22 research outputs found

    Metabolic and immune impairments induced by the endocrine disruptors benzo[a]pyrene and triclosan in Xenopus tropicalis.

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    International audienceDespite numerous studies suggesting that amphibians are highly sensitive to cumulative anthropogenic stresses, the role played by endocrine disruptors (EDs) in the decline of amphibian populations remains unclear. EDs have been extensively studied in adult amphibians for their capacity to disturb reproduction by interfering with the sexual hormone axis. Here, we studied the in vivo responses of Xenopus tropicalis males exposed to environmentally relevant concentrations of each ED, benzo[a]pyrene (BaP) and triclosan (TCS) alone (10 Όg L(-1)) or a mixture of the two (10 Όg L(-1) each) over a 24 h exposure period by following the modulation of the transcription of key genes involved in metabolic, sexual and immunity processes and the cellular changes in liver, spleen and testis. BaP, TCS and the mixture of the two all induced a marked metabolic disorder in the liver highlighted by insulin resistance-like and non-alcoholic fatty liver disease (NAFLD)-like phenotypes together with hepatotoxicity due to the impairment of lipid metabolism. For TCS and the mixture, these metabolic disorders were concomitant with modulation of innate immunity. These results confirmed that in addition to the reproductive effects induced by EDs in amphibians, metabolic disorders and immune system disruption should also be considered

    Patrimonialisations croisées

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    La notion de « patrimonialisation » dĂ©signe certes une tendance Ă  la production croissante de « patrimoines », par des acteurs hĂ©tĂ©roclites (institutions nationales ou internationales, acteurs locaux, sociĂ©tĂ© civile) et Ă  des Ă©chelles locales et globales fortement intriquĂ©es. Mais le terme a Ă©galement intĂ©grĂ© le vocabulaire des sciences sociales, au croisement de plusieurs champs de recherche et de nombreux dĂ©bats thĂ©oriques et mĂ©thodologiques. Normative pour les uns, heuristique pour les autres, la question de la patrimonialisation est loin de faire consensus. Les processus patrimoniaux constituent nĂ©anmoins un observatoire privilĂ©giĂ© des rapports entre affirmation de valeurs et prescription de normes, entre situations locales et dynamiques globales. BasĂ© sur des enquĂȘtes de premiĂšre main diverses par leur provenance gĂ©ographique et leur ancrage disciplinaire, cet ouvrage explore certaines de ces patrimonialisations croisĂ©es. Des indiens Shuar d’Équateur Ă  la ville nouvelle de Chandigarh, en passant par les balafonistes du Burkina Faso et les danseurs sur braises du nestinarstvo, les recherches prĂ©sentĂ©es ici tĂ©moignent des nombreux acteurs locaux qui s’invitent Ă  la table de la patrimonialisation, nĂ©gociant avec les instances internationales, dĂ©veloppant des stratĂ©gies variĂ©es pour bĂ©nĂ©ficier d’une nouvelle ressource Ă©conomique, asseoir leur pouvoir ou affirmer leur singularitĂ©, interrogeant notre regard occidentalocentrĂ© sur la notion de patrimoine. Au-delĂ  des diffĂ©rences de contexte, les auteurs questionnent en particulier les rapports entre mĂ©canismes institutionnels, pratiques sociales et logiques de dĂ©veloppement Ă  l’Ɠuvre dans la formation d’un paradigme patrimonial – plus qu’un modĂšle – qui contribue Ă  redĂ©finir les dynamiques culturelles contemporaines

    Treatment, outcome, and prognostic factors in non-metastatic anal cancer: The French nationwide cohort study FFCD-ANABASE

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    International audienceIntroduction: International guidelines regarding the treatment of squamous cell carcinoma of the anus (SCCA) recommend intensity-modulated radiotherapy (IMRT) combined with mitomycin-based chemotherapy (CT). The French FFCD-ANABASE cohort aimed at evaluating clinical practices, treatment, and outcomes of SCCA patients.Methods: This prospective multicentric observational cohort included all non-metastatic SCCA patients treated in 60 French centers from January 2015 to April 2020. Patients and treatment characteristics, colostomy-free survival (CFS), disease-free survival (DFS), overall survival (OS), and prognostic factors were analyzed.Results: Among 1015 patients (male: 24.4 %; female: 75.6 %; median age: 65 years), 43.3 %presented with early-stage(T1-2, N0) and 56.7 % with locally advanced stage (T3-4 or N + ) tumors. IMRT was used for 815 patients (80.3 %) and a concurrent CT was administered in 781 patients, consisting of mitomycin-based CT for 80 %. The median follow-up was 35.5 months. DFS, CFS, and OS at 3 years were 84.3 %, 85.6 %, and 91.7 % respectively in the early-stage group compared to 64.4 %, 66.9 %, and 78.2 % in the locally-advanced group (p < 0.001). In multivariate analyses, male gender, locally-advanced stage, and ECOG PS ≄ 1 were associated with poorer DFS, CFS, and OS. IMRT was significantly associated with a better CFS in the whole cohort and almost reached significance in the locally-advanced group.Conclusion: Treatment of SCCA patients showed good respect for current guidelines. Significant differences in outcomes advocate for personalized strategies by either de-escalation for early-stage tumors or treatment intensification for locally-advanced tumors

