19 research outputs found

    I prodotti multimediali nel contesto europeo

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    Le tecnologie dell’informazione e della comunicazione offrono nuove promettenti possibilita’; in questo contesto e’ importante sviluppare un ambiente europeo capace di fornire a insegnanti e studenti gli strumenti educativi idonei al loro inserimento nella “societa’ dell’informazione”

    Jardin Saint-Vincent : Rapport de diagnostic : Embrun, Hautes-Alpes, Provence-Alpes-Côte d'Azur

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    Le diagnostic archéologique réalisé dans le jardin Saint-Vincent à Embrun, a été motivé par la position de la parcelle en plein centre ancien, mais également par la découverte fortuite d’os humains lors de l’installation d’un tuyau d’alimentation d’eau. Un premier grand sondage a été ouvert dans le secteur nord-est du jardin, correspondant à l’emplacement présumé de l’abside de l’ancienne église Saint-Vincent. Sous environ 1 m de terre végétale et de remblais homogènes sont apparues les fondations du mur d’abside semi-circulaire de l’église, installées directement sur le substrat en place, correspondant à une terrasse alluviale de poudingue. De part et d’autre de ce mur, des sépultures ont été découvertes, les plus anciennes en coffre de dalles, dont l’une contenait un pégau (permettant une datation entre le XIe et le XIIe siècle) et d’autres en pleine terre ou en cercueil, datant de l’époque moderne. Au total huit sépultures ont pu être fouillées, documentées et prélevées et sept autres ont été prélevées pour étude. Au centre de l’abside, à l’emplacement présumé de la table d’autel, un four bien conservé a été découvert. Seule la chambre de chauffe a pu être dégagée, jusqu’à une voûte en place. Construite en briques, celle-ci est de forme carrée, de 1,60 m de côté et sa profondeur conservée est de 2,50 m. L’étude précise du four par un spécialiste, ainsi que des analyses de composition du métal, ont permis de déterminer qu’il s’agissait d’un four à réverbère, destiné à couler de grosses pièces en alliage cuivreux, vraisemblablement des canons. Concernant sa datation, peu de mobilier datant a été découvert, mais la présence de quelques tessons dans le comblement d’abandon ainsi qu’une datation radiocarbone menée sur des charbons au fond de la chambre de chauffe permettent de l’attribuer à la période moderne, plus précisément entre la fin du XVe siècle et le milieu du XVIIe siècle. La présence d’un four de cette période à l’intérieur d’une église fonctionnant au moins jusqu’au début du XVIIIe siècle, comme l’indiquent les sources d’archives, est donc étonnante et doit être rattachée au contexte historique de la ville. L’église Saint-Vincent, comme toutes les autres d’Embrun, a été désacralisée dans le cadre de l’occupation protestante de la ville à la fin du XVIe siècle, et aurait alors servi de « magasin à poudre ». Dès lors, il semble que la construction du four puisse avoir eu lieu durant cette période troublée de l’histoire d’Embrun, avant son abandon et la reprise des fonctions curiales de la chapelle dans la première moitié du XVIIe siècle. Deux autres sondages de faible ampleur ont été pratiqués rapidement en fin d’opération. Le premier, situé près de l’entrée du jardin, qui avait pour but de documenter la position et l’état de conservation du mur sud de l’édifice religieux. Celui-ci a été découvert à 50 cm sous le niveau de sol actuel, et permet de proposer une largeur précise de l’édifice, le mur nord du jardin reprenant vraisemblablement le mur originel. Le second petit sondage a été réalisé à proximité de l’angle nord-ouest du jardin, près de l’emplacement du tuyau d’eau ayant occasionné la découverte des restes osseux humains. Il a livré des os humains épars contenus dans un remblai apparaissant 40 cm plus bas que le niveau de sol actuel

    Jardin Saint-Vincent : Rapport de diagnostic : Embrun, Hautes-Alpes, Provence-Alpes-Côte d'Azur

