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Repetitive Behaviours in Patients with Gilles de la Tourette Syndrome: Tics, Compulsions, or Both?
Background
Repetitive behaviours (RB) in patients with Gilles de la Tourette syndrome (GTS) are frequent. However, a controversy persists whether they are manifestations of obssessive-compulsive disorder (OCD) or correspond to complex tics.
Methods
166 consecutive patients with GTS aged 15–68 years were recruited and submitted to extensive neurological, psychiatric and psychological evaluations. RB were evaluated by the YBOCS symptom checklist and Mini International Neuropsychiatric Interview (M.I.N.I), and classified on the basis of a semi-directive psychiatric interview as compulsions or tics.
Results
RB were present in 64.4% of patients with GTS (107/166) and categorised into 3 major groups: a ‘tic-like’ group (24.3%–40/166) characterised by RB such as touching, counting, ‘just right’ and symmetry searching; an ‘OCD-like’ group (20.5%–34/166) with washing and checking rituals; and a ‘mixed’ group (13.2%–22/166) with both ‘tics-like’ and ‘OCD-like’ types of RB present in the same patient. In 6.3% of patients, RB could not be classified into any of these groups and were thus considered ‘undetermined’.
Conclusions
The results confirm the phenomenological heterogeneity of RB in GTS patients and allows to distinguish two types: tic-like behaviours which are very likely an integral part of GTS; and OCD-like behaviours, which can be considered as a comorbid condition of GTS and were correlated with higher score of complex tics, neuroleptic and SSRIs treatment frequency and less successful socio-professional adaptation. We suggest that a meticulous semiological analysis of RB in GTS patients will help to tailor treatment and allow to better classify patients for future pathophysiologic studies.
Trial Registration
ClinicalTrials.gov NCT0016935
Diabetes Mellitus and Cognition: A Pathway Analysis in the MEMENTO Cohort
OBJECTIVE: To assess the role of biomarkers of Alzheimer's Disease (AD), neurodegeneration and small vessel disease (SVD) as mediators in the association between diabetes mellitus and cognition. METHODS: The study sample was derived from MEMENTO, a cohort of French adults recruited in memory clinics and screened for either isolated subjective cognitive complaints or mild cognitive impairment. Diabetes was defined based on blood glucose assessment, use of antidiabetic agent or self-report. We used structural equation modelling to assess whether latent variables of AD pathology (PET mean amyloid uptake, Aβ(42)/Aβ(40) ratio and CSF phosphorylated tau), SVD (white matter hyperintensities volume and visual grading), and neurodegeneration (mean cortical thickness, brain parenchymal fraction, hippocampal volume, and mean fluorodeoxyglucose uptake) mediate the association between diabetes and a latent variable of cognition (five neuropsychological tests), adjusting for potential confounders. RESULTS: There were 254 (11.1%) participants with diabetes among 2,288 participants (median age 71.6 years; 61.8% women). The association between diabetes and lower cognition was significantly mediated by higher neurodegeneration (standardized indirect effect: -0.061, 95% confidence interval: -0.089; -0.032), but not mediated by SVD and AD markers. Results were similar when considering latent variables of memory or executive functioning. CONCLUSION: In a large clinical cohort in the elderly, diabetes is associated with lower cognition through neurodegeneration, independently of SVD and AD biomarkers
Etude exploratoire multicentrique de l'impact perçu du livre "Anatole l'a dit !" chez les femmes traitées pour un cancer du sein et ayant au moins un enfant âgé de 6 à 12 ans (acceptabilité/faisabilité et résultats préliminaires)
Toute pathologie grave survenant chez un patient menace et modifie l'équilibre de son groupe familial. Depuis peu, on reconnaît l'importance de considérer la famille du patient, atteint d'un cancer, dans les prises en charge, particulièrement lorsque des enfants sont présents dans ce contexte de vulnérabilité. La nécessité d'informer les enfants de la maladie de leur parent et d'établir le dialogue avec eux est reconnue. Or, il existe une réelle difficulté pour le parent malade à "amorcer" le dialogue sur la maladie avec les enfants. Dans ce contexte, nous présentons au sein de ce travail les résultats de l'étude d'acceptabilité/faisabilité d'un protocole d'évaluation de l'impact perçu du livre "Anatole l'a dit !" chez des femmes traitées pour un cancer du sein et ayant au moins un enfant âgé de 6 à 12 ans. Au vu du caractère novateur de ce projet et l'absence totale d'outils validés pour ce type d'investigation, nous avons conçu, dans un premier temps, un questionnaire spécifique à notre étude. Pour réaliser cet outil, nous avons rencontré neuf femmes en rémission d'un cancer, afin de recueillir leurs impressions