578 research outputs found

    Flip-flop detachment tectonics at nascent passive margins in SE Afar

    No full text
    International audienceWe propose a two-stage tectonic evolution of SE Afar in Djibouti leading to the complex development of highly asymmetric conjugate margins. From c. 8.5 to c. 2 Ma, an early mafic crust developed, associated in the upper crust with synmagmatic growth faults dipping dominantly to the SW. After an erosional stage, a new detachment fault system developed from c. 2 Ma with an opposite sense of motion (i.e. to the NE), during an amagmatic extensional event. In the Asal area, break-up occurred after c. 0.8 Ma along the footwall of an active secondary detachment fault rooted at depth above the lithospheric necking zone. This evolution suggests that flip-flop detachment tectonics is developed during extension at passive margins, in connection with the dynamics of the melting mantle and the associated magma plumbing of the crust

    Rapport d'activité 2008-2010 : Culture Scientifique et Technique

    Get PDF
    C'est à cet objectif que tente de répondre l'Université de Rennes 1 en organisant des activités regroupées sous le terme générique de " culture scientifique et technique ". Notre université compte de nombreux laboratoires mixtes réunissant à la fois universitaires (enseignants-chercheurs et personnels BIATOSS), chercheurs et ITA des grands organismes de recherche qui ont tous cette mission ou cette passion de diffusion des connaissances et d'éducation à la culture scientifique. Ceux-ci n'hésitent pas à "mettre la main à la pâte" pour faire partager leurs passions, leurs savoirs et leurs doutes. L'université dispose aussi de plusieurs structures muséales et de conservation de collections : - sur le campus de Beaulieu, un musée de géologie, un ensemble de collections scientifiques de zoologie et de botanique, des collections d'instruments scientifiques parfois très anciens pour lesquels un inventaire précis est établi, des collections de botanique dans les serres et un circuit de visites - sur les autres campus : des collections d'Herbiers (collection "des Abbayes" en pharmacie), d'instruments, de livres anciens... - à Penmarc'h (29), un musée regroupe des collections d'archéologie et d'archéosciences. Ces collections s'enrichissent de jour en jour grâce d'une part aux acquisitions et d'autre part à un programme de sauvegarde, conservation et valorisation du matériel contemporain, mené en collaboration avec le Musée des Arts et Métiers pour lequel nous assurons un pilotage régional. Grâce aux nombreuses actions réalisées en direction de tous les publics, les richesses patrimoniales et les laboratoires de Rennes 1 sont accessibles à tous, reconnus au niveau international et constituent un véritable " centre de ressources " pour la Bretagne et le Grand Ouest. L'action de notre université ne se limite cependant pas aux domaines de la conservation du patrimoine scientifique. La multiplicité des échanges entre laboratoires/chercheurs et publics - notamment scolaires - se traduit par un foisonnement d'initiatives : expositions, conférences, visites de laboratoires, intervention dans les classes... Elle s'inscrit aussi dans la dynamique de la politique culturelle de l'établissement dont le Diapason est un emblème. Enfin, c'est une politique générale de notre université qui se traduit à travers la prise en compte de cette dimension dans les programmes et contrats pluri-annuels (Contrat quadriennal, Contrat de Projet État-Région...) et situe ainsi Rennes 1 dans les universités d'excellence au niveau national en matière de culture scientifique et technique. C'est tout un réseau de relations qui s'articule autour de l'université pour faire vivre et dynamiser la culture scientifique : les établissements scolaires, le Rectorat mais aussi les associations de culture scientifique avec lesquelles nous cherchons à renforcer les liens de coopération (Espace des Sciences, Abret, Petits Débrouillards...). Elle bénéficie largement de la forte dynamique régionale et des compétences impulsées par ce réseau mais aussi de l'appui des collectivités locales. Ce rapport d'activité de notre université constitue un bilan d'étape, pour présenter la richesse des diverses interventions. Par sa nature même, la culture scientifique est très décentralisée et le fruit d'une démarche de "passion des sciences". Elle est très foisonnante. Impossible donc de citer dans le détail toutes les actions menées. C'est pourquoi ce rapport met l'accent plutôt sur les grandes opérations et sur les actions originales ou exemplaires. Merci donc aux nombreux personnels de l'université de Rennes 1 qui y ont participé la plupart du temps "bénévolement", le soir ou le week-end. Merci aussi à nos partenaires dont les noms se retrouveront cités à de nombreuses reprises dans ce document. Merci enfin et tout particulièrement à Dominique Bernard qui a été l'animateur inlassable de ces actions et de leur mise en réseau. Nul doute que les années à venir permettront encore d'amplifier ces actions. C'est notre volonté et celle des personnels de notre université de plus en plus impliqués et motivés pour faire partager notre "passion sciences" et notre rôle de diffusion de la culture

