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    North Atlantic Oscillation drives the annual occurrence of an isolated, peripheral population of the brown seaweed Fucus guiryi in the Western Mediterranean Sea

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    The canopy-forming, intertidal brown (Phaeophyceae) seaweed Fucus guiryi is distributed along the cold-temperate and warm-temperate coasts of Europe and North Africa. Curiously, an isolated population develops at Punta Calaburras (Alboran Sea, Western Mediterranean) but thalli are not present in midsummer every year, unlike the closest (ca. 80 km), perennial populations at the Strait of Gibraltar. The persistence of the alga at Punta Calaburras could be due to the growth of resilient, microscopic stages as well as the arrival of few-celled stages originating from neighbouring localities, and transported by the permanent Atlantic Jet flowing from the Atlantic Ocean into the Mediterranean. A twenty-six year time series (from 1990 to 2015) of midsummer occurrence of F. guiryi thalli at Punta Calaburras has been analysed by correlating with oceanographic (sea surface temperature, an estimator of the Atlantic Jet power) and climatic factors (air temperature, rainfall, and North Atlantic Oscillation -NAO-, and Arctic Oscillation -AO- indexes). Binary logistic regression showed that the occurrence of thalli at Punta Calaburras in midsummer is favoured under positive NAO index from April to June. Although significant differences were detected in photosynthetic quantum yield and water loss under emersion conditions, with thalli from Punta Calaburras being more affected by emersion than those from Tarifa, the developmental instability showed that the population from Tarifa suffers higher stress during ontogeny than that from Punta Calaburras. In conclusion, this study demonstrates the teleconnection between atmospheric oscillations and survival and proliferation of marine macroalgae.This work was supported by the project ``Variabilidad funcional y dinámica de las respuestas al cambio climático de bosques marinos (MARFOR)'' from the Ministerio de Economía, Industria y Competitividad, (Acciones de Programación Conjunta Internacional, PCIN-2016-090). Universidad de Málaga. Campus internacional de excelencia. Andalucia Tech

    Recherche de polypeptides induits par des champignons endomycorhiziens dans des racines transformées de chircorée (Cichorium intybus L.) et de carotte (Daucus carota L.)

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    Beaucoup de plantes peuvent former une association symbiotique avec les champignons endomycorhiziens à arbuscules (E.A.). Cette interaction entraîne des bouleversements physiologiques et moléculaires chez les deux organismes. Les modifications polypeptidiques induites par la symbiose ont été étudiées par électrophorèse bidimensionnelle. Des racines de carotte et de chicorée transformées par Agrobacterium rhizogenes ont été cultivées seules ou comme support de divers champignons E.A., biotrophes obligatoires. Des cultures en boîtes bi-compartimentées ont permis d'étudier le mycélium extraracinaire et les spores. Des études préliminiaires sur le couple "racines de carotte/Glomus intraradices" ont montré des différences de contenu protéique entre racines colonisées et non colonisées : apparition de nouveaux polypeptides et augmentation ou diminution de la quantité de peptides préexistants. Un polypeptide de PM 16kDa et PI 4,4 présent dans les racines mycorhizées, est absent du matériel non colonisé et du matériel fongique extraracinaire. Une analyse des protéines solubles et microsomales a permis de mettre en évidence des modifications supplémentaires, de localiser certains polypeptides et de séquencer partiellement le polypeptide de 16kDa. Un inventaire de la flore endomycorhizienne de champs de chicorée a été réalisé. Les racines de chicorée ont été transformées puis mycorhizées in vitro respectivement par G. intraradices, G. proliferum, G. sp. et Gigaspora rosea. Dans ces racines, deux catégories de modifications polypeptidiques ont été mises en évidence : des modifications spécifiques de l'espèce E.A. et d'autres communes à plusieurs espèces. Un polypeptide de PM 16kDa, PI 4,4 est aussi apparu dans les racines de chicorée mycorhizées par G. intraradices ou G. proliferum.CALAIS-BU Sciences (621932101) / SudocSudocFranceF

    Etude du métabolisme lipidique d'un champignon endomycorhizien à vésicules et arbuscules (Glomus intraradices)

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    Glomus intraradices est un champignon endomycorhizien à vésicules et arbuscules (E.V.A.). Biotrophe obligatoire, ce champignon est incapable d'effectuer un cycle complet de développement sans partenaire végétal. A partir de cultures monoxéniques, nous avons étudié sa composition et son métabolisme lipidique...CALAIS-BU Sciences (621932101) / SudocSudocFranceF

    Nécroses racinaires du pois causées par Fusarium solani (Mart.) Sacc. f. sp. pisi (Jones) Snyd. & Hans. (Nectria haematococca Berk. & Br., Mating Population VI) (connaissance de la maladie et diversité de la population pathogène)

