitants sur la thématique du dépistage et des attentes des officinaux en matière de formation.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocLYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF
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