682 research outputs found

    The Non-Legume Parasponia andersonii Mediates the Fitness of Nitrogen-Fixing Rhizobial Symbionts Under High Nitrogen Conditions

    Get PDF
    Organisms rely on symbiotic associations for metabolism, protection, and energy. However, these intimate partnerships can be vulnerable to exploitation. What prevents microbial mutualists from parasitizing their hosts? In legumes, there is evidence that hosts have evolved sophisticated mechanisms to manage their symbiotic rhizobia, but the generality and evolutionary origins of these control mechanisms are under debate. Here, we focused on the symbiosis between Parasponia hosts and N2-fixing rhizobium bacteria. Parasponia is the only non-legume lineage to have evolved a rhizobial symbiosis and thus provides an evolutionary replicate to test how rhizobial exploitation is controlled. A key question is whether Parasponia hosts can prevent colonization of rhizobia under high nitrogen conditions, when the contribution of the symbiont becomes nonessential. We grew Parasponia andersonii inoculated with Bradyrhizobium elkanii under four ammonium nitrate concentrations in a controlled growth chamber. We measured shoot and root dry weight, nodule number, nodule fresh weight, nodule volume. To quantify viable rhizobial populations in planta, we crushed nodules and determined colony forming units (CFU), as a rhizobia fitness proxy. We show that, like legumes and actinorhizal plants, P. andersonii is able to control nodule symbiosis in response to exogenous nitrogen. While the relative host growth benefits of inoculation decreased with nitrogen fertilization, our highest ammonium nitrate concentration (3.75 mM) was sufficient to prevent nodule formation on inoculated roots. Rhizobial populations were highest in nitrogen free medium. While we do not yet know the mechanism, our results suggest that control mechanisms over rhizobia are not exclusive to the legume clade.</p

    Parallax and Kinematics of PSR B0919+06 from VLBA Astrometry and Interstellar Scintillometry

    Get PDF
    Results are presented from a long-term astrometry program on PSR B0919+06 using the NRAO Very Long Baseline Array. With ten observations (seven epochs) between 1994--2000, we measure a proper motion of 18.35 +/- 0.06 mas/yr in RA, 86.56 +/- 0.12 mas/yr in Dec, and a parallax of 0.83 +/- 0.13 mas (68% confidence intervals). This yields a pulsar distance of 1.21 +/- 0.19 kpc, making PSR B0919+06 the farthest pulsar for which a trigonometric parallax has been obtained, and the implied pulsar transverse speed is 505 +/- 80 km/s. Combining the distance estimate with interstellar scintillation data spanning 20 years, we infer the existence of a patchy or clumpy scattering screen along the line of sight in addition to the distributed electron density predicted by models for the Galaxy, and constrain the location of this scattering region to within about 250 parsecs of the Sun. Comparison with the lines of sight towards other pulsars in the same quadrant of the Galaxy permits refinement of our knowledge of the local interstellar matter in this direction.Comment: 12 pages, includes 4 figures and 3 tables, uses AASTeX 5 (included); ApJ submitte

    Place et rôle du riz pluvial dans les systèmes de production du lac Alaotra Les systèmes SCV (semis direct sur couverture végétale permanente) : une alternative viable pour une agriculture pluviale durable

