465 research outputs found

    Forms of machines, forms of movement

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    DiffusĂ© avec l’accord des Éditions Amsterdam University Press, dĂ©tentrices des droits d’auteur sur ce texte

    Inventing Cinema

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    With machines mediating most of our cultural practices, and innovations, obsolescence and revivals constantly transforming our relation with images and sounds, media feel more unstable than ever. But was there ever a ‘stable’ moment in media history? *Inventing Cinema* proposes to approach this question through an archaeology and epistemology of media machines. The archaeology analyses them as archives of users’ gestures, as well as of modes of perception. The epistemology reconstructs the problems that the machines’ designers and users have strived to solve, and the network of concepts they have elaborated to understand these problems. Drawing on the philosophy of technology and anthropology, *Inventing Cinema* argues that networks of gestures, problems, perception and concepts are inscribed in vision machines, from the camera obscura to the stereoscope, the CinĂ©matographe, and digital cinema. The invention of cinema is ultimately seen as an ongoing process irreducible to a single moment in history

    Jacques MalthĂȘte, StĂ©phanie Salmon (dir.), Recherches et innovations dans l’industrie du cinĂ©ma. Les cahiers des ingĂ©nieurs PathĂ© (1906-1927)

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    Ainsi que 1895 Revue d’histoire du cinĂ©ma s’en fait assez rĂ©guliĂšrement l’écho, l’histoire des techniques a pris ces derniĂšres annĂ©es une place nouvelle dans les Ă©tudes cinĂ©matographiques. Nous ne reviendrons pas ici sur les circonstances qui ont permis une telle Ă©mergence – ou sur les raisons qui ont pu, auparavant, l’empĂȘcher. La publication d’un ouvrage tel que celui dont il est question ici, qui rĂ©unit spĂ©cialistes et non-spĂ©cialistes de plusieurs gĂ©nĂ©rations et nationalitĂ©s, constitue nĂ©..

    Compte rendu

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    La couverture de l’ouvrage de Thomas Perret et Roland Cosandey prĂ©sente pour titre trois noms propres. Ou peut-ĂȘtre deux. Paillard et Bolex, en rouge ; Boolsky, dans les mĂȘmes caractĂšres mais en un rouge sombre tendant au marron. Les deux premiers noms pourraient donc n’en faire qu’un, ce que tendrait Ă  confirmer la pastille reproduite plus bas sur la page cartonnĂ©e, oĂč se retrouvent les deux premiers noms, sur un disque rouge entourĂ© d’un cercle. LĂ , les noms sont en caractĂšres diffĂ©rents, e..

    M=M=M

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    M=M=

    Charles Cros et le problÚme « cinéma » : écrire l'histoire avec Bachelard et Simondon

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    La « premiĂšre vague » de recherches sur l'animation d'images photographiques dans les annĂ©es 1850-1860 provoqua difficultĂ©s et discussions dans l'historiographie du cinĂ©ma. Comment se fait-il que si tĂŽt, une trentaine d'annĂ©es avant sa rĂ©alisation effective concrĂšte, et avant mĂȘme l'Ă©mergence de la photographie instantanĂ©e comme technique acquise, se soient formules des problĂšmes qui sont de fait si proches parfois de ce que fera plus tard le cinĂ©ma ? Et comment Ă©viter, pour rendre compte de ces parallĂšles, la construction d'une histoire tĂ©lĂ©ologique ? AprĂšs un bilan historiographique des dĂ©bats (Sadoul, Bazin, Frizot, Gunning), l'article propose une Ă©laboration basĂ©e sur le concept de problĂšme tel qu'articule par Gaston Bachelard et Gilbert Simondon dans l'histoire des sciences et des techniques. L'exemple du mĂ©connu « ProcĂ©dĂ© d'enregistrement et de reproduction des couleurs, des formes et des mouvements » dĂ©posĂ© par Charles Cros en 1867 est dĂ©veloppĂ© pour illustrer cette approche de l'histoire technologique par l'Ă©pistĂ©mologie des problĂšmes.The “first wave” of research on the animation of photographic images between 1850 and 1870 has been the object of much discussion in the historiography of cinema. How can it be that, some thirty years before the concrete realization of the cinema, and even before the advent of instantaneous photography, there appears the formulation of problems that seem so close to what cinema will later do ? And how, in order to give a pertinent account of these parallels, can we avoid the construction of a teleological history ? After a historiographical synthesis of the debates (Sadoul, Bazin, Frizot, Gunning), this article proposes a hypothesis based on the concept of problem as formulated by Gaston Bachelard and Gilbert Simondon in the history of sciences and technology. The example of Charles Cros's 1867 “Process for the recording and reproduction of colours, forms and movements” is developed to illustrate this approach of technological history through the epistemology of problems

