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    Overview : Integrative and Comprehensive Understanding on Polar Environments (iCUPE) - concept and initial results

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    The role of polar regions is increasing in terms of megatrends such as globalization, new transport routes, demography, and the use of natural resources with consequent effects on regional and transported pollutant concentrations. We set up the ERA-PLANET Strand 4 project "iCUPE - integrative and Comprehensive Understanding on Polar Environments" to provide novel insights and observational data on global grand challenges with an Arctic focus. We utilize an integrated approach combining in situ observations, satellite remote sensing Earth observations (EOs), and multi-scale modeling to synthesize data from comprehensive long-term measurements, intensive campaigns, and satellites to deliver data products, metrics, and indicators to stakeholders concerning the environmental status, availability, and extraction of natural resources in the polar areas. The iCUPE work consists of thematic state-of-the-art research and the provision of novel data in atmospheric pollution, local sources and transboundary transport, the characterization of arctic surfaces and their changes, an assessment of the concentrations and impacts of heavy metals and persistent organic pollutants and their cycling, the quantification of emissions from natural resource extraction, and the validation and optimization of satellite Earth observation (EO) data streams. In this paper we introduce the iCUPE project and summarize initial results arising out of the integration of comprehensive in situ observations, satellite remote sensing, and multi-scale modeling in the Arctic context.Peer reviewe

    « V. Affects et lieux – un nouveau spatialisme ? »

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    Cher, Bourges, 15-17 place Planchat. L'évolution d'une parcelle bâtie depuis le XIIIème siècle : le diagnostic archéologique d'une maison en pans de bois

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    Les deux parcelles concernées par cette étude se situent en dehors de l’enceinte antique du Bas Empire mais à l’intérieur des murailles médiévales. Le parcellaire a sans doute été mis en place dès le XIIIe siècle, sinon avant. L’ilot fut détruit par l’incendie général de la ville de 1487. L’étude archéologique a porté sur les élévations d’une maison (le n° 15 de la Place Planchat, parcelle IN 125, au sud) et sur les caves d’un autre immeuble qui résulte sans doute de l’amalgame de deux parcelles médiévales en une seule (le n° 17 de la Place Planchat, parcelle 1N 477).Le premier édifice consiste en une maison urbaine avec façade sur rue sur quatre niveaux (cave, rez-de-chaussée, premier et deuxième étages) plus les combles. Le deuxième conserve deux travées de caves anciennes mais les élévations contemporaines à celles-ci ont été complètement reconstruites pendant la deuxième moitié du XXe siècle. Il en va de même pour les façades sur rue et sur cour pour la maison du n° 15.L’analyse des parements internes du n° 15 a montré l’existence à l’origine d’une maison urbaine dont seulement la salle-basse a été partiellement conservée. Elle consistait en un espace voûté par trois travées de croisées d’ogives avec un accès probable depuis la rue à l’est et un deuxième depuis la cour, à l’ouest. Le profil des nervures, en chanfrein simple ne permet pas de dater la construction avec précision. Une comparaison avec d’autres salles-basses sur Bourges ou Orléans évoque une réalisation au cours du XIIIe siècle. Aucune élévation de ce premier édifice ne subsiste. La deuxième phase d’aménagement consiste en la construction d’une maison en pans de bois avec des grands et des petits modules de Croix de Saint-André. Elle est datée de 1494-95 par la dendrochronologie. L’analyse de la structure permet de discerner un espace de rez-de-chaussée divisé en deux parties dont la première, d’un tiers de la profondeur totale du bâtiment), donnait sur la rue. Elle était séparée du reste par une cloison en bois dans laquelle deux portes permettaient une circulation entre les deux espaces. La porte nord communiquait sans doute avec une cage d’escalier qui assurait la circulation entre les étages. Celle du sud donnait dans un espace de vie équipé d’une grande cheminée dans la partie ouest du mur sud. Les vestiges d’une porte dans la façade sur cour laissent entrevoir un axe de circulation le long du mur sud ainsi qu’un accès vers la cour derrière.A l’étage, on observe la superposition de ce même plan avec toutefois la présence d’une deuxième cheminée dans la partie orientale du mur sud. Le mur nord était enduit et conservait des traces d’un décor figuratif polychrome. La présence d’une porte dans la façade sur cour à ce niveau évoque la possibilité d’un escalier ou d’une galerie extérieure. Cette deuxième phase comporte également la démolition des voûtes en croisées d’ogives de la maison primitive, remplacées par une voûte en berceau.La troisième phase d’aménagement a eu lieu au cours du XVIIIe siècle. Il est probable que la charpente et le deuxième étage de la maison en pans de bois fussent démontés. Le deuxième étage était entièrement reconstruit sur le plan original mais en utilisant beaucoup de bois de récupération. La charpente de la fin du XVe siècle, probablement orientée pignon sur rue, fut remplacée par une toiture à deux grands versants, rives sur rue. Les parements intérieurs ont été piquetés et recouverts par un enduit de torchis posé dans la partie ouest de la maison sur un lattis de châtaignier cloué sur les pans de bois.Finalement, les anciennes façades sur rue et sur cour, sans doute des ouvrages mixtes, bois et maçonnerie, furent remplacées par des murs en pierre de taille. Cette transformation a pu se faire ne même temps que la reconstruction du deuxième étage ou plus tard, au cours du XIXe siècle.L’étude des caves du n° 17 de la Place, au nord, a montré deux caves perpendiculaires à la rue. Celle du sud présente un plan moins régulier et semble avoir été construite après celle de la première phase de salle-basse du n° 15, au sud. Elle est accessible via un escalier à vis au milieu du mur nord et par un escalier droit depuis la rue, à l’est. Elle est couverte par une voûte en berceau de belle facture réalisée avec de moellons calibrés. On observe également une structure maçonnerie dans la partie ouest qui loge un puits mitoyen avec la maison du n° 15, au sud. La deuxième cave était indépendante de la première, également accessible depuis la rue. Ces deux constructions étaient plus ou moins contemporaines

