8 research outputs found

    New Mass and Radius Constraints on the LHS 1140 Planets -- LHS 1140 b is Either a Temperate Mini-Neptune or a Water World

    Full text link
    The two-planet transiting system LHS 1140 has been extensively observed since its discovery in 2017, notably with SpitzerSpitzer, HST, TESS, and ESPRESSO, placing strong constraints on the parameters of the M4.5 host star and its small temperate exoplanets, LHS 1140 b and c. Here, we reanalyse the ESPRESSO observations of LHS 1140 with the novel line-by-line framework designed to fully exploit the radial velocity content of a stellar spectrum while being resilient to outlier measurements. The improved radial velocities, combined with updated stellar parameters, consolidate our knowledge on the mass of LHS 1140 b (5.60±\pm0.19 M_{\oplus}) and LHS 1140 c (1.91±\pm0.06 M_{\oplus}) with unprecedented precision of 3%. Transits from SpitzerSpitzer, HST, and TESS are jointly analysed for the first time, allowing us to refine the planetary radii of b (1.730±\pm0.025 R_{\oplus}) and c (1.272±\pm0.026 R_{\oplus}). Stellar abundance measurements of refractory elements (Fe, Mg and Si) obtained with NIRPS are used to constrain the internal structure of LHS 1140 b. This planet is unlikely to be a rocky super-Earth as previously reported, but rather a mini-Neptune with a \sim0.1% H/He envelope by mass or a water world with a water-mass fraction between 9 and 19% depending on the atmospheric composition and relative abundance of Fe and Mg. While the mini-Neptune case would not be habitable, a water-abundant LHS 1140 b potentially has habitable surface conditions according to 3D global climate models, suggesting liquid water at the substellar point for atmospheres with relatively low CO2_2 concentration, from Earth-like to a few bars.Comment: 31 pages, 18 figures, accepted for publication in ApJ

    De la compétence communicative vers la compétence informationnelle

    No full text
    Le concept de compétence communicative est apparu il y a près de quarante ans déjà. Par ailleurs, l’histoire de la didactique nous montre qu’un courant méthodologique perdure une trentaine d’années. Ainsi, nous considérons les réflexions récentes de Christian Puren autour de l’« agir social » et de la « compétence informationnelle » comme étant l’amorce d’un changement annoncé. Loin d’être partisan d’un changement radical, nous considérons l’émergence du concept de compétence informationnelle..

    Progression et transversalité

    No full text
    Quoi de plus incontournable, en matière d'enseignement-apprentissage, que la progression des dispositifs mis en œuvre par les enseignants et des acquisitions qu'ils permettent de susciter ? La progression est sans conteste la condition fondamentale de la dynamique du savoir et de son enrichissement, car tout enseignement est inscrit dans le temps et comporte une dimension narrative : apprendre quelque chose à quelqu'un, c'est nécessairement construire une histoire avec lui, c'est l'entrainer dans un récit dont il est le héros. Peut-on caractériser plus précisément cette progression des apprentissages ? Comment se construit l'histoire de l'apprentissage dans chaque domaine du savoir et dans la diversité des contextes éducatifs ? Telle est la première question à laquelle les contributions du présent ouvrage ont cherché à apporter quelques éléments de réponse. Si l'apprentissage ne peut se passer de progression, il ne peut pas davantage se passer de transversalité. Un savoir ne peut en effet être considéré comme acquis que lorsqu'il fait l'objet d'un transfert, c'est-à-dire lorsque l'apprenant se montre capable de l'utiliser dans d'autres contextes que celui où il lui a été transmis et à d'autres fins que pour lui-même ou pour des visées « savantes ». Apprendre, c'est devenir capable d'utiliser des savoirs dans le cadre d'autres disciplines, en les mettant au service de l'apprentissage scolaire dans son ensemble… et au service de la vie. Mais si cette importance de la transversalité relève à certains égards de l'évidence, il ne suffit pas de l'affirmer ; la convocation de différents regards disciplinaires doit permettre d'aller plus loin en montrant concrètement comment chaque discipline favorise des transferts vers d'autres « champs » qu'elle-même. Tel est le second défi qui était posé aux contributeurs du présent ouvrage, qui constitue les actes de la troisième journée d'études organisée par le CRIPEDIS depuis sa création en 2008

    New Mass and Radius Constraints on the LHS 1140 Planets -- LHS 1140 b is Either a Temperate Mini-Neptune or a Water World

    No full text
    LHS 1140 b and c are two small temperate exoplanets transiting a nearby M4.5 dwarf. The planetary system was observed with multiple facilities since its discovery in 2017, including MEarth, SpitzerSpitzer, HARPS, ESPRESSO, HST, and TESS, placing strong constraints on the physical parameters of the planets and star. Here, we reanalyse the publicly available ESPRESSO observations of LHS 1140 with the novel line-by-line framework designed to fully exploit the radial velocity content of a stellar spectrum while being resilient to outlier measurements. This analysis reduces radial velocity uncertainties by 60% compared with published values derived from the cross-correlation function method. This improvement, combined with updated stellar parameters, consolidates our knowledge on the mass of LHS 1140 b (5.60±\pm0.19 M_{\oplus}) and LHS 1140 c (1.91±\pm0.06 M_{\oplus}) with unprecedented precision (3%). A joint analysis of transit data obtained with SpitzerSpitzer, HST, and TESS allows us to refine the planetary radius for b (1.730±\pm0.025 R_{\oplus}) and c (1.272±\pm0.026 R_{\oplus}). Stellar abundance measurements of refractory elements (Fe, Mg and Si) obtained with NIRPS are used to constrain the internal structure of LHS 1140 b. This habitable zone planet is unlikely to be a rocky super-Earth, but rather a mini-Neptune with a \sim0.1% H/He-rich mass envelope or a water world with a water-mass fraction between 9 and 19% depending on the atmospheric composition and relative abundance of Fe and Mg. Although LHS 1140 c remains consistent with a rocky planet, we detect a 4σσ discrepancy in the transit depths measured by SpitzerSpitzer and TESS. Finally, we find no evidence of the candidate LHS 1140 d and attribute this 80-day signal to stellar activity
    corecore