9 research outputs found

    La céramique médiévale et moderne (12e-17e siÚcles) en Bourgogne : production, consommation, diffusion. Projet Collectif de Recherches 2018-2021. Bilan 2018-2021 - Programmation 2022-2024

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    Le programme collectif de recherches intitulĂ© « La cĂ©ramique mĂ©diĂ©vale et moderne (12e - 17e siĂšcles) en Bourgogne : production, consommation, diffusion » a entamĂ© ses travaux en 2018, pour une programmation sur quatre annĂ©es, jusqu’en 2021. Il a pour objectifs de dĂ©tecter les sites de fabrication potiĂšre mĂ©diĂ©vaux et moderne en Bourgogne, d’en caractĂ©riser la production et d’évaluer leur diffusion sur les sites d’habitat.Le nombre de chercheurs associĂ©s au programme, rattachĂ© Ă  l’UMR ARTEHIS (Dijon), varie lĂ©gĂšrement d’annĂ©e en annĂ©e mais tourne en moyenne autour d’une douzaine (11 en 2018, 13 en 2019, 14 en 2020 et 2021). Ils sont issus de diverses institutions (Inrap, Etat, privĂ©, UMR, bĂ©nĂ©vole, universitĂ©...) et, comme dans tout PCR, la mesure de leurengagement est trĂšs inĂ©gale.De 2018 Ă  2021, l’activitĂ© s’est principalement concentrĂ©e sur l’élaboration des outils, avec en particulier le rĂ©pertoire des formes selon la mĂ©thodologie Ă©laborĂ©e par le collectif « Informations sur la CEramique MĂ©diĂ©vale et Moderne » (Iceramm) dĂ©sormais accessible sur le site internet, ainsi que la bibliographie normalisĂ©e sous Zotero.Un SIG a Ă©galement ĂȘtre Ă©laborĂ© dont la structure commence Ă  ĂȘtre convenablement nourrie. Les inventaires et la dĂ©tections des sites de productions (prospections gĂ©ophysiques) ont Ă©tĂ© ciblĂ©s sur diffĂ©rents secteurs gĂ©ographiques de la rĂ©gion, en particulier l’autunois, (productions grises micacĂ©es), le dijonnais (productions rouge-orangĂ©e et pĂątes grises coquillĂ©es) ainsi que dans le sĂ©nonais et le charollais. Des Ă©tudes typo-chronologiques ont pu ĂȘtre conduites sur le mobilier d’ateliers Ă  Auxerre (Yonne) ainsi qu’à Tracy-sur-Loire (NiĂšvre) au sud de la Puisaye. Ces Ă©tudes sont accompagnĂ©es de campagnes d’analyses archĂ©omĂ©triques effectuĂ©es en partenariat avec le laboratoire du Craham (universitĂ© de Caen). Une expĂ©rimentation de datations archĂ©omagnĂ©tiques sur tessons est Ă©galement lancĂ©e avec le LAMS.AprĂšs une annĂ©e 2020 difficile en raison de la crise sanitaire, les actions du PCR ont Ă©tĂ© un peu plus intenses en 2021. Les travaux ont notamment Ă©tĂ© conduits sur l’axe de la cĂ©ramique grise coquillĂ©e dans le cadre du master recherche d’Alix Badel (universitĂ© de Dijon) permettant d’en cibler les zones de production et de diffusion. L’intĂ©gration de plusieurs flux de donnĂ©es au SIG (carte archĂ©ologique, dĂ©pouillements de M. Maerten sur la SaĂŽne-et-Loire et d’A. Badel sur les corpus de grise-coquillĂ©es) a permis une augmentation de 60 Ă  70% du nombre d’ateliers rĂ©fĂ©rencĂ©s dans patriarche pour l’aire bourguignonne.La reprise d’anciennes collections conservĂ©es au musĂ©e de Saint-Amand-en- Puisaye issues de la fouille d’ateliers de proto-grĂšs et de grĂšs a permis d’en dresser l’inventaire et nourrir les rĂ©pertoires. Sur Tracy-sur-Loire, les analyses archĂ©omagnĂ©tiques menĂ©es ont montrĂ© une forte disparitĂ© de rĂ©ponse entre les deux groupes Ă©chantillonnĂ©s. Il est nĂ©cessaire de refaire un Ă©chantillonnage partiel (four 1) sur des tessons plus gros afin de clore convenablement l’étude.ParallĂšlement au PCR mais avec les mĂȘmes acteurs, deux importantes actions de diffusion ont pu ĂȘtre organisĂ©e. En premier lieu, une exposition intitulĂ©e : [PassĂ©] Ă  table accompagnĂ©e d’un catalogue a pu ĂȘtre montĂ©e au musĂ©e archĂ©ologique de Dijon (mai-novembre 2021). En second lieu, les recherches ont pu ĂȘtre prĂ©sentĂ©es lors des journĂ©es Iceramm, organisĂ©es Ă  Dijon en novembre 2021. Les actions entamĂ©es nĂ©cessitent d’ĂȘtre poursuivies et c’est pourquoi une nouvelle pĂ©riode de trois ans est sollicitĂ©e pour le PCR. L’annĂ©e 2022 sera mise Ă  profit pour aboutir une publication, bilan d’étape des travaux de l’équipe. Les travaux du PCR sont financĂ©s entiĂšrement par la DRAC, complĂ©tĂ©s par une dotation de 17 jours PAS accordĂ©e par l’Inrap. D’autres jours recherches sont aussi accordĂ©s aux chercheurs d’autres institutions

