20 research outputs found

    Kin-dependent dispersal influences relatedness and genetic structuring in a lek system

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    Kin selection and dispersal play a critical role in the evolution of cooperative breeding systems. Limited dispersal increases relatedness in spatially structured populations (population viscosity), with the result that neighbours tend to be genealogical relatives. Yet the increase in neighbours’ fitness-related performance through altruistic interaction may also result in habitat saturation and thus exacerbate local competition between kin. Our goal was to detect the footprint of kin selection and competition by examining the spatial structure of relatedness and by comparing non-effective and effective dispersal in a population of a lekking bird, Tetrao urogallus. For this purpose, we analysed capture–recapture and genetic data collected over a 6-year period on a spatially structured population of T. urogallus in France. Our findings revealed a strong spatial structure of relatedness in males. They also indicated that the population viscosity could allow male cooperation through two non-exclusive mechanisms. First, at their first lek attendance, males aggregate in a lek composed of relatives. Second, the distance corresponding to non-effective dispersal dramatically outweighed effective dispersal distance, which suggests that dispersers incur high post-settlement costs. These two mechanisms result in strong population genetic structuring in males. In females, our findings revealed a lower level of spatial structure of relatedness and genetic structure in respect to males. Additionally, non-effective dispersal and effective dispersal distances in females were highly similar, which suggests limited post- settlement costs. These results indicate that kin-dependent dispersal decisions and costs have a genetic footprint in wild populations and are factors that may be involved in the evolution of cooperative courtship

    FGF2 Translationally Induced by Hypoxia Is Involved in Negative and Positive Feedback Loops with HIF-1α

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    BACKGROUND: Fibroblast growth factor 2 (FGF2) is a major angiogenic factor involved in angiogenesis and arteriogenesis, however the regulation of its expression during these processes is poorly documented. FGF2 mRNA contains an internal ribosome entry site (IRES), a translational regulator expected to allow mRNA expression during cellular stress. METHODOLOGY/PRINCIPAL FINDINGS: In the present study, we have developed a skin ischemia model in transgenic mice expressing a reporter transgene under the control of the FGF2 IRES. The results reveal that FGF2 is induced at the protein level during ischemia, concomitant with HIF-1alpha induction and a decrease in FGF2 mRNA. In addition, the FGF2 IRES is strongly activated under these ischemic conditions associated with hypoxia, whereas cap-dependent translation is repressed by 4E-BP hypophosphorylation. We also show that up-regulation of FGF2 protein expression in response to hypoxia correlates with the increase of FGF2 IRES activity in vitro, in human retinoblasts 911. The use of siRNAs targeting HIF or FGF2 indicates that FGF2 and HIF-1alpha reciprocally regulate their expression/accumulation, by a negative feedback loop in early hypoxia, followed by a positive feedback loop in late hypoxia. CONCLUSION/SIGNIFICANCE: FGF2 expression is up-regulated in vivo and in vitro in response to hypoxia. Strikingly, this up-regulation is not transcriptional. It seems to occur by an IRES-dependent mechanism, revealing new mechanistic aspects of the hypoxic response. In addition, our data show that FGF2 interacts with HIF-1alpha in a unique crosstalk, with distinct stages in early and late hypoxia. These data reveal the physiological importance of IRES-dependent translation during hypoxic stress and underline the complexity of the cellular response to hypoxia, suggesting a novel role of FGF2 in the regulation of HIF-1alpha during the induction of angiogenesis

    La vaccination dans l'asthme (activités des lipopeptides vectorisés par des liposomes)

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    STRASBOURG ILLKIRCH-Pharmacie (672182101) / SudocSudocFranceF

    Dynamiques spatio-temporelles de la vigne (Vitis vinifera) au cours de l’Holocène en France d’après les enregistrements archéobotaniques (graines et fruits, charbons de bois)

