9 research outputs found

    Mother-to-Child Transmission of HTLV-1 Epidemiological Aspects, Mechanisms and Determinants of Mother-to-Child Transmission

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    Human T-cell Lymphotropic Virus type 1 (HTLV-1) is a human retrovirus that infects at least 5–10 million people worldwide, and is the etiological agent of a lymphoproliferative malignancy; Adult T-cell Leukemia/Lymphoma (ATLL); and a chronic neuromyelopathy, HTLV-1 Associated Myelopathy/Tropical Spastic Paraparesis (HAM/TSP), as well as other inflammatory diseases such as infective dermatitis and uveitis. Besides sexual intercourse and intravenous transmission, HTLV-1 can also be transmitted from infected mother to child during prolonged breastfeeding. Some characteristics that are linked to mother-to-child transmission (MTCT) of HTLV-1, such as the role of proviral load, antibody titer of the infected mother, and duration of breastfeeding, have been elucidated; however, most of the mechanisms underlying HTLV-1 transmission during breast feeding remain largely unknown, such as the sites of infection and cellular targets as well as the role of milk factors. The present review focuses on the latest findings and current opinions and perspectives on MTCT of HTLV-1

    Mother-to-Child Transmission of HTLV-1 Epidemiological Aspects, Mechanisms and Determinants of Mother-to-Child Transmission

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    International audienceHuman T-cell Lymphotropic Virus type 1 (HTLV-1) is a human retrovirus that infects at least 5–10 million people worldwide, and is the etiological agent of a lymphoproliferative malignancy; Adult T-cell Leukemia/Lymphoma (ATLL); and a chronic neuromyelopathy, HTLV-1 Associated Myelopathy/Tropical Spastic Paraparesis (HAM/TSP), as well as other inflammatory diseases such as infective dermatitis and uveitis. Besides sexual intercourse and intravenous transmission, HTLV-1 can also be transmitted from infected mother to child during prolonged breastfeeding. Some characteristics that are linked to mother-to-child transmission (MTCT) of HTLV-1, such as the role of proviral load, antibody titer of the infected mother, and duration of breastfeeding, have been elucidated; however, most of the mechanisms underlying HTLV-1 transmission during breast feeding remain largely unknown, such as the sites of infection and cellular targets as well as the role of milk factors. The present review focuses on the latest findings and current opinions and perspectives on MTCT of HTLV-1

    Human T-Lymphotropic Virus Type 1-Induced Overexpression of Activated Leukocyte Cell Adhesion Molecule (ALCAM) Facilitates Trafficking of Infected Lymphocytes through the Blood-Brain Barrier

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    International audienceHuman T-lymphotropic virus type 1 (HTLV-1) is the etiological agent of a slowly progressive neurodegenerative disease, HTLV-1-associated myelopathy/tropical spastic paraparesis (HAM/TSP). This disease develops upon infiltration of HTLV-1-infected lymphocytes into the central nervous system, mostly the thoracic spinal cord. The central nervous system is normally protected by a physiological structure called the blood-brain barrier (BBB), which consists primarily of a continuous endothelium with tight junctions. In this study, we investigated the role of activated leukocyte cell adhesion molecule (ALCAM/CD166), a member of the immunoglobulin superfamily, in the crossing of the BBB by HTLV-1-infected lymphocytes. We demonstrated that ALCAM is overexpressed on the surface of HTLV-1-infected lymphocytes, both in chronically infected cell lines and in primary infected CD4 T lymphocytes. ALCAM overexpression results from the activation of the canonical NF-B pathway by the viral transactivator Tax. In contrast, staining of spinal cord sections of HAM/TSP patients showed that ALCAM expression is not altered on the BBB endothelium in the context of HTLV-1 infection. ALCAM blockade or downregulation of ALCAM levels significantly reduced the migration of HTLV-1-infected lymphocytes across a monolayer of human BBB endothelial cells. This study suggests a potential role for ALCAM in HAM/TSP pathogenesis. IMPORTANCE Human T-lymphotropic virus type 1 (HTLV-1) is the etiological agent of a slowly progressive neurodegenerative disease, HTLV-1-associated myelopathy/tropical spastic paraparesis (HAM/TSP). This disease is the consequence of the infiltration of HTLV-1-infected lymphocytes into the central nervous system (CNS), mostly the thoracic spinal cord. The CNS is normally protected by a physiological structure called the blood-brain barrier (BBB), which consists primarily of a continuous endothelium with tight junctions. The mechanism of migration of lymphocytes into the CNS is unclear. Here, we show that the viral transactivator Tax increases activated leukocyte cell adhesion molecule (ALCAM/CD166) expression. This molecule facilitates the migration of lymphocytes across the BBB endothelium. Targeting this molecule could be of interest in preventing or reducing the development of HAM/TSP