    La céramique médiévale et moderne (12e-17e siÚcles) en Bourgogne : production, consommation, diffusion. Projet Collectif de Recherches 2018-2021. Bilan 2018-2021 - Programmation 2022-2024

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    Le programme collectif de recherches intitulĂ© « La cĂ©ramique mĂ©diĂ©vale et moderne (12e - 17e siĂšcles) en Bourgogne : production, consommation, diffusion » a entamĂ© ses travaux en 2018, pour une programmation sur quatre annĂ©es, jusqu’en 2021. Il a pour objectifs de dĂ©tecter les sites de fabrication potiĂšre mĂ©diĂ©vaux et moderne en Bourgogne, d’en caractĂ©riser la production et d’évaluer leur diffusion sur les sites d’habitat.Le nombre de chercheurs associĂ©s au programme, rattachĂ© Ă  l’UMR ARTEHIS (Dijon), varie lĂ©gĂšrement d’annĂ©e en annĂ©e mais tourne en moyenne autour d’une douzaine (11 en 2018, 13 en 2019, 14 en 2020 et 2021). Ils sont issus de diverses institutions (Inrap, Etat, privĂ©, UMR, bĂ©nĂ©vole, universitĂ©...) et, comme dans tout PCR, la mesure de leurengagement est trĂšs inĂ©gale.De 2018 Ă  2021, l’activitĂ© s’est principalement concentrĂ©e sur l’élaboration des outils, avec en particulier le rĂ©pertoire des formes selon la mĂ©thodologie Ă©laborĂ©e par le collectif « Informations sur la CEramique MĂ©diĂ©vale et Moderne » (Iceramm) dĂ©sormais accessible sur le site internet, ainsi que la bibliographie normalisĂ©e sous Zotero.Un SIG a Ă©galement ĂȘtre Ă©laborĂ© dont la structure commence Ă  ĂȘtre convenablement nourrie. Les inventaires et la dĂ©tections des sites de productions (prospections gĂ©ophysiques) ont Ă©tĂ© ciblĂ©s sur diffĂ©rents secteurs gĂ©ographiques de la rĂ©gion, en particulier l’autunois, (productions grises micacĂ©es), le dijonnais (productions rouge-orangĂ©e et pĂątes grises coquillĂ©es) ainsi que dans le sĂ©nonais et le charollais. Des Ă©tudes typo-chronologiques ont pu ĂȘtre conduites sur le mobilier d’ateliers Ă  Auxerre (Yonne) ainsi qu’à Tracy-sur-Loire (NiĂšvre) au sud de la Puisaye. Ces Ă©tudes sont accompagnĂ©es de campagnes d’analyses archĂ©omĂ©triques effectuĂ©es en partenariat avec le laboratoire du Craham (universitĂ© de Caen). Une expĂ©rimentation de datations archĂ©omagnĂ©tiques sur tessons est Ă©galement lancĂ©e avec le LAMS.AprĂšs une annĂ©e 2020 difficile en raison de la crise sanitaire, les actions du PCR ont Ă©tĂ© un peu plus intenses en 2021. Les travaux ont notamment Ă©tĂ© conduits sur l’axe de la cĂ©ramique grise coquillĂ©e dans le cadre du master recherche d’Alix Badel (universitĂ© de Dijon) permettant d’en cibler les zones de production et de diffusion. L’intĂ©gration de plusieurs flux de donnĂ©es au SIG (carte archĂ©ologique, dĂ©pouillements de M. Maerten sur la SaĂŽne-et-Loire et d’A. Badel sur les corpus de grise-coquillĂ©es) a permis une augmentation de 60 Ă  70% du nombre d’ateliers rĂ©fĂ©rencĂ©s dans patriarche pour l’aire bourguignonne.La reprise d’anciennes collections conservĂ©es au musĂ©e de Saint-Amand-en- Puisaye issues de la fouille d’ateliers de proto-grĂšs et de grĂšs a permis d’en dresser l’inventaire et nourrir les rĂ©pertoires. Sur Tracy-sur-Loire, les analyses archĂ©omagnĂ©tiques menĂ©es ont montrĂ© une forte disparitĂ© de rĂ©ponse entre les deux groupes Ă©chantillonnĂ©s. Il est nĂ©cessaire de refaire un Ă©chantillonnage partiel (four 1) sur des tessons plus gros afin de clore convenablement l’étude.ParallĂšlement au PCR mais avec les mĂȘmes acteurs, deux importantes actions de diffusion ont pu ĂȘtre organisĂ©e. En premier lieu, une exposition intitulĂ©e : [PassĂ©] Ă  table accompagnĂ©e d’un catalogue a pu ĂȘtre montĂ©e au musĂ©e archĂ©ologique de Dijon (mai-novembre 2021). En second lieu, les recherches ont pu ĂȘtre prĂ©sentĂ©es lors des journĂ©es Iceramm, organisĂ©es Ă  Dijon en novembre 2021. Les actions entamĂ©es nĂ©cessitent d’ĂȘtre poursuivies et c’est pourquoi une nouvelle pĂ©riode de trois ans est sollicitĂ©e pour le PCR. L’annĂ©e 2022 sera mise Ă  profit pour aboutir une publication, bilan d’étape des travaux de l’équipe. Les travaux du PCR sont financĂ©s entiĂšrement par la DRAC, complĂ©tĂ©s par une dotation de 17 jours PAS accordĂ©e par l’Inrap. D’autres jours recherches sont aussi accordĂ©s aux chercheurs d’autres institutions