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    International audienceLe vin joue un rôle économique et culturel capital depuis l’âge du Fer en France. Dès cette époque, la viticulture s’implante dans le Midi méditerranéen puis va progressivement se diffuser dans la zone tempérée. L’archéologie a bien montré à quel point le Haut-Empire romain représente une étape clé dans cette diffusion (Poux et al. 2011). Cependant, les différents marqueurs à disposition de l’archéologie culturelle et spatiale (aménagements, structures, mobiliers) sont généralement limités à des fenêtres chrono-géographiques particulières. Changeant en fonction du contexte technique, culturel et environnemental, aucun ne permet véritablement de suivre l’expansion de la vigne sur le temps long et à l’échelle métropolitaine. A condition de travailler à partir d’un grand nombre de sites, les macrorestes végétaux (graines/fruits et bois/charbons de bois) peuvent ouvrir une telle perspective à l’échelle de l’Holocène, en offrant un moyen d’approcher les populations de vigne sauvage (Vitis vinifera subsp. sylvestris) ainsi que celles de la plante domestique (V. vinifera subsp. vinifera). Dans le cadre du programme de recherche de l’ANR Viniculture et du GDR BioarcheoDat nous réalisons une enquête collective visant à retracer, à partir des données archéobotaniques, les dynamiques chronologiques et spatiales de la répartition et des usages de la vigne sauvage ou domestique (répartition post-glaciaire, diffusion et fluctuations de la viticulture, contextes socio-environnementaux). Nous présentons dans cette communication un premier bilan résultant d’un inventaire à large échelle des sites archéologiques ayant fait l’objet d’une étude carpologique et/ou anthraco/xylologique, permettant (1) de recenser les attestations de la vigne, afin (2) d’évaluer la récurrence de ses vestiges selon le contexte géo-chronologique, le statut du site et sa localisation dans les réseaux de circulation, l’effort d’échantillonnage réalisé et les modes de préservation attestés

    Dynamiques spatio-temporelles de la vigne (Vitis vinifera) au cours de l’Holocène en France d’après les enregistrements archéobotaniques (graines et fruits, charbons de bois)

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    International audienceLe vin joue un rôle économique et culturel capital depuis l’âge du Fer en France. Dès cette époque, la viticulture s’implante dans le Midi méditerranéen puis va progressivement se diffuser dans la zone tempérée. L’archéologie a bien montré à quel point le Haut-Empire romain représente une étape clé dans cette diffusion (Poux et al. 2011). Cependant, les différents marqueurs à disposition de l’archéologie culturelle et spatiale (aménagements, structures, mobiliers) sont généralement limités à des fenêtres chrono-géographiques particulières. Changeant en fonction du contexte technique, culturel et environnemental, aucun ne permet véritablement de suivre l’expansion de la vigne sur le temps long et à l’échelle métropolitaine. A condition de travailler à partir d’un grand nombre de sites, les macrorestes végétaux (graines/fruits et bois/charbons de bois) peuvent ouvrir une telle perspective à l’échelle de l’Holocène, en offrant un moyen d’approcher les populations de vigne sauvage (Vitis vinifera subsp. sylvestris) ainsi que celles de la plante domestique (V. vinifera subsp. vinifera). Dans le cadre du programme de recherche de l’ANR Viniculture et du GDR BioarcheoDat nous réalisons une enquête collective visant à retracer, à partir des données archéobotaniques, les dynamiques chronologiques et spatiales de la répartition et des usages de la vigne sauvage ou domestique (répartition post-glaciaire, diffusion et fluctuations de la viticulture, contextes socio-environnementaux). Nous présentons dans cette communication un premier bilan résultant d’un inventaire à large échelle des sites archéologiques ayant fait l’objet d’une étude carpologique et/ou anthraco/xylologique, permettant (1) de recenser les attestations de la vigne, afin (2) d’évaluer la récurrence de ses vestiges selon le contexte géo-chronologique, le statut du site et sa localisation dans les réseaux de circulation, l’effort d’échantillonnage réalisé et les modes de préservation attestés

    Dynamiques spatio-temporelles de la vigne (Vitis vinifera) au cours de l’Holocène en France d’après les enregistrements archéobotaniques (graines et fruits, charbons de bois)

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    International audienceLe vin joue un rôle économique et culturel capital depuis l’âge du Fer en France. Dès cette époque, la viticulture s’implante dans le Midi méditerranéen puis va progressivement se diffuser dans la zone tempérée. L’archéologie a bien montré à quel point le Haut-Empire romain représente une étape clé dans cette diffusion (Poux et al. 2011). Cependant, les différents marqueurs à disposition de l’archéologie culturelle et spatiale (aménagements, structures, mobiliers) sont généralement limités à des fenêtres chrono-géographiques particulières. Changeant en fonction du contexte technique, culturel et environnemental, aucun ne permet véritablement de suivre l’expansion de la vigne sur le temps long et à l’échelle métropolitaine. A condition de travailler à partir d’un grand nombre de sites, les macrorestes végétaux (graines/fruits et bois/charbons de bois) peuvent ouvrir une telle perspective à l’échelle de l’Holocène, en offrant un moyen d’approcher les populations de vigne sauvage (Vitis vinifera subsp. sylvestris) ainsi que celles de la plante domestique (V. vinifera subsp. vinifera). Dans le cadre du programme de recherche de l’ANR Viniculture et du GDR BioarcheoDat nous réalisons une enquête collective visant à retracer, à partir des données archéobotaniques, les dynamiques chronologiques et spatiales de la répartition et des usages de la vigne sauvage ou domestique (répartition post-glaciaire, diffusion et fluctuations de la viticulture, contextes socio-environnementaux). Nous présentons dans cette communication un premier bilan résultant d’un inventaire à large échelle des sites archéologiques ayant fait l’objet d’une étude carpologique et/ou anthraco/xylologique, permettant (1) de recenser les attestations de la vigne, afin (2) d’évaluer la récurrence de ses vestiges selon le contexte géo-chronologique, le statut du site et sa localisation dans les réseaux de circulation, l’effort d’échantillonnage réalisé et les modes de préservation attestés

