10 research outputs found

    Health problems and expenditure in an area with food crisis: Mekit woreda, North Wollo Zone

    No full text
    Background: Famine and forced migrations are common emergencies affecting large populations in developing countries. However, the effects of food crisis on the health care during these periods are not fully documented. Objective: To assess the health problems, health-coping strategies and health care demand of non-displaced communities in food-crisis areas. Methods: A cross-sectional study was conducted in North Wollo Zone, Mekit Wereda between May 1998 and July 1998. Households were selected using a multi-stage sampling procedure. Health-related problems were assessed for three-month recall period. Results: In the three-month recall period, 748 (29.4%) of the 2,547 household members wee reported ill, out of which only 112 (16.3%) sought modern medical care. The annual per capita income for the surveyed population was estimated to be US$43.70. The source of income to cover the health expenditure for 72 (48.6%) of the households was from sale of animals and animal products, 32 (21.6%) from sale of grains and the rest from loans, savings, sale of household utensils, sale of fire-wood, and working in food-or cash-for-work programs. About half of the 531 studied households had no single animal, and 85.5%were dependent on food aid at the time of the study. A relatively high number of the households (24.6%) were found to consume famine food Lathyrus sativus (legume), which results neuro-toxicity when consumed for a long period as main diet. Conclusion: The finding shows that the health-coping mechanisms are extremely exhausted during food-crisis to the extent that families cannot seek any kind of medical care. We recommend that health aid should be part of food aid during food crisis. (Ethiopian Journal of Health Development, 2001, 15(1): 1-10

    : Avis de l’Anses. Rapport d’expertise collective.

    No full text
    Dans le cadre de l’action W du Plan d’actions sur la qualité de l’air intérieur, lancé en octobre 2013 par les ministères chargés de l’écologie et de la santé, un état des connaissances sur l’exposition de la population aux moisissures est demandé. Ce plan liste les actions à engager pour l’amélioration de la qualité de l’air intérieur et constitue le volet sur l’air intérieur du troisième plan national santé environnement (PNSE 3 - 2015-2019) dans la continuité des précédents Plans nationaux santé environnement (PNSE 2004-2008 et 2009-2013).- par type de « bâti » en considérant les bâtiments individuels et/ou collectifs (privés et/ou publics), les habitats et/ou établissements recevant du public (ERP) : écoles, crèches, établissements hospitaliers, maisons de retraite ... ou encore l’année de construction (qui conditionne le type de construction et donc les matériaux utilisés) ; - par type de « population » : familles en situation précaire, enfants, personnes âgées,... ; - par « zone géographique » : zones humides, zones submersibles en lien avec l’impact du changement climatique ou en faisant un focus sur certaines régions à risque; - ou suivant le « contexte socio-économique » : par exemple les problèmes de contaminations fongiques dans les logements pouvant a priori être liés aux conditions de vie de certaines familles en situation précaire

    Moisissures dans le bâti. Avis de l’Anses. Rapport d’expertise collective.

    No full text
    Dans le cadre de l’action W du Plan d’actions sur la qualité de l’air intérieur, lancé en octobre 2013 par les ministères chargés de l’écologie et de la santé, un état des connaissances sur l’exposition de la population aux moisissures est demandé. Ce plan liste les actions à engager pour l’amélioration de la qualité de l’air intérieur et constitue le volet sur l’air intérieur du troisième plan national santé environnement (PNSE 3 - 2015-2019) dans la continuité des précédents Plans nationaux santé environnement (PNSE 2004-2008 et 2009-2013).- par type de « bâti » en considérant les bâtiments individuels et/ou collectifs (privés et/ou publics), les habitats et/ou établissements recevant du public (ERP) : écoles, crèches, établissements hospitaliers, maisons de retraite ... ou encore l’année de construction (qui conditionne le type de construction et donc les matériaux utilisés) ; - par type de « population » : familles en situation précaire, enfants, personnes âgées,... ; - par « zone géographique » : zones humides, zones submersibles en lien avec l’impact du changement climatique ou en faisant un focus sur certaines régions à risque; - ou suivant le « contexte socio-économique » : par exemple les problèmes de contaminations fongiques dans les logements pouvant a priori être liés aux conditions de vie de certaines familles en situation précaire

