16 research outputs found

    BONEFILL® block as alternative for bone substitute: a toxicological evaluation

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    Bone substitutes based on hydroxyapatite (HA) and Bonefill® (BO - inorganic bovine bone) associated with poly(lactic-co-glycolic acid) (PLGA) (HA/PLGA and BO/PLGA) were evaluated concerning cytotoxicity, genotoxicity and mutagenicity as potential candidates for bone repair. The materials were developed and provided by Bionnovation Biomedical Products Ltda. Eluates from these bone substitutes were prepared for toxicity evaluations using eukaryotic cell cultures. HA/PLGA was used as a comparison for Bonefill®. Cell viability was evaluated by XTT assay and surviving fraction was calculated for clonogenic survival. Additionally, tail moment was used to assess genotoxicity (comet assay). The frequencies of binucleated cells with micronucleus (FBMN), micronucleus (FMN), nucleoplasmic bridges (NPBs), and nuclear buds (NBUDs) were analysed by cytokinesis-block micronucleus assay (CBMN assay). Results showed no statistical difference in cell viability compared with negative control (NC) The eluates did not promote delayed cytotoxicity whereas the surviving fraction rate for cultured cells was similar to NC. Furthermore, no genotoxicity or mutagenicity effects were observed for cultured cells with the Bonefill/PLGA and HA/PLGA eluates. In conclusion, the negative cytotoxicity, genotoxicity and mutagenicity results indicate that these bone substitutes presented interesting preliminary results as potential biomaterials for bone repair

    BONEFILL® block as alternative for bone substitute: a toxicological evaluation

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    Bone substitutes based on hydroxyapatite (HA) and Bonefill® (BO - inorganic bovine bone) associated with poly(lactic-co-glycolic acid) (PLGA) (HA/PLGA and BO/PLGA) were evaluated concerning cytotoxicity, genotoxicity and mutagenicity as potential candidates for bone repair. The materials were developed and provided by Bionnovation Biomedical Products Ltda. Eluates from these bone substitutes were prepared for toxicity evaluations using eukaryotic cell cultures. HA/PLGA was used as a comparison for Bonefill®. Cell viability was evaluated by XTT assay and surviving fraction was calculated for clonogenic survival. Additionally, tail moment was used to assess genotoxicity (comet assay). The frequencies of binucleated cells with micronucleus (FBMN), micronucleus (FMN), nucleoplasmic bridges (NPBs), and nuclear buds (NBUDs) were analysed by cytokinesis-block micronucleus assay (CBMN assay). Results showed no statistical difference in cell viability compared with negative control (NC) The eluates did not promote delayed cytotoxicity whereas the surviving fraction rate for cultured cells was similar to NC. Furthermore, no genotoxicity or mutagenicity effects were observed for cultured cells with the Bonefill/PLGA and HA/PLGA eluates. In conclusion, the negative cytotoxicity, genotoxicity and mutagenicity results indicate that these bone substitutes presented interesting preliminary results as potential biomaterials for bone repair

    Conduites addictives chez les adolescents : Usages, prévention et accompagnement

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    C’est principalement à l’adolescence qu’a lieu l’initiation à l’usage de substances psychoactives dont la répétition est susceptible d’entraîner un abus voire une dépendance. En France, les niveaux de consommation des substances licites, comme l’alcool et le tabac, mais aussi illicites, comme le cannabis, demeurent élevés chez les adolescents, en dépit de la réglementation visant à limiter l’accès à ces produits et des campagnes de prévention répétées. Les conséquences sanitaires et sociales de ces consommations constituent une préoccupation de premier plan en santé publique.Sollicitée par la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Mildt), cette expertise collective fait le point sur les usages de substances psychoactives chez les adolescents, mais aussi sur leurs pratiques des jeux vidéo/Internet et des jeux de hasard et d’argent identifiées comme pouvant devenir problématiques. L’expertise fait également le point sur les facteurs associés à ces usages et ces pratiques, sur les dommages sanitaires et sociaux ainsi que sur les stratégies de prévention et de prise en charge des adolescents. Le groupe d’experts propose des pistes d’actions et de recherche pour améliorer la prévention de l’initiation et des usages réguliers ainsi que la prise en charge

