10,253 research outputs found

    Les musiques de la Méditerranée et les musiques du Monde nouveaux objets de collecte dans les phonothèques de l'oral

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    http://www.cths.fr/FICHES/Fiches_Congres/C_142.shtmUne enquête par questionnaire sur l'Europe du Sud réalisée par la Phonothèque de la MMSH réalisée en 1997 et mise à jour en 2000 recensait 126 collections d'archives sonores du patrimoine oral. Plus de la moitié des collections à caractère ethnographique portaient sur l'ethnomusicologie et la danse. En France, la grande majorité des collectes associatives ont été réalisées dans la mouvance des mouvements identitaires et concernent principalement les musiques « indigènes ». Ces dernières années, des dépôts commencent à se faire au sein des phonothèques de musiques issues des communautés immigrées ou nomades et plus largement sur des musiques vivantes immergées fortement dans des cultures locales. En Europe du Sud, le terme de « musique méditerranéenne » est alors souvent employé de façon générique. Au-delà des polémiques le vocabulaire, il est clair que les pratiques musicales actuelles des musiques traditionnelles ne se limitent plus à aux aires culturelles et géographiques que les mouvements régionalistes des années 70 revendiquaient mais plus largement à toutes les communautés immigrées ou de passage en France et les dépôts qui s'effectuent dans les phonothèques en sont le reflet

    Les musiques de la Méditerranée et les musiques du Monde nouveaux objets de collecte dans les phonothèques de l'oral

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    http://www.cths.fr/FICHES/Fiches_Congres/C_142.shtmUne enquête par questionnaire sur l'Europe du Sud réalisée par la Phonothèque de la MMSH réalisée en 1997 et mise à jour en 2000 recensait 126 collections d'archives sonores du patrimoine oral. Plus de la moitié des collections à caractère ethnographique portaient sur l'ethnomusicologie et la danse. En France, la grande majorité des collectes associatives ont été réalisées dans la mouvance des mouvements identitaires et concernent principalement les musiques « indigènes ». Ces dernières années, des dépôts commencent à se faire au sein des phonothèques de musiques issues des communautés immigrées ou nomades et plus largement sur des musiques vivantes immergées fortement dans des cultures locales. En Europe du Sud, le terme de « musique méditerranéenne » est alors souvent employé de façon générique. Au-delà des polémiques le vocabulaire, il est clair que les pratiques musicales actuelles des musiques traditionnelles ne se limitent plus à aux aires culturelles et géographiques que les mouvements régionalistes des années 70 revendiquaient mais plus largement à toutes les communautés immigrées ou de passage en France et les dépôts qui s'effectuent dans les phonothèques en sont le reflet

    Ethnomusicological collections in the Sound Archives in the face of globalisation

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    Various enquiries and a census reveal that more than half of patrimonial sound collections with ethnographical interest being made in France are about ethnomusicology and dancing. Overwhelmingly association-made collections have been recorded in the wake of identity movements and concern chiefly “indigenous” music. For several years now, researchers have begun to deposit musical recordings from migrant or nomadic communities and more generally from living music deeply immersed in local cultures in the sound archives. Frequently “the world music” is a generic expression covering this music whereas local traditional music is being left aside. Beyond the controversy of words, it is becoming more and more obvious that today's traditional music practices go beyond the geographical and cultural areas that regionalist movements of the 70's claimed as their turf and include all migrant communities or nomadic groups roaming about the country. The deposits made in the sound archives just reflect this shift.A partir de diverses enquêtes et recensements, on observe qu'en France plus de la moitié des collections sonores patrimoniales à caractère ethnographique portent sur l'ethnomusicologie et la danse. La grande majorité des collectes associatives ont été réalisées dans la mouvance des mouvements identitaires et concernent principalement les musiques « indigènes ». Ces dernières années, des dépôts commencent à se faire au sein des phonothèques de musiques issues des communautés immigrées ou nomades et plus largement de musiques vivantes immergées fortement dans des cultures locales. L'appellation « Musiques du monde » désigne souvent de façon générique ces musiques, tandis que les musiques traditionnelles locales sont mises en retrait. Au-delà des polémiques de vocabulaire, il est clair que les pratiques actuelles des musiques traditionnelles ne se limitent plus aux aires culturelles et géographiques que les mouvements régionalistes des années 70 revendiquaient mais plus largement à toutes les communautés immigrées ou de passage en France et les dépôts qui s'effectuent dans les phonothèques en sont le reflet