    La céramique médiévale et moderne (12e-17e siÚcles) en Bourgogne : production, consommation, diffusion. Projet Collectif de Recherches 2018-2021. Bilan 2018-2021 - Programmation 2022-2024

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    Le programme collectif de recherches intitulĂ© « La cĂ©ramique mĂ©diĂ©vale et moderne (12e - 17e siĂšcles) en Bourgogne : production, consommation, diffusion » a entamĂ© ses travaux en 2018, pour une programmation sur quatre annĂ©es, jusqu’en 2021. Il a pour objectifs de dĂ©tecter les sites de fabrication potiĂšre mĂ©diĂ©vaux et moderne en Bourgogne, d’en caractĂ©riser la production et d’évaluer leur diffusion sur les sites d’habitat.Le nombre de chercheurs associĂ©s au programme, rattachĂ© Ă  l’UMR ARTEHIS (Dijon), varie lĂ©gĂšrement d’annĂ©e en annĂ©e mais tourne en moyenne autour d’une douzaine (11 en 2018, 13 en 2019, 14 en 2020 et 2021). Ils sont issus de diverses institutions (Inrap, Etat, privĂ©, UMR, bĂ©nĂ©vole, universitĂ©...) et, comme dans tout PCR, la mesure de leurengagement est trĂšs inĂ©gale.De 2018 Ă  2021, l’activitĂ© s’est principalement concentrĂ©e sur l’élaboration des outils, avec en particulier le rĂ©pertoire des formes selon la mĂ©thodologie Ă©laborĂ©e par le collectif « Informations sur la CEramique MĂ©diĂ©vale et Moderne » (Iceramm) dĂ©sormais accessible sur le site internet, ainsi que la bibliographie normalisĂ©e sous Zotero.Un SIG a Ă©galement ĂȘtre Ă©laborĂ© dont la structure commence Ă  ĂȘtre convenablement nourrie. Les inventaires et la dĂ©tections des sites de productions (prospections gĂ©ophysiques) ont Ă©tĂ© ciblĂ©s sur diffĂ©rents secteurs gĂ©ographiques de la rĂ©gion, en particulier l’autunois, (productions grises micacĂ©es), le dijonnais (productions rouge-orangĂ©e et pĂątes grises coquillĂ©es) ainsi que dans le sĂ©nonais et le charollais. Des Ă©tudes typo-chronologiques ont pu ĂȘtre conduites sur le mobilier d’ateliers Ă  Auxerre (Yonne) ainsi qu’à Tracy-sur-Loire (NiĂšvre) au sud de la Puisaye. Ces Ă©tudes sont accompagnĂ©es de campagnes d’analyses archĂ©omĂ©triques effectuĂ©es en partenariat avec le laboratoire du Craham (universitĂ© de Caen). Une expĂ©rimentation de datations archĂ©omagnĂ©tiques