    Rapport d'activité 2006-2007 : Culture Scientifique et Technique

    No full text
    RapportNotre université compte de nombreux laboratoires mixtes réunissant universitaires, enseignants-chercheurs et chercheurs des grands organismes de recherche dont une des missions est la diffusion des connaissances et l'éducation à la culture scientifique (ces acteurs n'hésitent pas à "mettre la main à la pâte" pour faire partager leurs passions, leurs savoirs et leurs doutes). L'université de Rennes 1 dispose de plusieurs structures muséales et de conservation de collections : - sur le campus de Beaulieu, un musée de géologie, un ensemble de collections scientifiques de zoologie et de botanique, des collections d'instruments scientifiques parfois très anciens dont nous faisons un inventaire précis, des collections de botanique dans les serres ; - sur les autres campus : des collections d'herbiers (collection "des Abbayes" en pharmacie), d'instruments, de livres anciens... ; - à Penmarc'h (29), un musée regroupe des collections d'archéologie et d'archéosciences. Ces collections s'enrichissent de jour en jour grâce aux acquisitions et à notre programme de sauvegarde, conservation et valorisation du matériel contemporain, mené en collaboration avec le Musée des Arts et Métiers et pour lequel nous sommes pilote régional. Grâce aux nombreuses actions en direction des publics, ses richesses patrimoniales et ses laboratoires sont accessibles à tous. Notre action ne se limite cependant pas aux domaines du patrimoine. La multiplicité des échanges entre laboratoires/chercheurs et publics notamment scolaires se traduit par un foisonnement d'initiatives : expositions, conférences, visites de laboratoires, intervention dans les classes... Elle s'inscrit aussi dans la dynamique politique culturelle de l'établissement piloté par le service culturel avec son bel équipement, Le Diapason et dans la politique générale de notre université à travers les programmes et contrats pluri-annuels (Contrat quadriennal, Contrat de Projet Etat-Région...). Première actrice de la culture scientifique, l'université a pour partenaires les établissements scolaires, le rectorat et les associations de culture scientifique avec lesquels elle cherche à renforcer les liens de coopération (Espace des Sciences, Abret, Petits débrouillards...). Avec aussi les collectivités locales et régionales et les grands organismes de recherche (CNRS, INRA, INSERM, INRIA...), nous avons la volonté de développer encore plus échanges et projets... Il nous est apparu nécessaire de réaliser un document, bilan d'étape, pour présenter la richesse des diverses interventions. Par sa nature même, la culture scientifique est très décentralisée et le fruit d'une démarche de "passion des sciences". Elle est donc très foisonnante. Impossible de citer dans le détail toutes les actions menées, cela risquerait de devenir ennuyeux ! Nous avons donc pris le parti de présenter plutôt les grandes opérations et les actions originales ou exemplaires

    A moderate melting model for the Vøring margin (Norway) based on structural observations and a thermo-kinematical modelling: Implication for the meaning of the lower crustal bodies

    Get PDF
    High P-wave velocities (7.1-7.8 km/s) lower crustal bodies (LCBs) imaged along volcanic margins are commonly interpreted as plume and breakup-related thick mafic underplating. This interpretation is partly challenged in this paper based on new seismic observations and modelling of the outer Vøring Basin (Norway). An exceptional strong amplitude reflection, the T Reflection, is particularly well defined below the North Gjallar Ridge (NGR) between 7and 8 s TWT. The T Reflection is located near the volcanic lava flows emplaced during the NE Atlantic breakup ( 55-54 Ma ago) and coincides with the top of the LCB, forming a mid-crustal dome. Based on structural and temporal relationships, we show that the dome clearly influences the structural development of the NGR and predates the continental breakup at least by 10-15 Ma. Using a thermo-kinematical model, we tried also to investigate and quantify the relationships between the extension, LCB and the magmatic production. Modelling suggests that significant Paleocene-Early Eocene magmatism can be produced without any temperature anomaly in the mantle if differential stretching occurs during the breakup initiation. The conclusion of 2D thermo-kinematical parametric analysis is that the magmatic model predicts, either little extension (β 5) with significant melting along the outer Vøring Basin. We suggest that the continental part of the LCB could not necessarily be breakup-related and so magmatic, as has often been stated previously. It is concluded here that the continental part of the LCB observed beneath the outer Vøring Basin may be partly (or fully) attributed to inherited, high-pressure granulite/eclogite lower crustal rocks. The real amount of mafic material emplaced along the outer Vøring Basin could be 20-40% less than thought

    Time scales of melt extraction revealed by distribution of lava composition across a ridge axis

    Get PDF
    International audienceTemporal fluctuations of magmatic processes during the last 800 kyr have been investigated for the slow spreading Central Indian Ridge. The fluctuations are recorded by variations in lava chemistry along a 40 km long profile across the ridge. The temporal relations of the basalts were accurately restored using magnetic microanomalies. We report on the occurrence of ancient lavas enriched in incompatible elements whereas on-axis samples are typical normal mid-ocean ridge basalts. The enriched lavas are symmetrically distributed on either side of the ridge, implying that enriched melts reached the seafloor at intervals of about 150–200 kyr. This periodicity is viewed as a characteristic time scale in the aggregation processes of the melts produced from a heterogeneous mantle source. Geochemical variations of zero-age mid-ocean ridge basalts may primarily reflect such periodic processes rather than the spatial distribution of mantle heterogeneities

