390 research outputs found

    C-terminal amino acids are essential for human heat shock protein 70 dimerization

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    The human inducible heat shock protein 70 (hHsp70), which is involved in several major pathologies, including neurodegenerative disorders and cancer, is a key molecular chaperone and contributes to the proper protein folding and maintenance of a large number of protein structures. Despite its role in disease, the current structural knowledge of hHsp70 is almost exclusively based on its Escherichia coli homolog, DnaK, even though these two proteins only share ~50 % amino acid identity. For the first time, we describe a complete heterologous production and purification strategy that allowed us to obtain a large amount of soluble, full-length, and non-tagged hHsp70. The protein displayed both an ATPase and a refolding activity when combined to the human Hsp40. Multi-angle light scattering and bio-layer interferometry analyses demonstrated the ability of hHsp70 to homodimerize. The role of the C-terminal part of hHsp70 was identified and confirmed by a study of a truncated version of hHsp70 that could neither dimerize nor present refolding activity

    Human genetic polymorphisms in T1R1 and T1R3 taste receptor subunits affect their function.

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    International audienceUmami is the typical taste induced by monosodium glutamate (MSG), which is thought to be detected by the heterodimeric G protein-coupled receptor, T1R1 and T1R3. Previously, we showed that MSG detection thresholds differ substantially between individuals and we further showed that nontaster and hypotaster subjects are associated with nonsynonymous single polymorphisms occurring in the T1R1 and T1R3 genes. Here, we show using functional expression that both amino acid substitutions (A110V and R507Q) in the N-terminal ligand-binding domain of T1R1 and the 2 other ones (F749S and R757C), located in the transmembrane domain of T1R3, severely impair in vitro T1R1/T1R3 response to MSG. A molecular model of the ligand-binding region of T1R1/T1R3 provides a mechanistic explanation supporting functional expression data. The data presented here support causal relations between the genotype and previous in vivo psychophysical studies in human evaluating sensitivity to MSG

    Recent smell loss is the best predictor of COVID-19 among individuals with recent respiratory symptoms

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    In a preregistered, cross-sectional study we investigated whether olfactory loss is a reliable predictor of COVID-19 using a crowdsourced questionnaire in 23 languages to assess symptoms in individuals self-reporting recent respiratory illness. We quantified changes in chemosensory abilities during the course of the respiratory illness using 0-100 visual analog scales (VAS) for participants reporting a positive (C19+; n=4148) or negative (C19-; n=546) COVID-19 laboratory test outcome. Logistic regression models identified univariate and multivariate predictors of COVID-19 status and post-COVID-19 olfactory recovery. Both C19+ and C19- groups exhibited smell loss, but it was significantly larger in C19+ participants (mean±SD, C19+: -82.5±27.2 points; C19-: -59.8±37.7). Smell loss during illness was the best predictor of COVID-19 in both univariate and multivariate models (ROC AUC=0.72). Additional variables provide negligible model improvement. VAS ratings of smell loss were more predictive than binary chemosensory yes/no-questions or other cardinal symptoms (e.g., fever). Olfactory recovery within 40 days of respiratory symptom onset was reported for ~50% of participants and was best predicted by time since respiratory symptom onset. We find that quantified smell loss is the best predictor of COVID-19 amongst those with symptoms of respiratory illness. To aid clinicians and contact tracers in identifying individuals with a high likelihood of having COVID-19, we propose a novel 0-10 scale to screen for recent olfactory loss, the ODoR-19. We find that numeric ratings ≤2 indicate high odds of symptomatic COVID-19 (4<10). Once independently validated, this tool could be deployed when viral lab tests are impractical or unavailable

    Time management for real-time systems

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    Récepteurs du goût et peau

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    National audienceLe sens du goût est dédié à l’évaluation du contenu nutritif des aliments. La détection des molécules sucrées et des acides aminés permet d’identifier des nutriments riches en énergie. À l’inverse, la perception de l’amertume génère des comportements alimentaires aversifs. Grâce à elle, nous évitons les composés toxiques, tels la strychnine ou d’autres alcaloïdes végétaux. Détecter le goût salé est également de première importance pour maintenir l’homéostasie hydrominérale. Quant à l’acidité, elle est un indicateur de la maturité des fruits et permet de détecter des éventuelles contaminations bactériennes. La saveur acide permet de signaler à l’organisme une consommation d’acides à forte concentration qui pourraient endommager les tissus et la dentition. La saveur d’un aliment est perçue par les cellules sensorielles des dizaines de milliers de bourgeons gustatifs localisés sur la langue et le voile du palais principalement. Les substances sapides présentes dans la nourriture ingérée se dissolvent dans la salive et stimulent les cellules gustatives via l’activation de détecteurs situés à leur surface. Les différents récepteurs du goût ont été identifiés au début des années 2000. Après leur découverte dans la bouche au début des années 2000, un certain nombre de récepteurs gustatifs a été mis en évidence dans de nombreux autres tissus et organes tels que l’intestin, le pancréas, la vessie, les tissus adipeux, ou le cerveau. De façon surprenante, des études récentes ont mis en évidence la présence de 2 récepteurs au goût amer dans des cellules de la peau. Le rôle de ces récepteurs en dehors de la bouche sera présenté ainsi que l’intérêt des récepteurs à l’amer dans la peau comme cible d’études en cosmétologie

    Des approches biotechnologiques au service du goût

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    National audienc

    Pour augmenter la sensation de sucré, il faut tuer l'amer

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    National audienc

    Des récepteurs à l'odeur : l'olfaction au quotidien

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    National audienceUne des particularités du système olfactif est sa capacité à détecter et discriminer une myriade de composés odorants, le plus souvent présents en mélanges à des concentrations très faibles. Cette détection chimique est fondée sur une reconnaissance stéréochimique d'un ensemble complexe de molécules très diverses par des récepteurs olfactifs (RO). Des études génétiques conduites chez les rongeurs dès le début des années 1990 ont permis de dénombrer et d’identifier les gènes codant les récepteurs olfactifs. Cette découverte majeure a valu à Linda Buck et Richard Axel d’obtenir le Prix Nobel de médecine et physiologie en 2004. Des études génétiques ont révélé ensuite chez l’être humain la présence d’environ 380 gènes différents, alors qu’on est capable de distinguer des dizaines de milliers d’odeurs, suggérant un codage combinatoire. Il est maintenant démontré que la perception olfactive résulte d’un tel codage, dans lequel un RO reconnaît de multiples odorants, alors que différents odorants sont reconnus par différentes combinaisons de RO. Il est connu depuis très longtemps que nous ne somme pas égaux par rapport au sens de l’odorant. Des études récentes ont révélé des différences inter-individuelles importantes de sensibilité à la nature et à l’intensité des odeurs liés à la présence d’un polymorphisme génétique de certains gènes codant des RO. Par ailleurs, les avancées dans le séquençage du génome (ensemble des gènes) de nombreuses espèces animales a permis de montrer que le nombre de récepteurs olfactifs varie énormément selon les espèces et est corrélé à la performance de leur odorat
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