    Conduites addictives chez les adolescents : Usages, prévention et accompagnement

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    C’est principalement à l’adolescence qu’a lieu l’initiation à l’usage de substances psychoactives dont la répétition est susceptible d’entraîner un abus voire une dépendance. En France, les niveaux de consommation des substances licites, comme l’alcool et le tabac, mais aussi illicites, comme le cannabis, demeurent élevés chez les adolescents, en dépit de la réglementation visant à limiter l’accès à ces produits et des campagnes de prévention répétées. Les conséquences sanitaires et sociales de ces consommations constituent une préoccupation de premier plan en santé publique.Sollicitée par la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Mildt), cette expertise collective fait le point sur les usages de substances psychoactives chez les adolescents, mais aussi sur leurs pratiques des jeux vidéo/Internet et des jeux de hasard et d’argent identifiées comme pouvant devenir problématiques. L’expertise fait également le point sur les facteurs associés à ces usages et ces pratiques, sur les dommages sanitaires et sociaux ainsi que sur les stratégies de prévention et de prise en charge des adolescents. Le groupe d’experts propose des pistes d’actions et de recherche pour améliorer la prévention de l’initiation et des usages réguliers ainsi que la prise en charge

    Conduites addictives chez les adolescents : Usages, prévention et accompagnement

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    C’est principalement à l’adolescence qu’a lieu l’initiation à l’usage de substances psychoactives dont la répétition est susceptible d’entraîner un abus voire une dépendance. En France, les niveaux de consommation des substances licites, comme l’alcool et le tabac, mais aussi illicites, comme le cannabis, demeurent élevés chez les adolescents, en dépit de la réglementation visant à limiter l’accès à ces produits et des campagnes de prévention répétées. Les conséquences sanitaires et sociales de ces consommations constituent une préoccupation de premier plan en santé publique.Sollicitée par la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Mildt), cette expertise collective fait le point sur les usages de substances psychoactives chez les adolescents, mais aussi sur leurs pratiques des jeux vidéo/Internet et des jeux de hasard et d’argent identifiées comme pouvant devenir problématiques. L’expertise fait également le point sur les facteurs associés à ces usages et ces pratiques, sur les dommages sanitaires et sociaux ainsi que sur les stratégies de prévention et de prise en charge des adolescents. Le groupe d’experts propose des pistes d’actions et de recherche pour améliorer la prévention de l’initiation et des usages réguliers ainsi que la prise en charge

    Réduction des dommages associés à la consommation d'alcool

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    Inserm (dir.). Réduction des dommages associés à la consommation d’alcool. Collection Expertise collective. Montrouge : EDP Sciences, 2021.Les niveaux de consommation d’alcool dans la population française, avec 43 millions de consommateurs, demeurent élevés. Il en résulte d’importantes conséquences sanitaires, sociales et financières qui constituent un « fardeau » pour la société. Récemment, de nouvelles études ont démontré des risques et des dommages sanitaires même à des niveaux de consommation les plus faibles, et les autorités de santé ont revu à la baisse les repères de consommation. Dans ce contexte, réduire les risques et les dommages sur la santé liés à la consommation d’alcool reste une nécessité.Cette expertise collective Inserm, sollicitée par la Mildeca et le ministère en charge de la Santé, a pour objectif de répondre à cette question. Un groupe pluridisciplinaire de 12 experts spécialistes dans les domaines de l’épidémiologie, la psychologie sociale, l’économie, du marketing social, des politiques publiques, la physiologie, l’alcoologie, l’addictologie et la psychiatrie, a été constitué. Ce groupe a réalisé un bilan et une analyse des connaissances scientifiques les plus récentes. De nombreux aspects ont été traités : les consommations d’alcool (profils et niveaux, dommages sanitaires et socioéconomiques y compris pendant la période périnatale, facteurs de risque et de protection, marketing, lobbying) et les actions de prévention (de la prévention primaire jusqu’à la prise en charge des personnes présentant une dépendance à l’alcool). À l’issue de cette analyse, le groupe d’experts propose des recommandations d’actions et de recherches

