52 research outputs found

    Market structure, Regulation and the Speed of Mobile Network Penetration

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    The speed of market penetration (i.e. diffusion) is an important summary measure of how well the market works for potential consumers of a new product. This paper identifies the structural features associated with rapid diffusion of mobile telephony. We use a sample of thirty countries over the sixteen years in which average penetration rose from 2% to 97% of the population (earlier studies observed only the initial years of diffusion during which there was typically only one or two networks). We find a non-monotonic effect of market structure, with three firms maximising consumer uptake. Privatization and independent regulation are also important positive factors. Further results show that the market structure effect works only partially through the level of prices

    Regulatory Reform in Road Freight and Retail Distribution

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    The purpose of this paper is to analyse regulatory developments in the road freight and retail distribution industries of OECD Member countries. For each industry, the analysis is divided into four parts. First, structural developments in the industry are outlined. Second, the main features of the regulatory framework are reviewed. The third part compares regulatory approaches on the basis of quantitative indicators of the degree of restrictions placed on market mechanisms. The last part summarises the main outcomes of regulatory reform. The data on regulation and market structure are taken primarily from the OECD International Regulation Database. The main findings of the analysis are the following: Both industries are currently undergoing sweeping changes, with, in particular, the rapid growth of new forms of competition; The pace and scale of liberalisation vary widely from one country and one industry to another, and in many countries there are still regulatory impediments to ... L’objet de ce document est d’analyser l’évolution du cadre réglementaire dans les pays membres de l’OCDE pour le secteur du transport routier de marchandises et pour le secteur du commerce de détail. Pour chacun des secteurs, l’analyse s’articule en quatre parties. La première partie présente l’évolution de la structure du secteur dans les différents pays Membres de l’OCDE. La seconde partie s’intéresse aux principales caractéristiques du cadre réglementaire. La troisième partie propose de comparer les approches réglementaires à partir d’indicateurs quantitatifs exprimant le degré de restrictions imposé aux mécanismes de marché. La quatrième partie présente les principaux résultats de la réforme de la réglementation. Les données sur la réglementation et la structure de marché sont pour la plupart issues de la Base de Données Internationale de l’OCDE sur la réglementation .Les principaux résultats de l’analyse sont les suivants : Les deux secteurs connaissent actuellement de profondes ...data collection, retail trade, road freight, liberalisation, regulation, réglementation, commerce de détail, libéralisation, transport routier de marchandises, collecte de données

    La réforme de la réglementation dans le secteur de la distribution de détail

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    Le présent article a pour principal objectif d’analyser les différences qui caractérisent la réglementation du secteur de la distribution de détail dans la zone OCDE, en s’intéressant plus particulièrement à l’année 1998. Ces différences sont formulées en tenant compte des changements survenus dans ce secteur afin de mettre en lumière les interactions potentielles entre la réglementation et les forces du marché. Plusieurs pays ont complètement libéralisé les réglementations concernant l’accès au marché, les prix et les services. Dans certains pays, il existe actuellement une tendance à introduire des restrictions à l’accès pour les grandes surfaces. Dans d’autres pays, l’accès au marché a été jusqu’à présent freiné par des réglementations restrictives et des contraintes administratives. Les données empiriques disponibles indiquent que les réglementations qui restreignent les heures d’ouvertures des magasins et limitent/gênent l’accès au marché en imposant des obligations spéciales liées à l’enregistrement, à l’emplacement et/ou au seuil de surface de vente brident le dynamisme du secteur (par exemple, en réduisant les taux d’entrée et de sortie et en empêchant la restructuration et la modernisation) ainsi que la pression de la concurrence, et se traduisent par une croissance moins forte de l’emploi et des prix à la consommation plus élevés.

    Le secteur des télécommunications : Réglementation, structure du marché et performance

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    A partir d’une base de données sur la réglementation, la structure de marché et les performances dans l’industrie des télécommunications, ce document étudie les effets de la libéralisation, de l’ouverture des marchés et de la privatisation sur la productivité, les prix et la qualité du service pour les services de téléphonie fixe (interurbains et internationaux) et mobiles (cellulaires) pour 23 pays de l’OCDE au cours de la période 1991-1997. Les données sur la structure de marché et la réglementation sont analysées au moyen de techniques d’analyse factorielle afin de grouper les pays en fonction des politiques suivies et les caractéristiques de leurs marchés. En utilisant comme variables de contrôle les différences dans la technologie et la structure économique, les estimations réalisées sur les données de panel montrent que les anticipations de la concurrence (en utilisant comme proxy le nombre d’années restant avant la libéralisation) et la concurrence effective (en utilisant comme proxy la part de marché des nouveaux entrants ou le nombre de concurrents) entraînent des améliorations au niveau de la productivité et de la qualité et réduisent les prix pour tous les services de télécommunications considérés. Aucun résultat clair ne peut être trouvé au sujet des effets de la privatisation (en utilisant comme proxy la part publique dans l’opérateur de télécommunications publiques et le nombre d’années restant avant la privatisation).

