59 research outputs found

    Comparison of risk prediction scores for venous thromboembolism in cancer patients:A prospective cohort study

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    In ambulatory patients with solid cancer, routine thromboprophylaxis to prevent venous thromboembolism is not recommended. Several risk prediction scores to identify cancer patients at high risk of venous thromboembolism have been proposed, but their clinical usefulness remains a matter of debate. We evaluated and directly compared the performance of the Khorana, Vienna, PROTECHT, and CONKO scores in a multinational, prospective cohort study. Patients with advanced cancer were eligible if they were due to undergo chemotherapy or had started chemotherapy in the previous three months. The primary outcome was objectively confirmed symptomatic or incidental deep vein thrombosis or pulmonary embolism during a 6-month followup period. A total of 876 patients were enrolled, of whom 260 (30%) had not yet received chemotherapy. Fifty-three patients (6.1%) developed venous thromboembolism. The c-statistics of the scores ranged from 0.50 to 0.57. At the conventional positivity threshold of 3 points, the scores classified 13-34% of patients as high-risk; the 6-month incidence of venous thromboembolism in these patients ranged from 6.5% (95% CI: 2.8-12) for the Khorana score to 9.6% (95% CI: 6.6-13) for the PROTECHT score. High-risk patients had a significantly increased risk of venous thromboembolism when using the Vienna (subhazard ratio 1.7; 95% CI: 1.0-3.1) or PROTECHT (subhazard ratio 2.1; 95% CI: 1.23.6) scores. In conclusion, the prediction scores performed poorly in predicting venous thromboembolism in cancer patients. The Vienna CATS and PROTECHT scores appear to discriminate better between low-and high-risk patients, but further improvements are needed before they can be considered for introduction into clinical practice

    Separated children seeking asylum in Ireland.

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    This report updates the first report of the Irish Refugee Council published in 1999, entitled Separated children seeking asylum in Ireland: A report on legal and social conditions. At the time of the publication of that report, there were 32 separated children seeking asylum in Ireland. The number of separated children seeking asylum in Ireland has increased markedly. By March 2003, the number of separated children, entering Ireland and referred to the North Eastern Area Health Board was 2,7172. Nearly half, or 1,113 children, were reunited with family members already in Ireland. 1,316 separated children, under the care of the Health Boards, have made applications for asylum under the 1951 Geneva Convention on the Status of Refugees. Neither the Government nor non-statutory agencies anticipated this increase in the numbers of separated minors arriving in Ireland. Therefore administrative procedures and care services have had to be responsive to emergent needs rather than having developed through advance planning. This report aims to examine policy and practice with respect to the legal and social conditions of separated children in Ireland, in light of the Separated Children in Europe Programme’s (SCEP)3 ‘Statement of Good Practice’ (SGP). The Irish Refugee Council, a member of the Separated Children in Europe Programme, commissioned the report

    Comparison of seven prognostic tools to identify low-risk pulmonary embolism in patients aged <50 years

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    publishersversionPeer reviewe