    Réduction des dommages associés à la consommation d'alcool

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    Inserm (dir.). Réduction des dommages associés à la consommation d’alcool. Collection Expertise collective. Montrouge : EDP Sciences, 2021.Les niveaux de consommation d’alcool dans la population française, avec 43 millions de consommateurs, demeurent élevés. Il en résulte d’importantes conséquences sanitaires, sociales et financières qui constituent un « fardeau » pour la société. Récemment, de nouvelles études ont démontré des risques et des dommages sanitaires même à des niveaux de consommation les plus faibles, et les autorités de santé ont revu à la baisse les repères de consommation. Dans ce contexte, réduire les risques et les dommages sur la santé liés à la consommation d’alcool reste une nécessité.Cette expertise collective Inserm, sollicitée par la Mildeca et le ministère en charge de la Santé, a pour objectif de répondre à cette question. Un groupe pluridisciplinaire de 12 experts spécialistes dans les domaines de l’épidémiologie, la psychologie sociale, l’économie, du marketing social, des politiques publiques, la physiologie, l’alcoologie, l’addictologie et la psychiatrie, a été constitué. Ce groupe a réalisé un bilan et une analyse des connaissances scientifiques les plus récentes. De nombreux aspects ont été traités : les consommations d’alcool (profils et niveaux, dommages sanitaires et socioéconomiques y compris pendant la période périnatale, facteurs de risque et de protection, marketing, lobbying) et les actions de prévention (de la prévention primaire jusqu’à la prise en charge des personnes présentant une dépendance à l’alcool). À l’issue de cette analyse, le groupe d’experts propose des recommandations d’actions et de recherches

    High proportion of post-migration HIV acquisition in migrant men who have sex with men receiving HIV care in the Paris region, and associations with social disadvantage and sexual behaviours: results of the ANRS-MIE GANYMEDE study, France, 2021 to 2022

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    International audienceBackground Some migrant men who have sex with men (MSM) acquire HIV in France. Aims We investigated, in migrant MSM receiving HIV care in France, the (i) rate of post-migration-HIV acquisition in France, (ii) delay between arrival and HIV acquisition and (iii) factors affecting HIV acquisition within 1 year after migration. Methods This cross-sectional study focused on ≥ 18-year-old MSM born outside France, receiving HIV care in the Paris region. Information on migration history, socioeconomic condition, sexual activity, and health was collected in May 2021–June 2022 through self-administered questionnaires and medical records. Post-migration-HIV-acquisition rate and delay between arrival in France and HIV acquisition were estimated from biographical data and CD4 + T-cell counts. Predictors of HIV acquisition within 1 year after migration were determined using logistic regression. Results Overall post-migration HIV-acquisition rate was 61.7% (715/1,159; 95%CI: 61.2–62.2), ranging from 40.5% (95%CI: 39.6–41.6) to 85.4% (95%CI: 83.9–86.0) in participants from Latin America and North Africa. Among post-migration-HIV acquisitions, those within 1 year after migration represented 13.1% overall (95%CI: 11.6–14.6), being highest in participants from sub-Saharan Africa (25%; 95%CI: 21.5–28.3). Participants ≥ 15-years old at migration, with post-migration-acquired HIV, had a 7.5-year median interval from arrival in France to HIV acquisition (interquartile range (IQR): 3.50–14.75). Older age at arrival, region of origin (sub-Saharan Africa and Asia), degree of social disadvantage and numbers of sexual partners were independently associated with acquiring HIV within 1 year in France. Conclusion Our findings may guide HIV prevention policies for most vulnerable migrants to Europe
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