    Ethnomusicological collections in the Sound Archives in the face of globalisation

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    Various enquiries and a census reveal that more than half of patrimonial sound collections with ethnographical interest being made in France are about ethnomusicology and dancing. Overwhelmingly association-made collections have been recorded in the wake of identity movements and concern chiefly “indigenous” music. For several years now, researchers have begun to deposit musical recordings from migrant or nomadic communities and more generally from living music deeply immersed in local cultures in the sound archives. Frequently “the world music” is a generic expression covering this music whereas local traditional music is being left aside. Beyond the controversy of words, it is becoming more and more obvious that today's traditional music practices go beyond the geographical and cultural areas that regionalist movements of the 70's claimed as their turf and include all migrant communities or nomadic groups roaming about the country. The deposits made in the sound archives just reflect this shift.A partir de diverses enquêtes et recensements, on observe qu'en France plus de la moitié des collections sonores patrimoniales à caractère ethnographique portent sur l'ethnomusicologie et la danse. La grande majorité des collectes associatives ont été réalisées dans la mouvance des mouvements identitaires et concernent principalement les musiques « indigènes ». Ces dernières années, des dépôts commencent à se faire au sein des phonothèques de musiques issues des communautés immigrées ou nomades et plus largement de musiques vivantes immergées fortement dans des cultures locales. L'appellation « Musiques du monde » désigne souvent de façon générique ces musiques, tandis que les musiques traditionnelles locales sont mises en retrait. Au-delà des polémiques de vocabulaire, il est clair que les pratiques actuelles des musiques traditionnelles ne se limitent plus aux aires culturelles et géographiques que les mouvements régionalistes des années 70 revendiquaient mais plus largement à toutes les communautés immigrées ou de passage en France et les dépôts qui s'effectuent dans les phonothèques en sont le reflet

    Artistic Identities and Professional Strategies : Francophone Musicians in France and Britain

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    Funding This work was supported by Arts and Humanities Research Council [grant number AH/E508628/1] and European Commission [grant number HPSE-CT-2002-00133].Peer reviewedPostprin

    Éléments pour une histoire des politiques publiques <br />en faveur des "musiques amplifiées"

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    National audienceCet article propose une approche socio-historique de la naissance, en France, d'une politique culturelle publique en faveur des musiques dites "amplifiées". Il souligne le lien entre les conditions de cette "inventioné et le contenu des mesures publiques prises en ce domaine

    Représentations et fonctions sociales des musiques d'inspiration andine en France (1951-1973)

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    In the Parisian subway and in the most known World Music festivals, in the streets of big cities or in the concert halls, the "Andean Music" is played in France for more than half a century. The popularization of this music in France was associated to the construction of an "andeanity", as well in the repertory as in the discourse which accompanied their commercial distribution. Nevertheless, the activity of these ensembles was founded in the social French space: not only their "Andean" music was proposed to a French audience, but in fact most of these ensembles were born in Paris and developed their careers in France. By studying the popularization of this music in the light of the social representations of the "Andean" universe, our thesis proposes a second reading of the Otherness of the not European music in France. Our analysis if support on three axes: the social representations of the Andean cultures in France, the emergence and the success of the "Andean Music " between 1950s and 1970, and a survey research concerning the concerts proposed in Ile-de-France by the well-known ensemble Los Calchakis (2004). The hypothesis is founded on the idea that the success of this music in France was facilitated by a particularly receptive French audience to the Latin-American universeDu métro parisien aux festivals de musiques dites du monde les plus connus, sur les trottoirs des grandes villes et dans des salles de concert de tailles et de projections diverses, des ensembles jouant des musiques « des Andes » ont réussi à se produire en France depuis plus d’un demi-siècle. L'image d'une certaine "andinité" s'est ainsi forgée autour de ces groupes, vérifiable aussi bien dans le répertoire diffusé que dans le discours qui a accompagné la commercialisation de ces musiques. Néanmoins, l’activité de ces ensembles s'est enracinée pour l'essentiel dans l’espace géographique et social du pays qui les a hébergés : non seulement leurs musiques ont été proposées à un public composé pour l’essentiel de Français, mais en fait la plupart de ces ensembles sont nés à Paris et ont développé leurs carrières en France.En étudiant la popularisation de ces musiques à la lumière des représentations sociales associées à l'univers "andin", cette thèse propose une relecture de la problématique de l'altérité incarnée par des manifestations musicales "autres" dans la société française. Notre analyse s'appuie sur la complémentarité de trois axes d'étude : l'imaginaire construit en France autour des peuples appartenant aux aires culturelles andines, l’émergence et le succès de ces musiques entre les années 1950 et 1970, et une enquête de terrain menée à l'occasion d'une série de concerts de musiques "des Andes" proposés en Île-de-France en 2004. L'hypothèse repose sur l'idée que le bon accueil de ces musiques en France a été facilité par une prédisposition particulièrement favorable à l'univers latino-américain, dans une logique d'échanges culturels marquée par l'absence de conflits identitaires ou symboliques profonds