sur le livre et leur vécu de l'annonce de la maladie à leurs enfants. De ces entretiens riches en enseignements, nous avons dégagé plusieurs thèmes sur lesquels nous nous sommes appuyés pour réaliser le questionnaire. Ensuite, nous avons réalisé la 2ème étape du protocole, l'étude d'acceptabilité/faisabilité. Pour ce faire, le questionnaire a été soumis à 6 femmes, atteintes de cancer du sein et ayant au moins un enfant âgé de 6 à 12 ans. De l'analyse de ces 1ers résultats, il ressort la nécessité de réaliser plusieurs ajustements. Trois points seront à modifier dans le déroulement du protocole, afin d'en améliorer la faisabililté. Des résultats préliminaires, obtenus lors des 6 premiers entretiens, se dégagent des ressentis prédominants vis-à-vis du livre "Anatole l'a dit !" et de son livret "Confidences aux parents". La poursuite des étapes ultérieures du protocole permettra de confirmer ou non ces positions. A l'issue de cette étude, nous espèrons ouvrir des pistes de réflexion autour de l'évaluation d'impact des outils support de communication, pour les parents traités pour un cancer et ayant des enfants jeunes.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocSudocFranceF
Stimulation magnétique transcrânienne répétée et dépression résistante (revue de la littérature et participation à un protocole de recherche)
Le problème de la dépression résistante se pose fréquemment en pratique clinique. Ses répercussions sont considérables. Sa définition demeure une question ouverte. Les méthodes systématiques d'évaluation de la résistance sont très peu utilisées en pratique clinique. Les options thérapeutiques dans la dépression résistante sont : l'augmentation de l'antidépresseur, le changement de l'antidépresseur utilisé, l'adjonction de T3, l'adjonction de LITHIUM, la mise neplace d'une psychothérapie (type TCC) et l'électroconvulsivothérapie. La recherche se développe sur la rTMS dans cette indication. Les contre-indications sont maintenant bien connues. C'est un traitement en général très bien toléré et sûr. La plupart des méta-analyses montrent un bénéfice thérapeutique supérieur au placebo. Ce bénéfice varie en fonction des paramètres et des sites de stimulation utilisés. Nous avons participé à une étude multicentique randomisée contrôlée en double aveugle, étudiant l'efficacité thérapeutique de la rTMS dans le traitement des états dépressifs majeurs résistants. La prudence s'impose quant à l'interprétation des résultats compte tenu du très faible effectif inclus. La rTMS a permis à certains patients inclus d'atteindre la rémission.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocSudocFranceF
Participation à un protocole d'évaluation longitudinale du traitement automatique de l'information émotionnelle chez des patients souffrant de dépression résistante, à l'aide d'une tâche de catégorisation lexicale simple avec amorçage de répétition, avant et pendant traitement antidépresseur
Les résultats d'études antérieures concernant l'existence d'un biais mnésique implicite congruent à l'humeur chez le patient dépressif sont contrastés. Les types de tâches effectuée, de population étudiée, l'existence ou non d'un traitement antidépresseur et la période d'évaluation au cours de la dépression semblent intervenir dans ces divergences. A notre connaissance, aucun auteur n'a évalué de façon longitudinale le biais mnésique implicite congruent à l'humeur chez le patient souffrant de dépresSion résistante au moyen d'une tâche de catégorisation lexicale simple avec amorçage de répétition au moyen de mots de différentes valences émotionnelles en contrôlant le facteur traitement antidépresseur. L'objectif principal de notre étude était de rechercher l'existence d'un biais mnésique implicite congruent à l'humeur chez les patients dépressifs résistants en phase aiguë de la maladie, avant traitement, comparativement à des individus témoins appariés. L'objectif secondaire était la recherche d'une modification précoce de ce biais, ou du traitement automatique de l'information émotionnelle, chez des patients dépressifs traités, quel que soit le traitement, avant passage en phase de rémission clinique puis de guérison de la dépression résistante. Les patients ont été évalués, comparativement à une population témoin saine appariée, au moyen d'une tâche de décision lexicale simple avec amorçage de répétition avant tout traitement antidépresseur (JO) et après une période de wash-out de 7 jours minimum. Les évaluations ont ensuite eu lieu, chez les patients, à J4, à J7 et à rémission ou au plus tard à J42 de traitement antidépresseur contrôlé. 