30 research outputs found

    How medical services mask provision of non-medical supportive care in palliative oncology ?

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    OBJECTIVES In the context of cancer, non-medical supportive care improves quality of life. While policymakers expect it to be cheaper than high-tech medical care, we hypothesized that it is in fact embedded in and camouflaged by hospital medical services. METHODS In a cross-sectional descriptive study, we conducted qualitative interviews with healthcare providers, patients and family caregivers in France. We first performed a functional analysis to identify non-medical supportive care functions provided or received and then developed a one day cohort study of patient in hospital or hospital at home to determine which non-medical care functions were provided and in what priority. RESULTS 79 healthcare providers, patients and family caregivers were interviewed and 109 patient files were analysed in the cohort study. Providers declared they were highly solicited for non-medical reasons like moral, emotional support, or respite, that we listed and grouped into 5 categories: physical, moral, or financial support, coordination of care and dealing with legal and technical constraints. The cohort study determined that 30 patients (27%) were hospitalised for non-medical reasons. A diversity of services were provided: physical support (n=4), moral support (n=13), financial support (n=1), coordination of care dysfunction (n=12), legal constraint (n=1). CONCLUSION Medical care is not sufficient for the support of advanced cancer patients. Even though equivalence of care is guaranteed at home, non-medical services are provided within hospital because they are not provided or funded anywhere else. Non-medical care performs a variety of social, financial, psychological and legal functions needed by patients and family caregivers

    Mesure des préférences des consommateurs de soins pour les soins à l'hôpital, à domicile ou en structures de proximité : développement d'un outil d'information et d'aide à la décision intégrant une évaluation contingente

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    In France, cancer treatments are mainly provided in hospitals but they are expensive, crowded and mainly located around big cities. For these reasons, French public health decision makers wish to develop alternative strategies such as home care and proximity structures (typically GPs, nurses and physiotherapists working together in the same medical office). ObjectivesTo study the adequacy between French health policy and patients’ & general population’s preferences. To test the acceptability and validity of the contingent valuation (CV) method as a mean of obtaining values in the general population to guide public decision makers. Methods: We developed a computerized decision aid composed of: 1. Information on the disease management options: hospital, home care and proximity structures; 2. A survey to measure preferences. 3. A socio demographic and an experience of care questionnaire. 4. For the general population only, a CV survey (willingness to pay: WTP) using a payment card was developed Results: The patients survey has been realized in three hospitals(n=386), whereas the general population survey has been conducted in a representative sample of the Rhône-Alps region (n=1001). Both populations preferred hospital, but the proportions are very different. Indeed, hospital is the preferred option for 71% of patients and only for 42,6% of the general population. Moreover, as compared to patients, the general population more often prefer PS, respectively 18,6% and 5 %. The acceptability and validity of the CV method in the general population seemed to be confirmed by the few rates of protesters and outliers, the correlation between preferences, income and WTPEn France le traitement du cancer est principalement dominé par les plateaux techniques hospitaliers, mais ceux-ci sont saturés et jugés trop coûteux. Pour ces raisons, les décideurs publics souhaitent développer des structures alternatives : l’hospitalisation à domicile ou les structures de proximités (SP) comme les maisons de santé pluridisciplinaires. Objectif :-Etudier l’adéquation entre les politiques publiques de santé et les préférences des patients et de la population générale.-Tester l’acceptabilité et la validité de la méthode de l’évaluation contingente (EV) (enquête de Disposition A Payer : DAP) comme moyen d’obtenir les préférences en population générale afin de guider la décision publique.Méthode : Nous avons développé un outil d’information et d’aide à la décision informatisé qui contenait 1. L’information sur les trois options de prise en charge : hôpital, domicile, SP 2. Une enquête de mesure des préférences 3. Des questionnaires socio-démographiques et de recueil de l’expérience de soins 4. Pour la population générale uniquement : une EV.Résultats :L’enquête auprès des patients a été réalisée dans 3 établissements (n=386), celle en population générale a été conduite sur un échantillon représentatif de la Région Rhône-Alpes (n=1001). L’hôpital était l’option préférée pour les deux populations 71% des patients contre 42,6% pour la population générale, suivi du domicile avec 24% pour les patients et 38,8% pour la population générale. L’acceptabilité et la validité de l’EC en population générale semble être confirmée par le faible nombre de protestataires et d’outliers ainsi que par la corrélation entre les DAP, le revenu et les préférence

    Outils d'aide à la décision : enquête sur les préférences des patients dans un contexte de virage ambulatoire

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    Présenté par Jennifer MargierInternational audienc

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    Présenté par Jennifer MargierInternational audienc

    Mesure des préférences des consommateurs de soins pour les soins à l'hôpital, à domicile ou en structures de proximité : développement d'un outil d'information et d'aide à la décision intégrant une évaluation contingente

