12 research outputs found

    L’entreprise scientifique d’édition, d’exploitation, de valorisation et de communication de la correspondance d’Henri Poincaré

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    Nouveau manuel complet du constructeur de machines locomotives, ou Essai sur un point de départ à adopter dans les perfectionnements dont ces moteurs sont susceptibles /

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    Atlas has title: Constructeur de machines locomotives.Publisher's advertisements: 90 p. (3rd set)Europeana-GoogleBook

    Altérité et parcours éducatif en santé. Analyse des interactions de collégiens en matière de santé

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    International audienceIl y a à l’heure actuelle, consensus sur le fait l’Ecole apparaît comme un des déterminants de la santé des jeunes et du bien être des jeunes (climat scolaire, pratiques pédagogiques, caractéristiques de la population scolaire, ouverture de l’Ecole à la communauté) (Hamel, Blanchet, & Martin, 2001). Elle correspond d’ailleurs à un des six domaines de recommandations pour un cadre d’action afin de réduire les inégalités de santé (Marmot, 2010) mais aussi les inégalités scolaires qui la traversent.Ces inégalités se traduisent aussi bien du coté des indicateurs de santé[1] des enfants que du côté des habitudes de vie des familles susceptibles alors d’influencer la santé de leurs enfants et plus largement leurs réussites.Pour lutter contre celles-ci, il est notamment recommandé d’améliorer les conditions de vie quotidienne (en privilégiant le développement du jeune enfant), d’évaluer clairement les besoins de la population et ainsi faire de la santé et de l’équité en santé, une préoccupation centrale dans l’urbanisme et l’administration des villes (p10) (OMS, 2009).Le développement du PES s’inscrit dans cette perspective (PES - BO N°5 du 4 février 2016 MEN). L’une des finalités est d’expliciter « ce qui est offert aux élèves en matière de santé à l'échelon de l'école, de la circonscription et de l'établissement scolaire en articulation étroite avec leur territoire ». En outre, il est précisé que les PES doivent prendre appui « sur la démarche d'analyse des besoins et des demandes des élèves, conduite dans le cadre des projets d'école et d'établissement ».Cette recherche s’inscrit dans cette perspective et prend place au sein du dispositif SAJ « Sport, Avenir et Jeunesse » - Porté par l’ASM Omnisports – section lutte en partenariat avec la MGEN et l’ESPé Clermont Auvergne – laboratoire ACTé EA4281, son objectif est de promouvoir la santé, le vivre ensemble et l’activité physique. Une recherche intervention a été initiée au sein de deux établissements scolaires REP+ en Auvergne et des groupes de travail ont été constitués.A travers cette étude, et notamment la réalisation concertée de ce diagnostic, il s’agit d’apporter des outils supplémentaires – à ceux d’ores et déjà développés au sein des comités d’éducation à la santé et à la citoyenneté (CESC) afin de permettre aux établissements scolaires, de définir une politique de santé au plus près des besoins et des attentes des élèves en matière de santé, de planifier des actions au cours du temps et cibler les principaux déterminants sur lesquels agir pour améliorer le bien être.Cette communication se propose alors d’étudier l’altérité au prisme de l’analyse des déterminants personnels mais aussi contextuels susceptibles d’influencer les représentations et pratiques en matière de santé chez les adolescents scolarisés dans des collèges dits « REP+ » ?En sciences sociales, « l’altérité est tenue largement pour une qualité ou une substance pérenne et naturelle », qu’elle « fonde, en même temps, une différence irrépressible et l’impérieux devoir de celui qui ne me ressemble pas de se rapprocher de cette part d’universel dont ma propre histoire me dit porteuse » (page 17) (Badie & Sadoun, 1996). Elle peut être définie selon trois dimensions : relation à l’autre (extérieure), quête intérieure (intérieure) et questionnement philosophique (épistémologique) (Briançon, Mallet, & Eymard, 2013).Un questionnaire numérique, anonyme, auto-administré, a été conçu après une revue de littérature et une recension des outils existants (HBSC, ESPAD, OFDT…). Il interroge les élèves sur leurs pratiques, leurs représentations et leurs attentes dans 12 thèmes relatifs au bien-être, à la violence et à la santé (activité physique et sportive, sommeil, produits psychotropes…). Il a été diffusé dans 2 collèges REP+ de l’agglomération clermontoise et concernent les élèves de la 6ème à la 3ème. Des analyses statistiques (descriptives, univariées et multivariées) ont été réalisées sur 726 questionnaires.Les résultats indiquent une expérimentation des produits psychotropes (tabac, alcool, cannabis) inférieure dans ces établissements par rapport à la moyenne des collégiens français (HBSC). Par exemple, 22% ont déjà fumé du tabac et 21% ont déjà bu de l’alcool dans notre population d’étude, contre respectivement 30% et 71% à l’échelon national. A l’inverse, la non pratique d’activité physique en dehors du collège est environ deux fois plus importante dans les collèges de l’étude.Parmi les facteurs liés à ces pratiques, on retrouve des caractéristiques personnelles (telles que le sexe ou l’âge), des habitudes de vie (temps de sommeil, prise du petit-déjeuner, expérimentations…) mais aussi des déterminants décrivant les relations entretenues avec les autres (parents, pairs, adultes du collège). Les élèves se sentant soutenus tendent à développer moins de conduites à risques ; ainsi, les élèves déclarant que les enseignants les félicitent toujours pour leur effort ont trois fois moins de risques que les autres d’expérimenter la cigarette.[1]« Chez les enfants de cadre, 7 % sont en surcharge pondérale et 1 % sont obèses, contre respectivement 16 % et 6 % chez les ouvriers (DREES, 2015) / « Les habitudes de vie sont aussi fortement différenciées socialement : les cadres ont des comportements offrant plus de place à la prévention et au recours aux soins, ce qui explique en partie les disparités de santé observées. Si 60 % de leurs enfants se brossent les dents plusieurs fois par jour, cette pratique ne concerne que 47 % des enfants d’ouvriers. » Page 1

