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    La sculpture romaine en Occident

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    Cet ouvrage réunit les résultats de deux manifestations complémentaires  : d’une part, la table ronde intitulée «  Rendre à César  », organisée le mercredi 20 juin 2012, à Paris, au Musée du Louvre et, d’autre part, les «  Rencontres autour de la sculpture romaine conservée en France  » qui ont eu lieu du 18 au 20 octobre 2012 au Musée départemental Arles antique. La richesse des interventions lors de ces deux manifestations permet de restituer un ouvrage composé de trente-huit articles, répartis en trois parties et une conclusion. La première partie, en écho et en développement de la table ronde du Louvre, porte sur le portrait du «  César du Rhône  », aussi bien que sur «  Le portrait romain en Gaule  ». La deuxième partie publie cinq études autour des «  nouvelles techniques d’investigations scientifiques  » et présente l’analyse des matériaux des sculptures en pierre et en bronze, découvertes dans le Rhône à Arles, ainsi qu’une étude ethnoarchéologique sur les techniques de production du portrait. Enfin une troisième partie présente les «  découvertes récentes et les nouvelles recherches  », déclinées en seize études qui sont consacrées à des études de cas (Autun, Vaison-la-Romaine, Nîmes, Metz-Divodurum, Apt), ainsi qu’à des relectures novatrices de sculptures méconnues (Plouarzel, Langres, Avignonet-Lauragais, Vernègues, vallée de l’Ubaye, Besançon, Lyon). Robert Turcan signe la conclusion. Ainsi, «  La sculpture romaine en Occident. Nouveaux regards   » reflète la variété et l’intérêt des questionnements actuels dans ce domaine

    Bussy-Saint-Georges (Seine-et-Marne), ZAC de la Rucherie : Phase 1 : rapport de diagnostic

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    L’opération de diagnostic de la ZAC de la Rucherie, phase 1, menée d’avril à juillet 2023, a permis d’observer l’une des plus longues séquences chronologiques, sans doute la plus complète de Marne-la-Vallée.Cette succession débute au Mésolithique pour se poursuivre durant le Néolithique. Après un hiatus, de part et d’autre de ces deux occupations préhistoriques, deux habitats ouverts de La Tène ancienne se développent avec des activités spécifiques. Durant La Tène moyenne et finale, l’occupation se déplace vers le nord, hors emprise, pour ensuite revenir sur celle de la ZAC de la Rucherie durant l’Antiquité et, plus particulièrement, durant le Haut-Empire.L’occupation antique est totalement atypique puisque les premiers aménagements correspondent à la création d’un réseau hydraulique comprenant un bassin linéaire de 400 m de long présentant une largeur comprise entre 6 et 14 m et une profondeur pouvant atteindre 2 m sous la terre végétale.Par la suite, un établissement antique va être créé en incorporant l’un des deux réseaux de fossés évacuateurs, sans doute, toujours en activité afin de gérer les eaux de surface. Cet habitat antique, observé dans sa totalité, est tout aussi atypique puisqu’il est formé de deux enclos principaux qui ne correspondent pas, selon leur forme et leur organisation, aux normes habituellement rencontrées à Marne-la-Vallée.Un second système hydraulique est aménagé, sous la forme de plusieurs réseaux de bassins rétenteurs et de fossés les reliant. Ce système, pour créer des réserves d’eau, plus couramment rencontré, se développe uniquement dans la périphérie ouest de l’établissement.La découverte, en bordure du ru de la Brosse, de zones de démolition avec un matériel archéologique conséquent pourrait expliquer qu’après son abandon à la findu Haut-Empire, l’exploitation est totalement détruite et le matériel rejeté dans des zones difficilement exploitables comme la rive du ru de la Brosse.La rive droite du ru de la Brosse n’a pas été uniquement l’objet de zones de rejet antique, un secteur funéraire de la même période est aussi apparu à la même altitude NGF confirmant ainsi la limite de la rive ou de la zone insalubre si ce secteur était marécageux.Toutes ces occupations se chevauchent en partie accentuant la difficulté d’une étude complémentaire. À cela, se rajoute l’existence de colluvions dont il a été impossible, dans le cadre de cette opération, de déterminer leur origine, très ancienne ou antique.La conséquence de leur présence est le risque de rencontrer d’autres structures sous ces colluvions, en incluant surtout les couches se trouvant en bordure du ru où les zones de rejet et funéraire ont été rencontrées.Par la suite, ce secteur est uniquement tournée vers l’agriculture. Seuls deux chemins dont leur origine est sans doute médiévale, reliant les fermes des Boulleaux et du Bel-Air à la forêt régionale de Ferrières, traversent l’emprise.Enfin, pour conclure, il est nécessaire de rappeler que toutes ces occupations se trouvent dans la partie élevée de l’emprise, ce qui sous-entend leur destruction irrémédiable lorsque les travaux d’aménagement de la ZAC de la Rucherie feront en sorte de rejoindre le niveau de la ZAC du Bel-Air situé 3 m plus bas

