28 research outputs found

    Global patient outcomes after elective surgery: prospective cohort study in 27 low-, middle- and high-income countries.

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    BACKGROUND: As global initiatives increase patient access to surgical treatments, there remains a need to understand the adverse effects of surgery and define appropriate levels of perioperative care. METHODS: We designed a prospective international 7-day cohort study of outcomes following elective adult inpatient surgery in 27 countries. The primary outcome was in-hospital complications. Secondary outcomes were death following a complication (failure to rescue) and death in hospital. Process measures were admission to critical care immediately after surgery or to treat a complication and duration of hospital stay. A single definition of critical care was used for all countries. RESULTS: A total of 474 hospitals in 19 high-, 7 middle- and 1 low-income country were included in the primary analysis. Data included 44 814 patients with a median hospital stay of 4 (range 2-7) days. A total of 7508 patients (16.8%) developed one or more postoperative complication and 207 died (0.5%). The overall mortality among patients who developed complications was 2.8%. Mortality following complications ranged from 2.4% for pulmonary embolism to 43.9% for cardiac arrest. A total of 4360 (9.7%) patients were admitted to a critical care unit as routine immediately after surgery, of whom 2198 (50.4%) developed a complication, with 105 (2.4%) deaths. A total of 1233 patients (16.4%) were admitted to a critical care unit to treat complications, with 119 (9.7%) deaths. Despite lower baseline risk, outcomes were similar in low- and middle-income compared with high-income countries. CONCLUSIONS: Poor patient outcomes are common after inpatient surgery. Global initiatives to increase access to surgical treatments should also address the need for safe perioperative care. STUDY REGISTRATION: ISRCTN5181700

    Erratum to: 36th International Symposium on Intensive Care and Emergency Medicine

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    [This corrects the article DOI: 10.1186/s13054-016-1208-6.]

    L’intraduisible : au-delà de l’échec programmé

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    Introduction L’intraduisible n’est pas ce que l’on croit. Selon le Grand Robert, l’adjectif « intraduisible » correspond à ce « qu’il est impossible de traduire », c’est-à-dire quelque chose (un mot, un texte…) qu’aucun traducteur ne peut traduire. Or, sachant que l’on peut tout traduire – nous reviendrons à cette affirmation elliptique dans notre conclusion – il serait plus juste d’avancer que l’intraduisible ne correspond pas à l’impossibilité d’accomplir une tâche, mais se réfère plutôt à ..

    L’adaptation larvée : trois cas de figure

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    Il s’agit dans cet article d’examiner des textes qui s’annoncent comme des traductions mais qui, en réalité, sont des adaptations. On envisage trois cas de figure : l’oeuvre étrangère subit une cure d’amincissement ; la traduction s’avère être à “géométrie variable”, présentant tantôt des additions, tantôt des rétrécissements ; le traducteur laisse entendre sa propre voix à travers le texte qu’il traduit. Même s’il s’agit de stratégies bien différentes, il n’est pas rare de les trouver à l’intérieur d’une même traduction. Se pose alors la question des limites de la traduction, de la nature du no man’s land qui la sépare de (ou la relie à) l’adaptation.The aim of this article is to explore the nature of texts which are published as translations but which in fact are adaptations. Three strategies are examined: the shrinking effect produced by omission and flattening, the “piebald” effect resulting from conflicting approaches, and finally “ontological” translation, where the translator allows his or her own voice to filter through. Such strategies, it will be seen, are sometimes found within the same text. Finally, the status of the concept of adaptation is briefly explored

    Entre désir et contrainte

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    Désirs de traduire : ces quelques mots, évocateurs, figurent dans un article consacré à l’unité de traduction que Michel Ballard a publié en 1993. Ils sont à l’origine de la réflexion que je propose de mener sur le désir et la contrainte dans le domaine de la traduction. Ils sont par ailleurs révélateurs de la démarche de recherche suivie par Michel Ballard, qui vise non seulement la scientificité et la rigueur, mais aussi la réhabilitation de la traduction en tant qu’enseignement universitai..

