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    La digitalisation et son rĂ´le dans la performance des administrations publiques au Maroc

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    This article of the conceptual literature, more theoretical than practical, aims to analyze the role of digitization in the performance of Moroccan public administrations. In a context of national and global competitiveness, Moroccan companies, municipalities and public administrations are called upon to improve management, optimize the process of their management and remain open to information technologies. The transition to e-government is an imperative imposed by global changes, scientific and technical progress, and the constant demand to increase the quality of outputs and ensure the integrity of operations, so the idea of the integration of participation and use of information has become one of the determinants of success for any institution. The time factor is also considered one of the most important areas of competition between institutions. Indeed, the field of electronic management is also one of the most important technological paths in which the speed of using information has merged with the availability of services in the shortest possible time, and most institutions and governments have embraced this trend and it has become one of the most important criteria by which the distinction and progress of institutions and nations are measured in this century. Therefore, the transition from traditional public administration to an electronic one in its various institutions and departments is necessary. The objective of this article is to present a presentation in which we will generally address the subject of the digitalization of Moroccan public administrations, its advantages, the challenges to be met, the issues and a set of suggestions and recommendations which, in together, will contribute to developing the application of electronic management in Moroccan establishments.   Keywords: digitalization, public administration, electronic administration, traditional administration, digitizing public services, ICT, public administration in Morocco Classification JEL: H83. Type of article: theoretical articleCet article, de la littĂ©rature conceptuelle, plus thĂ©orique que pratique, vise Ă  analyser le rĂ´le de la digitalisation dans la performance des administrations publiques marocaines. Dans un contexte de compĂ©titivitĂ© nationale et mondiale, les sociĂ©tĂ©s marocaines, les communes et les administrations publiques sont appelĂ©es Ă  amĂ©liorer le pilotage, optimiser le processus de leur gestion et rester ouvertes aux technologies d’information. Le passage Ă  l'administration Ă©lectronique est un impĂ©ratif imposĂ© par les changements globaux, le progrès scientifique et technique et la demande constante d'augmenter la qualitĂ© des extrants et d'assurer l'intĂ©gritĂ© des opĂ©rations, de sorte que l'idĂ©e d'intĂ©gration de participation et d'utilisation de l'information est devenue l'un des dĂ©terminants du succès pour toute institution. Le facteur temps est Ă©galement considĂ©rĂ© comme l'un des domaines de concurrence les plus importants entre les institutions. En effet, le domaine de la gestion Ă©lectronique est Ă©galement l'une des voies technologiques les plus importantes dans lesquelles la vitesse d'utilisation de l'information a fusionnĂ© avec la disponibilitĂ© des services dans les plus brefs dĂ©lais, et la plupart des institutions et des gouvernements ont adoptĂ© cette tendance et elle est devenue l'un des critères les plus importants par lesquels la distinction et le progrès des institutions et des nations sont mesurĂ©s au cours de ce siècle. Par consĂ©quent, le passage de l’administration publique traditionnelle Ă  une autre Ă©lectronique dans ses diffĂ©rentes institutions et dĂ©partements s’avère nĂ©cessaire. L’objectif de cet article est de prĂ©senter un exposĂ© dans lequel on abordera d’une façon gĂ©nĂ©rale le sujet de la digitalisation des administrations publiques marocaines, ses avantages, les dĂ©fis Ă  relever, les enjeux et un ensemble de suggestions et de recommandations qui, dans leur ensemble, contribueront Ă  dĂ©velopper l'application de la gestion Ă©lectronique dans les Ă©tablissements marocains.   Mots clĂ©s : digitalisation, administration publique, administration Ă©lectronique, administration traditionnelle, digitaliser les services publics, TIC, administration publique au Maroc. Classification JEL : H83 Type de l’article : article thĂ©oriqu

    Stratégies d'intégration du loisir culturel au système culturel québécois

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    Réalisation de la planification stratégique 2022-2025 du CERESO

