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    Las nominalizaciones de verbos de cognición: conservación y redistribución de argumentos

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    El tema del presente trabajo surgió a partir de reflexionar sobre fenómenos de vínculo informativo entre los sintagmas que la mayoría de los hablantes encuentran en la lengua española y en otras lenguas. Así, para variar los versos del epígrafe, resulta clara la relación informativa entre El poeta piensa en tales cosas, El poeta tiene pensamientos sobre tales cosas, El pensamiento poético sobre tales cosas… o El pensamiento del poeta sobre tales cosas… Preliminarmente me embargaba la idea de que en la comparación entre estas formas diferentes de decir casi lo mismo había un tema digno de estudiarse, un tema que podría enunciarse así: la relación semántica entre ciertos verbos (por ejemplo, conocer, pensar, razonar) y sus nominalizaciones (conocimiento, pensamiento y razonamiento), así como la conservación y redistribución de los argumentos verbales en las nominalizaciones. Planteado con mayor precisión y detalle, ese tema se abría al menos para mí en tres posibles vías de análisis: el vínculo entre el verbo primitivo y la nominalización derivada (v.gr.: piensa vs. tiene pensamientos), el vínculo entre la nominalización derivada y sus adjetivos (v.gr.: piensa en la poesía vs. el pensamiento poético) y el vínculo entre la nominalización y adnominal (El poeta piensa vs. el pensamiento del poeta). Para conocer ese vínculo, pensé y razoné detenidamente sobre el asunto. En el momento de pensar en una delimitación más específica, me centré en un tema que por sí mismo es interesante, ya que toma en cuenta la formación de sustantivos a partir de otra categoría gramatical, en este caso el verbo. La cuestión me llevó a reflexionar sobre cómo se lleva a cabo ese proceso en el sistema cognoscitivo y cómo se van formando esos sustantivos (las nominalizaciones), tan útiles en la vida diaria como en la literatura

    Influencia interlingüística y transferencia morfosintáctica en los aprendientes de español como lengua tercera (EL3) en el País Vasco Norte (Francia)

