51 research outputs found

    Brucella Control of Dendritic Cell Maturation Is Dependent on the TIR-Containing Protein Btp1

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    Brucella is an intracellular pathogen able to persist for long periods of time within the host and establish a chronic disease. We show that soon after Brucella inoculation in intestinal loops, dendritic cells from ileal Peyer's patches become infected and constitute a cell target for this pathogen. In vitro, we found that Brucella replicates within dendritic cells and hinders their functional activation. In addition, we identified a new Brucella protein Btp1, which down-modulates maturation of infected dendritic cells by interfering with the TLR2 signaling pathway. These results show that intracellular Brucella is able to control dendritic cell function, which may have important consequences in the development of chronic brucellosis

    L'ergotoxicologie en actions – Mobiliser l'analyse de l'activité pour réduire les risques chimiques

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    Contexte et objectifs L’ergotoxicologie est conçue comme une pratique particulière de l’ergonomie (Garrigou, 2011) visant à analyser les activités de travail dans des milieux professionnels où des expositions à des produits chimiques peuvent se produire. Dans ce cadre, l’ergotoxicologie développe « des modèles opérants (au sens de Wisner, 1972), des outils et des moyens de prévention efficaces pour gérer et prévenir les risques pour la santé des travailleurs exposés à des produits chimiques » (Garrigou, 2011). En ce sens, il s’agit bien d’une forme de recherche et de pratique à visée opérationnelle, et non d’une nouvelle discipline ou sous-discipline de l’ergonomie. On peut alors considérer que l’ergotoxicologie est un des domaines de spécialisation de l’ergonomie (Falzon, 2004, p.18). Dans cette perspective l’ergotoxicologie est ancrée profondément dans l’ergonomie, mais de par ses objectifs, elle mobilise des connaissances et des modèles issus de la toxicologie, de la médecine du travail et de la prévention. Sa pratique nécessite donc un engagement transdisciplinaire, en ne perdant pas de vue que ses racines se nourrissent de l’analyse de l’activité (Garrigou, 2011). L’ergotoxicologie se développe dans un contexte de remise en question des pratiques classiques de prévention des risques liés à l’utilisation de produits chimiques détaillé par Mohammed-Brahim & Garrigou (2009). La notion d’ergotoxicologie est apparue à partir de la nécessité de prendre en compte les caractéristiques réelles des opérateurs exposés en situations de travail pouvant influencer les effets sur la santé ou en raison d’une non certitude d’absence d’effets sur la santé malgré le respect des normes établies (Villate, 1985). Ces « bonnes pratiques » actuelles de prévention sont essentiellement basées sur la mise en place de barrières entre une source de danger (NPs par exemple) et les opérateurs, comme décrit par Mortureux (2016). La principale limite de ce modèle et de son opérationnalisation (Mohammed-Brahim & Garrigou, 2009) est l’efficacité partielle de ces barrières pouvant être « perméables ». La mise en place des barrières ne résulte pas toujours d’une analyse systémique des situations à risque, les causes réelles déterminantes des expositions peuvent être ainsi occultées. Une telle représentation des actions possibles s’interdit alors d’agir sur les déterminants réels de l’exposition, en raison d’un manque de prise en compte de l’activité de travail, au profit d’une prise en compte de la tâche prescrite. Les normes établies dans ces modèles classiques de prévention sont ainsi souvent décontextualisées des situations de travail et de l’activité réelle (Galey & Garrigou., 2020). Ces dernières années, l’ergotoxicologie a fait l’objet de nombreux développements conceptuels et méthodologiques par la construction de projets de recherche-intervention financés dans le cadre de réponses à des appels à projets de recherche de publics. On peut citer les travaux de Judon (2017) portant sur les expositions au fumées de bitume des travailleurs de la route. Ceux de Galey (2019) sur la caractérisation des expositions aux particules nanométriques dans les nouveaux procédés industriels comme la fabrication additive. Ainsi que les travaux de Jolly (Jolly et al., 2021) sur l’exposition des pomiculteurs québécois aux pesticides, de Goutille (Goutille et al., 2016 ; Goutille & Garrigou, 2021 ; Goutille, 2022) sur la co-construction de la prévention des risques en milieux industriels et agricoles, ou bien les travaux d’Albert (Albert et al., 2021) sur l’articulation des sources du droit et de l’ergonomie pour concevoir autrement les pulvérisateurs, L’objectif de ce symposium est de contribuer à la transmission/traduction de ces concepts et méthodologies pour engager des actions de transformations. En effet, aujourd’hui, l’ergotoxicologie n’est pas réservée aux seuls ergonomes. Elle est également mobilisée par des préventeurs internes ou en service de santé au travail et par des toxicologues (Mohammed-Brahim et al., 2018), nourrissant une pratique transprofessionnelle. Axes de réflexion Le premier axe de réflexion concerne la transmission des concepts et des méthodes développés en ergotoxicologie et leur traduction et ou leur transformation dans des contextes d’intervention divers (entreprises, services de santé au travail, etc.) et dans des logiques métiers différentes (ergonomes, préventeurs, toxicologues, médecin du travail…). Le deuxième axe va porter sur la possibilité des acteurs mettant en oeuvre des concepts et méthodes issus de l’ergotoxicologie de pouvoir ou pas développer des approches pluridisciplinaires et/ou transprofessionnelles dans leurs actions de construction des problèmes, de diagnostics mais aussi de co-construction des transformations de la situation de travail. Cette problématique va porter sur les interactions entre les « experts » de la prévention mais aussi sur l’implication du chef d’entreprise, des salariés et de leurs représentants. Le troisième axe portera sur les déterminants des expositions qui font l’objet de la construction du problème, des analyses, et des transformations. Nous nous intéresserons aux différents déterminants de l’exposition présents dans la situation de travail, qu’ils soient d’ordre technique, humain ou organisationnels. L’objectif de la discussion est aussi d’aller discuter de familles de déterminants qualifiés d’éloignés de la situation de travail mais qui concourent aux expositions. Ce symposium s'appuiera sur 5 présentations et un débat avec les participants autour des questions que pose la prévention durable du risque chimique en milieu de travail. Les communicants d’origine disciplinaire et professionnelle diverse (doctorants, préventeurs, consultant, service SST, anthropologue, ergonome, toxicologue, …) présenteront leurs travaux de recherche et d’intervention en milieu hospitalier, agricole, dans le BTP, ainsi que dans des plus petites entreprises (TPE et cabinet de podologie). La première contribution sera présentée par Cédric Gouvenelle (ergonome) et Julie Vornax (toxicologue) de l’ASPT 18. Elle portera sur l’apport de l’ergotoxicologie en service de santé au travail. Dans le cadre de cette étude présentée, la fabrication d’éléments en béton est identifiée par le médecin du travail comme un secteur exposant les travailleurs à de la silice cristalline cancérogène (ANSES, 2019. Le médecin du travail identifie ces formes d’exposition