    Формирование этапов выбора приоритетных стратегий развития порта

    Get PDF
    У статті розглянуті етапи процесу вибору пріоритетних стратегій розвитку порту. В умовах ринкової економіки обґрунтовано таку послідовність етапів: встановлення базового набору альтернативних стратегій, формування критеріїв оцінки альтернативних стратегій, обґрунтування шкали вимірювання переваг стратегій, вибір методу оцінки альтернативних стратегій, вибір пріоритетних стратегій. Визначено зміст кожного з етапів вибору пріоритетних стратегій розвитку порту.The stages of process of choice of priorities strategies of development of port are considered in the article. In the conditions of market economy the following sequence of stages is grounded: establishments of base set of alternative strategies, establishments of criteria of estimation of alternative strategies choice of scale of measuring of preference of strategies, choice of method of estimation of alternative strategies, choice of priorities strategies maintenance of each of stages of choice of priorities strategies of development of port is Certain

    Towards integrated management of the pests and pathogens of cassava in Africa

    Get PDF
    Studies on pathogenic agents of cultivated plants are generally organised on a binomial basis with examination of a host plant and specific parasites or pests. As cassava in Africa has few important pests and they display a limited range of biological features and relations with the host, it was feasible for ORSTOM (L'Institut français de recherche scientifique pour le développement en coopératon) researchers to study each of them over a period of 25 years in Côte d'lvoire, Congo and Togo and such work is currently in progress in Benin and France. The diseases and pests concerned are African cassava mosaic disease and its whitefly vector (Bemisia tahaci), cassava bacterial blight caused by Xanthomonas campestris pv manihotis, cassava mealybug (Phenacoccus manihoti), and cassava green mite (Mononychelus progresivus). Research initially concerned only specific cassava-pathogen or cassava-pest combinations, without attention being paid to the system as a whole, despite obvious epidemic convergences resulting from a common environment, analogies between effects on the host plant and probable interactions between the various pests of the same crop. A biocenotic approach was developed to integrate the various research activities. It is aimed at analysis of the functioning of plant-pathogen and plant-pest systems and enables the design and evaluation of options for integrated management. 'Transversal' comparisons of cassava parasite models cover pathogenic agents (pests and diseases) and their variability, their biological cycles and the climatic factors affecting them, relations with the host (genetic variability, physiology and crop management), the effect of entomophagous species and entomopathogens on phytophagous pests and the integration potential of modelling. The ORSTOM studies show the complexity of the ecology of pathogenic agents and pests in the cassava biocenosis. The extent of the cassava cropping area and the variety of production situations, the variability of pests (phytophagous and entomophagous organisms) and diseases and the many interactions between the factors regulating epidemic mechanisms leads to a complex mosaic whose structure is described. The various sequences of analysis of a system of parasite constraints are shown in matrix form (variability of pathogenic agents, vectors and phytophagous organisms, host-parasite relation modes, epidemiology and population dynamics, modelling) for the various organisms investigated to date. The analysis reveals the fundamental achievements and gaps in knowledge and also the most appropriate areas for combining approaches. The body of knowledge assembled at different sites, during different periods and concerning a variety of organisms and the analysis of this knowledge show that it is not necessary at this stage to collect new information but to make a synthesis (modelling) that will open up original lines of research with combinations of approaches and solutions

    Unusual use of objects after unilateral brain damage. The technical reasoning model.

    Get PDF
    International audienceIt has been suggested that gesture engrams, conceptual knowledge and/or the ability to infer function from structure can support object use. The present paper proposes an alternative view which is based upon the idea that object use requires solely the ability to reason about technical means provided by objects. Technical means are abstract principles which are not linked with any object representation (e.g., cutting involves the opposition between dense and permeable material). The technical reasoning model predicts that the inability to perform technical reasoning should impair performance in any situation requiring the use of objects (in a conventional way or not). Twenty left brain-damaged (LBD) patients, 11 right brain-damaged (RBD) patients and 41 healthy controls were examined on experimental tests assessing the conventional use of objects (e.g., screwing a screw with a screwdriver), conceptual knowledge about object function, pantomime of object use and recognition of object utilization gestures. We also designed the Unusual Use of Objects test, which demands unusual applications of objects to achieve a purpose for which the usually applied object is not provided (e.g., screwing a screw with a knife). The key findings are that only LBD patients have more difficulties on the Unusual Use of Objects Test than controls or RBD patients, and that the severity of their impairment is correlated with that on conventional use of objects. Correlations with tests assessing conceptual knowledge as well as with tests of pantomime of object use and recognition of object utilization gestures were weaker. These results support the technical reasoning model and question the role of conceptual knowledge and gesture engrams in object use. Since the technical reasoning model also predicts two distinct technical disorders, the discussion focuses on the existence of these disorders in regard to individual performance profiles obtained in the Unusual Use of Objects test
    corecore