2,528 research outputs found

    Pathology of Alveolar Soft Part Sarcoma

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    Alveolar soft part sarcoma (ASPS) is a rare orphan sarcoma of uncertain differentiation according to the latest WHO classifcation of soft tissue tumors with a somewhat indolent clinical course. The common histomorphological alveolar-type presentation is unique. It is usually not graded according to the French Federation of Cancer Centers grading system, but nonetheless defined as a high-grade sarcoma. The tumor adopts a clinical pattern with a distinctive natural history marked by local recurrences up to 50% of cases and a high prevalence of metastases in such diverse sites such as the lung, liver, brain, bone that can occur more than 10 years after the primary event. ASPS is driven by a specific recurrent nonreciprocal translocation der(17)t(X;17)(p11;q25). This chimeric gene fusion is also found (albeit in the balanced mode) in a subset of renal cell carcinomas in the young. Nevertheless, its high specificity and sensitivity in ASPS is a recognized feature and accurate diagnosis requires trained pathologists and molecular testing. Prognostication is based on age, size of tumor, primary site, and the presence or not of metastasis

    Solitary Fibrous Tumors and So-Called Hemangiopericytoma

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    We have reviewed the literature data regarding the spectrum of tumors including solitary fibrous tumor and hemangiopericytoma with special focus on definition of the disease, discussion of the criteria for malignancy, and the key elements of standard treatment of localized disease. We have discussed the emerging concepts on the tumor biology and the different systemic treatments (chemotherapy and molecular-targeted therapies)

    Frequency of Certain Established Risk Factors in Soft Tissue Sarcomas in Adults: A Prospective Descriptive Study of 658 Cases

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    Soft tissue sarcomas are rare tumours with infrequent identified aetiological factors. Several genetic syndromes as well as previous radiation therapy and/or chronic lymphoedema have been suspected to predispose to some soft tissue sarcomas. Between January 1997 and September 2005, we carried out a prospective descriptive study to estimate the frequency of some particular etiological factors among 658 patients with soft tissue sarcomas. Sarcomas associated with a clinically identified genetic disease represent 2.8% out of all cases (95%CI: 1.5–3.8%). Most of these cases (14/19) are related to Recklinghausen neurofibromatosis. Radiation-induced sarcomas represent 3.3% out of all cases (95%CI: 1.7–5.1%). Most of these cases (9/22) are related to prior breast cancer treatment. We had observed only 1 case of Stewart-Treves syndrome. Liposarcoma, the most frequent histological subtype observed, is not associated with any particular aetiological entity. Finally, most of the adult soft tissue sarcomas are not related to any classical clinically identified genetic disease or previous radiation therapy and/or chronic lymphoedema risk factors. Frequency of underlying genetic syndrome which may predispose to soft tissue sarcomas could be higher than previously reported

    Connaissance des émissions gazeuses dans les différentes filières de gestion des effluents porcins

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    Cet article résume les apports du programme "Porcherie verte" dans la connaissance et la maîtrise des émissions gazeuses intervenant lors des différentes phases de l'élevage porcin. Ces émissions comprennent des gaz à effet de serre, particulièrement le méthane (CH4) et le protoxyde d'azote (N2O), ainsi que l'ammoniac (NH3), nocif pour les animaux et pour l'Homme et qui a un impact sur l'environnement en termes d'acidification et d'eutrophisation. Les émissions de NH3 ont été modélisées pour le cas des bâtiments d'élevage sur caillebottis. Ces émissions peuvent être réduites en diminuant la teneur en protéines de l'aliment distribué aux animaux ou en renouvelant fréquemment le lisier dans les bâtiments. Le traitement biologique du lisier permet aussi de réduire ces émissions, surtout en l'absence de séparation de phases. Le brassage du lisier dans les fosses de stockage les favorise au contraire. Les émissions de NH3 varient fortement en fonction du substrat utilisé pour la litière et de son mode de conduite. Pendant le compostage, elles dépendent aussi fortement des caractéristiques initiales du substrat composté, mais aussi de la technique utilisée. Les émissions de N2O sont en général plus élevées avec de la litière que sur caillebotis, mais il y a de très fortes variations en fonction de son mode de conduite. Le compostage peut aussi conduire à des émissions de N2O, tout particulièrement s'il est pratiqué en couche mince. Lors du traitement biologique des lisiers, ces émissions sont assez faibles mais dépendent de la technique d'aération utilisée. Dans le sol, les émissions de N2O ne sont pas plus importantes après apports d'effluents animaux qu'après apports de fertilisants minéraux et restent difficiles à quantifier. Les émissions de CH4 sont plus faibles sur litière que sur caillebotis. Elles sont faibles également lors du compostage, sauf s'il est réalisé en couche mince. Le traitement biologique du lisier conduit à une forte réduction des émissions par rapport à un simple stockage. Les litières et le compostage ont une excellente image de marque auprès du grand public et sont souvent réputées avoir beaucoup moins d'impact sur l'environnement que le lisier. Nous avons pu montrer cependant qu'elles génèrent en général davantage de gaz à effet de serre, que ce soit de façon directe (émissions de N2O) ou indirecte (gaspillage de fertilisants azotés dont la synthèse est très "énergivore"), et ce d'autant plus que l'on cherche à rogner sur les coûts en augmentant la densité animale ou en diminuant la quantité de paille utilisée comme substrat de compostage. De même, le traitement biologique du lisier, qui semble à première vue avoir un impact favorable puisqu'il conduit à réduire les émissions de NH3 sans trop relarguer de N2O, a en fait un bilan environnemental très défavorable du fait qu'il est très "énergivore" aussi bien directement qu'indirectement (gaspillage de fertilisants). On a là un double transfert de pollution, du sol et de l'eau vers l'atmosphère d'une part, et de l'exploitation vers l'extérieur de l'exploitation d'autre part. (Résumé d'auteur

