92 research outputs found

    Occurrence of chlorophyll allomers during virus-induced mortality and population decline in the ubiquitous picoeukaryote Ostreococcus tauri

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    During viral infection and growth limitation of the picoeukaryote Ostreococcus tauri, we examined the relationship between membrane permeability, oxidative stress and chlorophyll allomers (oxidation products). Chlorophyll allomers were measured in batch-cultures of O. tauri in parallel with maximum quantum efficiency of photosystem II photochemistry (Fv/Fm), carotenoids, and reactive oxygen species and membrane permeability using fluorescent probes (CM-H2DCFDA and SYTOX-Green). Viral infection led to mass cell lysis of the O. tauri cells within 48 h. The concentration of the allomer hydroxychlorophyll a peaked with a 16-fold increase (relative to chlorophyll-a) just after the major lysis event. In contrast, cell death due to growth limitation resulted in a 2-fold increase in allomer production, relative to chl-a. Two allomers were detected solely in association with O. tauri debris after viral lysis, and unlike other allomers were not observed before viral lysis, or during cell death due to growth limitation. Conversely, the component chl-aP276 was found in the highest concentrations relative to chl-a, in exponentially growing O. tauri. The components described have potential as indicators of mode of phytoplankton mortality, and of population growth

    Delayed Graft Function in Kidney Transplants: Time Evolution, Role of Acute Rejection, Risk Factors, and Impact on Patient and Graft Outcome

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    Background. Although numerous risk factors for delayed graft function (DGF) have been identified, the role of ischemia-reperfusion injury and acute rejection episodes (ARE) occurring during the DGF period is ill-defined and DGF impact on patient and graft outcome remains controversial. Methods. From 1983 to 2014, 1784 kidney-only transplantations from deceased donors were studied. Classical risk factors for DGF along with two novel ones, recipient’s perioperative saline loading and residual diuresis, were analyzed by logistic regression and receiver operating characteristic (ROC) curves. Results. Along with other risk factors, absence of perioperative saline loading increases acute rejection incidence (OR = 1.9 [1.2–2.9]). Moreover, we observed two novel risk factors for DGF: patient’s residual diuresis ≤500 mL/d (OR = 2.3 [1.6–3.5]) and absence of perioperative saline loading (OR = 3.3 [2.0–5.4]). Area under the curve of the ROC curve (0.77 [0.74–0.81]) shows an excellent discriminant power of our model, irrespective of rejection. DGF does not influence patient survival (P=0.54). However, graft survival is decreased only when rejection was associated with DGF (P<0.001).  Conclusions. Perioperative saline loading efficiently prevents ischemia-reperfusion injury, which is the predominant factor inducing DGF. DGF per se has no influence on patient and graft outcome. Its incidence is currently close to 5% in our centre

    Cardiopoietic cell therapy for advanced ischemic heart failure: results at 39 weeks of the prospective, randomized, double blind, sham-controlled CHART-1 clinical trial

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    Cardiopoietic cells, produced through cardiogenic conditioning of patients' mesenchymal stem cells, have shown preliminary efficacy. The Congestive Heart Failure Cardiopoietic Regenerative Therapy (CHART-1) trial aimed to validate cardiopoiesis-based biotherapy in a larger heart failure cohort

    Rôles respectifs des transporteurs d’anions organiques et de l’infiltrat inflammatoire dans la néphropathie expérimentale aux acides aristolochiques