21 patients souffrant de dépression résistante et 21 témoins appariés ont été inclus dans l'étude. A partir de l'analyse des temps de réaction (TR) sur les mots, nous mettons en évidence, à JO, un traitement automatique de l'information émotionnelle chez les patients souffrant de dépression résistante comparable à une population témoin ne souffrant pas de troubles thymmique. En revanche, nous n'observons pas de biais mnésique implicite congruent à l'humeur chez les patients présentant une dépression résistante. L'évaluation logitudinale en début de traitement et jusqu'à rémission ou J42 nous permet de constater une inversion dans la rapidité de traitement de l'information émotionnelle positive, à J3, entre les patients qui vont entrer en rémission et les autres. Cette étude, forte d'un contrôle systématique d'un grand nombre de variables pouvant influencer la décision lexicale, montre un comportement quasi identique chez les patients souffrant de dépression résistante non traitée et les témoins appariés à J0. Sa réalisation, à l'aide d'une tâche encore jamais utilisée à l'identique dans une étude du même type, ainsi que sur une population dépressive avec critère de résistance à la maladie, pourrait en partie expliquer l'absence de biais mnénique implicite congruent à l'humeur chez nos patients. Il serait intéressant de reproduire une telle étude avec une tâche semblable chez des patients sans critère de résistance à la maladie dépressive, avec contrôle d'un seul traitement antidépresseur et avec contrôle du facteur anxiété. La modification précoce du traitement automatique de l'information émotionnelle à J3, chez les patients qui vont entrer en rémission, nous permet d'envisager qu'une telle tâche puisse être utilisée comme test de prédictivité d'une bonne réponse antidépressive au traitement.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocSudocFranceF
Prévalence des troubles anxieux, dépressifs et du risque suicidaire chez les patients atteints de lupus cutané chronique et de lupus subaigu (comparaison des résultats intermédiaires aux données de la littérature)
Un protocole a été élaboré afin d'évaluer la prévalence des troubles psychiatriques chez les patients atteints de lupus cutané chronique et de lupus subaigu (PHRC n2008-A00343-52). Comparaison des résultats intermédiaires, sur 50 patients du PHRC, en termes de prévalence des troubles anxieux, dépressifs et du risque suicidaire aux données de la littérature, en population générale et au cours de différentes pathologies dermatologiques. Présentation des principales caractéristiques du PHRC. Prévalences significativement plus élevées chez les patients lupiques, de certains troubles dépressifs et anxieux et du risque suicidaire, par rapport aux études de prévalence en population générale publiées dans la littérature. Il paraît intéressant de poursuivre l'analyse des données sur l'ensemble des patients de l'étude, dont on peut attendre une meilleure connaissance des comorbidités psychiatriques associées au lupus cutané chronique et au lupus subaigu.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocSudocFranceF
Etude par des échelles cliniques de la dépression, de l'anxiété (dont l'état de stress post-traumatique), de la qualité de vie, des stratégies de coping et du fonctionnement familial chez les parents d'enfants atteints de cancer (résultats préliminaires et acceptabilité)
L'objectif principal est d'étudier la faisabilité d'un protocole évaluant la prévalence des troubles psychiatriques ainsi que la qualité de vie, le coping et le fonctionnement familial chez les parents d'enfants souffrant de cancer. Il s'agit d'une étude clinique, prospective, monocentrique. Les parents d'enfants atteints de cancer sont recrutés dans le service d'oncologie pédiatrique du CHU de Clermont-Ferrand. Nous étudions l'anxiété, la dépression et l'état de stress post-traumatique ainsi que la qualité de vie, les stratégies de coping et le fonctionnement familial, en recueillant l'avis des participants (par autoévaluation aux échelles HAD, IES-R, SF-36 et FAD). La 1ère évaluation a lieu à un mois du diagnostic, la 2ème à 4 mois et la 3ème à un an. Les participants se voient proposer après la 1ère passation un questionnaire sur la faisabilité et l'acceptabilité du protocole. 14 patients ont été recrutés soit 7 familles d'enfants atteints de cancer. 6 ont passé la 2ème évaluation. Les résultats montrent une élévation souvent supérieure au seuil pathologique des dimensions cliniques. La qualité de vie est altérée de même que le fonctionnement familial. L'étude des stratégies de coping ne révèle pas de déséquilibre en faveur d'un type de stratégies. La taille de notre échantillon ne permet pas de mettre en évidence de facteurs de risque ni d'étudier l'évolution des troubles. L'étude a une bonne acceptabilité par les parents et les soignants. Le remplissage des cahiers de questionnaires n'a pas posé de difficultés pratique aux parents. Des difficultés pour la coordination de la distribution et de la récupération se sont manifestées. Les résultats montrent une gravité des dimensions cliniques très supérieure à la littérature explicable par les caractéristiquesde l'échantillon. Les données pour le coping, le fonctionnement familial et la qualité de vie sont plus concordantes avec la littérature. Une meilleure coordination permettra d'obtenir un échantillon plus large et des résultats statistiquement significatifs. Des corrélations entre les répercussions psychiques pour les parents et les enfants (évalués par le protocole d'évaluation des troubles psychiques et de la qualité de vie des enfants et adolescents atteints de pathologies cancéreuses) pourront en être tirées. La faisabilité (après amélioration de l'organisation pratique) et l'acceptabilité permettent de poursuivre cette étude dont les résultats ouvriront des pistes de réflexions en psychooncologie.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