    Quel cadre juridique pour une mise en Ĺ“uvre effective des codes de gouvernance d'entreprise ?

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    Le projet avait pour objectif de rechercher le meilleur cadre juridique pour une mise en oeuvre effective des codes de gouvernance d'entreprise. Par conséquent, nous avons travaillé sur l'effectivité des codes de gouvernance en France avant de nous intéresser, de manière prospective, au cadre juridique permettant de meilleures pratiques de gouvernance d'entreprise. Nous avons donc en premier lieu dressé un état des pratiques effectives des entreprises, qu'elles soient soumises à l'obligation de se référer à un code de gouvernance ou qu'elles s'y réfèrent spontanément. Pour ce faire, nous avons analysé les documents annuels de référence de trois types d'entreprises afin d'évaluer si les pratiques dont elles rendent compte sont conformes aux prescriptions et recommandations des codes de gouvernance d'entreprise. Les résultats permettent d'établir dans quelle mesure elles sont en conformité avec les deux codes de référence et nous renseignent sur la diffusion de ces codes en pratique. Afin de proposer une évaluation critique du cadre français de gouvernance d'entreprise, nous l'avons mis, dans une seconde partie, en perspective avec le cadre européen et les aspects dont les institutions européennes se sont saisies (transmission des informations non financières, composition des organes dirigeant par exemple). Nous avons ensuite voulu confronter ces résultats aux codes de gouvernance en vigueur dans quatre autres pays européens (Belgique, Allemagne, Espagne et Royaume-Uni). Ces différentes analyses (empirique, européenne, comparée) permettent en définitive de mettre en évidence les particularismes du système français de gouvernance, ses avantages et ses faiblesses, en l'évaluant cette fois-ci dans le but d'une effectivité, non plus des codes mais des bonnes pratiques de gouvernance elles-mêmes, qui interroge notamment les frontières entre le volontaire et le contraignant.Le projet avait pour objectif de rechercher le meilleur cadre juridique pour une mise en œuvre effective des codes de gouvernance d'entreprise. Par conséquent, nous avons travaillé sur l'effectivité des codes de gouvernance en France avant de nous intéresser, de manière prospective, au cadre juridique permettant de meilleures pratiques de gouvernance d'entreprise. Nous avons donc en premier lieu dressé un état des pratiques effectives des entreprises, qu'elles soient soumises à l'obligation de se référer à un code de gouvernance ou qu'elles s'y réfèrent spontanément. Pour ce faire, nous avons analysé les documents annuels de référence de trois types d'entreprises afin d'évaluer si les pratiques dont elles rendent compte sont conformes aux prescriptions et recommandations des codes de gouvernance d'entreprise. Les résultats permettent d'établir dans quelle mesure elles sont en conformité avec les deux codes de référence et nous renseignent sur la diffusion de ces codes en pratique. Afin de proposer une évaluation critique du cadre français de gouvernance d'entreprise, nous l'avons mis, dans une seconde partie, en perspective avec le cadre européen et les aspects dont les institutions européennes se sont saisies (transmission des informations non financières, composition des organes dirigeant par exemple). Nous avons ensuite voulu confronter ces résultats aux codes de gouvernance en vigueur dans quatre autres pays européens (Belgique, Allemagne, Espagne et Royaume-Uni). Ces différentes analyses (empirique, européenne, comparée) permettent en définitive de mettre en évidence les particularismes du système français de gouvernance, ses avantages et ses faiblesses, en l'évaluant cette fois-ci dans le but d'une effectivité, non plus des codes mais des bonnes pratiques de gouvernance elles-mêmes, qui interroge notamment les frontières entre le volontaire et le contraignant

    Quel cadre juridique pour une mise en Ĺ“uvre effective des codes de gouvernance d'entreprise ?