    Malte Hagener, Vinzenz Hediger, Alena Strohmaier (dir.), The State of Post-Cinema : Tracing the Moving Image in the Age of Digital Dissemination

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    Co-dirigĂ© par trois chercheurs en poste dans l’universitĂ© allemande, publiĂ© en anglais par un Ă©diteur londonien (et imprimĂ© aux Pays-Bas), cet ouvrage, pourrait-on penser, ne parle pas de cinĂ©ma. La dĂ©termination de son objet, ce « post-cinĂ©ma » dont le titre affirme qu’il s’agit ici de prĂ©senter « l’état », fait d’ailleurs partie intĂ©grante du propos, tout en la considĂ©rant d’une certaine façon comme devant dĂ©jĂ  ĂȘtre revĂȘtue d’un certain caractĂšre d’évidence. « De maniĂšre gĂ©nĂ©rale, le champ ..

    Ted Fendt (dir.), Jean-Marie Straub DaniÚle Huillet ; DaniÚle Huillet, Jean-Marie Straub, Writings, éd. et trad. Sally Shafto, préface de Miguel Abreu

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    Si l’histoire trouve Ă  s’inscrire dans les livres « de » et « sur » DaniĂšle Huillet et Jean-Marie Straub dont il sera question ici, c’est certainement parce qu’on y trouve des travaux Ă  teneur historique. C’est aussi parce que l’histoire a toujours concernĂ© directement ces cinĂ©astes, que ce soit par rĂ©fĂ©rence au passĂ© proche ou lointain, rĂ©el ou mythologique. C’est encore parce que l’histoire – des Ă©tudes cinĂ©matographiques, de la critique, du cinĂ©ma et de la politique – s’inscrit expliciteme..

    Penser la musique, Écouter les images. Lectures de Cahiers d’art, Jazz et Documents sur le jazz et le cinĂ©ma amĂ©ricains

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    De 1926 Ă  1931, les revues d’art ou plus largement d’actualitĂ© intellectuelle, Cahiers d’art, Jazz et Documents, couvrent de façon inĂ©dite l’actualitĂ© du jazz et du cinĂ©ma amĂ©ricains, notamment. Sous le signe du populaire, de l’AmĂ©rique et d’un apport « exotique » incarnĂ© par la communautĂ© noire amĂ©ricaine, ces spectacles sont hissĂ©s en de nouvelles rĂ©fĂ©rences artistiques vecteurs d’une modernitĂ© idĂ©ale. Le jazz et le cinĂ©ma parlant deviennent alors, progressivement et selon des orientations diffĂ©rentes, de nouveaux objets d’étude esthĂ©tique. Surtout, ils constituent aux yeux de cette presse parisienne, les creusets de valeurs propres Ă  rĂ©gĂ©nĂ©rer une Europe d’aprĂšs‑guerre en dĂ©clin.From 1926 to 1931, Cahiers d’art, Jazz and Documents, magazines on art or culture more generally, covered American jazz and cinema in a new way. Marked by popular culture, the United States and the “exotic” touch embodied by the American black community, these entertainments were elevated to the rank of new forms of artistic expression, vectors of an ideal modernity. Jazz and talkies then became, gradually and in different ways, new objects of aesthetic study. Above all, in the eyes of this Parisian press, they constituted crucibles of values likely to regenerate a post‑war Europe in decline

    Jean-Michel Durafour, L’Homme invisible de James Whale. Soties pour une terreur figurative

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    Cet ouvrage de Jean-Michel Durafour, agrĂ©gĂ© de philosophie aujourd’hui maĂźtre de confĂ©rence Ă  l’UniversitĂ© Paris-Est, s’inscrit Ă  premiĂšre vue dans un « genre » important de l’édition en cinĂ©ma : celui des courts livres centrĂ©s sur une analyse de film. Plusieurs Ă©diteurs y ont consacrĂ© des collections entiĂšres : « Film Classics » au British Film Institute, « CinĂ©philie » chez La Transparence – oĂč Jean-Michel Durafour a dĂ©jĂ  publiĂ© Millenium Mambo en 2006 –, ou « CĂŽtĂ© films » chez Yellow Now. ..
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