    ICU strain and outcome in COVID-19 patients—A multicenter retrospective observational study

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    Purpose To compare the characteristics, management, and prognosis of patients admitted to intensive care units (ICU) for coronavirus disease (COVID)-19 during the first two waves of the outbreak and to evaluate the relationship between ICU strain (ICU demand due to COVID-19 admissions) and mortality. Methods In a multicentre retrospective study, 1166 COVID-19 patients admitted to five ICUs in France between 20 February and 31 December 2020 were included. Data were collected at each ICU from medical records. A Cox proportional-hazards model identified factors associated with 28-day mortality. Results 640 patients (55%) were admitted during the first wave (February to June 2020) and 526 (45%) during the second wave (July to December 2020). ICU strain was lower during the second wave (-0.81 [-1.04 –-0.31] vs. 1.18 [-0.34–1.29] SD when compared to mean COVID-19 admission in each center during study period, PConclusion The characteristics and the management of patients varied between the first and the second wave of the pandemic. Rather than the wave, ICU strain was independently associated with 28-day mortality, but not with hospital mortality

    High-Dose Dexamethasone and Oxygen Support Strategies in Intensive Care Unit Patients With Severe COVID-19 Acute Hypoxemic Respiratory Failure

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    International audienc

    Severity of COVID-19 and survival in patients with rheumatic and inflammatory diseases: data from the French RMD COVID-19 cohort of 694 patients