    Note d’appui scientifique et technique de l'Anses relative Ă  un projet de dĂ©cret prĂ©voyant une liste d’exceptions Ă  l’obligation de vente en vrac prĂ©vue Ă  l’art. L. 120-1 du Code de la consommation pour des raisons de santĂ© publique

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    Citation suggĂ©rĂ©e : Anses. (2021). Note d’appui scientifique et technique de l'Anses relatif Ă  un projet de dĂ©cret prĂ©voyant une liste d’exceptions Ă  l’obligation de vente en vrac prĂ©vue Ă  l’art. L. 120-1 du Code de la consommation pour des raisons de santĂ© publique (saisine 2021-SA-0051). Maisons-Alfort : Anses, 71 p.L’article 41 de la loi n° 2020-105 relative Ă  la lutte contre le gaspillage et Ă  l’économie circulaire (dite loi AGEC) a introduit dans le Code de la consommation des dispositions concernant la vente en vrac. L’article prĂ©voit la possibilitĂ© de vendre en vrac tout produit de consommation courante. Il prĂ©voit que des exceptions Ă  ce principe soient justifiĂ©es par des motifs de santĂ© publique et listĂ©es dans un dĂ©cret d’application.Au 25 mars 2021, l’article L120-1 indique :« La vente en vrac se dĂ©finit comme la vente au consommateur de produits prĂ©sentĂ©s sansemballage, en quantitĂ© choisie par le consommateur, dans des contenants rĂ©employables ou rĂ©utilisables. La vente en vrac est proposĂ©e en libre-service ou en service assistĂ© dans les points de vente ambulants.Elle peut ĂȘtre conclue dans le cadre d'un contrat de vente Ă  distance. Tout produit de consommation courante peut ĂȘtre vendu en vrac, sauf exceptions dĂ»ment justifiĂ©es par des raisons de santĂ© publique.La liste des exceptions est fixĂ©e par dĂ©cret. »Les rĂ©glementations europĂ©enne et nationale prĂ©voient que certains produits ne peuvent ĂȘtre mis sur le marchĂ© que sous forme prĂ©emballĂ©e pour des questions de sĂ©curitĂ© sanitaire.Le projet de dĂ©cret Ă©tablissant une liste de produits pour lesquels il est envisagĂ© d’interdire ou de restreindre la vente en vrac a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© par la DGCCRF.Les publics concernĂ©s par ce dĂ©cret sont les commerces de dĂ©tail et de gros accessibles auconsommateur, susceptibles de pratiquer la vente en vrac, y compris la vente Ă  distance et les points de vente ambulants.Lors de l’examen, au cours de la session ordinaire du 4 mai 2021 au SĂ©nat, du projet de loi « portant lutte contre le dĂ©rĂšglement climatique et renforcement de la rĂ©silience face Ă  ses effets », transmis en premiĂšre lecture, l’article L 120-1 a subi une modification par rapport Ă  la version envoyĂ©e en annexe du texte de saisine : « À la fin de la seconde phrase du premier alinĂ©a de l’article L. 120-1 du code de la consommation, les mots : « dans les points de vente ambulants » sont supprimĂ©s. ».L’expertise de l’Agence tient donc compte de cette modification de l’article L 120-1, en vigueur depuis le 25 aoĂ»t 2021. Ainsi, la dĂ©finition de la vente en vrac sur laquelle s’appuie l’Agence pour rĂ©pondre aux questions posĂ©es par la saisine, est la suivante :« La vente en vrac se dĂ©finit comme la vente au consommateur de produits prĂ©sentĂ©s sansemballage, en quantitĂ© choisie par le consommateur, dans des contenants rĂ©employables ourĂ©utilisables. La vente en vrac est proposĂ©e en libre-service ou en service assistĂ©.Elle peut ĂȘtre conclue dans le cadre d'un contrat de vente Ă  distance.Tout produit de consommation courante peut ĂȘtre vendu en vrac, sauf exceptions dĂ»mentjustifiĂ©es par des raisons de santĂ© publique. La liste des exceptions est fixĂ©e par dĂ©cret. »La demande adressĂ©e Ă  l'Anses dans le courrier de la saisine est :- de se prononcer sur la pertinence de la liste d'exceptions prĂ©vue par ce projet de dĂ©cret au regard des impĂ©ratifs de santĂ© publique ; Avis de l’Anses Saisine n° 2021-SA-0051 page 4 / 71- de se prononcer de façon spĂ©cifique sur la pertinence de l'ajout d'une exception pour les substances ou les mĂ©langes dont l'emballage est muni d'une fermeture de sĂ©curitĂ© pour les enfants ou porte une indication de danger dĂ©tectable au toucher en application de l'article 35 du rĂšglement (CE) n° 1272/2008 du 16 dĂ©cembre 2008 relatif Ă  la classification, Ă  l'Ă©tiquetage et Ă  l'emballage des substances et des mĂ©langes