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    In France, cancer treatments are mainly provided in hospitals but they are expensive, crowded and mainly located around big cities. For these reasons, French public health decision makers wish to develop alternative strategies such as home care and proximity structures (typically GPs, nurses and physiotherapists working together in the same medical office). ObjectivesTo study the adequacy between French health policy and patients’ & general population’s preferences. To test the acceptability and validity of the contingent valuation (CV) method as a mean of obtaining values in the general population to guide public decision makers. Methods: We developed a computerized decision aid composed of: 1. Information on the disease management options: hospital, home care and proximity structures; 2. A survey to measure preferences. 3. A socio demographic and an experience of care questionnaire. 4. For the general population only, a CV survey (willingness to pay: WTP) using a payment card was developed Results: The patients survey has been realized in three hospitals(n=386), whereas the general population survey has been conducted in a representative sample of the Rhône-Alps region (n=1001). Both populations preferred hospital, but the proportions are very different. Indeed, hospital is the preferred option for 71% of patients and only for 42,6% of the general population. Moreover, as compared to patients, the general population more often prefer PS, respectively 18,6% and 5 %. The acceptability and validity of the CV method in the general population seemed to be confirmed by the few rates of protesters and outliers, the correlation between preferences, income and WTPEn France le traitement du cancer est principalement dominé par les plateaux techniques hospitaliers, mais ceux-ci sont saturés et jugés trop coûteux. Pour ces raisons, les décideurs publics souhaitent développer des structures alternatives : l’hospitalisation à domicile ou les structures de proximités (SP) comme les maisons de santé pluridisciplinaires. Objectif :-Etudier l’adéquation entre les politiques publiques de santé et les préférences des patients et de la population générale.-Tester l’acceptabilité et la validité de la méthode de l’évaluation contingente (EV) (enquête de Disposition A Payer : DAP) comme moyen d’obtenir les préférences en population générale afin de guider la décision publique.Méthode : Nous avons développé un outil d’information et d’aide à la décision informatisé qui contenait 1. L’information sur les trois options de prise en charge : hôpital, domicile, SP 2. Une enquête de mesure des préférences 3. Des questionnaires socio-démographiques et de recueil de l’expérience de soins 4. Pour la population générale uniquement : une EV.Résultats :L’enquête auprès des patients a été réalisée dans 3 établissements (n=386), celle en population générale a été conduite sur un échantillon représentatif de la Région Rhône-Alpes (n=1001). L’hôpital était l’option préférée pour les deux populations 71% des patients contre 42,6% pour la population générale, suivi du domicile avec 24% pour les patients et 38,8% pour la population générale. L’acceptabilité et la validité de l’EC en population générale semble être confirmée par le faible nombre de protestataires et d’outliers ainsi que par la corrélation entre les DAP, le revenu et les préférence

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    En France le traitement du cancer est principalement dominé par les plateaux techniques hospitaliers, mais ceux-ci sont saturés et jugés trop coûteux. Pour ces raisons, les décideurs publics souhaitent développer des structures alternatives : l’hospitalisation à domicile ou les structures de proximités (SP) comme les maisons de santé pluridisciplinaires. Objectif :-Etudier l’adéquation entre les politiques publiques de santé et les préférences des patients et de la population générale.-Tester l’acceptabilité et la validité de la méthode de l’évaluation contingente (EV) (enquête de Disposition A Payer : DAP) comme moyen d’obtenir les préférences en population générale afin de guider la décision publique.Méthode : Nous avons développé un outil d’information et d’aide à la décision informatisé qui contenait 1. L’information sur les trois options de prise en charge : hôpital, domicile, SP 2. Une enquête de mesure des préférences 3. Des questionnaires socio-démographiques et de recueil de l’expérience de soins 4. Pour la population générale uniquement : une EV.Résultats :L’enquête auprès des patients a été réalisée dans 3 établissements (n=386), celle en population générale a été conduite sur un échantillon représentatif de la Région Rhône-Alpes (n=1001). L’hôpital était l’option préférée pour les deux populations 71% des patients contre 42,6% pour la population générale, suivi du domicile avec 24% pour les patients et 38,8% pour la population générale. L’acceptabilité et la validité de l’EC en population générale semble être confirmée par le faible nombre de protestataires et d’outliers ainsi que par la corrélation entre les DAP, le revenu et les préférencesIn France, cancer treatments are mainly provided in hospitals but they are expensive, crowded and mainly located around big cities. For these reasons, French public health decision makers wish to develop alternative strategies such as home care and proximity structures (typically GPs, nurses and physiotherapists working together in the same medical office). ObjectivesTo study the adequacy between French health policy and patients’ & general population’s preferences. To test the acceptability and validity of the contingent valuation (CV) method as a mean of obtaining values in the general population to guide public decision makers. Methods: We developed a computerized decision aid composed of: 1. Information on the disease management options: hospital, home care and proximity structures; 2. A survey to measure preferences. 3. A socio demographic and an experience of care questionnaire. 4. For the general population only, a CV survey (willingness to pay: WTP) using a payment card was developed Results: The patients survey has been realized in three hospitals(n=386), whereas the general population survey has been conducted in a representative sample of the Rhône-Alps region (n=1001). Both populations preferred hospital, but the proportions are very different. Indeed, hospital is the preferred option for 71% of patients and only for 42,6% of the general population. Moreover, as compared to patients, the general population more often prefer PS, respectively 18,6% and 5 %. The acceptability and validity of the CV method in the general population seemed to be confirmed by the few rates of protesters and outliers, the correlation between preferences, income and WT
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