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    Cette thèse porte sur l’influence interlinguistique au cours du processus d’acquisition de l’espagnol comme langue tierce (L3) chez des enfants bilingues français/basque. Plus précisément, nous nous intéressons à l’accord en genre dans le syntagme déterminant et à la formation de composés nominaux (N+N et déverbaux). Le français et l’espagnol partagent les mêmes caractéristiques concernant les deux phénomènes puisqu’ils possèdent chacun deux genres grammaticaux (masculin et féminin) et qu’ils forment leurs composés avec la tête à gauche. Par contre, en basque, il n’y a pas de genre grammatical et les composés se forment avec la tête à droite. Cette configuration des langues, ainsi que les différents profils de nos participants, nous permettent d’explorer l’influence interlinguistique dès les étapes initiales d’acquisition de l’espagnol L3 à travers l’étude des facteurs les plus courants dans le domaine de l’acquisition de L3, tels que la typologie, l’usage et l’ordre d’acquisition des deux premières langues. Dans l’ensemble, une influence du français (typologiquement et structurellement plus proche de l’espagnol) pourrait avoir un effet facilitateur, tandis que le basque aurait un effet inhibiteur. Pour explorer ces possibilités d’influence, nous avons administré un test de description d’image écrite pour obtenir 1) des syntagmes formés par un déterminant, un nom et un adjectif de couleur (par exemple, « la casa roja », c’est-à-dire, « la maison rouge »); 2) des composés N+N (par exemple, « hombre rana », c’est-à-dire, « homme-grenouille »); et 3) des déverbaux (par exemple, « abrebotellas », c’est-à-dire, « ouvre-bouteille ») à 52 enfants bilingues (français/basque, âge : 10-11 ans) qui apprenaient l’espagnol comme L3 et à un groupe témoin de 21 locuteurs natifs d’espagnol du même âge. Les participants de L3 ont été divisés en trois groupes, selon leur langue dominante : L1 basque, L1 français et 2L1 basque/français. À partir des données collectées, nous avons analysé le niveau de maitrise des structures cibles en fonction des facteurs les plus couramment étudiés en acquisition de L2. Concernant le genre grammatical, nous considérons le genre par défaut, le type d’accord (déterminant ou adjectif), la transparence de la terminaison (-a / -o) et le critère analogique. En ce qui a trait aux composés, nous nous intéressons à la directionnalité (tête initiale ou finale) et la productivité des deux types de composés. Plus spécifiquement pour les composés déverbaux, nous étudions également leurs caractéristiques formelles (flexion verbale et -s générique). Conformément aux résultats de recherches antérieures sur le genre grammatical en espagnol, le taux d’erreur le plus élevé se produit avec le féminin, ce qui indique une stratégie consistant à utiliser le masculin comme genre par défaut. Nous avons également constaté que l’effet de la transparence de la terminaison était plus important chez les locuteurs ayant le basque comme langue dominante, qui ont acquis le français dans un contexte formel et qui ne l’utilisent pas quotidiennement à la maison. En revanche, le critère analogique semble avoir un impact plus important sur les locuteurs qui ont acquis le français à la maison et qui l’utilisent quotidiennement. Concernant les composés, compte tenu des pourcentages élevés de composés avec la bonne directionnalité, nos résultats suggèrent un effet facilitateur du français pour tous les participants, quel que soit l’âge ou l’ordre d’acquisition de leur L1/L2. En général, le français, la langue la plus proche, semble exercer une influence plus directe sur le processus d’acquisition de l’espagnol L3, mais le basque semble avoir une certaine influence sur les stratégies métalinguistiques mobilisées par nos participants.This study focuses on the issue of cross-linguistic influence (CLI) throughout the acquisition process of Spanish as an L3 by bilingual French/Basque children. Specifically, we are interested in gender concord within the Determiner Phrase (DP) and the formation of nominal compounds (N + N and deverbals). French and Spanish share the same characteristics regarding the two phenomena, as they display two grammatical genders (masculine and feminine), and compounds are head-initial. Conversely, there is no grammatical gender in Basque and compounds are head-final. This configuration of languages, together with the different profiles of our bilingual participants, allows us to explore cross-linguistic influence from the initial stages of acquisition of L3 Spanish through