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    Le diagnostic archéologique réalisé dans le jardin Saint-Vincent à Embrun, a été motivé par la position de la parcelle en plein centre ancien, mais également par la découverte fortuite d’os humains lors de l’installation d’un tuyau d’alimentation d’eau. Un premier grand sondage a été ouvert dans le secteur nord-est du jardin, correspondant à l’emplacement présumé de l’abside de l’ancienne église Saint-Vincent. Sous environ 1 m de terre végétale et de remblais homogènes sont apparues les fondations du mur d’abside semi-circulaire de l’église, installées directement sur le substrat en place, correspondant à une terrasse alluviale de poudingue. De part et d’autre de ce mur, des sépultures ont été découvertes, les plus anciennes en coffre de dalles, dont l’une contenait un pégau (permettant une datation entre le XIe et le XIIe siècle) et d’autres en pleine terre ou en cercueil, datant de l’époque moderne. Au total huit sépultures ont pu être fouillées, documentées et prélevées et sept autres ont été prélevées pour étude. Au centre de l’abside, à l’emplacement présumé de la table d’autel, un four bien conservé a été découvert. Seule la chambre de chauffe a pu être dégagée, jusqu’à une voûte en place. Construite en briques, celle-ci est de forme carrée, de 1,60 m de côté et sa profondeur conservée est de 2,50 m. L’étude précise du four par un spécialiste, ainsi que des analyses de composition du métal, ont permis de déterminer qu’il s’agissait d’un four à réverbère, destiné à couler de grosses pièces en alliage cuivreux, vraisemblablement des canons. Concernant sa datation, peu de mobilier datant a été découvert, mais la présence de quelques tessons dans le comblement d’abandon ainsi qu’une datation radiocarbone menée sur des charbons au fond de la chambre de chauffe permettent de l’attribuer à la période moderne, plus précisément entre la fin du XVe siècle et le milieu du XVIIe siècle. La présence d’un four de cette période à l’intérieur d’une église fonctionnant au moins jusqu’au début du XVIIIe siècle, comme l’indiquent les sources d’archives, est donc étonnante et doit être rattachée au contexte historique de la ville. L’église Saint-Vincent, comme toutes les autres d’Embrun, a été désacralisée dans le cadre de l’occupation protestante de la ville à la fin du XVIe siècle, et aurait alors servi de « magasin à poudre ». Dès lors, il semble que la construction du four puisse avoir eu lieu durant cette période troublée de l’histoire d’Embrun, avant son abandon et la reprise des fonctions curiales de la chapelle dans la première moitié du XVIIe siècle. Deux autres sondages de faible ampleur ont été pratiqués rapidement en fin d’opération. Le premier, situé près de l’entrée du jardin, qui avait pour but de documenter la position et l’état de conservation du mur sud de l’édifice religieux. Celui-ci a été découvert à 50 cm sous le niveau de sol actuel, et permet de proposer une largeur précise de l’édifice, le mur nord du jardin reprenant vraisemblablement le mur originel. Le second petit sondage a été réalisé à proximité de l’angle nord-ouest du jardin, près de l’emplacement du tuyau d’eau ayant occasionné la découverte des restes osseux humains. Il a livré des os humains épars contenus dans un remblai apparaissant 40 cm plus bas que le niveau de sol actuel

    Jardin Saint-Vincent : Rapport de diagnostic : Embrun, Hautes-Alpes, Provence-Alpes-Côte d'Azur

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    Le diagnostic archéologique réalisé dans le jardin Saint-Vincent à Embrun, a été motivé par la position de la parcelle en plein centre ancien, mais également par la découverte fortuite d’os humains lors de l’installation d’un tuyau d’alimentation d’eau. Un premier grand sondage a été ouvert dans le secteur nord-est du jardin, correspondant à l’emplacement présumé de l’abside de l’ancienne église Saint-Vincent. Sous environ 1 m de terre végétale et de remblais homogènes sont apparues les fondations du mur d’abside semi-circulaire de l’église, installées directement sur le substrat en place, correspondant à une terrasse alluviale de poudingue. De part et d’autre de ce mur, des sépultures ont été découvertes, les plus anciennes en coffre de dalles, dont l’une contenait un pégau (permettant une datation entre le XIe et le XIIe siècle) et d’autres en pleine terre ou en cercueil, datant de l’époque moderne. Au total huit sépultures ont pu être fouillées, documentées et prélevées et sept autres ont été prélevées pour étude. Au centre de l’abside, à l’emplacement présumé de la table d’autel, un four bien conservé a été découvert. Seule la chambre de chauffe a pu être dégagée, jusqu’à une voûte en place. Construite en briques, celle-ci est de forme carrée, de 1,60 m de côté et sa profondeur conservée est de 2,50 m. L’étude précise du four par un spécialiste, ainsi que des analyses de composition du métal, ont permis de déterminer qu’il s’agissait d’un four à réverbère, destiné à couler de grosses pièces en alliage cuivreux, vraisemblablement des canons. Concernant sa datation, peu de mobilier datant a été découvert, mais la présence de quelques tessons dans le comblement d’abandon ainsi qu’une datation radiocarbone menée sur des charbons au fond de la chambre de chauffe permettent de l’attribuer à la période moderne, plus précisément entre la fin du XVe siècle et le milieu du XVIIe siècle. La présence d’un four de cette période à l’intérieur d’une église fonctionnant au moins jusqu’au début du XVIIIe siècle, comme l’indiquent les sources d’archives, est donc étonnante et doit être rattachée au contexte historique de la ville. L’église Saint-Vincent, comme toutes les autres d’Embrun, a été désacralisée dans le cadre de l’occupation protestante de la ville à la fin du XVIe siècle, et aurait alors servi de « magasin à poudre ». Dès lors, il semble que la construction du four puisse avoir eu lieu durant cette période troublée de l’histoire d’Embrun, avant son abandon et la reprise des fonctions curiales de la chapelle dans la première moitié du XVIIe siècle. Deux autres sondages de faible ampleur ont été pratiqués rapidement en fin d’opération. Le premier, situé près de l’entrée du jardin, qui avait pour but de documenter la position et l’état de conservation du mur sud de l’édifice religieux. Celui-ci a été découvert à 50 cm sous le niveau de sol actuel, et permet de proposer une largeur précise de l’édifice, le mur nord du jardin reprenant vraisemblablement le mur originel. Le second petit sondage a été réalisé à proximité de l’angle nord-ouest du jardin, près de l’emplacement du tuyau d’eau ayant occasionné la découverte des restes osseux humains. Il a livré des os humains épars contenus dans un remblai apparaissant 40 cm plus bas que le niveau de sol actuel