sur tessons est Ă©galement lancĂ©e avec le LAMS.AprĂšs une annĂ©e 2020 difficile en raison de la crise sanitaire, les actions du PCR ont Ă©tĂ© un peu plus intenses en 2021. Les travaux ont notamment Ă©tĂ© conduits sur l’axe de la cĂ©ramique grise coquillĂ©e dans le cadre du master recherche d’Alix Badel (universitĂ© de Dijon) permettant d’en cibler les zones de production et de diffusion. L’intĂ©gration de plusieurs flux de donnĂ©es au SIG (carte archĂ©ologique, dĂ©pouillements de M. Maerten sur la SaĂŽne-et-Loire et d’A. Badel sur les corpus de grise-coquillĂ©es) a permis une augmentation de 60 Ă  70% du nombre d’ateliers rĂ©fĂ©rencĂ©s dans patriarche pour l’aire bourguignonne.La reprise d’anciennes collections conservĂ©es au musĂ©e de Saint-Amand-en- Puisaye issues de la fouille d’ateliers de proto-grĂšs et de grĂšs a permis d’en dresser l’inventaire et nourrir les rĂ©pertoires. Sur Tracy-sur-Loire, les analyses archĂ©omagnĂ©tiques menĂ©es ont montrĂ© une forte disparitĂ© de rĂ©ponse entre les deux groupes Ă©chantillonnĂ©s. Il est nĂ©cessaire de refaire un Ă©chantillonnage partiel (four 1) sur des tessons plus gros afin de clore convenablement l’étude.ParallĂšlement au PCR mais avec les mĂȘmes acteurs, deux importantes actions de diffusion ont pu ĂȘtre organisĂ©e. En premier lieu, une exposition intitulĂ©e : [PassĂ©] Ă  table accompagnĂ©e d’un catalogue a pu ĂȘtre montĂ©e au musĂ©e archĂ©ologique de Dijon (mai-novembre 2021). En second lieu, les recherches ont pu ĂȘtre prĂ©sentĂ©es lors des journĂ©es Iceramm, organisĂ©es Ă  Dijon en novembre 2021. Les actions entamĂ©es nĂ©cessitent d’ĂȘtre poursuivies et c’est pourquoi une nouvelle pĂ©riode de trois ans est sollicitĂ©e pour le PCR. L’annĂ©e 2022 sera mise Ă  profit pour aboutir une publication, bilan d’étape des travaux de l’équipe. Les travaux du PCR sont financĂ©s entiĂšrement par la DRAC, complĂ©tĂ©s par une dotation de 17 jours PAS accordĂ©e par l’Inrap. D’autres jours recherches sont aussi accordĂ©s aux chercheurs d’autres institutions

    La céramique médiévale et moderne (12e-17e siÚcles) en Bourgogne : production, consommation, diffusion. Projet Collectif de Recherches 2018-2021. Bilan 2018-2021 - Programmation 2022-2024