the most common factors in the field of L3 acquisition, namely typology, use and order of acquisition of the first two languages. Overall, an influence of French (typologically and structurally closer) would have a facilitating effect, while Basque would have an inhibitory one. In order to explore these possibilities of influence, we administered a written image description task to elicit 1) phrases made up of a determinant, a noun and a color adjective (e.g., “una casa roja”, “a red house”), 2) N + N compounds (e.g., “hombre rana”, “frogman”) and 3) deverbal compounds (e.g., “abrebotellas”, “bottle opener”) to 52 bilingual children (French/Basque, age: 10–11 years) learning Spanish as an L3, and to a control group of 21 native speakers of Spanish of the same age. The L3 participants were divided into three groups, based on their dominant language: L1 Basque, L1 French, and 2L1 Basque/French. From the data collected, we analyzed the level of accuracy for the target structures in relation to the most commonly studied factors in L2 acquisition. Regarding grammatical gender, we considered the transparency of the ending (-a/-o), the default gender and the analogical criterion. Concerning the compounds, we studied directionality (head-initial vs. head-final) and the productivity of both types of compound. As for the deverbals, we also studied their formal characteristics (verbal inflection and generic -s). In line with the results of previous research on Spanish grammatical gender, the highest error rates occur with feminine, which points to a strategy of using masculine as the default gender. We also found that the effect of the transparency of the ending was greater with Basque-dominant speakers, who acquired French later in a formal context and do not use it at home on a daily basis. In contrast, the analogical criterion seems to be favoured by speakers who acquired French at home and use it every day. As for the compounds, given the high percentages of compounds with the correct directionality, our results suggest a facilitating effect of French for all participants, regardless of age or order of acquisition of their L1/L2. In general, French, the closer language, seems to exert a more direct influence on the process of acquisition of L3 Spanish, but Basque seems to have some influence in terms of the metalinguistic strategies used by our participants.La presente investigación se centra en la influencia interlingüística a lo largo del proceso de adquisición del español como L3 por parte de niños bilingües francés/euskera. Concretamente, nos interesamos por la concordancia de género dentro del sintagma determinante y la formación de compuestos nominales (N+N y deverbales). El francés y el español comparten las mismas características en cuanto a los dos fenómenos, al tener dos géneros gramaticales (masculino y femenino) y formar sus compuestos con el núcleo a la izquierda. En cambio, en euskera no hay género gramatical y los compuestos se forman con el núcleo a la derecha. Esta configuración de lenguas, junto con los diferentes perfiles de nuestros participantes bilingües, nos permiten explorar la influencia interlingüística desde las etapas iniciales de adquisición del español L3 a través de los factores más comunes en el campo de la adquisición de L3, como la tipología, el uso y el orden de adquisición de las dos primeras lenguas. De manera global, una influencia del francés (tipológica y estructuralmente más cercana y también la L2 de algunos participantes) podría tener un efecto facilitador, mientras que el euskera tendría un efecto inhibidor. Para explorar esas posibilidades de influencia, administramos una prueba escrita de descripción de imágenes para elicitar 1) sintagmas formados por un determinante, un sustantivo y un adjetivo de color (p. ej., “la casa roja”), 2) compuestos N+N (p. ej., “hombre rana”) y 3) deverbales (p. ej., “abrebotellas”) a 52 niños bilingües (francés-euskera, edad: 10-11 años) que aprendían español como L3 y a un grupo de control de 21 hablantes nativos de español de la misma edad. Los participantes de L3 fueron divididos en tres grupos, según su lengua dominante: L1 euskera, L1 francés, y 2L1 euskera/francés. A partir de los datos recogidos, analizamos el nivel de dominio de las estructuras metas en función de los factores más comúnmente estudiados en adquisición de L2. En cuanto al género gramatical, consideramos el género por defecto, el tipo de concordancia, la transparencia de la terminación (-a/-o) y el criterio analógico. Con respecto a los compuestos, estudiamos la direccionalidad (núcleo