    Comment favoriser la transition vers l'industrie 4.0 dans le secteur textile-habillement : étude de cas du déploiement d'un cobot au sein de l'entreprise Petit Bateau

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    International audienceComment favoriser la transition vers l'industrie 4.0 dans le secteur textile-habillement : étude de cas du déploiement d'un cobot au sein de l'entreprise Petit Batea

    Improving and Estimating the Precision of Bounds on the Worst-Case Latency of Task Chains

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    Évaluation des impacts du changement climatique dans un bassin versant viticole méditerranéen : une approche de modélisation participative

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    International audienceLa diversité pédoclimatique et socio-économique des paysages viticoles constitue un défi pour évaluer les impacts du changement climatique. Les modèles sont des outils pertinents pour explorer quantitativement les futurs possibles, et les approches participatives aident à rendre compte de la diversité locale. Notre approche implique des acteurs de la viticulture et de la gestion de l'eau pour construire, tester et discuter les résultats d'un couplage de modèles : les impacts du changement climatique sur le bilan hydrique et la phénologie sont simulés avec des modèles existants, et un modèle original de rendement a été développé. Le couplage et l’exécution de ces modèles dans la plateforme OpenFLUID permet des simulations spatialement explicites sur un bassin versant viticole méditerranéen. La production de raisin diminuerait de 5 à 14% en 2100, avec une diminution plus importante dans les zones irriguées à haut rendement, malgré un doublement des apports d’eau. Une augmentation de température de 6°C pendant la maturation des baies menacerait la qualité du vin. L'approche participative a permis la construction d'un modèle ad hoc, et la discussion de ses résultats et limites avec les acteurs. Cet outil est prometteur pour identifier et tester les adaptations locales des vignobles au changement climatique

    Évaluation des impacts du changement climatique dans un bassin versant viticole méditerranéen : une approche de modélisation participative

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    International audienceLa diversité pédoclimatique et socio-économique des paysages viticoles constitue un défi pour évaluer les impacts du changement climatique. Les modèles sont des outils pertinents pour explorer quantitativement les futurs possibles, et les approches participatives aident à rendre compte de la diversité locale. Notre approche implique des acteurs de la viticulture et de la gestion de l'eau pour construire, tester et discuter les résultats d'un couplage de modèles : les impacts du changement climatique sur le bilan hydrique et la phénologie sont simulés avec des modèles existants, et un modèle original de rendement a été développé. Le couplage et l’exécution de ces modèles dans la plateforme OpenFLUID permet des simulations spatialement explicites sur un bassin versant viticole méditerranéen. La production de raisin diminuerait de 5 à 14% en 2100, avec une diminution plus importante dans les zones irriguées à haut rendement, malgré un doublement des apports d’eau. Une augmentation de température de 6°C pendant la maturation des baies menacerait la qualité du vin. L'approche participative a permis la construction d'un modèle ad hoc, et la discussion de ses résultats et limites avec les acteurs. Cet outil est prometteur pour identifier et tester les adaptations locales des vignobles au changement climatique
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