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    La néphropathie aux acides aristolochiques (NAA) est une néphrite tubulo-interstitielle (TI) toxique initialement rapportée chez des patients après la consommation de remèdes à base de plantes chinoises contenant des acides aristolochiques (AA). Histologiquement, elle est caractérisée par une fibrose interstitielle, facilement reconnaissable à son gradient corticomédullaire, et une atrophie tubulaire, responsables d’une dégradation rapide de la fonction rénale conduisant à l’insuffisance rénale terminale. La reproduction de la maladie humaine chez l’animal (rat) dans le laboratoire expérimental de néphrologie a permis de retrouver les adduits d’ADN spécifiques aux AA et de décrire une évolution biphasique de l’atteinte TI :une phase aiguë, caractérisée par une nécrose tubulaire des cellules épithéliales tubulaires proximales (CETP) (en particulier du segment S3) associée à un infiltrat inflammatoire mononucléé et une phase chronique caractérisée par une atrophie tubulaire et une fibrose interstitielle. L’atteinte ciblée des CETP observée dans la NAA a suggéré l’existence de mécanismes physiopathologiques spécifiques à ce segment du néphron. Par ailleurs, l’infiltrat inflammatoire a été proposé comme étant le lien physiopathologique entre la phase aiguë et la phase chronique. La localisation des transporteurs d’anions organiques (ou organic anion transporter, OAT) dans le tubule proximal et leurs rôles dans d’autres néphropathies toxiques ont suggéré leur implication dans la NAA. Des études in vitro ont permis de démontrer leur responsabilité dans l’accumulation intracellulaire des AA, mais leur implication ainsi que l’effet protecteur du probénécide (PBN) un inhibiteur des OAT, n’a jamais été démontrée in vivo. Dans un modèle murin, nous avons confirmé le rôle des OAT dans le transport des AA ainsi que l’effet protecteur du PBN dont l’administration a permis de prévenir l’augmentation de la créatinine plasmatique, de réduire les lésions aiguës et chroniques et de diminuer la sévérité et l’étendue des lésions en microscopie électronique. De plus, la quantité d’adduits d’ADN spécifiques aux AA a été significativement réduite aux temps précoces. Bien qu’un infiltrat inflammatoire ait été démontré dans la NAA chez l’homme et l’animal, le rôle précis des leucocytes n’a jamais été étudié dans ce modèle. Nous avons démontré que la déplétion en lymphocytes T-CD4+ ou CD8+ aggravait l’atteinte rénale aiguë (ARA) (augmentation de la nécrose, de la créatinine plasmatique et de l’urée) induite par les AA. En outre, leur injection prolongée a provoqué une augmentation importante de la mortalité dans le groupe déplété en lymphocytes T-CD4+ par rapport au groupe injecté uniquement avec des AA. L'injection d’AA induisant une augmentation de la proportion de lymphocytes T régulateurs intrarénaux par rapport aux souris contrôles, nous avons également testé les effets de leur déplétion. Etonnamment, aucune augmentation de la créatinine plasmatique, de l’urée ou du score de nécrose n'a été observée. De plus, l’ARA de la NAA s’est accompagnée d’une augmentation de la population CD11bhighF4/80mid et d’une diminution de la population CD11blowF4/80high. La déplétion lymphocytaire CD4+ a provoqué une augmentation encore plus importante de la population CD11bhighF4/80mid et la déplétion T-CD8+ une diminution plus importante de la population CD11blowF4/80high. Les lymphocytes T-CD4+ et CD8+ exercent donc un effet protecteur dans la NAA expérimentale. L’aggravation de l’atteinte rénale consécutive à leur déplétion pourrait être liée à la perte du rétrocontrôle de l’immunité innée par l’immunité adaptative ou à une modification du phénotype des macrophages. Cette hypothèse mériterait d’être confirmée par des données complémentaires.Doctorat en Sciences médicales (Médecine)info:eu-repo/semantics/nonPublishe

    Rôles respectifs des transporteurs d’anions organiques et de l’infiltrat inflammatoire dans la néphropathie expérimentale aux acides aristolochiques