    Troponine I cardiaque et chutes

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    Introduction : Les chutes sont responsables, chez les personnes âgées, d'une mortalité importante. Les maladies cardiovasculaires, en particulier l'infarctus du myocarde (IDM), constituent une cause importante de chutes. Or, la présentation des IDM chez le sujet âgé est souvent silencieuse. De même, les signes d'ischémie myocardiques sur l'électrocardiogramme (ECG), apparaissent tardivement. Ainsi, la troponine est souvent l'indice le plus précoce d'IDM. Cependant, une troponine élevée au cours des chutes est-elle toujours en rapport avec une souffrance myocardique ? Le cas échéant, s'agit-il d'IDM ou d'autres pathologies responsables d'une ischémie myocardique ? Nous avons cherché à y répondre au cours d'une étude prospective. Patients et méthodes : Cinquante cinq patients hospitalisés pour chute, ont bénéficié, sur trois jours consécutifs, d'un dosage des troponines, des CPK et des CPK-MB, associés à un ECG et un examen clinique. Résultats : L 'incidence des troponines élevées est de 38 %. Parmi les patients avec troponines élevées, 27 % ont eu un IDM. Les autres ont présenté une ischémie myocardique en rapport avec une insuffisance cardiaque, une péricardite, un sepsis ou un AVC. Le taux de troponine est significativement plus élevé dans les 3 jours suivant la chute en cas d'IDM et d'ischémie myocardique que dans les autres pathologies. Le taux de mortalité à 6 mois des patients aux troponines élevées est doublé (57.1 % versus 23.5 %) par rapport aux autres. Conclusion : L'élévation des troponines au cours des chutes, est toujours corrélée à une souffrance myocardique. Le taux de troponine est dans notre étude plus élevé lorsqu'il s'agit d'un IDM ou d'une ischémie myocardique par rapport à une ischémie transitoire. Enfin, une troponine élevée au cours des chutes semble augmenter la mortalité à 6 mois. Cela implique une surveillance accrue de ces patients à court comme à long terme.PARIS7-Xavier Bichat (751182101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Le relais des anticoagulants en ville dans le cadre d'un acte invasif ou de chirurgie programmée (enquête de pratique auprès de médecins généralistes)

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    - Contexte : En 2011 en France, 1,7% de la population environ était traitée par anti-vitamines K (AVK). Les effets indésirables graves liés à cette famille médicamenteuse d anticoagulants représentent la principale cause de iatrogénie dans notre pays. Le relais des anticoagulants est une période délicate durant laquelle le risque hémorragique et le risque embolique sont tous deux majorés. La HAS a établi en 2008 des recommandations, permettant aux médecins de mieux encadrer la prescription des relais selon les différents types de situations cliniques qu ils peuvent rencontrer. - Objectif : Notre étude avait comme objectif principal d évaluer la gestion du traitement anticoagulant par les médecins généralistes. Elle nous a aussi permis de préciser la conformité ou non de cette gestion avec les recommandations de la HAS, lorsqu un acte invasif ou une chirurgie programmée étaient envisagés chez un patient sous AVK. - Matériels et méthodes : Nous avons réalisé une enquête descriptive transversale destinée aux médecins généralistes. Pour cela, un questionnaire anonyme regroupant des questions sur des situations cliniques et sur leurs connaissances théoriques concernant le relais leur a été proposé à l occasion du congrès de médecine générale de Nice. - Résultats : 88 des 200 questionnaires remis ont été complétés, soit un taux de participation de 44%. Globalement, 4.5% des médecins interrogés ont su gérer conformément aux recommandations les 6 questions relatives aux cas cliniques. En revanche, aucun médecin n a répondu de façon adaptée aux questions théoriques. Ces résultats étaient meilleurs pour l analyse des 3 sous populations de patients proposées (AC/FA, MTEV, PVM). Nous avons noté également que les médecins généralistes effectuent trop de relais par héparine à mauvais escient et que la gestion du relais en lui-même est source de nombreuses erreurs. Enfin, distinguer les patients à haut risque et ceux à faible risque thromboembolique semble poser des difficultés aux praticiens en médecine générale. - Conclusion : Un nombre limité de médecins généralistes gèrent le relais des anticoagulants conformément aux recommandations éditées en 2008 par la HAS. Plusieurs hypothèses pourraient expliquer cette situation : la méconnaissance des recommandations en raison de défaut de diffusion de celles-ci ou par manque de sensibilisation des médecins à ce sujet ; la surestimation du risque thromboembolique et la sous-estimation du risque hémorragique lors du relais par les praticiens ; l influence des spécialistes. L adhésion des médecins généralistes aux recommandations doit être améliorée afin de prévenir, tant que possible, les complications de la gestion des AVK en cas de geste invasif ou de chirurgie programmée.PARIS13-BU Serge Lebovici (930082101) / SudocSudocFranceF

    Évaluation des connaissances des maîtres de stage de Paris XIII dans la prise en charge des patients hypertendus suite aux recommandations de l'HAS de 2005