Evaluation de la métamémoire chez les patients âgés souffrant de schizophrénie (étude préliminaire)
Objectifs : évaluation des performances mnésiques et métamnésiques de patients de plus de 59,5 ans souffrant de schizophrénie en comparant les aspects cliniques et neuropsychologiques. 13 patients vs 13 témoins, appariés suivant l'âge, le sexe et le niveau d'études, ont été évalués au moyen d'outils cliniques, neuropsychologiques et d'un test de mémoire informatisé. Au cours de la stratégie de génération, les patients produisent moins de mots que les témoins (84.9% Vs 93.4%; F(1,24)=7.4; p<.02). Dans l'ensemble, les performances mnésiques de rappel des patients sont moins élevées que celles des témoins (49.7% Vs 68.3%; F(1,24)=9.0; p<.01), tout comme les estimations d'apprentissage (68% Vs 81.4%; F(1,24)=7.4;p=<.05). Les patients allouent plus de temps à l'apprentissage des mots que les témoins (4.4s Vs 3.6s; F(1,24)=5.6; p<.05). L'analyse met en évidence une interaction entre la stratégie d'apprentissage et le groupe (F(1,24)=4.4; p<.05). On ne retrouve pas de manière significative de discrimination entre la stratégie de lecture et celle de génération au niveau du temps alloué pour les patients. Nos résultats confirment l'altération mnésique, le maintien du processus d'évaluation mnésique et l'altération du processus de régulation mnésique chez les patients souffrant de schizophrénie de plus 59,5 ans. Tous les participants sont aidés par la stratégie de génération lors de l'encodage, de la récupération et lors du jugement d'apprentissage. Une cohorte plus importante pourrait permettre de confirmer ces résultats. L'analyse incluant des sujets jeunes permettrait d'évaluer l'aspect spécifique du vieillissement sur la métamémoire au cours de la schizophrénie.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocSudocFranceF
Évaluation de la qualité de vie des conjoints de patients âgés souffrant de dépression (étude de faisabilité et résultats préliminaires)
Avec le vieillissement de la population, la question de la qualité de vie chez l'âgé revêt une attention particulière. En effet l'avancée en âge s'accompagne de modifications sur le plan physiologique, physique et environnemental ce qui rend cette tranche de population particulièrement vulnérable à l'émergence de pathologie dépressive. La dépression constitue la pathologie psychiatrique la plus rencontrée chez la personne âgée. Il existe un retentissement familial et conjugal important de la dépression observé en clinique et également retrouvé dans la littérature. L'impact de la dépression sur la qualité de vie de l'entourage a été étudié en population adulte cependant aucune étude ne s'est intéressée spécifiquement à l'évaluation de la qualité de vie des conjoints de patients âgés de plus de 65 ans et souffrant de dépression. Notre travail a pour objectif principal d'étudier la faisabilité d'un protocole évaluant la qualité de vie des conjoints de patients âgés souffrant de dépression. Ce protocole est basé sur la passation d'échelle d'auto évaluation de la qualité de vie spécifiquement adaptée à la population âgée (LEIPAD), une échelle évaluant la satisfaction conjugale ou adjustement dyadique. La symptomatologie dépressive sera également auto évaluée par le patient et son conjoint à l'aide de la GDS. Les conjoints rempliront en plus des échelles visant à évaluer le fardeau et la charge en soins que représentent leurs conjoints déprimés. La 1ère évaluation a lieu en début de prise en charge de l'épisode dépressif, le seconde en période de rémission et la 3ème à un an du début de prise en charge. Seize patients ont été recrutés soit 8 couples. Deux ont passé la seconde évaluation. Les résultats montrent une amélioration de la qualité de vie, de la satisfaction conjugale et une diminution du fardeau chez le conjoint. Les amendemants apportés vont permettre d'obtenir un échantillon plus large. La faisabilité et l'acceptabilité autorisent la poursuite de l'étude dont les résultats ouvriront des pistes de réflexions en psychogériatrie.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocSudocFranceF
LE DEPISTAGE HOSPITALIER DES TROUBLES COGNITIFS CHEZ LES PATIENTS DE PLUS DE 60 ANS
CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
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