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    Le programme collectif de recherches intitulĂ© « La cĂ©ramique mĂ©diĂ©vale et moderne (12e - 17e siĂšcles) en Bourgogne : production, consommation, diffusion » a entamĂ© ses travaux en 2018, pour une programmation sur quatre annĂ©es, jusqu’en 2021. Il a pour objectifs de dĂ©tecter les sites de fabrication potiĂšre mĂ©diĂ©vaux et moderne en Bourgogne, d’en caractĂ©riser la production et d’évaluer leur diffusion sur les sites d’habitat.Le nombre de chercheurs associĂ©s au programme, rattachĂ© Ă  l’UMR ARTEHIS (Dijon), varie lĂ©gĂšrement d’annĂ©e en annĂ©e mais tourne en moyenne autour d’une douzaine (11 en 2018, 13 en 2019, 14 en 2020 et 2021). Ils sont issus de diverses institutions (Inrap, Etat, privĂ©, UMR, bĂ©nĂ©vole, universitĂ©...) et, comme dans tout PCR, la mesure de leurengagement est trĂšs inĂ©gale.De 2018 Ă  2021, l’activitĂ© s’est principalement concentrĂ©e sur l’élaboration des outils, avec en particulier le rĂ©pertoire des formes selon la mĂ©thodologie Ă©laborĂ©e par le collectif « Informations sur la CEramique MĂ©diĂ©vale et Moderne » (Iceramm) dĂ©sormais accessible sur le site internet, ainsi que la bibliographie normalisĂ©e sous Zotero.Un SIG a Ă©galement ĂȘtre Ă©laborĂ© dont la structure commence Ă  ĂȘtre convenablement nourrie. Les inventaires et la dĂ©tections des sites de productions (prospections gĂ©ophysiques) ont Ă©tĂ© ciblĂ©s sur diffĂ©rents secteurs gĂ©ographiques de la rĂ©gion, en particulier l’autunois, (productions grises micacĂ©es), le dijonnais (productions rouge-orangĂ©e et pĂątes grises coquillĂ©es) ainsi que dans le sĂ©nonais et le charollais. Des Ă©tudes typo-chronologiques ont pu ĂȘtre conduites sur le mobilier d’ateliers Ă  Auxerre (Yonne) ainsi qu’à Tracy-sur-Loire (NiĂšvre) au sud de la Puisaye. Ces Ă©tudes sont accompagnĂ©es de campagnes d’analyses archĂ©omĂ©triques effectuĂ©es en partenariat avec le laboratoire du Craham (universitĂ© de Caen). Une expĂ©rimentation de datations archĂ©omagnĂ©tiques sur tessons est Ă©galement lancĂ©e avec le LAMS.AprĂšs une annĂ©e 2020 difficile en raison de la crise sanitaire, les actions du PCR ont Ă©tĂ© un peu plus intenses en 2021. Les travaux ont notamment Ă©tĂ© conduits sur l’axe de la cĂ©ramique grise coquillĂ©e dans le cadre du master recherche d’Alix Badel (universitĂ© de Dijon) permettant d’en cibler les zones de production et de diffusion. L’intĂ©gration de plusieurs flux de donnĂ©es au SIG (carte archĂ©ologique, dĂ©pouillements de M. Maerten sur la SaĂŽne-et-Loire et d’A. Badel sur les corpus de grise-coquillĂ©es) a permis une augmentation de 60 Ă  70% du nombre d’ateliers rĂ©fĂ©rencĂ©s dans patriarche pour l’aire bourguignonne.La reprise d’anciennes collections conservĂ©es au musĂ©e de Saint-Amand-en- Puisaye issues de la fouille d’ateliers de proto-grĂšs et de grĂšs a permis d’en dresser l’inventaire et nourrir les rĂ©pertoires. Sur Tracy-sur-Loire, les analyses archĂ©omagnĂ©tiques menĂ©es ont montrĂ© une forte disparitĂ© de rĂ©ponse entre les deux groupes Ă©chantillonnĂ©s. Il est nĂ©cessaire de refaire un Ă©chantillonnage partiel (four 1) sur des tessons plus gros afin de clore convenablement l’étude.ParallĂšlement au PCR mais avec les mĂȘmes acteurs, deux importantes actions de diffusion ont pu ĂȘtre organisĂ©e. En premier lieu, une exposition intitulĂ©e : [PassĂ©] Ă  table accompagnĂ©e d’un catalogue a pu ĂȘtre montĂ©e au musĂ©e archĂ©ologique de Dijon (mai-novembre 2021). En second lieu, les recherches ont pu ĂȘtre prĂ©sentĂ©es lors des journĂ©es Iceramm, organisĂ©es Ă  Dijon en novembre 2021. Les actions entamĂ©es nĂ©cessitent d’ĂȘtre poursuivies et c’est pourquoi une nouvelle pĂ©riode de trois ans est sollicitĂ©e pour le PCR. L’annĂ©e 2022 sera mise Ă  profit pour aboutir une publication, bilan d’étape des travaux de l’équipe. Les travaux du PCR sont financĂ©s entiĂšrement par la DRAC, complĂ©tĂ©s par une dotation de 17 jours PAS accordĂ©e par l’Inrap. D’autres jours recherches sont aussi accordĂ©s aux chercheurs d’autres institutions

