9 research outputs found

    Recommandations en onco-urologie 2016-2018 du CCAFU : Cancer du rein

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    International audienceThe previous guidelines from the Cancer Committee of the Association Française d'Urologie were published in 2013. We wanted this new version to be simple, clear and straightforward. All significant recent publications on kidney cancer have been included

    Survie à long terme des tumeurs kystiques du rein–enquête du CCA-AFU

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    International audienceObjectifsCinq à 7 % des tumeurs rénales sont kystiques. Il s’agit généralement de tumeurs peu agressives de bas grade. On ne connait cependant pas avec précision leur potentiel évolutif par rapport aux tumeurs solides. L’objectif de cette étude du CCA-AFU était de déterminer la survie à long terme des cancers kystiques du rein.MéthodesÉtude multicentrique nationale initiée par le CC-AFU, menée auprès de 9 établissements hospitalo-universitaires où ont été étudiés de façon rétrospective tous les patients opérés d’une tumeur kystique du rein entre 2000 et 2010. Les tumeurs bénignes et métastatiques ont été exclues. Les données épidémiologiques, opératoires et de suivi ont été colligées rétrospectivement.RésultatsCent vingt patients ont été inclus avec un suivi médian de 60 mois [1–178]. L’âge médian au diagnostic était de 57ans [24–84]. Les caractéristiques tumorales étaient (médianes) : taille 4cm [1–8], Renal Score 7 [4–12], Padua Score 8 [5–14]. Les lésions étaient classées Bosniak 4(40 %), 3(52 %), 2-2F(8 %). Il y avait 52 % de CCR conventionnelles, 19 % de CCR tubulo-papillaires, 19 % de carcinome kystique multiloculaires à cellules claires. 27 % des tumeurs étaient de haut grade (3-4) et 73 % de bas grade (1-2). Le type Bosniak 4 était un facteur de risque (RR=2) de haut grade. 8/120 récidives ont été rapportées : 6 récidives métastatiques et 2 récidives locales, avec un délai médian de survenue de 30 mois [7–59]. La survie globale et spécifique à 10ans était respectivement de 91 et 94 %.ConclusionDans cette enquête du CC-AFU, les cancers kystiques du rein sont des tumeurs majoritairement de faible grade et de bon pronostic. Les données étaient insuffisantes pour conclure sur l’impact pronostic lié à une rupture du kyste en peropératoire

    Néphrectomie partielle vs ablation percutanée dans le traitement de tumeurs rénales en indication impérative

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    International audienceObjectifsComparer la néphrectomie partielle (NP) et l’ablation percutanée (AP) dans le traitement des tumeurs rénales en indication impérative.MéthodesEntre 2000 et 2015, 297 patients consécutifs porteurs d’une tumeur du rein en indication impérative de traitement conservateur ont été rétrospectivement inclus dans une étude multicentrique. Cent soixante-dix-sept NP (ouverte [n=151], laparoscopique [n=9] ou robotique [n=17]) et 120 ablations percutanées (radiofréquence [n=112] ou cryoablation [n=8]) ont été réalisées pour une tumeur sur rein unique (n=144), une tumeur bilatérale (n=77) ou une tumeur sur une insuffisance rénale chronique (IRC) (n=76).RésultatsIl n’y avait pas de différences entre les deux groupes en ce qui concerne l’âge, le score Charlson (CCI), les raisons de l’indication impérative et le DFG préopératoire. Les patients du groupe NP avaient des tumeurs plus grosses et un score RENAL supérieur. La NP avait de moins bons résultats en termes de taux de transfusion, de durée du séjour et de complication. La survie sans récidive locale était plus longue pour la NP mais la survie sans récidive métastatique était similaire. Le DFG à long terme et le pourcentage de diminution du DFG étaient similaires dans les 2 groupes. En analyse multivariée, la NP était un facteur prédictif indépendant d’un meilleur DFG postopératoire par rapport à l’ablation percutanée après ajustement sur la complexité tumorale, le CCI et le DFG préopératoire.ConclusionEn indication impérative de traitement conservateur d’une tumeur du rein, la NP et l’AP sont possibles. La NP offre la possibilité de gérer des tumeurs plus complexes tout en offrant un meilleur contrôle local et une rénale de fonction rénale similaire. Cependant, elle est plus à risque de complications majeures

    RETRACTED: Recommandations françaises du Comité de Cancérologie de l’AFU – Actualisation 2018–2020 : prise en charge du cancer du rein

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