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    La planification stratégique est devenue aujourd’hui incontournable dans les organisations. Certains l’utilisent pour bâtir un plan d’actions stratégiques, pour améliorer le fonctionnement de leur structure ou pour booster les performances. D’autres s’en servent comme moyen de contrôle des actions précédemment définies, et d’autres décideurs voient dans la planification stratégique un moyen de communication (Mintzberg cité par Lemire et al., 2015). Les multiples fonctions dévolues à la planification stratégique ont engendré plusieurs définitions de ce concept. Notre mandat porte sur la participation à l’élaboration de la planification stratégique 2022-2025 du Centre d’Expertise et d’accompagnement en innovation sociale (CERESO). Le CERESO est un centre d’expertise dépendant du CEGEP de l’Assomption. Ce fut en premier lieu, un centre de transfert en économie sociale, qui a connu des évolutions pour se concentrer aujourd’hui sur l’innovation sociale. Après 13 ans d’ans d’existence, le CERESO veut asseoir sa notoriété et arriver à un équilibre financier qui lui permettra de mieux servir sa communauté. Le CERESO souhaite aussi devenir un Centre Collégial de Transfert de Technologie en Pratiques Sociales Novatrices (CCTT-PSN). La planification stratégique en cours d’élaboration servira d’outil de communication envers les autorités gouvernementales chargées de l’accréditation CCTT PSN, et de valorisation de l’image du CERESO auprès des membres de son écosystème. Notre rapport présente les différents travaux effectués en vue de l’élaboration de cette planification stratégique. En accord avec le mandant, nous avons opté par une démarche participative incluant l’étude de la perception des parties prenantes. À l’issue de ces travaux, nous avons pu proposer une planification stratégique au mandant suivant le modèle de Bryson et formuler des recommandations sur la base des constats effectués

    Carleton, lorsque le lieu devient lien avec l'autre-- ou l'intégration par l'agir

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    Mutations des régions frontalières avec l’Union européenne: Cahiers du CEFRES N° 9f, Territoires en mutation

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    International audienceCette seconde table ronde a pour sujet les mutations des régions frontalières avec l’Union européenne. Tout d’abord, Michel Foucher (Université Lumière Lyon II) s’intéresse à la problématique sans cesse renouvelée des frontières internes et externes de l’Union européenne, puis G. Lepesant (CERI) se concentre sur les échanges et la coopération aux frontières orientales de l’Allemagne. Jiří Patočka (AV ČR) communique ensuite sur certains aspects du développement des eurorégions en République tchèque tandis que František Zich (UK) s’intéresse aux évolutions des relations entre les habitants des régions frontalières germano-tchèques. Suivent une communication de Giorgio Ficarelli (Comission européenne) sur les actions de soutien de l’Union européenne à la coopération transfrontalière, une autre de Jaroslav Zámečník qui se focalise sur une expérience particulière de coopération frontalière, celle de l’eurorégion Nisa, et une autre de Milan Jeřábek (Masarykova Univerzita), commentant les résultats de sondages réalisés dans les régions frontalières tchéco-allemandes. Enfin, Jiří Tomeš (UK) réfléchit à une problématisation de la différenciation régionale et de son contexte politique et Ľubomír Falťan (SAS) conclut sur quelques remarques au sujet des relations transfrontalières austro-slovaques

    Espace public et champ scientifique : la publicisation des agents scientifiques sous l’emprise de l’idéologie de la vulgarisation