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    International audienceLe vin joue un rôle économique et culturel capital depuis l’âge du Fer en France. Dès cette époque, la viticulture s’implante dans le Midi méditerranéen puis va progressivement se diffuser dans la zone tempérée. L’archéologie a bien montré à quel point le Haut-Empire romain représente une étape clé dans cette diffusion (Poux et al. 2011). Cependant, les différents marqueurs à disposition de l’archéologie culturelle et spatiale (aménagements, structures, mobiliers) sont généralement limités à des fenêtres chrono-géographiques particulières. Changeant en fonction du contexte technique, culturel et environnemental, aucun ne permet véritablement de suivre l’expansion de la vigne sur le temps long et à l’échelle métropolitaine. A condition de travailler à partir d’un grand nombre de sites, les macrorestes végétaux (graines/fruits et bois/charbons de bois) peuvent ouvrir une telle perspective à l’échelle de l’Holocène, en offrant un moyen d’approcher les populations de vigne sauvage (Vitis vinifera subsp. sylvestris) ainsi que celles de la plante domestique (V. vinifera subsp. vinifera). Dans le cadre du programme de recherche de l’ANR Viniculture et du GDR BioarcheoDat nous réalisons une enquête collective visant à retracer, à partir des données archéobotaniques, les dynamiques chronologiques et spatiales de la répartition et des usages de la vigne sauvage ou domestique (répartition post-glaciaire, diffusion et fluctuations de la viticulture, contextes socio-environnementaux). Nous présentons dans cette communication un premier bilan résultant d’un inventaire à large échelle des sites archéologiques ayant fait l’objet d’une étude carpologique et/ou anthraco/xylologique, permettant (1) de recenser les attestations de la vigne, afin (2) d’évaluer la récurrence de ses vestiges selon le contexte géo-chronologique, le statut du site et sa localisation dans les réseaux de circulation, l’effort d’échantillonnage réalisé et les modes de préservation attestés

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    International audienceLe vin joue un rôle économique et culturel capital depuis l’âge du Fer en France. Dès cette époque, la viticulture s’implante dans le Midi méditerranéen puis va progressivement se diffuser dans la zone tempérée. L’archéologie a bien montré à quel point le Haut-Empire romain représente une étape clé dans cette diffusion (Poux et al. 2011). Cependant, les différents marqueurs à disposition de l’archéologie culturelle et spatiale (aménagements, structures, mobiliers) sont généralement limités à des fenêtres chrono-géographiques particulières. Changeant en fonction du contexte technique, culturel et environnemental, aucun ne permet véritablement de suivre l’expansion de la vigne sur le temps long et à l’échelle métropolitaine. A condition de travailler à partir d’un grand nombre de sites, les macrorestes végétaux (graines/fruits et bois/charbons de bois) peuvent ouvrir une telle perspective à l’échelle de l’Holocène, en offrant un moyen d’approcher les populations de vigne sauvage (Vitis vinifera subsp. sylvestris) ainsi que celles de la plante domestique (V. vinifera subsp. vinifera). Dans le cadre du programme de recherche de l’ANR Viniculture et du GDR BioarcheoDat nous réalisons une enquête collective visant à retracer, à partir des données archéobotaniques, les dynamiques chronologiques et spatiales de la répartition et des usages de la vigne sauvage ou domestique (répartition post-glaciaire, diffusion et fluctuations de la viticulture, contextes socio-environnementaux). Nous présentons dans cette communication un premier bilan résultant d’un inventaire à large échelle des sites archéologiques ayant fait l’objet d’une étude carpologique et/ou anthraco/xylologique, permettant (1) de recenser les attestations de la vigne, afin (2) d’évaluer la récurrence de ses vestiges selon le contexte géo-chronologique, le statut du site et sa localisation dans les réseaux de circulation, l’effort d’échantillonnage réalisé et les modes de préservation attestés
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