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    Le projet avait pour objectif de rechercher le meilleur cadre juridique pour une mise en oeuvre effective des codes de gouvernance d'entreprise. Par conséquent, nous avons travaillé sur l'effectivité des codes de gouvernance en France avant de nous intéresser, de manière prospective, au cadre juridique permettant de meilleures pratiques de gouvernance d'entreprise. Nous avons donc en premier lieu dressé un état des pratiques effectives des entreprises, qu'elles soient soumises à l'obligation de se référer à un code de gouvernance ou qu'elles s'y réfèrent spontanément. Pour ce faire, nous avons analysé les documents annuels de référence de trois types d'entreprises afin d'évaluer si les pratiques dont elles rendent compte sont conformes aux prescriptions et recommandations des codes de gouvernance d'entreprise. Les résultats permettent d'établir dans quelle mesure elles sont en conformité avec les deux codes de référence et nous renseignent sur la diffusion de ces codes en pratique. Afin de proposer une évaluation critique du cadre français de gouvernance d'entreprise, nous l'avons mis, dans une seconde partie, en perspective avec le cadre européen et les aspects dont les institutions européennes se sont saisies (transmission des informations non financières, composition des organes dirigeant par exemple). Nous avons ensuite voulu confronter ces résultats aux codes de gouvernance en vigueur dans quatre autres pays européens (Belgique, Allemagne, Espagne et Royaume-Uni). Ces différentes analyses (empirique, européenne, comparée) permettent en définitive de mettre en évidence les particularismes du système français de gouvernance, ses avantages et ses faiblesses, en l'évaluant cette fois-ci dans le but d'une effectivité, non plus des codes mais des bonnes pratiques de gouvernance elles-mêmes, qui interroge notamment les frontières entre le volontaire et le contraignant.Le projet avait pour objectif de rechercher le meilleur cadre juridique pour une mise en œuvre effective des codes de gouvernance d'entreprise. Par conséquent, nous avons travaillé sur l'effectivité des codes de gouvernance en France avant de nous intéresser, de manière prospective, au cadre juridique permettant de meilleures pratiques de gouvernance d'entreprise. Nous avons donc en premier lieu dressé un état des pratiques effectives des entreprises, qu'elles soient soumises à l'obligation de se référer à un code de gouvernance ou qu'elles s'y réfèrent spontanément. Pour ce faire, nous avons analysé les documents annuels de référence de trois types d'entreprises afin d'évaluer si les pratiques dont elles rendent compte sont conformes aux prescriptions et recommandations des codes de gouvernance d'entreprise. Les résultats permettent d'établir dans quelle mesure elles sont en conformité avec les deux codes de référence et nous renseignent sur la diffusion de ces codes en pratique. Afin de proposer une évaluation critique du cadre français de gouvernance d'entreprise, nous l'avons mis, dans une seconde partie, en perspective avec le cadre européen et les aspects dont les institutions européennes se sont saisies (transmission des informations non financières, composition des organes dirigeant par exemple). Nous avons ensuite voulu confronter ces résultats aux codes de gouvernance en vigueur dans quatre autres pays européens (Belgique, Allemagne, Espagne et Royaume-Uni). Ces différentes analyses (empirique, européenne, comparée) permettent en définitive de mettre en évidence les particularismes du système français de gouvernance, ses avantages et ses faiblesses, en l'évaluant cette fois-ci dans le but d'une effectivité, non plus des codes mais des bonnes pratiques de gouvernance elles-mêmes, qui interroge notamment les frontières entre le volontaire et le contraignant
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