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    Fusarium solani f. sp. pisi est l'agent de nécroses racinaires le plus fréquent du complexe parasitaire tellurique du pois. Avant d'engager un programme de sélection de variétés résistantes à ce parasite, deux axes de travail ont été privilégiés. Le premier concerne l'étude globale de la maladie, menée par expérimentations au champ, puis en conditions contrôlées semi-stériles. Le parasite attaque la plante lorsque la température dépasse 8C, voire davantage en conditions séchantes. La nécrose est généralement centrée autour de la zone d'insertion des cotylédons. Par contre, en conditions séchantes, elle s'étend superficiellement sur toute la longueur de la racine, alors que la graine et l'épicotyle restent indemnes. La croissance de la plante est réduite lorsque la nécrose atteint le cylindre central, ce qui entraîne la dégradation du cambium et du phloème puis empêche l'extension du xylème. La gravité de l'attaque est bien représentée par la note de section nécrosée. La diversité de la population française de F. solani f. sp. pisi est étudiée dans un deuxième temps, à partir d'une centaine d'isolats. L'appartenance à la population sexuelle MPVI est confirmée par séquençage et PCR-RFLP des ITSs et du gène d'ARN ribosomique 28S. Dans cette population, divers clones ont été identifiés, en combinant l'analyse des estérases et de l'extrémité télomérique. Certains présentent des caractères morphologiques communs utiles à leur identification. Au sein d'un clone, le pouvoir pathogène varie fortement entre les isolats. Trente génotypes de pois étudiés ont montré des différences selon leur niveau de résistance envers différents clones. Le choix du clone le plus fréquent en France s'impose donc pour les futurs travaux de sélection de variétés résistantes. Ce travail ouvre des perspectives d'étude des composantes du pouvoir pathogène de F. solani f. sp. pisi, ainsi que des composantes de la résistance chez le pois.Fusarium solani f. sp. pisi is the most frequent root rot pathogen of peas in France. Before starting a breeding program of resistant varieties, investigation was carried out in two areas. The first one concerns the global study of the disease, with experiments conducted in the field and in semi-sterile conditions in the laboratory. The pathogen affects the plant when the temperature exceeds 8C, even more in dry conditions. The necrosis is generally centred around the zone of insertion of cotyledons. On the other hand, in dry conditions, it extends superficially over the whole length of the root, while the seed and the epicotyl remain healthy. The plant growth is reduced when the fungus reaches the central cylinder, and induces the degradation of the cambium and the phloem, then prevents the extension of the xylem. The seriousness of the attack is well represented by the notation of rotted section. Secondly, we study the diversity of the French population of solani f. sp. pisi, from a collection of hundred monosopore isolates. The sequences and the PCR-RFLP analyses of the ITSs, and of the 28S rDNA, confirm the membership in the mating population MPVI. In this population, different clones were identified by combining the analysis of the esterases and the telomeric extremity. Some of them present common morphological characters useful for their identification. Within a clone, the pathogenicity varies strongly between isolates. Thirty genotypes of pea showed differences of resistance to various clones. As a consequence, the choice of the most frequent clone in France is imperative for the future breeding of resistant pea varieties. This work opens up perspectives of study of the constituents of pathogenicity of F. solani f. sp. pisi, as well as constituents of pea resistance to this pathogen.CALAIS-BU Sciences (621932101) / SudocSudocFranceF

    Criblage d\'inducteurs de réactions de défense chez le blé (Triticum aestivum) contre l\'oïdium (Blumeria graminis f.sp. tritici)

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    Cette étude a consisté à rechercher des substances biologiques capables d\'induire les défenses naturelles du blé (Triticum aestivum) contre l\'oïdium (Blumeria graminis f.sp. tritici (Bgt)). Des fractions non purifiées dérivées de la plante et/ou des agents pathogènes du blé (broyats foliaires de blé ou de spores de Bgt, hydrolysat du mycélium de Septoria nodorum (Sn)) ainsi que des produits purifiés (tréhalose et salicylate d\'heptanoyle (SH)) ont été testés lors d\'un traitement préventif. L\'intensité des protections obtenues a varié en fonction de la nature et de la concentration du produit utilisé. La protection obtenue lors de la pulvérisation du broyat foliaire de blé non infecté a été inférieure (33 %) à celle enregistrée après pulvérisation d\'un broyat foliaire de blé infecté par Bgt (46 %). La protection obtenue, suite à la pulvérisation de la plante avec une suspension de spores de Bgt inactivées, a été de 44 %. La diminution d\'infection enregistrée après pulvérisation d\'un hydrolysat de mycélium d\'un autre agent pathogène foliaire du blé (Sn) a été de 33 %. Alors que des pulvérisations préventives de tréhalose à des concentrations de 10 et 15 g/l sur des plants de blé entraînent des diminutions de l\'infection de 50 à 60 %, des concentrations de 1 et 5 g/l ne permettent d\'enregistrer aucune protection. La pulvérisation préventive de deux autres diholosides, le maltose et le cellobiose à 15 g/l ne permet pas de déceler une protection. Le traitement préventif du blé par le SH a permis d\'obtenir une protection très forte (80 %) pour de faibles concentrations en produit (0,1 g/l). L\'application de chacun des deux constituants de la molécule pris séparément induit une protection 2 fois plus faible que celle du SH avec l\'acide salicylique (AS) et aucune protection avec l\'acide heptanoïque (AH).Wheat powdery mildew, caused by Blumeria graminis f. sp. tritici (Bgt), is one of the most damaging diseases of wheat (Triticum aestivum) especially in Northern France. The study was aiming at screening biological molecules of fungal or plant origin that could enhance resistance to powdery mildew in wheat as an alternative to chemical fungicides. The protection confered by several non purified fractions originating from leaves of wheat (contaminated or not with Bgt) or from the pathogen agents (Bgt and Septoria nodorum (Sn)) were assessed. Protection obtained after treatment with no infected wheat leaves was less important (33 %) than with infected leaves (46 %). The protection recorded after application of inactivated Bgt spores or Sn were about 44 and 33 % respectively. Two other purified molecules, trehalose and heptanoyl salicylic acid (HS), were selected because of their nontoxicity to the environment. Treatment of wheat leaves with the different substances, prior to fungal inoculation, resulted in different levels of protection against Bgt depending on the nature and the concentrations used. The treatment with HS at low concentration (0,1 g/l) allowed a high protection reaching 80 %. Whereas trehalose at 10 and 15 g/l reduced the infection by 50 and 60 % respectively, no protection was observed at 1 and 5 g/l. Keywords: Blé, Blumeria graminis f.sp. tritici, oïdium, inducteurs de défense naturelle, résistance acquise.Agronomie Africaine Vol. 20 (2) 2008: pp. 191-19
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