lors de l’établissement du diagnostic santé travail en s’appuyant sur les données des visites des travailleurs, la déclaration des risques de l!employeurs et la littérature. Dans un contexte où les perceptions entre les travailleurs et l'employeur apparaissent différentes (perception du contexte et des normes) et à des régulations concernant le port de certains équipements de protection individuel, il s'est agi de comprendre l!activité et ses différents déterminants. Recueillir les éléments nécessaires à l'adaptation du suivi individuel et à la traçabilité des expositions a permis de co-construire des pistes de solutions avec l'employeur, les salariés et leurs représentants. Lors de cette intervention les outils ergotoxicologiques et la construction d!objets intermédiaires (Vinck, 2009; Vinck & Laureillard, 1996) évolutifs, ont été des leviers pour la construction de pistes de solution. La deuxième contribution sera présentée par Valentin Lamarque (doctorant en ergonomie) et Guillaume Swierczynski (doctorant en santé publique). Elle portera sur l’hybridation de la Santé publique et de l’ergotoxicologie dans un contexte d’exposition des soignants aux cytotoxiques, contenus dans les médicaments anti-cancéreux administrés en service d’oncologie. L’enjeu de la recherche interventionnelle présentée est la co-construction d’un dispositif de formation en e-learning avec les professionnels concernés. La troisième contribution sera présentée par Caroline Esterre (ergonome) et Emilie Bussy (métrologue) au sein d’un service de santé au travail, l’AHI33. La présentation va porter sur l’étude de l'exposition des soignants aux cytotoxiques (contenus dans les médicaments anticancéreux) dans un institut d'oncologie. La question qui va être discutée est de savoir comment l'activité de travail des professionnels de santé peut induire des situations d'expositions aux agents cytotoxiques ? Cette question va être traitée à partir : - De l’analyse de l'activité de travail des soignants (recherche des situations exposantes) en suivant le produit de sa réception à son élimination dans l'institut - De prélèvements de surface (identification des sources potentielles d’exposition) - De la restitution des analyses aux salariés grâce à des objets intermédiaires pour développer les pratiques de prévention La quatrième contribution sera présentée par Jessie Aldana (toxicologue à l’ASTI en formation en ergonomie) et Maël Montigny (en formation en ergonomie). La présentation va porter sur l’analyse de l’activité et de l’exposition à des produits chimiques dans le cadre de la fabrication d'orthèses chez des pédicures podologues. Cette intervention a permis de mettre en évidence une exposition au risque chimique potentialisée par des déterminants organisationnels et techniques de l'activité. Des variables ont été observées et ont permis de révéler d'autres facteurs d'expositions aux agents chimiques dangereux. Des observations ouvertes et systématiques de l'activité ont été couplés à une analyse de danger des produits manipulés. L’étude a permis de mettre en corrélation des signes d'intoxication déclarés par les opérateurs avec les résultats de mesures. La cinquième contribution sera présentée par Caroline Jolly (doctorante en ergonomie, IRSST) et Fabienne Goutille (anthropologue doctorante en ergonomie, Inserm). Elle va porter sur les croisements possible entre analyse de l’activité, analyse du contexte de l’activité et analyse des expositions aux pesticides du point de vue des agriculteurs. Les deux recherches interventions menées au Canada et en France viendront illustrer la manière dont l’ergonomie peut contribuer à la prévention du risque pesticides dans deux contextes d’intervention différents (acteurs, réglementations, technologies, …)