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    La néphropathie aux acides aristolochiques (NAA) est une néphrite tubulo-interstitielle (TI) toxique initialement rapportée chez des patients après la consommation de remèdes à base de plantes chinoises contenant des acides aristolochiques (AA). Histologiquement, elle est caractérisée par une fibrose interstitielle, facilement reconnaissable à son gradient corticomédullaire, et une atrophie tubulaire, responsables d’une dégradation rapide de la fonction rénale conduisant à l’insuffisance rénale terminale. La reproduction de la maladie humaine chez l’animal (rat) dans le laboratoire expérimental de néphrologie a permis de retrouver les adduits d’ADN spécifiques aux AA et de décrire une évolution biphasique de l’atteinte TI :une phase aiguë, caractérisée par une nécrose tubulaire des cellules épithéliales tubulaires proximales (CETP) (en particulier du segment S3) associée à un infiltrat inflammatoire mononucléé et une phase chronique caractérisée par une atrophie tubulaire et une fibrose interstitielle. L’atteinte ciblée des CETP observée dans la NAA a suggéré l’existence de mécanismes physiopathologiques spécifiques à ce segment du néphron. Par ailleurs, l’infiltrat inflammatoire a été proposé comme étant le lien physiopathologique entre la phase aiguë et la phase chronique. La localisation des transporteurs d’anions organiques (ou organic anion transporter, OAT) dans le tubule proximal et leurs rôles dans d’autres néphropathies toxiques ont suggéré leur implication dans la NAA. Des études in vitro ont permis de démontrer leur responsabilité dans l’accumulation intracellulaire des AA, mais leur implication ainsi que l’effet protecteur du probénécide (PBN) un inhibiteur des OAT, n’a jamais été démontrée in vivo. Dans un modèle murin, nous avons confirmé le rôle des OAT dans le transport des AA ainsi que l’effet protecteur du PBN dont l’administration a permis de prévenir l’augmentation de la créatinine plasmatique, de réduire les lésions aiguës et chroniques et de diminuer la sévérité et l’étendue des lésions en microscopie électronique. De plus, la quantité d’adduits d’ADN spécifiques aux AA a été significativement réduite aux temps précoces. Bien qu’un infiltrat inflammatoire ait été démontré dans la NAA chez l’homme et l’animal, le rôle précis des leucocytes n’a jamais été étudié dans ce modèle. Nous avons démontré que la déplétion en lymphocytes T-CD4+ ou CD8+ aggravait l’atteinte rénale aiguë (ARA) (augmentation de la nécrose, de la créatinine plasmatique et de l’urée) induite par les AA. En outre, leur injection prolongée a provoqué une augmentation importante de la mortalité dans le groupe déplété en lymphocytes T-CD4+ par rapport au groupe injecté uniquement avec des AA. L'injection d’AA induisant une augmentation de la proportion de lymphocytes T régulateurs intrarénaux par rapport aux souris contrôles, nous avons également testé les effets de leur déplétion. Etonnamment, aucune augmentation de la créatinine plasmatique, de l’urée ou du score de nécrose n'a été observée. De plus, l’ARA de la NAA s’est accompagnée d’une augmentation de la population CD11bhighF4/80mid et d’une diminution de la population CD11blowF4/80high. La déplétion lymphocytaire CD4+ a provoqué une augmentation encore plus importante de la population CD11bhighF4/80mid et la déplétion T-CD8+ une diminution plus importante de la population CD11blowF4/80high. Les lymphocytes T-CD4+ et CD8+ exercent donc un effet protecteur dans la NAA expérimentale. L’aggravation de l’atteinte rénale consécutive à leur déplétion pourrait être liée à la perte du rétrocontrôle de l’immunité innée par l’immunité adaptative ou à une modification du phénotype des macrophages. Cette hypothèse mériterait d’être confirmée par des données complémentaires.Doctorat en Sciences médicales (Médecine)info:eu-repo/semantics/nonPublishe

    Nephrotoxicity of herbal products

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    The kidney is one of the major routes of excretion of drugs and metabolites, and given its high blood flow and metabolic activity, it is highly susceptible to injury by toxic drugs and herbs. In addition, high concentrations of toxic metabolites are in close contact with tubular cells due to urine concentration, especially during a state of fluid deprivation. The incidence of nephrotoxicity related to alternative medicines is not known. However, regarding the large number of individuals consuming herbs as alternative remedies and regarding the lack of control of over-the- counter products, clinicians should consider alternative medicine consumption in the differential diagnosis of unexplained kidney injury. This chapter will describe the major forms of renal involvement associated with the use of traditional medicinal products, including acute kidney injury, tubular function defects, electrolyte disturbances, systemic hypertension, chronic kidney disease, renal papillary necrosis, lithiasis, and urothelial cancer. The most famous example of kidney injury caused by herbal products is aristolochic acid nephropathy, which was first reported in 1993; it eventually involved hundreds of cases of chronic kidney disease and urothelial cancer in Europe and Asia, and raised global public health concerns. In addition, the so-called “Balkan endemic nephropathy” is obviously due to wheat contamination with the seeds of Aristolochia clematitis naturally growing in the fields, leading to chronic kidney failure and urothelial cancers. In addition to aristolochic acids included in Aristolochia species, several nephrotoxic herbs have also been written up in case reports and article reviews and are described in terms of their specific nephrotoxic pathways. Finally, besides these mechanistic aspects, we will review and compare various methods proposed to assess the renal toxicity of herbs and natural products, i.e. in silico, in vitro, and in vivo approaches. Further developments in “omics” investigation would be helpful for screening potential subjects at risk of developing kidney injuries.SCOPUS: ch.binfo:eu-repo/semantics/publishe

    Thrombopénie et insuffisance rénale aiguë.

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    A 31-year old man is addressed to the emergency department for fever, abdominal pain and vomiting. Laboratory tests reveal an inflammatory syndrome, thrombocytopenia, acute kidney injury associated with major proteinuria (more than 3 g/24 h). Evaluation will conclude to an acute interstitial nephritis and the serology is positive for Hantavirus. This clinical case illustrates differential diagnosis of acute renal failure and reminds the theory of hemorrhagic fever with renal syndrome :usual clinical presentation is "flu"-like symptoms, thrombocytopenia and acute renal failure. Hantavirus is endemic in some area in Europe and in Belgium. This clinical presentation should suggest the diagnosis if the patient has stayed in an endemic area.Case ReportsEnglish AbstractJournal Articleinfo:eu-repo/semantics/publishe
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