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    Virulence Potential and Genomic Mapping of the Worldwide Clone Escherichia coli ST131

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    Recently, the worldwide propagation of clonal CTX-M-15-producing Escherichia coli isolates, namely ST131 and O25b:H4, has been reported. Like the majority of extra-intestinal pathogenic E. coli isolates, the pandemic clone ST131 belongs to phylogenetic group B2, and has recently been shown to be highly virulent in a mouse model, even though it lacks several genes encoding key virulence factors (Pap, Cnf1 and HlyA). Using two animal models, Caenorhabditis elegans and zebrafish embryos, we assessed the virulence of three E. coli ST131 strains (2 CTX-M-15- producing urine and 1 non-ESBL-producing faecal isolate), comparing them with five non-ST131 B2 and a group A uropathogenic E. coli (UPEC). In C. elegans, the three ST131 strains showed intermediate virulence between the non virulent group A isolate and the virulent non-ST131 B2 strains. In zebrafish, the CTX-M-15-producing ST131 UPEC isolates were also less virulent than the non-ST131 B2 strains, suggesting that the production of CTX-M-15 is not correlated with enhanced virulence. Amongst the non-ST131 B2 group isolates, variation in pathogenic potential in zebrafish embryos was observed ranging from intermediate to highly virulent. Interestingly, the ST131 strains were equally persistent in surviving embryos as the non-ST131-group B2 strains, suggesting similar mechanisms may account for development of persistent infection. Optical maps of the genome of the ST131 strains were compared with those of 24 reference E. coli strains. Although small differences were seen within the ST131 strains, the tree built on the optical maps showed that these strains belonged to a specific cluster (86% similarity) with only 45% similarity with the other group B2 strains and 25% with strains of group A and D. Thus, the ST131 clone has a genetic composition that differs from other group B2 strains, and appears to be less virulent than previously suspected

    Etude cas-témoin pour démontrer que le traitement au domicile par une monothérapie orale de 10 jours de la pyélonéphrite aiguë no compliquée n'entrîne pas de séquelles rénales chroniques

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    Introduction : Après une prise en charte hospitalière et antibiothérapie parentérale, la pyélonéphrite aiguë (PNA) non compliquée est depuis une dizaine d'années traitée au domicile par une monothérapie orale de 10-14 jours. On peut, cependant, s'interroger sur le retentissement à long terme que cette prise en charge " simplifiée ", pourrait avoir sur la fonction rénale. But : Rechercher la survenue de séquelles, notamment, une hyper tension artérielle systémique ou une insuffisance rénale chronique, chez des malades de pyélonéphrite aiguë non compliquée, traitées après tirage au sort, au domicile ou par une monothérapie à long terme que cette mise en charge " simplifiée, pourrait avoir sur la fonction rénale.. But : Rechercher la survenue des séquelles, notamment, une hyper tension artérielle systémique ou une insuffisance rénale chronique, chez des malades de pyélonéphrite aiguë non compliquée, traitées après tirage au sort ; au domicile ou à l'hôpital per os pendant 10 jours. Méthode : Les patientes incluses au S.A.U. de l'hôpital Lariboisière au cours d'un étude prospective, multicentrique, randomisée, hôpital vs domicile, réalisée entre 1995 et 1998, ont été recontactées au cours de l'année 2002. Les patientes retrouvées, ont accepté de répondre à un questionnaire, et d'avoir une mesure de la pression artérielle et un dosage de créatininémie. Lors de cette unique consultation, chaque cas a été apparié à 2 témoins comparables pour toutes les caractéristiques médico-démographiques ) l'exception de la PNA, chez lesquelles a été conduit de façon contemporaine le même examen/ Rappelons que les 2 paramètres de l'examen étaient normaux chez tous les cas lors de l'épisode aiguë, condition sine qua non à leur inclusion dans l'étude randomisée. Les données de l'examen de 2002 ont été comparées, d'une part entre les cas traités au domicile ou à l'hôpital entre 95-98 d'autre part à celles des témoins...PARIS7-Villemin (751102101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Usage criminel de produits psychoactifs : analyse d'une série parisienne

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    L'administration de psychotrope à l'insu d'une victime est un mode d'agression méconnu dont la fréquence est mal évaluée. Une étude impliquant des services cliniques et d'information toxicologique Parisiens a permis le recensement de 137 observations entre 1993 et 2001. Ont été étudiés les circonstances de l'agression, la symptomatologie retrouvée chez la victime, les résultats des analyses toxicologiques, l'imputabilité du psychotrope identifié. Les infractions sont majoritairement des vols et des agressions sexuelles. Les produits psycho-actifs ont été incorporés dans des boissons, alcoolisées ou non, plus rarement dans des aliments. Les produits les plus souvent utilisés sont des benzodiazépines ou analogues (87 %) ; toutes sont représentées notamment bromazépam, lorazépam, flunitrazépam et zolpidem. Les autres substances incriminées sont beaucoup plus rarement des antihistaminiques sédatifs, des neuroleptiques et du GHB. L'association à l'alcool est retrouvée 1 fois sur 3, au cannabis 1 fois sur 5. Les victimes doivent être médicalisées rapidement afin de favoriser des prélèvements à visée toxicologique précoces. Ceux-ci doivent bénéficier de techniques analytiques chromatographiques en complément des techniques immunochimiques de sensibilité et de spécificité insuffisantes. Le relais médico-légal doit être favorisé en sollicitant les structures médico-judiciaires existantes ; le recensement des observations doit se poursuivre au niveau national afin de quantifier le phénomène et de surveiller l'apparition de nouveaux produits
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