    Symbionts as Major Modulators of Insect Health: Lactic Acid Bacteria and Honeybees

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    Lactic acid bacteria (LAB) are well recognized beneficial host-associated members of the microbiota of humans and animals. Yet LAB-associations of invertebrates have been poorly characterized and their functions remain obscure. Here we show that honeybees possess an abundant, diverse and ancient LAB microbiota in their honey crop with beneficial effects for bee health, defending them against microbial threats. Our studies of LAB in all extant honeybee species plus related apid bees reveal one of the largest collections of novel species from the genera Lactobacillus and Bifidobacterium ever discovered within a single insect and suggest a long (>80 mya) history of association. Bee associated microbiotas highlight Lactobacillus kunkeei as the dominant LAB member. Those showing potent antimicrobial properties are acquired by callow honey bee workers from nestmates and maintained within the crop in biofilms, though beekeeping management practices can negatively impact this microbiota. Prophylactic practices that enhance LAB, or supplementary feeding of LAB, may serve in integrated approaches to sustainable pollinator service provision. We anticipate this microbiota will become central to studies on honeybee health, including colony collapse disorder, and act as an exemplar case of insect-microbe symbiosis

    The Athena X-ray Integral Field Unit (X-IFU)

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    The X-ray Integral Field Unit (X-IFU) is the high resolution X-ray spectrometer of the ESA Athena X-ray observatory. Over a field of view of 5' equivalent diameter, it will deliver X-ray spectra from 0.2 to 12 keV with a spectral resolution of 2.5 eV up to 7 keV on similar to 5 '' pixels. The X-IFU is based on a large format array of super-conducting molybdenum-gold Transition Edge Sensors cooled at similar to 90 mK, each coupled with an absorber made of gold and bismuth with a pitch of 249 mu m. A cryogenic anti-coincidence detector located underneath the prime TES array enables the non X-ray background to be reduced. A bath temperature of similar to 50 mK is obtained by a series of mechanical coolers combining 15K Pulse Tubes, 4K and 2K Joule-Thomson coolers which pre-cool a sub Kelvin cooler made of a He-3 sorption cooler coupled with an Adiabatic Demagnetization Refrigerator. Frequency domain multiplexing enables to read out 40 pixels in one single channel. A photon interacting with an absorber leads to a current pulse, amplified by the readout electronics and whose shape is reconstructed on board to recover its energy with high accuracy. The defocusing capability offered by the Athena movable mirror assembly enables the X-IFU to observe the brightest X-ray sources of the sky (up to Crab-like intensities) by spreading the telescope point spread function over hundreds of pixels. Thus the X-IFU delivers low pile-up, high throughput (> 50%), and typically 10 eV spectral resolution at 1 Crab intensities, i.e. a factor of 10 or more better than Silicon based X-ray detectors. In this paper, the current X-IFU baseline is presented, together with an assessment of its anticipated performance in terms of spectral resolution, background, and count rate capability. The X-IFU baseline configuration will be subject to a preliminary requirement review that is scheduled at the end of 2018. The X-IFU will be provided by an international consortium led by France, the Netherlands and Italy, with further ESA member state contributions from Belgium, Czech Republic, Finland, Germany, Ireland, Poland, Spain, Switzerland and contributions from Japan and the United States.Peer reviewe

    The Athena X-ray Integral Field Unit: a consolidated design for the system requirement review of the preliminary definition phase

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    The Athena X-ray Integral Unit (X-IFU) is the high resolution X-ray spectrometer, studied since 2015 for flying in the mid-30s on the Athena space X-ray Observatory, a versatile observatory designed to address the Hot and Energetic Universe science theme, selected in November 2013 by the Survey Science Committee. Based on a large format array of Transition Edge Sensors (TES), it aims to provide spatially resolved X-ray spectroscopy, with a spectral resolution of 2.5 eV (up to 7 keV) over an hexagonal field of view of 5 arc minutes (equivalent diameter). The X-IFU entered its System Requirement Review (SRR) in June 2022, at about the same time when ESA called for an overall X-IFU redesign (including the X-IFU cryostat and the cooling chain), due to an unanticipated cost overrun of Athena. In this paper, after illustrating the breakthrough capabilities of the X-IFU, we describe the instrument as presented at its SRR, browsing through all the subsystems and associated requirements. We then show the instrument budgets, with a particular emphasis on the anticipated budgets of some of its key performance parameters. Finally we briefly discuss on the ongoing key technology demonstration activities, the calibration and the activities foreseen in the X-IFU Instrument Science Center, and touch on communication and outreach activities, the consortium organisation, and finally on the life cycle assessment of X-IFU aiming at minimising the environmental footprint, associated with the development of the instrument. Thanks to the studies conducted so far on X-IFU, it is expected that along the design-to-cost exercise requested by ESA, the X-IFU will maintain flagship capabilities in spatially resolved high resolution X-ray spectroscopy, enabling most of the original X-IFU related scientific objectives of the Athena mission to be retained. (abridged).Comment: 48 pages, 29 figures, Accepted for publication in Experimental Astronomy with minor editin

    The Athena X-ray Integral Field Unit: a consolidated design for the system requirement review of the preliminary definition phase