    Get PDF
    La région de l'Alaotra repose sur un plateau situé à 750 mètres d'altitude avec au cœur de la plaine le lac Alaotra. La surface cultivée en riziculture est estimée à 148 500 ha en 2000 (FAO/UPDR, 2000), dont 75-80 000 ha dans la cuvette du Lac et plus de 65-70 000 ha au sud et dans les zones en périphérie, qui constitue 10% de la surface rizicole nationale pour seulement 4% des riziculteurs malgaches. Cette région réalise 33% de la valeur ajoutée de l'ensemble de la filière nationale et 15% de la richesse générée par le secteur riz. Le climat irrégulier constitue une contrainte majeure pour tous les agriculteurs du lac Alaotra. Les relations agriculture-élevage sont au cœur de la problématique de développement et d'évolution des exploitations agricoles.Ainsi, avec la saturation des rizières irrigables ou à Mauvaise Maîtrise de l'Eau (RMME), la colonisation agricole des tanety anciennement dévolus aux pâturages extensifs depuis les années 1980 s'est accélérer, induisant la perturbation des activités d'élevage bovin traditionnel extensif à objectif de capitalisation qui évoluent aujourd'hui vers un élevage productif (embouche et production laitière) ou de trait. Le diagnostic réalisé en 2007 a mis en évidence 7 types d'exploitations agricoles différents. Les différents systèmes de riziculture pluviale se retrouvent sur les plateaux sommitaux et les pentes des collines (en rotation jachère culture sur les sols très pauvres), les bas de pente et les baiboho, en rotation avec d'autres cultures pluviales (maïs, manioc, pois de terre...) avec ou sans jachère, ou en système SCV depuis leur introduction au début des années 2000. L'introduction de variétés composites poly-aptitudes de type Sebota a pu lever une contrainte majeure des zones ni totalement irriguées ni totalement pluviales mais intermédiaires dans les RMME (riziculture pluviale partiellement irriguée, selon l'accès à l'eau et les caractéristiques climatiques de la saison), Les systèmes SCV mis au point sur baiboho avec des successions culturales de type riz de saison / haricot de contre saison - maïs de saison ou riz de saison puis vesce de contre saison associée ou non à des cultures maraîchères montrent également un niveau de production et de sécurité par rapport aux aléas climatiques très proche voire supérieurs à ceux obtenus en riziculture irriguée. La part du riz pluvial dans la formation du revenu et la sécurité alimentaire a été analysée pour chaque type d'exploitation et varie de 20 à 30 % du revenu riz total (avant autoconsommation), et se révèle croissante en fonction du rapport tanety / rizière dans l'exploitation. Ainsi, sur certaines zones, le riz pluvial semble avoir de beaux jours devant lui

    Rôle et place du riz pluvial dans les exploitations du lac Alaotra

    Get PDF
    International audienceLa région de l'Alaotra repose sur un plateau situé à 750 mètres d'altitude avec au cœur de la plaine le lac Alaotra. La surface cultivée en riziculture est estimée à 148 500 ha en 2000 (FAO/UPDR, 2000), dont 75-80 000 ha dans la cuvette du Lac et plus de 65-70 000 ha au sud et dans les zones en périphérie, qui constitue 10% de la surface rizicole nationale pour seulement 4% des riziculteurs malgaches. Cette région réalise 33% de la valeur ajoutée de l'ensemble de la filière nationale et 15% de la richesse générée par le secteur riz. Le climat irrégulier constitue une contrainte majeure pour tous les agriculteurs du lac Alaotra. Les relations agriculture-élevage sont au cœur de la problématique de développement et d'évolution des exploitations agricoles.Ainsi, avec la saturation des rizières irrigables ou à Mauvaise Maîtrise de l'Eau (RMME), la colonisation agricole des tanety anciennement dévolus aux pâturages extensifs depuis les années 1980 s'est accélérer, induisant la perturbation des activités d'élevage bovin traditionnel extensif à objectif de capitalisation qui évoluent aujourd'hui vers un élevage productif (embouche et production laitière) ou de trait. Le diagnostic réalisé en 2007 a mis en évidence 7 types d'exploitations agricoles différents. Les différents systèmes de riziculture pluviale se retrouvent sur les plateaux sommitaux et les pentes des collines (en rotation jachère culture sur les sols très pauvres), les bas de pente et les baiboho, en rotation avec d'autres cultures pluviales (maïs, manioc, pois de terre...) avec ou sans jachère, ou en système SCV depuis leur introduction au début des années 2000. L'introduction de variétés composites poly-aptitudes de type Sebota a pu lever une contrainte majeure des zones ni totalement irriguées ni totalement pluviales mais intermédiaires dans les RMME (riziculture pluviale partiellement irriguée, selon l'accès à l'eau et les caractéristiques climatiques de la saison), Les systèmes SCV mis au point sur baiboho avec des successions culturales de type riz de saison / haricot de contre saison - maïs de saison ou riz de saison puis vesce de contre saison associée ou non à des cultures maraîchères montrent également un niveau de production et de sécurité par rapport aux aléas climatiques très proche voire supérieurs à ceux obtenus en riziculture irriguée. La part du riz pluvial dans la formation du revenu et la sécurité alimentaire a été analysée pour chaque type d'exploitation et varie de 20 à 30 % du revenu riz total (avant autoconsommation), et se révèle croissante en fonction du rapport tanety / rizière dans l'exploitation. Ainsi, sur certaines zones, le riz pluvial semble avoir de beaux jours devant lui. Mots clés : Riz pluvial, exploitation agricoles, lac Alaotra, SCV, riz poly-aptitudes