    Quality of life and patient satisfaction after one-stage implant-based breast reconstruction with an acellular dermal matrix versus two-stage breast reconstruction (BRIOS): primary outcome of a randomised, controlled trial

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    Background There is increasing interest in the use of acellular dermal matrices (ADMs) in implant-based breast reconstruction (IBBR). Suggested advantages are that ADMs facilitate one-stage IBBR and improve aesthetic outcomes. We compared immediate one-stage ADM-assisted IBBR with two-stage IBBR (current standard of care). Our previously reported secondary endpoint showed that one-stage ADM-assisted IBBR was associated with significantly more adverse outcomes. Here, we present the primary endpoint results aiming to assess whether one-stage IBBR with ADM provides higher patient-reported quality of life (QOL) compared with two-stage IBBR. Methods This multicentre, open-label, randomised controlled trial (BRIOS study) was done in eight hospitals in the Netherlands. We recruited women aged older than 18 years with breast carcinoma or a genetic predisposition who intended to undergo skin-sparing mastectomy and immediate IBBR. Participants were randomly assigned to undergo one-stage IBBR with ADM (Strattice, LifeCell, Branchburg, NJ, USA) or two-stage IBBR. Randomisation was stratified by centre and indication for surgery (oncological or prophylactic) in blocks of ten participants. The primary endpoint was patient-reported QOL, as measured with the BREAST-Q (ie, health-related QOL scales and satisfaction scales), in the modified intention-to-treat population. The study follow-up is complete. This study is registered with the Netherlands Trial Register, number NTR5446. Findings Between April 14, 2013, and May 29, 2015, we enrolled 142 women, of whom 69 were randomly assigned to receive one-stage ADM-assisted IBBR and 73 to receive two-stage IBBR. After exclusions, the modified intention-to-treat population comprised 60 patients in the one-stage group and 61 patients in the two-stage group. Of these, 48 women (mean follow-up 17·0 months [SD 7·8]) in the one-stage group and 44 women (17·2 months [SD 6·7]) in the two-stage group completed the BREAST-Q at least 1 year after implant placement. We found no significant differences in postoperative patient-reported QOL domains, including physical wellbeing (one-stage mean 78·0 [SD 14·1] vs two-stage 79·3 [12·2], p=0·60), psychosocial wellbeing (72·6 [17·3] vs 72·8 [19·6], p=0·95), and sexual wellbeing (58·0 [17·0] vs 57·1 [19·5], p=0·82), or in the patient-reported satisfaction domains: satisfaction with breasts (63·4 [15·8] vs 60·3 [15·4], p=0·35) and satisfaction with outcome (72·8 [19·1] vs 67·8 [16·3], p=0·19). Interpretation Taken together with our previously published findings, one-stage IBBR with ADM does not yield superior results in terms of patient-reported QOL compared with two-stage IBBR. Risks for adverse outcomes were significantly higher in the one-stage ADM group. Use of ADM for one-stage IBBM should be considered on a case-by-case basis

    Meta-analysis identifies 29 additional ulcerative colitis risk loci, increasing the number of confirmed associations to 47.

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    Genome-wide association studies and candidate gene studies in ulcerative colitis have identified 18 susceptibility loci. We conducted a meta-analysis of six ulcerative colitis genome-wide association study datasets, comprising 6,687 cases and 19,718 controls, and followed up the top association signals in 9,628 cases and 12,917 controls. We identified 29 additional risk loci (P < 5 x 10(-8)), increasing the number of ulcerative colitis-associated loci to 47. After annotating associated regions using GRAIL, expression quantitative trait loci data and correlations with non-synonymous SNPs, we identified many candidate genes that provide potentially important insights into disease pathogenesis, including IL1R2, IL8RA-IL8RB, IL7R, IL12B, DAP, PRDM1, JAK2, IRF5, GNA12 and LSP1. The total number of confirmed inflammatory bowel disease risk loci is now 99, including a minimum of 28 shared association signals between Crohn's disease and ulcerative colitis

    Varia

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    Numerical Simulation of Fracking in Shale Rocks: Current State and Future Approaches

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