6 research outputs found

    A possible case of spontaneous Loa loa encephalopathy associated with a glomerulopathy

    Get PDF
    It is well known that renal and neurological complications may occur after antifilarial treatment of patients infected with Loa loa. Conversely, spontaneous cases of visceral complications of loiasis have been rarely reported. A 31-year-old Congolese male patient who had not received any antifilarial drug developed oedema of the lower limbs, and then transient swellings of upper limbs. Two months after, he developed troubles of consciousness within several hours. At hospital, the patient was comatose with mild signs of localization. Laboratory tests and an abdominal echography revealed a chronic renal failure due to a glomerulopathy. Three weeks after admission, Loa microfilariae were found in the cerebrospinal fluid, and a calibrated blood smear revealed a Loa microfilaraemia of 74,200 microfilariae per ml. The level of consciousness of the patient improved spontaneously, without any specific treatment, but several days after becoming completely lucid, the patient died suddenly, from an undetermined cause. Unfortunately, no biopsy or autopsy could be performed. The role of Loa loa in the development of the renal and neurological troubles of this patient is questionable. But the fact that such troubles, which are known complications of Loa infection, were found concomitantly in a person harbouring a very high microfilarial load suggests that they might have been caused by the filarial parasite. In areas endemic for loiasis, examinations for a Loa infection should be systematically performed in patients presenting an encephalopathy or a glomerulopathy

    Congrès AFMED 2017 : Co-infection VIH-Helminthiases intestinales à Kinshasa (RD Congo) : fréquence et facteurs associés: HIV-Helminthiasis co-infection in Kinshasa (DR Congo): frequency and associated factors

    No full text
    Objectifs. Montrer l‟ampleur des helminthiases intestinales chez les PVVs adultes en milieu de soins à Kinshasa et en identifier les facteurs associés.Méthodes. Étude transversale à visée analytique réalisée dans 8 structures de prise en charge des PVVs à Kinshasa choisies de manière aléatoire. Quatre cent vingt-deux PVVs adultes ont été incluses dans l‟étude selon une approche probabiliste. Un questionnaire pré-testé leur a été administré. Chaque patient avait remis un échantillon de selle conservé dans du formol à 10% pour examen par la méthode de RITCHIE. Les données ont été analysées l‟aide du logiciel SPSS version 21. La régression logistique a servi à identifier les facteurs associés à l‟infection helminthique chez les PVVs.Résultats. Sur 422 PVV, 324 étaient des femmes, soit un sex ratio de 1H/3,3F ; soit 10 H pour 33 F. L‟âge moyen était de 42 ans (ET =10 ans).La fréquence globale des helminthiases intestinales était de 22% (93/422). L‟helminthe le plus retrouvé était Ascaris lumbricoides 44/422 (10,4%) suivi de Trichuris trichiura (Trichocéphale) 33/422 (7,8%), et de Strongyloides stercoralis (Anguillule) 14/422 (3,3%). Ce dernier helminthe était associé à un taux de LT CD4 bas. Aucune infection helminthique mixte n‟a été détectée. Le taux de lymphocytes T CD4 médian était de 388 éléments/mm3 (EIQ : 342-412) pour toutes les PVVs de l‟étude, et 425 éléments/mm3 (EIQ : 373-456) pour les co-infectées, avec comme extrêmes : 13-1421 éléments/mm3. Plus de 70% de PVV étaient atteints d‟infections à faible intensité. Après ajustement, l‟utilisation d‟eau de robinet [OR ajusté 3,62 IC95% (1,04-12,58), p=0,018], la consommation des légumes crus ou fruits frais [OR ajusté 1,80 IC95% (1,11-2,92), p=0,018], la non consommation d‟eau traitée [OR ajusté 2,84 IC95% (1,81-4,72), p=0,018], le non lavage hygiénique des mains après usage de toilettes [OR ajusté 2,65 IC95% (1,14-8,21), p=0,010] et avant de manger [OR ajusté 2,01 IC95% (1,09-6,73), p=0,004] étaient les facteurs associés à l‟helminthiase intestinale.Conclusion. La co-infection VIH-helminthiasiase intestinale est fréquente à Kinshasa. Ascaris lumbrocoides est l‟helminthe le plus retrouvé. L‟immunodépression avancée favorise la strongyloïdose. Les campagnes de sensibilisation sur l‟éducation sanitaire et le déparasitage intermittent de masse chez les PVVs devraient être à envisagés

    Die MiĂźbildungen des menschlichen Herzens

    No full text
    corecore