11 research outputs found

    Predicting the risk for angle closure as defined by the Shaffer System Using Anterior Segment Optical Coherence Tomography: A Simple Approach

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    Purpose: To propose a simple non-invasive method for screening patients at risk for angle closure using anterior segment OCT. Methods: Scans of nasal and temporal iridocorneal angles in glaucoma suspect patients were performed using OCT. Upon identifying Schwalbe’s line, the integrated caliper tool was used to draw a line to the nearest point of the iris to produce a measure ‘S-I’. Gonioscopy was performed and angles graded according to Shaffer’s classification to assess the correlation between both methods. Results: Thirty-four images were available for analysis. Spearman correlation coefficients between S-I anf gonioscopy grades were 0.81 for nasal and 0.77 for temporal quadrants respectively. Intraobserver ICC calculations demonstrated excellent reproducibility (0.98 and 0.99 for nasal and temporal angles) and excellent interobserver correlation (0.94 and 0.93). The diagnostic cutoff value of S-I for occludable angles was established at 330mm. Conclusion: S-I measurement strongly correlates with gonioscopy and may be a suitable alternative for evaluating risk for angle closure

    PrĂ©voir le risque de fermeture de l’angle tel que dĂ©fini par la classification de Shaffer Ă  l’aide de la tomographie par cohĂ©rence optique du segment antĂ©rieur : Une approche simple

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    Objectif: Proposer une mĂ©thode non invasive simple pour le dĂ©pistage des patients Ă  risque de fermeture de l’angle en utilisant l’imagerie du segment antĂ©rieur Ă  l’aide de la TCO. MĂ©thodes: Des examens radiologiques des angles irido-cornĂ©ens en nasal et en temporal ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s au moyen de la TCO chez des patients rĂ©fĂ©rĂ©s pour suspicion de glaucome. AprĂšs l’identification de la ligne de Schwalbe, une droite fut tracĂ©e jusqu’au point de l’iris le plus rapprochĂ© (S-I) Ă  l’aide de l’outil de compas intĂ©grĂ© de l’appareil. Une gonioscopie a Ă©tĂ© effectuĂ©e et la mĂ©thode de Shaffer a Ă©tĂ© utilisĂ©e pour grader l’ouverture de l’angle afin d’évaluer la corrĂ©lation entre les deux mĂ©thodes. RĂ©sultats: Trente-quatre images Ă©taient disponibles pour analyse. Les coefficients de corrĂ©lation de Spearman entre les mesures S-I et les grades de Shaffer se sont Ă©tablis Ă  0,81 et 0,77 pour les quadrants nasal et temporal respectivement. Les calculs intra-observateur des coefficients de corrĂ©lation intraclasse avaient une excellente reproductibilitĂ© (0,98 et 0,99 pour les angles en nasal et en temporal) et on a observĂ© une excellente corrĂ©lation inter-observateur (0,94 et 0,93). La valeur diagnostique S-I pour les angles Ă  risque de fermeture a Ă©tĂ© provisoirement Ă©tablie Ă  330 mm. Conclusion: La mesure S-I corrĂšle fortement avec les rĂ©sultats de la gonioscopie et pourrait ĂȘtre une solution de rechange appropriĂ©e pour Ă©valuer le risque de fermeture de l’angle

    La prévalence et les causes de la déficience visuelle dans la population en situation d'itinérance de la région de Montréal

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    Contexte : Les populations marginalisĂ©es sont plus Ă  risque de prĂ©senter des problĂšmes de santĂ©. La santĂ© oculovisuelle des personnes en situation d’itinĂ©rance est peu Ă©tudiĂ©e. Objectifs : Estimer la prĂ©valence de dĂ©ficiences visuelles, d’erreurs rĂ©fractives non corrigĂ©es et des pathologies oculaires chez les personnes en situation d’itinĂ©rance de MontrĂ©al et leur utilisation des soins oculovisuels. MĂ©thodes : Dix ressources pour personnes en situation d’itinĂ©rance dans la rĂ©gion de MontrĂ©al ont Ă©tĂ© choisies par Ă©chantillonnage simple stratifiĂ©. À chaque lieu, aprĂšs consentement, 10 participants ont Ă©tĂ© recrutĂ©s alĂ©atoirement et soumis Ă  une Ă©valuation oculovisuelle dĂ©taillĂ©e (acuitĂ©s visuelles ETDRS de prĂ©sentation et avec trou stĂ©nopĂ©ĂŻque, pression intraoculaire, examen rĂ©tinien mydriatique, autorĂ©fractomĂ©trie post-mydriase et questionnaire). RĂ©sultats : Parmi les 95 participants, l’ñge mĂ©dian est de 49 ans (Ă©cart interquartile 38,0 – 56,5). La prĂ©valence de dĂ©ficience visuelle (acuitĂ© visuelle de prĂ©sentation : meilleur Ɠil < 6/12) est de 24,2% [IC 95%, 15,6-32,8%], contre 6% au Canada (p < 0,001). AprĂšs la mesure de l’acuitĂ© visuelle avec trou stĂ©nopĂ©ĂŻque, cette prĂ©valence chute Ă  5,2% [IC 95%, 0,7-9,7%]. Parmi ceux prĂ©sentant une dĂ©ficience visuelle, 12,6% [IC 95%, 5,9-19,3%] ont une cause uniquement rĂ©fractive non corrigĂ©e et 6,4% [IC 95%, 1,5-11,3%] prĂ©sentent une pathologie oculaire (cataracte, glaucome ou autre). Finalement, 18,9% [IC 95%, 11,0-26,8%] ont accĂ©dĂ© Ă  des soins oculovisuels dans la derniĂšre annĂ©e, contre 43,8% au Canada (p < 0,0001) et 2,1% n’ont jamais eu d’examen oculovisuel. Conclusion : Ces donnĂ©es suggĂšrent que la prĂ©valence de dĂ©ficience visuelle dans la population itinĂ©rante montrĂ©alaise est Ă©levĂ©e et que la majoritĂ© des causes sont corrigibles de façon rĂ©fractive. MalgrĂ© une prĂ©valence de dĂ©ficience visuelle plus Ă©levĂ©e que dans la population canadienne, l’utilisation des soins oculovisuels par cette population est insuffisante. Ceci souligne l’importance d’adapter les modĂšles d’accĂšs de soins Ă  cette population

    Regulation for the Sake of Appearance

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    The Right to Bear (Robotic) Arms

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    Can robotic weapons be Arms under the Second Amendment? This article argues that they can. In particular, it challenges the claim that the Second Amendment protects only weapons that can be carried in one\u27s hands, which has roots in both Supreme Court Second Amendment doctrine, namely District of Columbia v. Heller, and scholarship. Scrutinizing these roots shows that Heller did not create such a requirement and that little, if any, constitutional basis for it exists. This article also contextualizes robotic weapons within the established Second Amendment framework for arms. Robotic weapons are not yet arms, but there is no legal impediment-nor should there be-to them becoming arms. Finally, this article presents an alternative theory of Second Amendment protection for robotic weapons based on auxiliary rights, in light of the Seventh Circuit case United States v. Ezell. This article posits that Second Amendment auxiliary rights include the right to employ a bodyguard, whether human or robot
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