    Exposition aux poussières sédimentées dans les environnements intérieurs

    No full text
    OSL’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail endosse les conclusions et recommandations de l’expertise collective relative à la caractérisation de l’exposition de la population générale aux substances chimiques présentes dans la poussière déposée sur les surfaces intérieures. Ces travaux d’expertise confirment la pertinence de considérer l’ingestion de poussières sédimentées en environnements intérieurs dans l’évaluation de l’exposition globale de la population aux substances chimiques non volatiles et semi-volatiles. Concernant le prélèvement de la poussière, l’Anses recommande l’harmonisation des méthodes entre laboratoires en utilisant l’aspiration pour le prélèvement de la poussière suivie d’un tamisage à 250 µm pour la taille des particules qui vont être analysées. Cette recommandation ne s’applique pas au cas particulier du plomb, pour lequel il existe une norme spécifique qui préconise le prélèvement par lingette. L’Agence encourage par ailleurs la conduite d’études en France afin de disposer d’estimations robustes et représentatives, dans le contexte français, de paramètres particulièrement impactants dans les calculs de doses d’exposition via l’ingestion de poussières. Il s’agit en particulier de l’empoussièrement en intérieur, correspondant à la quantité de poussière par unité de surface, et des quantités de poussière ingérées par jour et par tranche d’âges. Enfin, concernant l’élaboration de valeurs guides pour les poussières intérieures (VGPI) relatives à des substances pour lesquelles l’ingestion de poussière peut être non négligeable pour une partie de la population, l’Agence va poursuivre des travaux d’expertise et se propose de les associer à sa mission pérenne sur l’élaboration de valeurs guides de qualité d’air intérieur (VGAI). A court terme, une réflexion sur la méthode d’élaboration sera donc lancée pour ensuite l’appliquer à des substances d’intérêt. Compte tenu d’expertises antéreures et de la littérature scientifique passée en revue, le plomb et les phtalates apparaissent être des substances prioritaires à investiguer dans ce cadre

    Exposition aux poussières sédimentées dans les environnements intérieurs

    No full text
    OSL’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail endosse les conclusions et recommandations de l’expertise collective relative à la caractérisation de l’exposition de la population générale aux substances chimiques présentes dans la poussière déposée sur les surfaces intérieures. Ces travaux d’expertise confirment la pertinence de considérer l’ingestion de poussières sédimentées en environnements intérieurs dans l’évaluation de l’exposition globale de la population aux substances chimiques non volatiles et semi-volatiles. Concernant le prélèvement de la poussière, l’Anses recommande l’harmonisation des méthodes entre laboratoires en utilisant l’aspiration pour le prélèvement de la poussière suivie d’un tamisage à 250 µm pour la taille des particules qui vont être analysées. Cette recommandation ne s’applique pas au cas particulier du plomb, pour lequel il existe une norme spécifique qui préconise le prélèvement par lingette. L’Agence encourage par ailleurs la conduite d’études en France afin de disposer d’estimations robustes et représentatives, dans le contexte français, de paramètres particulièrement impactants dans les calculs de doses d’exposition via l’ingestion de poussières. Il s’agit en particulier de l’empoussièrement en intérieur, correspondant à la quantité de poussière par unité de surface, et des quantités de poussière ingérées par jour et par tranche d’âges. Enfin, concernant l’élaboration de valeurs guides pour les poussières intérieures (VGPI) relatives à des substances pour lesquelles l’ingestion de poussière peut être non négligeable pour une partie de la population, l’Agence va poursuivre des travaux d’expertise et se propose de les associer à sa mission pérenne sur l’élaboration de valeurs guides de qualité d’air intérieur (VGAI). A court terme, une réflexion sur la méthode d’élaboration sera donc lancée pour ensuite l’appliquer à des substances d’intérêt. Compte tenu d’expertises antéreures et de la littérature scientifique passée en revue, le plomb et les phtalates apparaissent être des substances prioritaires à investiguer dans ce cadre

    Exposition aux poussières sédimentées dans les environnements intérieurs

    No full text
    OSL’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail endosse les conclusions et recommandations de l’expertise collective relative à la caractérisation de l’exposition de la population générale aux substances chimiques présentes dans la poussière déposée sur les surfaces intérieures. Ces travaux d’expertise confirment la pertinence de considérer l’ingestion de poussières sédimentées en environnements intérieurs dans l’évaluation de l’exposition globale de la population aux substances chimiques non volatiles et semi-volatiles. Concernant le prélèvement de la poussière, l’Anses recommande l’harmonisation des méthodes entre laboratoires en utilisant l’aspiration pour le prélèvement de la poussière suivie d’un tamisage à 250 µm pour la taille des particules qui vont être analysées. Cette recommandation ne s’applique pas au cas particulier du plomb, pour lequel il existe une norme spécifique qui préconise le prélèvement par lingette. L’Agence encourage par ailleurs la conduite d’études en France afin de disposer d’estimations robustes et représentatives, dans le contexte français, de paramètres particulièrement impactants dans les calculs de doses d’exposition via l’ingestion de poussières. Il s’agit en particulier de l’empoussièrement en intérieur, correspondant à la quantité de poussière par unité de surface, et des quantités de poussière ingérées par jour et par tranche d’âges. Enfin, concernant l’élaboration de valeurs guides pour les poussières intérieures (VGPI) relatives à des substances pour lesquelles l’ingestion de poussière peut être non négligeable pour une partie de la population, l’Agence va poursuivre des travaux d’expertise et se propose de les associer à sa mission pérenne sur l’élaboration de valeurs guides de qualité d’air intérieur (VGAI). A court terme, une réflexion sur la méthode d’élaboration sera donc lancée pour ensuite l’appliquer à des substances d’intérêt. Compte tenu d’expertises antéreures et de la littérature scientifique passée en revue, le plomb et les phtalates apparaissent être des substances prioritaires à investiguer dans ce cadre
    corecore