    A Physics-Based Compact Model for ESD Protection Diodes under Very Fast Transients

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    International audienceIn this paper, a complete analysis of the physical phenomena occurring in ESD protection diodes during very fast transients is investigated. Thanks to TCAD simulations and transient characterization, it is highlighted that the mobility degradation effect must be taken into account in addition to the conductivity modulation effect for modeling diode behavior during triggering. Finally, a new physics-based compact model of ESD protection diodes is proposed, demonstrated and validated under very fast transient events in the CDM time domain

    Rilpivirine in HIV-1-positive women initiating pregnancy: to switch or not to switch?

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    International audienceBackgroundSafety data about rilpivirine use during pregnancy remain scarce, and rilpivirine plasma concentrations are reduced during second/third trimesters, with a potential risk of viral breakthroughs. Thus, French guidelines recommend switching to rilpivirine-free combinations (RFCs) during pregnancy.ObjectivesTo describe the characteristics of women initiating pregnancy while on rilpivirine and to compare the outcomes for virologically suppressed subjects continuing rilpivirine until delivery versus switching to an RFC.MethodsIn the ANRS-EPF French Perinatal cohort, we included women on rilpivirine at conception in 2010–18. Pregnancy outcomes were compared between patients continuing versus interrupting rilpivirine. In women with documented viral suppression (<50 copies/mL) before 14 weeks of gestation (WG) while on rilpivirine, we compared the probability of viral rebound (≥50 copies/mL) during pregnancy between subjects continuing rilpivirine versus those switching to RFC.ResultsAmong 247 women included, 88.7% had viral suppression at the beginning of pregnancy. Overall, 184 women (74.5%) switched to an RFC (mostly PI/ritonavir-based regimens) at a median gestational age of 8.0 WG. Plasma HIV-1 RNA nearest delivery was <50 copies/mL in 95.6% of women. Among 69 women with documented viral suppression before 14 WG, the risk of viral rebound was higher when switching to RFCs than when continuing rilpivirine (20.0% versus 0.0%, P = 0.046). Delivery outcomes were similar between groups (overall birth defects, 3.8/100 live births; pregnancy losses, 2.0%; preterm deliveries, 10.6%). No HIV transmission occurred.ConclusionsIn virologically suppressed women initiating pregnancy, continuing rilpivirine was associated with better virological outcome than changing regimen. We did not observe a higher risk of adverse pregnancy outcomes

    Varia

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    A highly virulent variant of HIV-1 circulating in the Netherlands

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    We discovered a highly virulent variant of subtype-B HIV-1 in the Netherlands. One hundred nine individuals with this variant had a 0.54 to 0.74 log10 increase (i.e., a ~3.5-fold to 5.5-fold increase) in viral load compared with, and exhibited CD4 cell decline twice as fast as, 6604 individuals with other subtype-B strains. Without treatment, advanced HIV-CD4 cell counts below 350 cells per cubic millimeter, with long-term clinical consequences-is expected to be reached, on average, 9 months after diagnosis for individuals in their thirties with this variant. Age, sex, suspected mode of transmission, and place of birth for the aforementioned 109 individuals were typical for HIV-positive people in the Netherlands, which suggests that the increased virulence is attributable to the viral strain. Genetic sequence analysis suggests that this variant arose in the 1990s from de novo mutation, not recombination, with increased transmissibility and an unfamiliar molecular mechanism of virulence