inicial vs. final) y la productividad de ambos tipos de compuesto. En cuanto los deverbales, estudiamos además sus características formales (flexión verbal y -s genérica). En línea con los resultados de investigaciones anteriores sobre el género gramatical en español, la tasa de error más alta ocurre con el femenino, lo cual apunta a una estrategia de uso del masculino como género por defecto. También encontramos que el efecto de la transparencia de la terminación era mayor con los hablantes que adquirieron el francés en un contexto formal y que no lo usan en casa de manera cotidiana. En cambio, el criterio analógico parece tener un impacto mayor en los hablantes que adquirieron el francés en casa y que lo usan todos los días. En cuanto a los compuestos, dados los altos porcentajes de producción de compuestos con la direccionalidad correcta, nuestros resultados sugieren un efecto facilitador del francés para todos los participantes, independientemente de la edad o del orden de adquisición de sus L1/L2. De manera general, el francés, la lengua más cercana, parece ejercer una influencia más directa en el proceso de adquisición del español L3, pero el euskera parece tener cierta influencia en las estrategias metalingüísticas movilizadas por nuestros participantes.Tesi hau frantses / euskaldun elebidunek gaztelania hirugarren hizkuntza gisa (H3) ikasterakoan gertazen den hizkuntza arteko eraginari buruzkoa da. Zehazkiago, generoarekiko komunztadura aztertzen dugu determinatzaile sintagman eta hitz elkartuetan (izen + izen eta aditz elkartuak). Frantsesak eta gaztelaniak ezaugarri berdinak dituzte bi fenomenoei dagokienez, bakoitzak bi genero gramatikal (maskulinoa eta femeninoa) baitituzte eta hitz elkartuek burua ezkerrean dute. Bestalde, euskaraz ez dago genero gramatikalik eta hitz elkartuek burua eskuinean dute. Hizkuntzen konfigurazio honek, baita gure parte-hartzaileen profil desberdinak ere, gaztelania H3 gisa jabetzerakoan hizkuntza arteko eragina aztertzeko aukera ematen digu, hasierako urratsetatik, H3 jabekuntza arloko faktore ohikoenen azterketaren bidez (hala nola hizkuntzen tipologia, erabilera eta eskuratze hurrenkera). Orokorrean, frantsesaren eraginak (tipologikoki eta egituraz gaztelaniatik hurbilago) eragin errazgarria izan dezake, eta euskarak, berriz, eragin inhibitzailea. Eragin posible hauek aztertzeko, idatzizko irudi deskribapenaren proba pasatu dugu, 1) izen bat eta kolore adjektibo batez osatutako sintagmak (adibidez, "la casa roja", hau da: "etxe gorria"); 2) izen + izen hitz elkartuak (adibidez, "hombre rana", hau da: "igel gizona"); eta 3) aditzez osatutako hitz elkartuak (adibidez, "abrebotellas", hau da, "botila irekitzekoa"). Gaztelania H3 gisa ikasten ari ziren 52 haur elebidunek (adina: 10-11 urte, frantsesa / euskara elebidun) eta gaztelania ama hizkuntza duten adin bereko 21 haur kontrolen talde batek parte hartu dute. Gaztelania H3ko partaideak hiru taldetan banatuak izan ziren, hizkuntza nagusiaren arabera: euskara H1, frantsesa H1 eta 2H1 euskara / frantsesa. Bildutako datuen oinarrian, xede-egituren ezagutza maila aztertu dugu bigarren hizkuntzaren jabekuntzan aztertu ohi diren faktoreen arabera. Genero gramatikalari dagokionez, genero defektiboa, komunztadura mota (determinatzailea edo adjektiboa), bukaeraren gardentasuna (-a / -o) eta irizpide analogikoa kontuan hartzen ditugu. Hitz elkartuei dagokienez, bi hitz elkarte moten norabidea (hasierako edo amaierako burua) eta produktibitatea interesatzen zaizkigu. Bereziki aditz elkartuentzat, haien ezaugarri formalak ere aztertzen ditugu (inflexioa eta -s generikoak). Gaztelaniaz genero gramatikalari buruz egindako aurreko ikerketekin bat eginez, huts kopuru handiena femeninoarekin gertatzen da, maskulinoa genero defektibo gisa erabiltzeko estrategia erakutsiz. Gainera, ikusi da amaieraren gardentasunaren eragina handiagoa zela euskara hizkuntza nagusi zuten eta frantsesa testuinguru formalean eskuratu eta etxean egunero erabiltzen ez duten hiztunengan. Aldiz, badirudi irizpide analogikoak eragin handiagoa duela etxean frantsesa ikasi duten eta egunero erabiltzen duten hiztunengan. Hitz elkartuei dagokienez, norabide zuzena duten hitz elkartuen ehuneko altuak direla eta, gure emaitzek frantsesaren eragin errazgarria erakusten dute parte-hartzaile guztientzat, H1 / H2 jabetze adina edo hurrenkera edozein dela ere. Orokorrean, frantsesak, hizkuntza hurbilena, gaztelania H3 jabetzeko prozesuan eragin zuzenagoa duela dirudi, baina badirudi euskarak nolabaiteko eragina duela gure parte hartzaileek mobilizatutako estrategia metalinguistikoetan