    Le niveau de langue repère

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    Cet article vise à démontrer que les concepts de "niveau de langue" et de "registre", tels qu’on les utilise traditionnellement, fonctionnent mal, à la fois pour une seule langue, et surtout à l’intérieur de la problématique de la traduction. Après une brève présentation des approches en France et outre-Manche, nous proposons un modèle à six niveaux, allant du plus vaste, le cadre culturel, au plus spécifique, le contexte discursif et le contexte attesté de réception, permettant d’isoler, pour tout texte, son "niveau de langue repère". Un exemple journalistique ainsi qu’un exemple littéraire montrent la mise en œuvre du modèle.The aim of this paper is to bring some order to the commonly used concepts of "level of language" and "register". Approaches used both in France & Great Britain are discussed, followed by the presentation of a six-stage model, starting at the widest possible level — the cultural framework — and finishing with the discursive context and actual conditions of reception of any text. The model is used to establish the relevant basis on which register can be measured. Two examples, one from journalistic discourse and the other literary, illustrate this approach

    Les incertitudes du traduire

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    L’incertitude est une valeur fondamentale de la traduction. Pourtant, peu de traductologues s’y sont intéressés. La cartographie des incertitudes proposée dans cet article montre clairement qu’elles peuvent se manifester tout au long de l’opération traduisante. Plusieurs aspects de cette opération et les divers acteurs qui y participent sont examinés. On s’intéresse, tout d’abord, au rôle du donneur d’ouvrage. On se penche sur les aléas de l’interprétation du texte source, et en particulier sur le double regard du traducteur. La contribution d’autres acteurs est évoquée, en particulier le rôle de l’auteur, et les éventuelles ingérences postérieures à la phase de révision de la traduction. On s’intéresse, enfin, aux destinataires du texte traduit, en exploitant la distinction entre le lecteur modèle et le lecteur empirique. Après ce regard critique sur les phases en amont et en aval de l’acte traductif proprement dit, les incertitudes liées aux choix traductifs sont explorées. Quelques paragraphes sont consacrés aux certitudes du traducteur. Deux conclusions ressortent de ces réflexions : il est clair que la traductologie se doit d’intégrer l’incertitude au sein de ses préoccupations ; enfin, ce phénomène bien connu des professionnels devrait être considéré comme un atout qui permet au traducteur de rester en état de vigilance.Despite the fact that all translation necessarily involves a degree of uncertainty, translation theorists have show little interest in the phenomenon. The various types of uncertainty that may occur throughout the translation process are mapped out. Different aspects of the translation operation are examined, together with the various players involved, in particular the important role of the initiator, the more minor role of the author and the sometimes unpredictable decisions of the editor. The uncertainties that arise when interpreting the source text are investigated, as is the translator’s split vision between source and target. The role of the reader is also evoked, using the distinction between the model reader and the empirical reader. Attention is then focused on the various uncertainties that the translator must face when exploring the paraphrastic possibilities of reformulation in the target language. The translator’s certainties are also briefly examined. Two conclusions are drawn: the first concerns the need to devote more theoretical space to the question of uncertainty. The second underlines how this phenomenon – that professional translators have to deal with on a day to day basis – can be considered in a positive light, helping translators to remain alert during all the stages of their work