    Parallax of PSR J1744-1134 and the Local Interstellar Medium

    Get PDF
    We present the annual trigonometric parallax of PSR J1744-1134 derived from an analysis of pulse times of arrival. The measured parallax, pi = 2.8+/-0.3 mas ranks among the most precisely determined distances to any pulsar. The parallax distance of 357+/-39 pc is over twice that derived from the dispersion measure using the Taylor & Cordes model for the Galactic electron distribution. The mean electron density in the path to the pulsar, n_e = (0.0088 +/- 0.0009) cm^{-3}, is the lowest for any disk pulsar. We have compared the n_e for PSR J1744-1134 with those for another 11 nearby pulsars with independent distance estimates. We conclude that there is a striking asymmetry in the distribution of electrons in the local interstellar medium. The electron column densities for pulsars in the third Galactic quadrant are found to be systematically higher than for those in the first. The former correlate with the position of the well known local HI cavity in quadrant three. The excess electrons within the cavity may be in the form of HII clouds marking a region of interaction between the local hot bubble and a nearby superbubble.Comment: revised version accepted for publication in ApJ Letters; reanalysis of uncertainty in parallax measure and changes to fig

    The political economy of the Jospin government

    Get PDF
    This article explores the political economy of the French Socialist Party (PS), beginning with the neo-liberal U-turn of 1983. It then charts the re-evaluation of the PS's political economic foundations after the 1993 defeat, the rejection of the neo-liberal 'pensée unique', and the rehabilitation of a broadly Keynesian frame of reference. The article goes on to explore how this shift has fed through into the Jospin government's policy and positions at both the national and international level. It explores aspirations to reinvent the EU as a Keynesian social democratic 'policy space', and at the national level, employment, macroeconomic, and structural policies

    Risk of malignant lymphoma associated with human herpesvirus-8: a case–control study in Spain

    Get PDF
    No overall increased risk of lymphoma associated with antibodies to human herpesvirus-8 was found in 526 lymphomas and 599 controls (odds ratio (OR)=1.04, 95% confidence interval (CI)=0.62-1.75); significant increases were noted for 19 lymphoplasmacytic lymphomas (OR=4.47, 95% CI=1.34-14.85) and nine low-grade lymphoma/lymphoma B-cell NOS (OR=5.82, 95% CI=1.07-31.73)

    Antitumour necrosis factor-α therapy for hidradenitis suppurativa: results from a national cohort study between 2000 and 2013

    Get PDF
    International audienceHidradenitis suppurativa (HS) is a frequent chronic inflammatory skin disease typically characterized by recurrent painful, deep inflammatory nodules of the axillary, breast, groin and gluteal areas. European recommendations are mainly based on expert opinion. Drug treatments are heterogenous (e.g., antibiotics, corticosteroids, retinoids) and lack consensus among expert centres. The most severe disease forms or those failing to respond to conventional drugs may be associated with worsened functional prognosis. Anti-tumor necrosis factor α (anti-TNFα) drugs have been prescribed in these cases. The results of randomized controlled trials (RCTs) are discordant. Three RCTs concluded to the efficacy of adalimumab (ADA), and two others did not detect any difference between infliximab (IFX) or etanercept (ETA) and placebo. Finally, data from the literature and reported experiences do not conclude on the efficacy of anti-TNFα drugs for HS. This article is protected by copyright. All rights reserve
    corecore