    Note d’appui scientifique et technique de l'Anses relative Ă  un projet de dĂ©cret prĂ©voyant une liste d’exceptions Ă  l’obligation de vente en vrac prĂ©vue Ă  l’art. L. 120-1 du Code de la consommation pour des raisons de santĂ© publique

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    Citation suggĂ©rĂ©e : Anses. (2021). Note d’appui scientifique et technique de l'Anses relatif Ă  un projet de dĂ©cret prĂ©voyant une liste d’exceptions Ă  l’obligation de vente en vrac prĂ©vue Ă  l’art. L. 120-1 du Code de la consommation pour des raisons de santĂ© publique (saisine 2021-SA-0051). Maisons-Alfort : Anses, 71 p.L’article 41 de la loi n° 2020-105 relative Ă  la lutte contre le gaspillage et Ă  l’économie circulaire (dite loi AGEC) a introduit dans le Code de la consommation des dispositions concernant la vente en vrac. L’article prĂ©voit la possibilitĂ© de vendre en vrac tout produit de consommation courante. Il prĂ©voit que des exceptions Ă  ce principe soient justifiĂ©es par des motifs de santĂ© publique et listĂ©es dans un dĂ©cret d’application.Au 25 mars 2021, l’article L120-1 indique :« La vente en vrac se dĂ©finit comme la vente au consommateur de produits prĂ©sentĂ©s sansemballage, en quantitĂ© choisie par le consommateur, dans des contenants rĂ©employables ou rĂ©utilisables. La vente en vrac est proposĂ©e en libre-service ou en service assistĂ© dans les points de vente ambulants.Elle peut ĂȘtre conclue dans le cadre d'un contrat de vente Ă  distance. Tout produit de consommation courante peut ĂȘtre vendu en vrac, sauf exceptions dĂ»ment justifiĂ©es par des raisons de santĂ© publique.La liste des exceptions est fixĂ©e par dĂ©cret. »Les rĂ©glementations europĂ©enne et nationale prĂ©voient que certains produits ne peuvent ĂȘtre mis sur le marchĂ© que sous forme prĂ©emballĂ©e pour des questions de sĂ©curitĂ© sanitaire.Le projet de dĂ©cret Ă©tablissant une liste de produits pour lesquels il est envisagĂ© d’interdire ou de restreindre la vente en vrac a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© par la DGCCRF.Les publics concernĂ©s par ce dĂ©cret sont les commerces de dĂ©tail et de gros accessibles auconsommateur, susceptibles de pratiquer la vente en vrac, y compris la vente Ă  distance et les points de vente ambulants.Lors de l’examen, au cours de la session ordinaire du 4 mai 2021 au SĂ©nat, du projet de loi « portant lutte contre le dĂ©rĂšglement climatique et renforcement de la rĂ©silience face Ă  ses effets », transmis en premiĂšre lecture, l’article L 120-1 a subi une modification par rapport Ă  la version envoyĂ©e en annexe du texte de saisine : « À la fin de la seconde phrase du premier alinĂ©a de l’article L. 120-1 du code de la consommation, les mots : « dans les points de vente ambulants » sont supprimĂ©s. ».L’expertise de l’Agence tient donc compte de cette modification de l’article L 120-1, en vigueur depuis le 25 aoĂ»t 2021. Ainsi, la dĂ©finition de la vente en vrac sur laquelle s’appuie l’Agence pour rĂ©pondre aux questions posĂ©es par la saisine, est la suivante :« La vente en vrac se dĂ©finit comme la vente au consommateur de produits prĂ©sentĂ©s sansemballage, en quantitĂ© choisie par le consommateur, dans des contenants rĂ©employables ourĂ©utilisables. La vente en vrac est proposĂ©e en libre-service ou en service assistĂ©.Elle peut ĂȘtre conclue dans le cadre d'un contrat de vente Ă  distance.Tout produit de consommation courante peut ĂȘtre vendu en vrac, sauf exceptions dĂ»mentjustifiĂ©es par des raisons de santĂ© publique. La liste des exceptions est fixĂ©e par dĂ©cret. »La demande adressĂ©e Ă  l'Anses dans le courrier de la saisine est :- de se prononcer sur la pertinence de la liste d'exceptions prĂ©vue par ce projet de dĂ©cret au regard des impĂ©ratifs de santĂ© publique ; Avis de l’Anses Saisine n° 2021-SA-0051 page 4 / 71- de se prononcer de façon spĂ©cifique sur la pertinence de l'ajout d'une exception pour les substances ou les mĂ©langes dont l'emballage est muni d'une fermeture de sĂ©curitĂ© pour les enfants ou porte une indication de danger dĂ©tectable au toucher en application de l'article 35 du rĂšglement (CE) n° 1272/2008 du 16 dĂ©cembre 2008 relatif Ă  la classification, Ă  l'Ă©tiquetage et Ă  l'emballage des substances et des mĂ©langes
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