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    International audienceObjectives: There is little known about the impact of SARS-CoV-2 on patients with inflammatory rheumatic and musculoskeletal diseases (iRMD). We examined epidemiological characteristics associated with severe disease, then with death. We also compared mortality between patients hospitalised for COVID-19 with and without iRMD.Methods: Individuals with suspected iRMD-COVID-19 were included in this French cohort. Logistic regression models adjusted for age and sex were used to estimate adjusted ORs and 95% CIs of severe COVID-19. The most significant clinically relevant factors were analysed by multivariable penalised logistic regression models, using a forward selection method. The death rate of hospitalised patients with iRMD-COVID-19 (moderate-severe) was compared with a subset of patients with non-iRMD-COVID-19 from a French hospital matched for age, sex, and comorbidities.Results: Of 694 adults, 438 (63%) developed mild (not hospitalised), 169 (24%) moderate (hospitalised out of the intensive care unit (ICU) and 87 (13%) severe (patients in ICU/deceased) disease. In multivariable imputed analyses, the variables associated with severe infection were age (OR=1.08, 95% CI: 1.05-1.10), female gender (OR=0.45, 95% CI: 0.25-0.80), body mass index (OR=1.07, 95% CI: 1.02-1.12), hypertension (OR=1.86, 95% CI: 1.01-3.42), and use of corticosteroids (OR=1.97, 95% CI: 1.09-3.54), mycophenolate mofetil (OR=6.6, 95% CI: 1.47-29.62) and rituximab (OR=4.21, 95% CI: 1.61-10.98). Fifty-eight patients died (8% (total) and 23% (hospitalised)). Compared with 175 matched hospitalised patients with non-iRMD-COVID-19, the OR of mortality associated with hospitalised patients with iRMD-COVID-19 was 1.45 (95% CI: 0.87-2.42) (n=175 each group).Conclusions: In the French RMD COVID-19 cohort, as already identified in the general population, older age, male gender, obesity, and hypertension were found to be associated with severe COVID-19. Patients with iRMD on corticosteroids, but not methotrexate, or tumour necrosis factor alpha and interleukin-6 inhibitors, should be considered as more likely to develop severe COVID-19. Unlike common comorbidities such as obesity, and cardiovascular or lung diseases, the risk of death is not significantly increased in patients with iRMD

    Severity of COVID-19 and survival in patients with rheumatic and inflammatory diseases: data from the French RMD COVID-19 cohort of 694 patients

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    International audienceObjectives: There is little known about the impact of SARS-CoV-2 on patients with inflammatory rheumatic and musculoskeletal diseases (iRMD). We examined epidemiological characteristics associated with severe disease, then with death. We also compared mortality between patients hospitalised for COVID-19 with and without iRMD.Methods: Individuals with suspected iRMD-COVID-19 were included in this French cohort. Logistic regression models adjusted for age and sex were used to estimate adjusted ORs and 95% CIs of severe COVID-19. The most significant clinically relevant factors were analysed by multivariable penalised logistic regression models, using a forward selection method. The death rate of hospitalised patients with iRMD-COVID-19 (moderate-severe) was compared with a subset of patients with non-iRMD-COVID-19 from a French hospital matched for age, sex, and comorbidities.Results: Of 694 adults, 438 (63%) developed mild (not hospitalised), 169 (24%) moderate (hospitalised out of the intensive care unit (ICU) and 87 (13%) severe (patients in ICU/deceased) disease. In multivariable imputed analyses, the variables associated with severe infection were age (OR=1.08, 95% CI: 1.05-1.10), female gender (OR=0.45, 95% CI: 0.25-0.80), body mass index (OR=1.07, 95% CI: 1.02-1.12), hypertension (OR=1.86, 95% CI: 1.01-3.42), and use of corticosteroids (OR=1.97, 95% CI: 1.09-3.54), mycophenolate mofetil (OR=6.6, 95% CI: 1.47-29.62) and rituximab (OR=4.21, 95% CI: 1.61-10.98). Fifty-eight patients died (8% (total) and 23% (hospitalised)). Compared with 175 matched hospitalised patients with non-iRMD-COVID-19, the OR of mortality associated with hospitalised patients with iRMD-COVID-19 was 1.45 (95% CI: 0.87-2.42) (n=175 each group).Conclusions: In the French RMD COVID-19 cohort, as already identified in the general population, older age, male gender, obesity, and hypertension were found to be associated with severe COVID-19. Patients with iRMD on corticosteroids, but not methotrexate, or tumour necrosis factor alpha and interleukin-6 inhibitors, should be considered as more likely to develop severe COVID-19. Unlike common comorbidities such as obesity, and cardiovascular or lung diseases, the risk of death is not significantly increased in patients with iRMD
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