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    L hypertension artérielle est la pathologie la plus courante en médecine ambulatoire ; ainsi 1 consultation sur 5 y est consacrée. Pourtant, en 2009, sur les 16 millions de patients hypertendus, seuls 40% étaient traités et équilibrés. Nous avons donc voulu évaluer les connaissances des maîtres de stage de la faculté de médecine de Bobigny par rapport aux recommandations faites par l HAS en 2005, ainsi que leur mise en pratique au moyen d un questionnaire et de 2 cas cliniques. Cette évaluation s est faite au cours du premier semestre 2010 lors d entretiens menés aux cabinets médicaux des maîtres de stage. Nous avons pu constater qu un certain nombre de maîtres de stage ne connait pas correctement les recommandations de l HAS, ce qui les empêche d évaluer entre autre le risque cardiovasculaire global du patient avant une décision thérapeutique. Par ailleurs, nous avons remarqué que leurs connaissances n étaient pas toujours appliquées. De ces résultats, nous avons élaboré des réponses et des solutions pour améliorer la formation des maîtres de stage et la prise en charge des patients hypertendus.Arterial hypertension is the most current pathology in ambulatory medicine. In 2009, out of the 16 million hypertensive patients only 40% were treated and balanced. So we evaluated knowledge of the Masters of the training course of the Faculty of Medicine of Bobigny following the recommendations made by the HAS in 2005, like their practical application by means of a questionnaire and of 2 clinical cases. This evaluation was done in the first half of 2010 during talks taking place at their medical surgery. We noticed that a certain number of Masters of training courses are not well informed of the recommendations of the HAS, which prevents them from evaluating the total cardiovascular risk of the patient before a therapeutic decision. In addition, we noticed that their knowledge was not always put into practice. From these results, we have worked out solutions to improve the formation of the Masters of training courses and the medical treatment of the hypertensive patientsPARIS13-BU Serge Lebovici (930082101) / SudocSudocFranceF

    La prise en charge de l'hypertension artérielle dans la population âgée de ville

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    PARIS-BIUP (751062107) / SudocSudocFranceF

    Particularités du traitement par antivitamines K chez le sujet agé hospitalisé (A propos de 98 observations)

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    Les antivitamines K sont prescrites chez des milliers de patients en France comme à l'étranger, et plus particulièrement chez les sujets agés. Elles le sont essentiellement pour les indications suivantes : la prévention d'accident thromboembolique artériel post fibrillation auriculaire, et le traitement des maladies thrombotiques veineuses. Le risque principal d'un traitement par antivitamine K est l'apparition de complications hémorragiques pouvant impliquer une hospitalisation. Notre étude s'est intéressée aux particularités du traitement par AVK, sa mise en route (posologie, surveillance) et ses complications hémorragiques chez le sujet agé. Pour ce travail nous avons étudié sans sélection préalable une population de patients sous antivitamine K, hospitalisés dans un service de médecine interne. Ils ont été classés en deux groupes d'âge, les patients de 65 ans et plus d'une part, les plus jeunes d'autre part. 13,26% des patients de notre étude étaient hospitalisés pour un surdosage ou une complication hémorragique du traitement. 28,5% des patients ont par ailleurs connu un épisode hémorragique, soit à l'origine de leur hospitalisation, soit au cours de celle-ci. Ces accidents semblent être plus fréquents chez les sujets agés, et plus encore en présence d'insuffisance rénale. L'utilisation du Sintrom est un facteur de risque important (p<0.005). Nous avons mis en évidence la nécessité de réduire la posologie initiale des antivitamines K, et d'améliorer la surveillance clinique, et biologique par l'intermédiaire de l'INR, du traitement. En pratique, il serait souhaitable d'utiliser des antivitamines K à demi-vie longue pour une plus grande stabilité de traitement, avec une posologie plus faible dès leur instauration afin de limiter les complications hémorragiques.PARIS7-Villemin (751102101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
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