    L’emploi permanent dans les lieux de musiques actuelles

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    Présentation Une étude réalisée par la FEDELIMA (Fédération des lieux de musiques actuelles) et le RIF (Réseau des musiques actuelles en Île-de-France), en partenariat avec Opale (Centre de ressources culture pour le DLA) Cette étude sur les salariés permanents travaillant dans les lieux et structures de musiques actuelles marque une étape importante dans la connaissance de l’emploi pour cette partie du secteur. Bien que la FEDELIMA et le RIF organisent régulièrement des campagnes de recueil ..

    Stéréo

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    Lire en ligne Consulter l’ouvrage gratuitement en ligne sur le site OpenBooks. Présentation Cet ouvrage réunit 13 chercheurs, français et britanniques, connus pour leurs travaux sur les musiques populaires. Mieux comprendre les musiques amplifiées des deux côtés de cette Manche qui nous sépare, mettre en relief divergences et similitudes entre deux contextes et deux traditions de recherche. Vue de France, la Grande-Bretagne suscite des sentiments ambigus, où l’attraction pour la pop/rock bri..

    Promotion de la collection de musiques actuelles de la Bibliothèque cantonale et universitaire Lausanne, site Riponne: plan de communication et suggestions de valorisation

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    Ce Travail de Bachelor est réalisé en réponse à un mandat proposé par le Service de musicologie et de musique imprimée de la Bibliothèque cantonale et universitaire Lausanne (BCUL) – site Riponne. La BCUL met à disposition de son public une collection musicale importante depuis de nombreuses années. En 2016, le réaménagement complet du libre accès dédié à la musique a permis la création d’une salle entièrement dédiée à la musique dite « non classique ». La salle de la Cathédrale héberge donc depuis cette date des documents liés à la musique jazz et aux musiques actuelles. Ce travail est consacré à l’élaboration d’un plan de communication susceptible de représenter l’ensemble des actions de communication destinées à promouvoir la salle de la Cathédrale et sa collection en 2018. Pour réaliser ce mandat, il a fallu effectuer plusieurs étapes. Tout d’abord, définir les notions importantes dans le domaine de la communication. Deuxièmement, rédiger un état des lieux des bibliothèques musicales et de leurs pratiques. Ensuite, évaluer la communication existante réalisée par la BCUL afin d’établir un diagnostic. Quatrièmement, analyser le public cible. Enfin, en s’appuyant sur ces diverses réflexions, un plan de communication a pu être rédigé. Ce plan de communication, destiné à être appliqué durant l’année 2018, contient les éléments suivants : des objectifs de communication, les publics cibles, le message, les outils de communication sélectionnés, les actions de communication, un planning et le budget. Au total, six actions de communication interne et externe, sont proposées dans ce plan : Action n°1 : Signalétique provisoire à la BCUL site Riponne Action n°2 : Distribution de marque-pages lors des opérations de prêt Action n°3 : Communication via la presse spécialisée Action n°4 : Évènement culturel Action n°5 : Promotion numérique Action n°6 : Organisation de visites à destination des étudiants Chacune de ces actions s’adresse à un (des) segment(s) du public cible préalablement défini et est récapitulée sous la forme d’une fiche technique afin de faciliter son application
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