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    The Athena X-ray Integral Unit (X-IFU) is the high resolution X-ray spectrometer studied since 2015 for flying in the mid-30s on the Athena space X-ray Observatory. Athena is a versatile observatory designed to address the Hot and Energetic Universe science theme, as selected in November 2013 by the Survey Science Committee. Based on a large format array of Transition Edge Sensors (TES), X-IFU aims to provide spatially resolved X-ray spectroscopy, with a spectral resolution of 2.5 eV (up to 7 keV) over a hexagonal field of view of 5 arc minutes (equivalent diameter). The X-IFU entered its System Requirement Review (SRR) in June 2022, at about the same time when ESA called for an overall X-IFU redesign (including the X-IFU cryostat and the cooling chain), due to an unanticipated cost overrun of Athena. In this paper, after illustrating the breakthrough capabilities of the X-IFU, we describe the instrument as presented at its SRR (i.e. in the course of its preliminary definition phase, so-called B1), browsing through all the subsystems and associated requirements. We then show the instrument budgets, with a particular emphasis on the anticipated budgets of some of its key performance parameters, such as the instrument efficiency, spectral resolution, energy scale knowledge, count rate capability, non X-ray background and target of opportunity efficiency. Finally, we briefly discuss the ongoing key technology demonstration activities, the calibration and the activities foreseen in the X-IFU Instrument Science Center, touch on communication and outreach activities, the consortium organisation and the life cycle assessment of X-IFU aiming at minimising the environmental footprint, associated with the development of the instrument. Thanks to the studies conducted so far on X-IFU, it is expected that along the design-to-cost exercise requested by ESA, the X-IFU will maintain flagship capabilities in spatially resolved high resolution X-ray spectroscopy, enabling most of the original X-IFU related scientific objectives of the Athena mission to be retained. The X-IFU will be provided by an international consortium led by France, The Netherlands and Italy, with ESA member state contributions from Belgium, Czech Republic, Finland, Germany, Poland, Spain, Switzerland, with additional contributions from the United States and Japan.The French contribution to X-IFU is funded by CNES, CNRS and CEA. This work has been also supported by ASI (Italian Space Agency) through the Contract 2019-27-HH.0, and by the ESA (European Space Agency) Core Technology Program (CTP) Contract No. 4000114932/15/NL/BW and the AREMBES - ESA CTP No.4000116655/16/NL/BW. This publication is part of grant RTI2018-096686-B-C21 funded by MCIN/AEI/10.13039/501100011033 and by “ERDF A way of making Europe”. This publication is part of grant RTI2018-096686-B-C21 and PID2020-115325GB-C31 funded by MCIN/AEI/10.13039/501100011033

    Retrospective evaluation of whole exome and genome mutation calls in 746 cancer samples

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    Funder: NCI U24CA211006Abstract: The Cancer Genome Atlas (TCGA) and International Cancer Genome Consortium (ICGC) curated consensus somatic mutation calls using whole exome sequencing (WES) and whole genome sequencing (WGS), respectively. Here, as part of the ICGC/TCGA Pan-Cancer Analysis of Whole Genomes (PCAWG) Consortium, which aggregated whole genome sequencing data from 2,658 cancers across 38 tumour types, we compare WES and WGS side-by-side from 746 TCGA samples, finding that ~80% of mutations overlap in covered exonic regions. We estimate that low variant allele fraction (VAF < 15%) and clonal heterogeneity contribute up to 68% of private WGS mutations and 71% of private WES mutations. We observe that ~30% of private WGS mutations trace to mutations identified by a single variant caller in WES consensus efforts. WGS captures both ~50% more variation in exonic regions and un-observed mutations in loci with variable GC-content. Together, our analysis highlights technological divergences between two reproducible somatic variant detection efforts

    Fabrication d'immunonanoparticules pégylées contenant de l'interleukine-10

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    POITIERS-BU Médecine pharmacie (861942103) / SudocSudocFranceF
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