    Connaissance du devenir des éléments à risques dans les différentes filières de gestion des effluents porcins

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    Cet article résume les apports du programme "Porcherie verte" dans la connaissance et la maîtrise du devenir de l'azote, du phosphore et des éléments traces métalliques qui ont, à des titres divers, un impact sur l'environnement. La diminution de la teneur en protéines de l'aliment permet de réduire fortement les quantités d'azote excrétées par les animaux. Une part importante de l'azote est éliminée sous forme gazeuse lorsque les animaux sont placés sur litière ou lorsque le lisier est composté. L'importance de ces pertes d'azote peut cependant varier fortement selon les techniques utilisées et la nature des substrats. Le traitement biologique abat la majeure partie de l'azote et certains types de stations permettent de capter le reste dans des coproduits potentiellement exportables. La bonne valorisation agronomique des effluents nécessite de bien connaître leur valeur fertilisante azotée, ce que facilite l'approche typologique mise au point dans le cadre du programme. Un certain nombre de leviers alimentaires permettent de diminuer la fraction du phosphore alimentaire qui est excrétée dans les effluents: ajustement des apports alimentaires grâce à une meilleure connaissance des besoins des animaux, amélioration de la digestibilité du phosphore alimentaire par une meilleure connaissance de sa disponibilité dans les diverses matières premières ou via l'adjonction de phytase exogène. Les traitements biologiques avec séparation de phases permettent de capter le phosphore dans des coproduits potentiellement exportables et la valeur fertilisante phosphatée des effluents est en général très élevée et facile à prédire. Les éléments traces métalliques (cuivre et zinc) sont souvent ajoutés dans l'aliment à des concentrations dépassant largement les besoins stricts des animaux (pour éviter les carences) afin de bénéficier de leur effet protecteur vis-à-vis des pathologies digestives. La supplémentation par des éléments traces métalliques est utile pendant la phase de post-sevrage, mais pas au-delà et l'adjonction de phytase microbienne à l'aliment améliore la disponibilité du zinc pour l'animal. Les traitements biologiques avec séparation de phases permettent de capter le zinc et le cuivre dans des coproduits potentiellement exportables. Après épandage, les éléments traces métalliques sont peu mobiles dans le sol alors que les apports au sol excèdent en général largement les capacités d'exportation par les plantes, ce qui peut conduire à des situations de phytotoxicité à plus ou moins long terme. En fin de compte, la manière la plus simple et la plus économique de gérer les effluents d'élevage reste d'utiliser au mieux leur valeur fertilisante, ce qui s'obtient par un bon équilibre entre la quantité d'animaux produits et la capacité des sols à recevoir leurs effluents. En l'absence d'un tel équilibre, l'abattement de l'azote excédentaire par l'utilisation de litières ou par le compostage du lisier a un impact environnemental important alors même que ces solutions ne résolvent rien en termes de phosphore et d'éléments traces métalliques. Les traitements biologiques les plus sophistiqués permettent d'éliminer le phosphore et une partie des éléments traces métalliques dans des coproduits potentiellement exportables, mais ils ont un coût économique et écologique très élevé. (Résumé d'auteur