    Homenaje a Valerio Báez San José

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    Construcciones sintácticas de sustantivos deverbales: los complementos adnominales con de

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    Este trabajo presenta un estudio de las propiedades de las nominalizaciones en español en cuanto a los complementos adnominales con de de carácter argumental. Se trata de comprobar cuáles son las posibilidades de complementación en el interior de las nominalizaciones, dedicando atención especial a los aspectos relacionados con su carácter deverbal, sobre todo en lo que tiene que ver con la valencia sintáctica activa, que pueden compartir o no con los verbos de que derivan, y más concretamente, en lo que afecta al régimen preposicional con de

    Eventos y entidades que se pueden echar: Combinatoria léxica y representación del significado de un verbo polisémico

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    Tesis doctoral inédita leída en la Universidad Autónoma de Madrid, Facultad de Filosofía y Letras, Departamento de Filología Española. Fecha de lectura: 25-06-201

    Clasificación de las palabras por terminaciones y coincidencias fónicas, gramaticales y lexicosemánticas. Creación de un inventario y posibilidades didácticas.

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    El trabajo que presentamos se circunscribe, en líneas generales, al ámbito lexicográfico, atendiendo a un objetivo básico: la estructuración de un sistema clasificatorio de las palabras que permitiera conjuntar, a un mismo tiempo, distintas características propias de ellas. Teníamos como finalidad, que creemos cumplida, el conformar un corpus léxico que conjuntara el carácter didáctico con el aplicativo. En esta clasificación, las terminaciones incluyen desde la vocal tónica hasta final de palabra, aunando aspectos morfológicos, fonológicos y léxicos. Es un sistema universalizado que permite incluir cualquier palabra, sea esta de uso actual, arcaísmo, neologismo, vulgarismo, extranjerismo, o de cualquier otra índole o procedencia. Sus terminaciones están conformadas por estructuras vocálicas que son las que hacen posible que el sistema clasificatorio sea coherente, lógico, universalizado y fácil de consultar

    Análisis morfológico y lexicográfico del léxico loncco del distrito de Pocsi, Arequipa

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    Registra las voces y/o acepciones del LÉXICO LONCCO (LL) y determinar si se encuentran definidas en el Diccionario de peruanismos (1990), Diccionario de americanismos (2010), Diccionario de arequipeñismos (2012) y/o en el Diccionario de la lengua española (2014). Además, tiene como propósito identificar las categorías gramaticales, señalar la etimología y determinar los procesos morfológicos de las voces del LL del distrito de Pocsi, Arequipa. La metodología fue de tipo descriptivo, enfoque cuantitativo y cualitativo y diseño transversal-no experimental. La población fueron todos los pobladores del distrito de Pocsi, y la muestra se conformó por 15 adultos del distrito indicado. Como técnicas, se hizo uso de la entrevista semiestructurada, y el instrumento usado fue la guía de entrevista. Se recopilaron 145 voces del LÉXICO LONCCO, y sus acepciones no se encuentran registradas en los diccionarios mencionados. Como conclusión, en el LL se identifica la presencia de categorías gramaticales como sustantivos, adjetivos, verbos; el 69,33% de voces lonccas provienen de la lengua quechua, y se determina la presencia de los procesos morfológicos de composición y derivación en el LL del distrito de Pocsi, Arequipa

    A caballo entre verbo y nombre : la heterogeneidad de las nominalizaciones deverbales empíricamente comprobada

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    Caracterización interlingüística de la producción textual en inglés de estudiantes de Licenciatura en Lengua Inglesa

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    Los avances en el campo de la educación para el bilingüismo en los programas universitarios han contribuido al esclarecimiento teórico de diferentes aspectos cruciales concernientes al desarrollo y adquisición de una segunda lengua y/o extranjera. Estos avances profundizan en fenómenos interlingüísticos que se evidencian durante la formación bilingüe, por lo que se ha logrado identificar la interlengua como un objeto de estudio. El presente trabajo explora manifestaciones interlingüísticas a partir de los errores, aciertos y la conciencia metalingüística en la producción textual de un grupo de estudiantes-profesores que cursan inglés intermedio en una universidad colombiana. Esta investigación cualitativa adoptó el análisis de contenido, proceso que permitió describir los datos arrojados por los errores y aciertos en la producción textual, los cuales fueron triangulados con un protocolo de acción retrospección. Los resultados revelan construcciones oracionales simples, errores morfosintácticos a nivel local, una baja conciencia metalingüística y la existencia de interdependencia entre la L1 y la L2 como características principales de la interlengua de los participantes. Con estos resultados se propone además generar una visión más amplia sobre los procesos cognitivos y metodológicos relacionados con la enseñanza y el aprendizaje de una lengua extranjera con el fin de ampliar el campo de reflexión y dialogar con los hallazgos precedentes, y de esta manera, abonar al escaso conglomerado de estudios sobre la interlengua a nivel nacional
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