70 research outputs found

    Cognitive facilitation following intentional odor exposure

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    This paper reviews evidence that, in addition to incidental olfactory pollutants, intentional odor delivery can impact cognitive operations both positively and negatively. Evidence for cognitive facilitation/interference is reviewed alongside four potential explanations for odor-induced effects. It is concluded that the pharmacological properties of odors can induce changes in cognition. However, these effects can be accentuated/attenuated by the shift in mood following odor exposure, expectancy of cognitive effects, and cues to behavior via the contextual association with the odor. It is proposed that greater consideration is required in the intentional utilization of odors within both industrial and private locations, since differential effects are observed for odors with positive hedonic qualities

    Dissociated Representations of Pleasant and Unpleasant Olfacto-Trigeminal Mixtures: An fMRI Study

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    How the pleasantness of chemosensory stimuli such as odorants or intranasal trigeminal compounds is processed in the human brain has been the focus of considerable recent interest. Yet, so far, only the unimodal form of this hedonic processing has been explored, and not its bimodal form during crossmodal integration of olfactory and trigeminal stimuli. The main purpose of the present study was to investigate this question. To this end, functional magnetic resonance imaging (fMRI) was used in an experiment comparing brain activation related to a pleasant and a relatively unpleasant olfacto-trigeminal mixture, and to their individual components (CO2 alone, Orange alone, Rose alone). Results revealed first common neural activity patterns in response to both mixtures in a number of regions: notably the superior temporal gyrus and the caudate nucleus. Common activations were also observed in the insula, although the pleasant mixture activated the right insula whereas the unpleasant mixture activated the left insula. However, specific activations were observed in anterior cingulate gyrus and the ventral tegmental area only during the perception of the pleasant mixture. These findings emphasized for the firs time the involvement of the latter structures in processing of pleasantness during crossmodal integration of chemosensory stimuli

    Deuxième allogreffe de cellules souches hématopoïétiques en traitement de rattrapage des leucémies aiguës myéloïdes réfractaires ou en rechute après une première allogreffe : une étude de la SFGM-TC

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    Les leucémies aiguës myéloïdes (LAM) en rechute ou réfractaires après une première allogreffe de cellules souches hématopoïétiques (allo1) ont un pronostic sombre. Une seconde allogreffe (allo2) peut permettre d'obtenir une rémission prolongée chez des patients sélectionnés. Nous souhaitions évaluer le devenir de patients traités pour une LAM en rechute ou réfractaires après une allo1 et définir des facteurs pronostiques de réponse après une allo2. Nous avons réalisé une étude rétrospective multicentrique chez des patients avec LAM ayant reçu au moins une allo à partir du registre de la SFGM-TC. Trois groupes ont été étudiés : les patients sans rechute post-allo1 (groupe 1), les patients en rechute/réfractaires après l’allo1 traités par thérapies conventionnelles (groupe 2) et les patients traités avec une allo2 (groupe 3). L’objectif principal était d'évaluer la survie globale (SG) dans les 3 groupes et les objectifs secondaires d'évaluer le devenir des patients après l'allo2 et des facteurs pronostiques de survie à long terme. 4071 patients ont été inclus. 2658 n'ont pas rechuté. Parmi ceux en rechute/réfractaires en post-allo1, 1204 patients ont reçu un traitement de rattrapage conventionnel et 209 patients ont reçu une allo2. Nous avons observé des différences significatives entre les groupes 2 et 3. Le groupe 3 avait une meilleure SG à 5 ans par rapport au groupe 2: 31,7% versus 11,2% (p<0,0001). Après l'allo2, la SG à 5 ans du groupe 3 était de 18,6% avec une médiane de survie de 7,8 mois. En analyse univariée, la rémission complète à l'allo1 (p=0,0117), et l'allo2 (p<0,0001), un âge inférieur à 50 ans (p=0,0357), un donneur dans la fratrie HLA-identique (p=0,0221) et un délai de rechute après l'allo1 supérieur à 6 mois étaient des facteurs pronostiques favorables pour la SG après l'allo2. L'allo 2 peut remettre en rémission des patients traités pour une LAM en rechute/réfractaires après une allo1. Des stratégies impliquant des nouveaux traitements avec ou sans allo2 devraient être évaluées

    Deuxième allogreffe de cellules souches hématopoïétiques en traitement de rattrapage des leucémies aiguës myéloïdes réfractaires ou en rechute après une première allogreffe : une étude de la SFGM-TC

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    Les leucémies aiguës myéloïdes (LAM) en rechute ou réfractaires après une première allogreffe de cellules souches hématopoïétiques (allo1) ont un pronostic sombre. Une seconde allogreffe (allo2) peut permettre d'obtenir une rémission prolongée chez des patients sélectionnés. Nous souhaitions évaluer le devenir de patients traités pour une LAM en rechute ou réfractaires après une allo1 et définir des facteurs pronostiques de réponse après une allo2. Nous avons réalisé une étude rétrospective multicentrique chez des patients avec LAM ayant reçu au moins une allo à partir du registre de la SFGM-TC. Trois groupes ont été étudiés : les patients sans rechute post-allo1 (groupe 1), les patients en rechute/réfractaires après l’allo1 traités par thérapies conventionnelles (groupe 2) et les patients traités avec une allo2 (groupe 3). L’objectif principal était d'évaluer la survie globale (SG) dans les 3 groupes et les objectifs secondaires d'évaluer le devenir des patients après l'allo2 et des facteurs pronostiques de survie à long terme. 4071 patients ont été inclus. 2658 n'ont pas rechuté. Parmi ceux en rechute/réfractaires en post-allo1, 1204 patients ont reçu un traitement de rattrapage conventionnel et 209 patients ont reçu une allo2. Nous avons observé des différences significatives entre les groupes 2 et 3. Le groupe 3 avait une meilleure SG à 5 ans par rapport au groupe 2: 31,7% versus 11,2% (p<0,0001). Après l'allo2, la SG à 5 ans du groupe 3 était de 18,6% avec une médiane de survie de 7,8 mois. En analyse univariée, la rémission complète à l'allo1 (p=0,0117), et l'allo2 (p<0,0001), un âge inférieur à 50 ans (p=0,0357), un donneur dans la fratrie HLA-identique (p=0,0221) et un délai de rechute après l'allo1 supérieur à 6 mois étaient des facteurs pronostiques favorables pour la SG après l'allo2. L'allo 2 peut remettre en rémission des patients traités pour une LAM en rechute/réfractaires après une allo1. Des stratégies impliquant des nouveaux traitements avec ou sans allo2 devraient être évaluées

    [Pharmacogenetics of depression in elderly patients]

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