    Bussy-Saint-Georges (Seine-et-Marne), ZAC de la Rucherie : Phase 1 : rapport de diagnostic

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    L’opération de diagnostic de la ZAC de la Rucherie, phase 1, menée d’avril à juillet 2023, a permis d’observer l’une des plus longues séquences chronologiques, sans doute la plus complète de Marne-la-Vallée.Cette succession débute au Mésolithique pour se poursuivre durant le Néolithique. Après un hiatus, de part et d’autre de ces deux occupations préhistoriques, deux habitats ouverts de La Tène ancienne se développent avec des activités spécifiques. Durant La Tène moyenne et finale, l’occupation se déplace vers le nord, hors emprise, pour ensuite revenir sur celle de la ZAC de la Rucherie durant l’Antiquité et, plus particulièrement, durant le Haut-Empire.L’occupation antique est totalement atypique puisque les premiers aménagements correspondent à la création d’un réseau hydraulique comprenant un bassin linéaire de 400 m de long présentant une largeur comprise entre 6 et 14 m et une profondeur pouvant atteindre 2 m sous la terre végétale.Par la suite, un établissement antique va être créé en incorporant l’un des deux réseaux de fossés évacuateurs, sans doute, toujours en activité afin de gérer les eaux de surface. Cet habitat antique, observé dans sa totalité, est tout aussi atypique puisqu’il est formé de deux enclos principaux qui ne correspondent pas, selon leur forme et leur organisation, aux normes habituellement rencontrées à Marne-la-Vallée.Un second système hydraulique est aménagé, sous la forme de plusieurs réseaux de bassins rétenteurs et de fossés les reliant. Ce système, pour créer des réserves d’eau, plus couramment rencontré, se développe uniquement dans la périphérie ouest de l’établissement.La découverte, en bordure du ru de la Brosse, de zones de démolition avec un matériel archéologique conséquent pourrait expliquer qu’après son abandon à la findu Haut-Empire, l’exploitation est totalement détruite et le matériel rejeté dans des zones difficilement exploitables comme la rive du ru de la Brosse.La rive droite du ru de la Brosse n’a pas été uniquement l’objet de zones de rejet antique, un secteur funéraire de la même période est aussi apparu à la même altitude NGF confirmant ainsi la limite de la rive ou de la zone insalubre si ce secteur était marécageux.Toutes ces occupations se chevauchent en partie accentuant la difficulté d’une étude complémentaire. À cela, se rajoute l’existence de colluvions dont il a été impossible, dans le cadre de cette opération, de déterminer leur origine, très ancienne ou antique.La conséquence de leur présence est le risque de rencontrer d’autres structures sous ces colluvions, en incluant surtout les couches se trouvant en bordure du ru où les zones de rejet et funéraire ont été rencontrées.Par la suite, ce secteur est uniquement tournée vers l’agriculture. Seuls deux chemins dont leur origine est sans doute médiévale, reliant les fermes des Boulleaux et du Bel-Air à la forêt régionale de Ferrières, traversent l’emprise.Enfin, pour conclure, il est nécessaire de rappeler que toutes ces occupations se trouvent dans la partie élevée de l’emprise, ce qui sous-entend leur destruction irrémédiable lorsque les travaux d’aménagement de la ZAC de la Rucherie feront en sorte de rejoindre le niveau de la ZAC du Bel-Air situé 3 m plus bas

    Bussy-Saint-Georges (Seine-et-Marne), ZAC de la Rucherie : Phase 1 : rapport de diagnostic

