El rentismo nobiliario en la agricultura valenciana en el siglo XIX

El articulo discute los caracteres sociales de la nobleza terrateniente y el papel de la propiedad «rentista» en el desarrollo agrario valenciano del siglo XIX. En la primera parte se estudia la nobleza propietaria a mediados del siglo XIX y se cuestiona la tesis de su continuidad respecto a los antiguos señores feudales. En la segunda se destaca, a través del estudio de un patrimonio de la nobleza sin título, que la gestión era, a la vez, «rentista» y «empresarial », y se intenta explicar la lógica de este comportamiento.This article aims to discuss the social features of the landed nobility and the role of «rentier» landownership in the development of Valencian agriculture in the nineteenth-century. In the first part attention is paid to discuss the transformation of former feudal landlords into middle class landowners. The second part is devoted to the study of a family of the lower nobility and the simultaneous variety of economic roles of the family —who was at the same time mostly «rentier» and «entrepreneur»—, and tries to explain the logic of these [email protected] (el artículo no aparece en grec

Vasa picta ibérica. Talleres de cerámica del Sureste hispano (s.II a.C-I d.C.)

Coordinadores: Trinidad Tortosa Rocamora y Antonio M. Poveda Navarro.Este libro recoge los resultados de la propuesta del Seminario organizado en Elda (Alicante) que, como su título indica, recoge análisis sobre el interesante conjunto de materiales vasculares que se enmarcan en un tiempo y una geografía precisa del sureste peninsular, área valenciana y albacetense. Esta iniciativa nos pareció que, en este momento, adquiría un valor añadido ya que nuevas revisiones obtenidas a la luz de antiguas informaciones, hoy revisadas o la información aportada por nuevos contextos, con estudios, como los aquí presentados, configuran el momento oportuno para dedicar una obra a estos objetos arqueológicos tan significativos en la bibliografía, sobre todo, del siglo XX. El Monastil, el Tossal de Manises, el Tolmo de Minateda, el Cabecico del Tesoro… son algunos de los nombres iconos de esta cerámica que vuelven a lucir en esta obra. Por otra parte, el libro guarda una estructura un tanto peculiar debido al ámbito global al que pretende atender y que se convierte, en nuestra opinión, en su valor añadido. Se trata del propio hecho de que lo presentemos como homenaje a Ricardo Olmos, quien ha dedicado parte de su obra a tratar algunos de los temas específicos que se afrontan en estas páginas, como por ejemplo, en el caso de los estudios sobre la Alcudia (Elche, Alicante). Los avances que este investigador ha venido proporcionando a lo largo del tiempo han supuesto para la disciplina de la iconografía arqueológica, un avance en la metodología y en el conocimiento del ámbito ibérico. Finalizamos estas páginas con un entrañable recuerdo hacia una de las primeras arqueólogas que observó y sistematizó la cerámica ibérica en la provincia alicantina, Solveig Nordström (1923-2021), desaparecida en el tiempo en el que se imprimía este libro.Esta publicación se integra en el proyecto nacional de I+D+i: HAR2017-87897-P, Reubicando los objetos ibéricos del MAN: de rituales, biografías y observaciones a través de los modelos 3D.Peer reviewe

Urbanisme civique en temps de crise

L'histoire des villes et des cités de l'Occident romain ne doit plus être écrite comme celle d'un déclin progressif entre le Haut-Empire et l'Antiquité tardive. Néanmoins, l'image laissée par ces communautés civiques et la cellule administrative fondamentale de l'Empire se trouble progressivement entre les iie et ive siècles. La documentation tardive, peu abondante, souvent de nature juridique ou ecclésiastique et de portée générale, rend compte de la permanence globale de la vie municipale, mais la disparition progressive des donnés épigraphiques ne permet plus de cerner sa diversité et sa richesse. Or, les vestiges archéologiques livrent un tableau contrasté de l'évolution des espaces civiques. Si leur occupation semble se pérenniser sans changement significatif dans quelques grandes villes, ailleurs la dégradation de monuments et de lieux publics ou leur occupation par des activités privées, voire leur abandon pur et simple, signalent des processus de changement dans l'activité civique qui tranchent avec la perception actuelle de la pérennité de la vie des cités. Comment faut-il interpréter cette évolution ? Faut-il y voir le témoignage d'une crise urbaine ou seulement la transformation de la pratique civique et un changement dans l'utilisation des espaces dédiés à la vie de la communauté ? S'agit-il de phénomènes diffus ou localisés ? Afin de fournir des éléments de réponse à ces questions, ce livre fondé sur un bilan mais également sur des découvertes récentes croise les Histoires provinciales, les trajectoires singulières et les destins trasversaux des villes et de l'urbanisme civique en Occident entre le Haut-Empire et l'Antiquité tardive

Urbanisme civique en temps de crise

L'histoire des villes et des cités de l'Occident romain ne doit plus être écrite comme celle d'un déclin progressif entre le Haut-Empire et l'Antiquité tardive. Néanmoins, l'image laissée par ces communautés civiques et la cellule administrative fondamentale de l'Empire se trouble progressivement entre les iie et ive siècles. La documentation tardive, peu abondante, souvent de nature juridique ou ecclésiastique et de portée générale, rend compte de la permanence globale de la vie municipale, mais la disparition progressive des donnés épigraphiques ne permet plus de cerner sa diversité et sa richesse. Or, les vestiges archéologiques livrent un tableau contrasté de l'évolution des espaces civiques. Si leur occupation semble se pérenniser sans changement significatif dans quelques grandes villes, ailleurs la dégradation de monuments et de lieux publics ou leur occupation par des activités privées, voire leur abandon pur et simple, signalent des processus de changement dans l'activité civique qui tranchent avec la perception actuelle de la pérennité de la vie des cités. Comment faut-il interpréter cette évolution ? Faut-il y voir le témoignage d'une crise urbaine ou seulement la transformation de la pratique civique et un changement dans l'utilisation des espaces dédiés à la vie de la communauté ? S'agit-il de phénomènes diffus ou localisés ? Afin de fournir des éléments de réponse à ces questions, ce livre fondé sur un bilan mais également sur des découvertes récentes croise les Histoires provinciales, les trajectoires singulières et les destins trasversaux des villes et de l'urbanisme civique en Occident entre le Haut-Empire et l'Antiquité tardive