    Les paradoxes de la créativité en traduction littéraire

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    Le présent article se donne pour objectif de proposer un cadre interprétatif qui permet de repérer des zones de créativité dans une traduction littéraire. Une partie introductive consacrée aux paradoxes qui émergent de l’association entre traduction et créativité est suivie d’une réflexion sur les limites des définitions usuelles de la créativité dans un contexte de traduction. Trois éléments sont critiqués : l’idée que seul un « problème » puisse déclencher le processus créatif, les insuffisances du critère de « nouveauté » et le flou qui entoure le rôle et les compétences de l’« expert » censé établir la manifestation de créativité. Un nouveau cadrage est proposé qui détaille les compétences de l’expert, l’importance du cadre interprétatif, les niveaux d’analyse et la démarche analytique. À ce dernier égard, l’accent est mis sur la distinction entre choix de traduction conscients et semi-automatiques, et sur la reconstitution des choix traductifs potentiels. Enfin, deux cas particuliers sont examinés : l’addition et la transformation. La dernière partie de l’article porte sur l’examen d’exemples tirés des versions croate et française d’un roman de T. Pynchon, et de deux traductions anglaises de Madame Bovary.The aim of this article is to set out an interpretative framework enabling the researcher to identify instances of creativity in a literary translation. The introduction looks at how creativity and translation form a paradoxical association. Attention is then turned to the usual explanations that are given of creativity in the translational context. Three criteria are critically examined: that there must be a “problem” for creativity to come into play, that the result must be “new,” and that an “expert” – a term generally left undefined – must be involved in judging the product. A new framework is then set out, which looks at the expert’s competences, the importance of the critical framework, the levels of analysis and the analytical steps to be followed. These steps include making a distinction between conscious and semi-automatic translational choices, and reconstructing the potential choices that the translator could have made. The particular issues associated with addition and transformation are also examined. The final part of the article looks at a small corpus of examples taken from the Croatian and French translations of one of Pynchon’s novels, and two English translations of Madame Bovary.El presente artículo tiene como objetivo presentar un marco interpretativo que permita identificar zonas de creatividad en una traducción literaria. En la introducción se aborda la relación paradójica existente entre creatividad y traducción. Le sigue una reflexión sobre los límites de las definiciones más frecuentes de creatividad en un contexto de traducción. Se critican tres elementos: la idea de que solo un «problema» pueda desencadenar el proceso creativo, las insuficiencias del criterio de «novedad» y la falta de claridad en torno al papel y a las aptitudes del «experto» que debe decidir cuándo hay una expresión de creatividad. Se propone un nuevo enfoque en el que se detallan las aptitudes del experto, la importancia del marco interpretativo, los niveles de análisis y el método analítico. Acerca de este último punto, se hará hincapié en la distinción entre las opciones de traducción conscientes y las semiautomáticas, y en la reconstitución de las opciones de traducción potenciales. Para terminar, se examinan dos casos particulares: la adición y la transformación. La última parte del artículo consiste en el análisis de ejemplos extraídos de las versiones croata y francesa de una novela de T. Pynchon, y de dos traducciones inglesas de Madame Bovary

    Images du lecteur

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    Cette communication examine la place que le lecteur peut occuper à l'intérieur d'une théorie de la traduction. On constate d'emblée que le lecteur du texte traduit n'est en fait que troisième dans une hiérarchie qu'il convient d'étudier : lecteur du texte de départ, qui bénéficie d'un accès direct à la langue-culture de départ ; traducteur ( lecteur du premier texte, lecteur de sa propre traduction) qui travaille nécessairement avec une certaine image du lecteur appartenant à la langue-culture d'arrivée ; enfin, lecteur du texte traduit, qui s'efforce, dans une plus ou moins grande mesure, de reconstruire un "autre" qui peut à la fois lui échapper et l'envahir.The reader is a fundamental concept for translation theory. The reader of the translated text plays a key role in (re)constructing meaning. But he or she is preceded both by the readers of the original text, whose reading activity naturally takes place within the source culture, and by the translator, who adapts the translation to the image he or she has of the reader in the target language. The reader of the target language will construct a series of images in order to have access to the source text, which is both omnipresent and, curiously, absent

    Style and Translation

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    II est frappant de constater qu 'en matière de style, il existe un écart important entre le discours théorique en traduction et la réalité des traductions publiées. On a tendance à classer les choix stylistiques à l 'intérieur de stratégies antagonistes plus vastes (« sourcier » vs. « cibliste » par exemple). Or, l’examen de traductions révèle deux grandes tendances : à la réduction et au gommage d’une part, et au rajout et à l’embellissement d’autre part. D’où la nécessité de repenser les choix stylistiques sur le plan théorique et de revenir sur les orientations potentielles qui s'offrent au traducteur.Hewson Lance. Style and Translation. In: Anglophonia/Caliban, n°9, 2001. Langues et littératures. Linguistique, stylistique, traduction. pp. 193-204
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