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    L’opération de diagnostic de la ZAC de la Rucherie, phase 1, menée d’avril à juillet 2023, a permis d’observer l’une des plus longues séquences chronologiques, sans doute la plus complète de Marne-la-Vallée.Cette succession débute au Mésolithique pour se poursuivre durant le Néolithique. Après un hiatus, de part et d’autre de ces deux occupations préhistoriques, deux habitats ouverts de La Tène ancienne se développent avec des activités spécifiques. Durant La Tène moyenne et finale, l’occupation se déplace vers le nord, hors emprise, pour ensuite revenir sur celle de la ZAC de la Rucherie durant l’Antiquité et, plus particulièrement, durant le Haut-Empire.L’occupation antique est totalement atypique puisque les premiers aménagements correspondent à la création d’un réseau hydraulique comprenant un bassin linéaire de 400 m de long présentant une largeur comprise entre 6 et 14 m et une profondeur pouvant atteindre 2 m sous la terre végétale.Par la suite, un établissement antique va être créé en incorporant l’un des deux réseaux de fossés évacuateurs, sans doute, toujours en activité afin de gérer les eaux de surface. Cet habitat antique, observé dans sa totalité, est tout aussi atypique puisqu’il est formé de deux enclos principaux qui ne correspondent pas, selon leur forme et leur organisation, aux normes habituellement rencontrées à Marne-la-Vallée.Un second système hydraulique est aménagé, sous la forme de plusieurs réseaux de bassins rétenteurs et de fossés les reliant. Ce système, pour créer des réserves d’eau, plus couramment rencontré, se développe uniquement dans la périphérie ouest de l’établissement.La découverte, en bordure du ru de la Brosse, de zones de démolition avec un matériel archéologique conséquent pourrait expliquer qu’après son abandon à la findu Haut-Empire, l’exploitation est totalement détruite et le matériel rejeté dans des zones difficilement exploitables comme la rive du ru de la Brosse.La rive droite du ru de la Brosse n’a pas été uniquement l’objet de zones de rejet antique, un secteur funéraire de la même période est aussi apparu à la même altitude NGF confirmant ainsi la limite de la rive ou de la zone insalubre si ce secteur était marécageux.Toutes ces occupations se chevauchent en partie accentuant la difficulté d’une étude complémentaire. À cela, se rajoute l’existence de colluvions dont il a été impossible, dans le cadre de cette opération, de déterminer leur origine, très ancienne ou antique.La conséquence de leur présence est le risque de rencontrer d’autres structures sous ces colluvions, en incluant surtout les couches se trouvant en bordure du ru où les zones de rejet et funéraire ont été rencontrées.Par la suite, ce secteur est uniquement tournée vers l’agriculture. Seuls deux chemins dont leur origine est sans doute médiévale, reliant les fermes des Boulleaux et du Bel-Air à la forêt régionale de Ferrières, traversent l’emprise.Enfin, pour conclure, il est nécessaire de rappeler que toutes ces occupations se trouvent dans la partie élevée de l’emprise, ce qui sous-entend leur destruction irrémédiable lorsque les travaux d’aménagement de la ZAC de la Rucherie feront en sorte de rejoindre le niveau de la ZAC du Bel-Air situé 3 m plus bas

    Bussy-Saint-Georges (Seine-et-Marne), ZAC de la Rucherie : Phase 1 : rapport de diagnostic