    Paediatric COVID-19 mortality: a database analysis of the impact of health resource disparity

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    Background The impact of the COVID-19 pandemic on paediatric populations varied between high-income countries (HICs) versus low-income to middle-income countries (LMICs). We sought to investigate differences in paediatric clinical outcomes and identify factors contributing to disparity between countries.Methods The International Severe Acute Respiratory and Emerging Infections Consortium (ISARIC) COVID-19 database was queried to include children under 19 years of age admitted to hospital from January 2020 to April 2021 with suspected or confirmed COVID-19 diagnosis. Univariate and multivariable analysis of contributing factors for mortality were assessed by country group (HICs vs LMICs) as defined by the World Bank criteria.Results A total of 12 860 children (3819 from 21 HICs and 9041 from 15 LMICs) participated in this study. Of these, 8961 were laboratory-confirmed and 3899 suspected COVID-19 cases. About 52% of LMICs children were black, and more than 40% were infants and adolescent. Overall in-hospital mortality rate (95% CI) was 3.3% [=(3.0% to 3.6%), higher in LMICs than HICs (4.0% (3.6% to 4.4%) and 1.7% (1.3% to 2.1%), respectively). There were significant differences between country income groups in intervention profile, with higher use of antibiotics, antivirals, corticosteroids, prone positioning, high flow nasal cannula, non-invasive and invasive mechanical ventilation in HICs. Out of the 439 mechanically ventilated children, mortality occurred in 106 (24.1%) subjects, which was higher in LMICs than HICs (89 (43.6%) vs 17 (7.2%) respectively). Pre-existing infectious comorbidities (tuberculosis and HIV) and some complications (bacterial pneumonia, acute respiratory distress syndrome and myocarditis) were significantly higher in LMICs compared with HICs. On multivariable analysis, LMIC as country income group was associated with increased risk of mortality (adjusted HR 4.73 (3.16 to 7.10)).Conclusion Mortality and morbidities were higher in LMICs than HICs, and it may be attributable to differences in patient demographics, complications and access to supportive and treatment modalities

    Respiratory support in patients with severe COVID-19 in the International Severe Acute Respiratory and Emerging Infection (ISARIC) COVID-19 study: a prospective, multinational, observational study

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    Background: Up to 30% of hospitalised patients with COVID-19 require advanced respiratory support, including high-flow nasal cannulas (HFNC), non-invasive mechanical ventilation (NIV), or invasive mechanical ventilation (IMV). We aimed to describe the clinical characteristics, outcomes and risk factors for failing non-invasive respiratory support in patients treated with severe COVID-19 during the first two years of the pandemic in high-income countries (HICs) and low middle-income countries (LMICs). Methods: This is a multinational, multicentre, prospective cohort study embedded in the ISARIC-WHO COVID-19 Clinical Characterisation Protocol. Patients with laboratory-confirmed SARS-CoV-2 infection who required hospital admission were recruited prospectively. Patients treated with HFNC, NIV, or IMV within the first 24 h of hospital admission were included in this study. Descriptive statistics, random forest, and logistic regression analyses were used to describe clinical characteristics and compare clinical outcomes among patients treated with the different types of advanced respiratory support. Results: A total of 66,565 patients were included in this study. Overall, 82.6% of patients were treated in HIC, and 40.6% were admitted to the hospital during the first pandemic wave. During the first 24 h after hospital admission, patients in HICs were more frequently treated with HFNC (48.0%), followed by NIV (38.6%) and IMV (13.4%). In contrast, patients admitted in lower- and middle-income countries (LMICs) were less frequently treated with HFNC (16.1%) and the majority received IMV (59.1%). The failure rate of non-invasive respiratory support (i.e. HFNC or NIV) was 15.5%, of which 71.2% were from HIC and 28.8% from LMIC. The variables most strongly associated with non-invasive ventilation failure, defined as progression to IMV, were high leukocyte counts at hospital admission (OR [95%CI]; 5.86 [4.83–7.10]), treatment in an LMIC (OR [95%CI]; 2.04 [1.97–2.11]), and tachypnoea at hospital admission (OR [95%CI]; 1.16 [1.14–1.18]). Patients who failed HFNC/NIV had a higher 28-day fatality ratio (OR [95%CI]; 1.27 [1.25–1.30]). Conclusions: In the present international cohort, the most frequently used advanced respiratory support was the HFNC. However, IMV was used more often in LMIC. Higher leucocyte count, tachypnoea, and treatment in LMIC were risk factors for HFNC/NIV failure. HFNC/NIV failure was related to worse clinical outcomes, such as 28-day mortality. Trial registration This is a prospective observational study; therefore, no health care interventions were applied to participants, and trial registration is not applicable
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