    «Dialogue social» et variétés des capitalismes: une analyse de long terme

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    Cet article vise à tester sur longue période l’hypothèse de convergence des relations industrielles dans les pays développés. Prenant acte de la persistance du débat sur ce point, notamment du fait de la crise actuelle, mais aussi de la diversité des conceptions sous-jacentes, il propose de partir d’un objet de comparaison non prédéterminé par une orientation préalable : le « dialogue social ». Ce concept, utilisé notamment dans le cadre du Bureau international du Travail (BIT), reste toutefois assez flou et appelle une réélaboration. Nous ajoutons aux pratiques d’information, concertation et de négociations collectives, des pratiques moins souvent prises en compte : les pratiques du paritarisme de gestion, de la codétermination, ainsi que l’intervention de l’État, cette dernière pouvant renforcer ou, au contraire, contraindre le dialogue social.Se limitant, pour la partie empirique, à l’ensemble formé par les négociations collectives, les pratiques de codétermination et l’intervention de l’État, l’article examine l’évolution de 19 pays de l’OCDE pour six indicateurs de 1985 à 2011. Le choix est fait de ne pas pondérer a priori l’importance de chaque indicateur, et de procéder à une analyse de données en composantes principales suivie d’une classification par nuées dynamiques. Il en résulte cinq groupes de pays, groupes dotés d’une assez forte stabilité, dont on étudie les transformations au cours du temps. Enfin, les groupes de pays sont examinés sous l’angle des performances économiques et sociales, en retenant la croissance du PIB et l’évolution du taux de chômage. On retrouve alors, sur une base non contrainte par une orientation a priori, les groupes classiquement distingués par les analyses comparatives : les groupes « anglo-saxons », « continentaux », « nordiques » et « méditerranéens », ainsi qu’un dernier groupe composé de la Suisse et du Japon. L’article conclut à la persistance de la diversité au regard du « dialogue social », y compris pour la période récente marquée par la crise.This article presents a study that aimed to test, over an extended period, the hypothesis that there has been a convergence in industrial relations in developed countries. Taking into account the enduring debate on this point, in particular in relation to the current crisis and the diversity of underlying conceptions, it aimed to start with an object of comparison that was not predetermined by any prior orientation, namely, “social dialogue.” However, this concept, used in particular within the International Labour Office (ILO), remains quite vague and needs to be developed further. In addition to information, consultation and collective bargaining practices, practices that are less often considered were also explored, relating to joint management, codetermination, and state intervention, with the latter potentially strengthening or, on the contrary, constraining social dialogue.Empirically dealing only with collective bargaining, codetermination and state intervention practices, this study examined the development in 19 OECD countries of six indicators from 1985 to 2011. The importance of each indicator was not weighted beforehand and the data were analyzed based on the main components, followed by a classification by dynamic groups. The result yielded five fairly stable groups of countries, in which the transformations over time were studied. Lastly, the social and economic performance of the groups of countries was examined based on their GDP growth and evolving unemployment rates. Unconstrained by any a priori orientation, the following groups—traditionally brought out by comparative analyses—were found: “Anglo-Saxon,” “Continental,” “Nordic” and “Mediterranean” groups, as well as a last group formed by Switzerland and Japan. Our study concluded that diversity regarding “social dialogue” has been persistent, including for the recent period marked by the crisis.Este artículo se propone de verificar, dentro de un largo periodo, la hipótesis de convergencia de las relaciones industriales en los países desarrollados. Tomando en cuenta la persistencia del debate sobre este punto y la crisis actual, pero también la diversidad de las concepciones subyacentes, este artículo propone partir de objeto de comparación no pre-determinado por una orientación previa: el “dialogo social”. Este concepto, utilizado especialmente en el marco de la Oficina internacional del trabajo (OIT), es sin embargo vago y necesita una re-elaboración. Añadimos a las prácticas de información, de concertación y de negociación colectivas, las prácticas menos consideradas: las prácticas paritarias de gestión, de co-determinación y, también, las prácticas de intervención del estado que pueden reforzar o, al contrario, restringir el dialogo social.La parte empírica se limita al conjunto formado por las negociaciones colectivas, las prácticas de co-determinación y la intervención del estado. Se examina así la evolución de 19 países de la OCDE con seis indicadores de 1985 a 2011. Se optó por no ponderar a priori la importancia de cada indicador, y por proceder a un análisis de datos en componentes principales seguido de una clasificación por grupos dinámicos. Se obtienen cinco grupos de países, grupos dotados de gran estabilidad, y se estudian sus transformaciones a lo largo del tiempo. Por fin, los grupos de países son examinados bajo la óptica de los rendimientos económicos y sociales, en particular el PBI y la evolución de la tasa de desempleo. Se encuentran entonces, sobre una base no restringida por una orientación a priori, los grupos clásicamente distinguidos por los análisis comparativos: grupos “anglo-sajones”, “continentales”, “nórdicos” y “mediterráneos”. El artículo confirma la persistencia de la diversidad con respecto al “dialogo social”, incluso por el periodo reciente marcado por la crisis
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