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    We observe from the 1970s theoretical models and diversification mechanisms of scientific publicizing seeing compile the three forms are popular, scientific and cultural activities more recently public debate establishing a democratic dialogue in social controversies scientists. This phenomenon of theoretical diversification takes place at the intersection of issues combining epistemological, communicative and ultimately political questions. However, if the philosopher Jürgen Habermas saw a direct determination of epistemological positioning of actors / agents research into their communication practices within such devices, this perspective appears ill-suited in terms of observations and contemporary sociological theory. A theoretical practice giving a prevalence of the theory of communicative practice can satisfactorily address or social issues taking place in the theory itself, or to objectify so distanced phenomena own objectification of social relations complex science companies. The main risk is the integration of cultural norms and values ​​of a specific scientific field in the results of theoretical activities themselves socio-professional habitus. This work on the cultural values ​​and practices of the actors / agents involved in the research phenomena publicizing science, we have developed four empirical components in the preparation of a thesis in Information Science and communication. The first three components are based on a semi-structured interview corpus, observations and analysis of content generated by research actors involved in three separate devices and corresponding, within certain limits, the above theoretical models: a popular publication, the 2009 and 2010 editions of the Festival of Science, and the deliberations of the National Commission for Public Debate on Nanotechnology and issues. The fourth part focuses on the study of intra-academic training of doctoral recipients multidisciplinary communication, information and scientific mediation, opening our analysis to the observation of phenomena of socialization research stakeholders by publicizing science . These devices all taking place in the same geographical and temporal context, their study allows us to observe the relationship of convergence between them and potential polypratiques actors / agents research. In a sociological study of scientific communication deployed against the public, extension and its ideological corollary (a "knowledge gap", a "lay public," a "neutral science", etc..) To suggest rather in as a community-based social habitus, participating in a phenomenon of socialization identity and generating perceptual schemes and practicality into the areas of communicative theory and the theory of knowledge. Extension tends to overflow the only part of its formal mechanisms to redefine the practice forms of publicizing theoretically divergent. Devices institutionalized public debates taking place in the socio-scientific controversies conduct staged hegemonic superiority of scientific experience in social experiments "external", modeled on a division of the social world based on a distinction functional. This tradition by helping to define the conditions of access of actors / agents to institutionalized social democratic dialogue instances, is inserted between the potential of participation and representation in public space and prioritize forms of intervention stakeholders / social workers according to their proximity to the alleged instances of construction of scientific knowledge.Nous observons depuis les années 1970 une diversification théorique des modèles et dispositifs de la publicisation scientifique, voyant se compiler les trois formes que sont la vulgarisation, l'animation culturelle scientifique et plus récemment les débats publics instaurant un dialogue démocratique au sein des controverses socio-scientifiques. Ce phénomène de diversification théorique prend place au croisement de problématiques alliant des questionnements épistémologiques, communicationnels et finalement politiques. Cependant, si le philosophe Jürgen Habermas voyait une détermination directe du positionnement épistémologique des acteurs/agents de la recherche sur leurs pratiques communicationnelles au sein de tels dispositifs, cette perspective apparaît peu adaptée au regard des observations et de la théorie sociologique contemporaines. Une pratique théorique accordant une prévalence de la théorie sur la pratique communicationnelle ne permet de relever de manière satisfaisante ni les enjeux sociaux prenant place dans la théorie elle-même, ni d'objectiver de manière distanciée les phénomènes d'objectivation des relations sociales propres au complexe sciences sociétés. Le principal risque étant l'intégration des normes et valeurs culturelles d'un habitus socioprofessionnel spécifique au champ scientifique au sein des résultats des activités théoriques elles-mêmes. Ce travail portant sur les valeurs et pratiques culturelles des acteurs/agents de la recherche engagés dans les phénomènes de publicisation des sciences, nous avons développé quatre volets empiriques dans le cadre de la préparation d'une thèse en Sciences de l'Information et de la Communication. Les trois premiers volets s'appuient sur un corpus d'entretiens semi-directifs, d'observations et d'analyse des contenus produits par des acteurs de la recherche engagés dans trois dispositifs distincts et correspondant, dans certaines limites, aux modèles théoriques susmentionnés : une publication de vulgarisation, les éditions 2009 et 2010 de la Fête de la Science, et les débats de la Commission Nationale du Débat Public sur les nanotechnologies et leurs enjeux. Notre quatrième volet porte sur l'étude des formations intra-académiques des doctorants allocataires pluridisciplinaires à la communication, l'information et la médiation scientifiques, ouvrant notre analyse à l'observation des phénomènes de socialisation des acteurs de la recherche par la publicisation des sciences. Ces dispositifs prenant tous place dans un même contexte géographique et temporel, leur étude permet d'observer les liens de convergence entre eux et les polypratiques potentielles des acteurs/agents de la recherche. Au cours d'une étude sociologique de la communication scientifique déployée face aux publics, la vulgarisation et son corollaire idéologique (un « fossé des connaissances », un « public profane », une « science neutre », etc.) se laissent entrevoir plutôt sous la forme d'un habitus socio-communautaire, participant à un phénomène de socialisation identitaire, et générant des schèmes perceptifs et un sens pratique jusque dans les domaines de la théorie communicationnelle et de la théorie de la connaissance. La vulgarisation tend à déborder du seul cadre de ses dispositifs formels pour redéfinir par la pratique les formes de publicisation théoriquement divergentes. Les dispositifs de débats publics institutionnalisés prenant place au sein des controverses socio-scientifiques procèdent à une mise en scène hégémonique d'une supériorité de l'expérience scientifique sur les expériences sociales « externes », calquée selon une division du monde social reposant sur une distinction fonctionnelle. Cette tradition s'intercale entre les potentiels de participation et de représentation dans l'espace public et hiérarchise les formes de l'intervention des différents acteurs/agents sociaux selon leur proximité supposée aux instances de construction des savoirs scientifiques
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