    Outcomes and toxicity of allogeneic hematopoietic cell transplantation in chronic myeloid leukemia patients previously treated with second-generation tyrosine kinase inhibitors : a prospective non-interventional study from the Chronic Malignancy Working Party of the EBMT

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    Allogeneic hematopoietic cell transplantation (allo-HCT) remains a treatment option for patients with chronic myeloid leukemia (CML) who fail to respond to tyrosine kinase inhibitors (TKIs). While imatinib seems to have no adverse impact on outcomes after transplant, little is known on the effects of prior use of second-generation TKI (2GTKI). We present the results of a prospective non-interventional study performed by the EBMT on 383 consecutive CML patients previously treated with dasatinib or nilotinib undergoing allo-HCT from 2009 to 2013. The median age was 45 years (18-68). Disease status at transplant was CP1 in 139 patients (38%), AP or >CP1 in 163 (45%), and BC in 59 (16%). The choice of 2GTKI was: 40% dasatinib, 17% nilotinib, and 43% a sequential treatment of dasatinib and nilotinib with or without bosutinib/ponatinib. With a median follow-up of 37 months (1-77), 8% of patients developed either primary or secondary graft failure, 34% acute and 60% chronic GvHD. There were no differences in post-transplant complications between the three different 2GTKI subgroups. Non-relapse mortality was 18% and 24% at 12 months and at 5 years, respectively. Relapse incidence was 36%, overall survival 56% and relapse-free survival 40% at 5 years. No differences in post-transplant outcomes were found between the three different 2GTKI subgroups. This prospective study demonstrates the feasibility of allo-HCT in patients previously treated with 2GTKI with a post-transplant complications rate comparable to that of TKI-naive or imatinib-treated patients.Peer reviewe

    Family Mismatched Allogeneic Stem Cell Transplantation for Myelofibrosis : Report from the Chronic Malignancies Working Party of European Society for Blood and Marrow Transplantation

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    This analysis included 56 myelofibrosis (MF) patients transplanted from family mismatched donor between 2009 and 2015 enrolled in the European Society for Blood and Marrow Transplantation database. The median age was 57 years (range, 38 to 72); 75% had primary MF and 25% had secondary MF. JAK2 V617F was mutated in 61%. Donors were HLA mismatched at 2 or more loci. Stem cells were sourced from bone marrow in 66% and peripheral blood in 34%. The median CD34(+) cell dose was 4.8 x 10(6)/kg (range, 1.7 to 22.9; n = 43). Conditioning was predominantly myeloablative in 70% and reduced intensity in the remainder. Regimens were heterogeneous with thiotepa, busulfan, fludarabine, and post-transplant cyclophosphamide used in 59%. The incidence of neutrophil engraftment by 28 days was 82% (range, 70% to 93%), at a median of 21 days (range, 19 to 23). At 2 years the cumulative incidence of primary graft failure was 9% (95% CI 1% to 16%) and secondary graft failure was 13% (95% CI 4% to 22%). The cumulative incidence of acute graft-versus-host disease (GVHD) grades II to IV and Ill to IV was 28% (95% CI 16% to 40%) and 9% (95% CI 2% to 17%) at 100 days. The cumulative incidence of chronic GVHD at 1 year was 45% (95% CI 32% to 58%), but the cumulative incidence of death without chronic GVHD by 1 year was 20% (95% CI 10% to 31%). With a median follow-up of 32 months, the 1- and 2-year overall survival was 61% (95% CI 48% to 74%) and 56% (95% CI 41% to 70%), respectively. The 1- and 2- year progression-free survival was 58% (95% CI 45% to 71%) and 43% (95% CI 28% to 58%), respectively, with a 2-year cumulative incidence of relapse of 19% 95% CI 7% to 31%). The 2-year nonrelapse mortality was 38% (95% CI 24% to 51%). This retrospective study of MF allo-SCT using family mismatched donors demonstrated feasibility of the approach, timely neutrophil engraftment in over 80% of cases, and acceptable overall and progression-free survival rates with relapse rates not dissimilar to the unrelated donor setting. However, strategies to minimize the risk of graft failure and the relatively high nonrelapse mortality need to be used, ideally in a multicenter prospective fashion. (C) 2018 American Society for Blood and Marrow Transplantation.Peer reviewe
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