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    L’opération de diagnostic de la ZAC de la Rucherie, phase 1, menée d’avril à juillet 2023, a permis d’observer l’une des plus longues séquences chronologiques, sans doute la plus complète de Marne-la-Vallée.Cette succession débute au Mésolithique pour se poursuivre durant le Néolithique. Après un hiatus, de part et d’autre de ces deux occupations préhistoriques, deux habitats ouverts de La Tène ancienne se développent avec des activités spécifiques. Durant La Tène moyenne et finale, l’occupation se déplace vers le nord, hors emprise, pour ensuite revenir sur celle de la ZAC de la Rucherie durant l’Antiquité et, plus particulièrement, durant le Haut-Empire.L’occupation antique est totalement atypique puisque les premiers aménagements correspondent à la création d’un réseau hydraulique comprenant un bassin linéaire de 400 m de long présentant une largeur comprise entre 6 et 14 m et une profondeur pouvant atteindre 2 m sous la terre végétale.Par la suite, un établissement antique va être créé en incorporant l’un des deux réseaux de fossés évacuateurs, sans doute, toujours en activité afin de gérer les eaux de surface. Cet habitat antique, observé dans sa totalité, est tout aussi atypique puisqu’il est formé de deux enclos principaux qui ne correspondent pas, selon leur forme et leur organisation, aux normes habituellement rencontrées à Marne-la-Vallée.Un second système hydraulique est aménagé, sous la forme de plusieurs réseaux de bassins rétenteurs et de fossés les reliant. Ce système, pour créer des réserves d’eau, plus couramment rencontré, se développe uniquement dans la périphérie ouest de l’établissement.La découverte, en bordure du ru de la Brosse, de zones de démolition avec un matériel archéologique conséquent pourrait expliquer qu’après son abandon à la findu Haut-Empire, l’exploitation est totalement détruite et le matériel rejeté dans des zones difficilement exploitables comme la rive du ru de la Brosse.La rive droite du ru de la Brosse n’a pas été uniquement l’objet de zones de rejet antique, un secteur funéraire de la même période est aussi apparu à la même altitude NGF confirmant ainsi la limite de la rive ou de la zone insalubre si ce secteur était marécageux.Toutes ces occupations se chevauchent en partie accentuant la difficulté d’une étude complémentaire. À cela, se rajoute l’existence de colluvions dont il a été impossible, dans le cadre de cette opération, de déterminer leur origine, très ancienne ou antique.La conséquence de leur présence est le risque de rencontrer d’autres structures sous ces colluvions, en incluant surtout les couches se trouvant en bordure du ru où les zones de rejet et funéraire ont été rencontrées.Par la suite, ce secteur est uniquement tournée vers l’agriculture. Seuls deux chemins dont leur origine est sans doute médiévale, reliant les fermes des Boulleaux et du Bel-Air à la forêt régionale de Ferrières, traversent l’emprise.Enfin, pour conclure, il est nécessaire de rappeler que toutes ces occupations se trouvent dans la partie élevée de l’emprise, ce qui sous-entend leur destruction irrémédiable lorsque les travaux d’aménagement de la ZAC de la Rucherie feront en sorte de rejoindre le niveau de la ZAC du Bel-Air situé 3 m plus bas

    Virological and clinical features of acute respiratory failure associated with COVID-19 in pregnancy: a case-control study.

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    International audienceObjective: Pregnancy is a risk factor for acute respiratory failure (ARF) following severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 (SARS-CoV-2) infection. We hypothesised that SARS-CoV-2 viral load in the respiratory tract might be higher in pregnant intensive care unit (ICU) patients with ARF than in non-pregnant ICU patients with ARF as a consequence of immunological adaptation during pregnancy. Design: Single-centre, retrospective observational case-control study. Setting: Adult level 3 ICU in a French university hospital. Participants: Eligible participants were adults with ARF associated with coronavirus disease 2019 (COVID-19) pneumonia. Main outcome measure: The primary endpoint of the study was viral load in pregnant and non-pregnant patients. Results: 251 patients were included in the study, including 17 pregnant patients. Median gestational age at ICU admission amounted to 28 + 3/7 weeks (interquartile range [IQR], 26 + 1/7 to 31 + 5/7 weeks). Twelve patients (71%) had an emergency caesarean delivery due to maternal respiratory failure. Pregnancy was independently associated with higher viral load (-4.6 ± 1.9 cycle threshold; P < 0.05). No clustering or over-represented mutations were noted regarding SARS-CoV-2 sequences of pregnant women. Emergency caesarean delivery was independently associated with a modest but significant improvement in arterial oxygenation, amounting to 32 ± 12 mmHg in patients needing invasive mechanical ventilation. ICU mortality was significantly lower in pregnant patients (0 v 35%; P < 0.05). Age, Simplified Acute Physiology Score (SAPS) II score, and acute respiratory distress syndrome were independent risk factors for ICU mortality, while pregnancy status and virological variables were not. Conclusions: Viral load was substantially higher in pregnant ICU patients with COVID-19 and ARF compared with non-pregnant ICU patients with COVID-19 and ARF. Pregnancy was not independently associated with ICU mortality after adjustment for age and disease severity
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