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    Augmentation des signaux de résonance nucléaire par polarisation dynamique (1ere Partie)

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    We consider two systems of interacting spins I and S. Three cases have been studied experimentally : 1° Interaction between conduction electrons (system S) with nuclei (system I) in a semi-conductor (silicon). Saturation of the electronic line gives à large increase of the nuclear signal. 2° Interaction of protons in water with paramagnetic ions of a free radical having a hyperfine structure. The enhancement of the proton signal is large enough to obtain a Maser action. 3° Interaction of two systems of spins in a solid. Irradiation at the sum or difference of resonance frequencies give an enhancement of the signal of one of the spin systems.On considère deux systèmes de spins I et S en interaction. Trois cas ont été étudiés expérimentalement : 1° Interaction des électrons de conduction (système S) avec les noyaux (système I) d'un semiconducteur (silicium). La saturation de la raie électronique augmente considérablement le signal nucléaire. 2° Interaction des protons de l'eau avec les ions paramagnétiques d'un radical libre doué de structure hyperfine. L'augmentation du signal des protons à bas champ est telle qu'elle a permis le fonctionnement en auto-oscillateur. 3° Interaction de deux systèmes de spins dans un solide. L'irradiation à la somme ou à la différence des fréquences de résonance permet une augmentation du signal de résonance d'un des systèmes de spins

    RĂ©sultats de mesures de temps de relaxation transverse T 2 par Ă©chos de spins

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    Pas de Résumé disponibl

    Application de la résonance magnétique nucléaire à l’étude de l’eau de constitution des gels de silice

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    L'eau de constitution des gels de silice a été étudiée à l'aide de la résonance magnétique nucléaire (R.M.N.) et des renseignements complémentaires ont été obtenus sur sa nature et sa distribution à la surface de ces solides. En particulier, nous avons pu donner un ordre de grandeur des temps de relaxation des protons et montrer que ceux-ci sont beaucoup plus longs pour un xérogel (ordre de la seconde) que pour un aérogel (ordre de la milliseconde)
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